Centre de Documentation Campus Montignies
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Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation . Vol.37 N°3Paru le : 01/07/2024 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierCinématique de la marche normale / P.-A. Willems in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.37 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Cinématique de la marche normale Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-A. Willems ; C. Detrembleur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 26-007-B-75 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Locomotion Marche Cinématique Coordination intersegmentaire Résumé : La marche humaine est une activité complexe durant laquelle le poids du corps est alternativement transféré d'un pied à l'autre. De nombreuses pathologies perturbent cette fonction, entraînant une diminution des capacités fonctionnelles et, par conséquent, de la qualité de vie du patient. C'est pourquoi la rééducation à la marche dans le but de restituer la mobilité, fait l'objet d'une attention toute particulière de la part du kinésithérapeute. Pour concevoir et réaliser son traitement, ce dernier doit avoir une bonne connaissance des mouvements effectués pendant la marche. Dans le présent exposé, nous analyserons la cinématique de la marche. La cinématique décrit les mouvements des segments corporels sans tenir compte des forces mises en jeu pour réaliser ces mouvements. L'analyse cinématique de la marche, basée sur le seul examen visuel, est limitée. En effet, la marche est une activité trop complexe et trop rapide pour pouvoir être analysée en détail sans l'assistance de systèmes de capture du mouvement. La plupart des données que nous présentons ici sont issues de nos laboratoires. La vitesse de progression modifiant les caractéristiques de la marche, il est important que le kinésithérapeute puisse distinguer les modifications de la cinématique liées à une modification de la vitesse de celles liées à la pathologie. C'est pourquoi l'influence de la vitesse de marche sur chacun des paramètres analysés sera présentée. Après avoir défini les phases du cycle de marche, nous décrirons les mouvements des segments corporels, principalement au niveau du membre inférieur. Nous terminerons en analysant la coordination entre les mouvements des différents segments du membre inférieur. Cet article est le premier d'une série de trois consacrés à la marche normale. Dans le second article, nous étudierons l'activité des principaux groupes musculaires au niveau du membre inférieur. Le dernier article sera consacré à la mécanique et à l'énergétique de la marche normale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118671
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-007-B-75 [Tome 1][article] Cinématique de la marche normale [texte imprimé] / P.-A. Willems ; C. Detrembleur . - 2024 . - p. 26-007-B-75 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-007-B-75 [Tome 1]
Mots-clés : Locomotion Marche Cinématique Coordination intersegmentaire Résumé : La marche humaine est une activité complexe durant laquelle le poids du corps est alternativement transféré d'un pied à l'autre. De nombreuses pathologies perturbent cette fonction, entraînant une diminution des capacités fonctionnelles et, par conséquent, de la qualité de vie du patient. C'est pourquoi la rééducation à la marche dans le but de restituer la mobilité, fait l'objet d'une attention toute particulière de la part du kinésithérapeute. Pour concevoir et réaliser son traitement, ce dernier doit avoir une bonne connaissance des mouvements effectués pendant la marche. Dans le présent exposé, nous analyserons la cinématique de la marche. La cinématique décrit les mouvements des segments corporels sans tenir compte des forces mises en jeu pour réaliser ces mouvements. L'analyse cinématique de la marche, basée sur le seul examen visuel, est limitée. En effet, la marche est une activité trop complexe et trop rapide pour pouvoir être analysée en détail sans l'assistance de systèmes de capture du mouvement. La plupart des données que nous présentons ici sont issues de nos laboratoires. La vitesse de progression modifiant les caractéristiques de la marche, il est important que le kinésithérapeute puisse distinguer les modifications de la cinématique liées à une modification de la vitesse de celles liées à la pathologie. C'est pourquoi l'influence de la vitesse de marche sur chacun des paramètres analysés sera présentée. Après avoir défini les phases du cycle de marche, nous décrirons les mouvements des segments corporels, principalement au niveau du membre inférieur. Nous terminerons en analysant la coordination entre les mouvements des différents segments du membre inférieur. Cet article est le premier d'une série de trois consacrés à la marche normale. Dans le second article, nous étudierons l'activité des principaux groupes musculaires au niveau du membre inférieur. Le dernier article sera consacré à la mécanique et à l'énergétique de la marche normale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118671 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Activité musculaire au cours de la marche normale / P.-A. Willems in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.37 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Activité musculaire au cours de la marche normale Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-A. Willems ; B. Schepens ; C. Detrembleur ; A.H. Dewolf Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 26-007-B-80 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Locomotion Marche Électromyographie Activité musculaire Synergie musculaire Résumé : Bien qu'elle implique aussi des mouvements de la partie supérieure du corps, la marche est essentiellement assurée par les mouvements du bassin et des membres inférieurs. Cette activité complexe met en jeu de nombreux muscles dont l'action est coordonnée par le système nerveux central (SNC). En pathologie, cette coordination peut être perturbée pour différentes raisons (altération de la commande motrice, manque de mobilité, douleur, etc.). Pour le kinésithérapeute, il est donc important de pouvoir détecter ces anomalies et d'en connaître leur(s) cause(s). La marche est un mouvement trop rapide et trop subtil pour pouvoir être examiné par la simple observation. C'est pourquoi, il est nécessaire de recourir à l'électromyographie (EMG) pour analyser l'activité des différents muscles au cours du cycle de marche. En effet, lorsqu'ils s'activent, les muscles vont générer un signal électrique qui va pouvoir être détecté par des électrodes appliquées sur (ou sous) la peau. Dans ce chapitre, nous évoquerons l'origine du signal EMG. Nous décrirons ensuite l'activité des principaux groupes musculaires du membre inférieur lors de la marche à vitesse intermédiaire. Nous terminerons en abordant le problème de la coordination musculaire. En effet, plusieurs dizaines de muscles interviennent à des moments précis du cycle de marche pour engendrer un mouvement harmonieux ne nécessitant pas une dépense énergétique démesurée. En principe, le SNC pourrait contrôler l'activité de chaque muscle individuellement. Dans ce cas, le contrôle moteur serait fractionné et difficile à implémenter. Il semble que le SNC ait résolu le problème d'une façon plus appropriée en créant des synergies entre les groupes musculaires. Cet article est le second d'une série de trois consacrés à la marche normale. Dans le premier, nous analysons les mouvements des segments des membres inférieurs. Le dernier article est consacré à la mécanique et à l'énergétique de la marche normale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118672
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-007-B-80 [Tome 1][article] Activité musculaire au cours de la marche normale [texte imprimé] / P.-A. Willems ; B. Schepens ; C. Detrembleur ; A.H. Dewolf . - 2024 . - p. 26-007-B-80 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-007-B-80 [Tome 1]
Mots-clés : Locomotion Marche Électromyographie Activité musculaire Synergie musculaire Résumé : Bien qu'elle implique aussi des mouvements de la partie supérieure du corps, la marche est essentiellement assurée par les mouvements du bassin et des membres inférieurs. Cette activité complexe met en jeu de nombreux muscles dont l'action est coordonnée par le système nerveux central (SNC). En pathologie, cette coordination peut être perturbée pour différentes raisons (altération de la commande motrice, manque de mobilité, douleur, etc.). Pour le kinésithérapeute, il est donc important de pouvoir détecter ces anomalies et d'en connaître leur(s) cause(s). La marche est un mouvement trop rapide et trop subtil pour pouvoir être examiné par la simple observation. C'est pourquoi, il est nécessaire de recourir à l'électromyographie (EMG) pour analyser l'activité des différents muscles au cours du cycle de marche. En effet, lorsqu'ils s'activent, les muscles vont générer un signal électrique qui va pouvoir être détecté par des électrodes appliquées sur (ou sous) la peau. Dans ce chapitre, nous évoquerons l'origine du signal EMG. Nous décrirons ensuite l'activité des principaux groupes musculaires du membre inférieur lors de la marche à vitesse intermédiaire. Nous terminerons en abordant le problème de la coordination musculaire. En effet, plusieurs dizaines de muscles interviennent à des moments précis du cycle de marche pour engendrer un mouvement harmonieux ne nécessitant pas une dépense énergétique démesurée. En principe, le SNC pourrait contrôler l'activité de chaque muscle individuellement. Dans ce cas, le contrôle moteur serait fractionné et difficile à implémenter. Il semble que le SNC ait résolu le problème d'une façon plus appropriée en créant des synergies entre les groupes musculaires. Cet article est le second d'une série de trois consacrés à la marche normale. Dans le premier, nous analysons les mouvements des segments des membres inférieurs. Le dernier article est consacré à la mécanique et à l'énergétique de la marche normale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118672 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Mécanique et énergétique de la marche normale / P.-A. Willems in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.37 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Mécanique et énergétique de la marche normale Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-A. Willems ; C. Detrembleur ; B. Schepens ; A.H. Dewolf Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 26-007-B-85 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Marche Dépense énergétique Mécanique Travail interne Travail externe Rendement musculaire Résumé : Pour les personnes ne souffrant d'aucune pathologie, la marche à vitesse intermédiaire (4-5 km h-1) est une activité requérant un effort modéré. En revanche, pour les personnes souffrant de pathologies locomotrice, nerveuse, cardiaque et/ou pulmonaire, cette activité peut nécessiter un effort important. Dans ce cas, la vitesse de progression est souvent réduite à moins de 2 km h-1. Lors de la rééducation, le kinésithérapeute doit pouvoir estimer l'effort musculaire que son patient réalise (mécanique) et la quantité d'énergie chimique qu'il dépense (énergétique) durant la marche. La méthode la plus utilisée pour estimer la consommation d'énergie chimique est la calorimétrie indirecte. Il existe plusieurs méthodes pour estimer le travail musculaire. La méthode que nous proposons, ici, divise le travail musculaire en travail externe (Wext) et travail interne (Wint). L'étude du Wext a permis l'identification des deux mécanismes fondamentaux de la locomotion humaine : le modèle pendulaire de la marche et le modèle de rebond de la course. Aucun de ces deux mécanismes n'apparaît aussi clairement avec les autres méthodes. Nous montrerons ensuite comment la coordination des mouvements des segments du membre inférieur permettent de lisser la trajectoire du bassin, afin de réduire les variations d'énergie cinétique et potentielle du centre de masse corporel et, par conséquent, le coût énergétique de la marche. Nous verrons également que le mécanisme pendulaire permet de réduire le Wext. Nous évaluerons ensuite la quantité de travail musculaire, de même que l'énergie métabolique consommée aux différentes vitesses de marche. Cet article est le dernier d'une série de trois consacrés à la marche normale. Dans le premier, nous analysons les mouvements des segments des membres inférieurs. Le second est consacré à l'activité musculaire au niveau des membres inférieurs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118673
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-007-B-85 [Tome 1][article] Mécanique et énergétique de la marche normale [texte imprimé] / P.-A. Willems ; C. Detrembleur ; B. Schepens ; A.H. Dewolf . - 2024 . - p. 26-007-B-85 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-007-B-85 [Tome 1]
Mots-clés : Marche Dépense énergétique Mécanique Travail interne Travail externe Rendement musculaire Résumé : Pour les personnes ne souffrant d'aucune pathologie, la marche à vitesse intermédiaire (4-5 km h-1) est une activité requérant un effort modéré. En revanche, pour les personnes souffrant de pathologies locomotrice, nerveuse, cardiaque et/ou pulmonaire, cette activité peut nécessiter un effort important. Dans ce cas, la vitesse de progression est souvent réduite à moins de 2 km h-1. Lors de la rééducation, le kinésithérapeute doit pouvoir estimer l'effort musculaire que son patient réalise (mécanique) et la quantité d'énergie chimique qu'il dépense (énergétique) durant la marche. La méthode la plus utilisée pour estimer la consommation d'énergie chimique est la calorimétrie indirecte. Il existe plusieurs méthodes pour estimer le travail musculaire. La méthode que nous proposons, ici, divise le travail musculaire en travail externe (Wext) et travail interne (Wint). L'étude du Wext a permis l'identification des deux mécanismes fondamentaux de la locomotion humaine : le modèle pendulaire de la marche et le modèle de rebond de la course. Aucun de ces deux mécanismes n'apparaît aussi clairement avec les autres méthodes. Nous montrerons ensuite comment la coordination des mouvements des segments du membre inférieur permettent de lisser la trajectoire du bassin, afin de réduire les variations d'énergie cinétique et potentielle du centre de masse corporel et, par conséquent, le coût énergétique de la marche. Nous verrons également que le mécanisme pendulaire permet de réduire le Wext. Nous évaluerons ensuite la quantité de travail musculaire, de même que l'énergie métabolique consommée aux différentes vitesses de marche. Cet article est le dernier d'une série de trois consacrés à la marche normale. Dans le premier, nous analysons les mouvements des segments des membres inférieurs. Le second est consacré à l'activité musculaire au niveau des membres inférieurs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118673 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Spasticité et hyperrésistance : état des lieux et perspectives / C. Boulard in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.37 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Spasticité et hyperrésistance : état des lieux et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Boulard Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 26-011-A-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Spasticité Hyperrésistance Évaluation clinique Physiopathologie Évaluation instrumentale Thérapeutique Résumé : Malgré la fréquence de survenue de la spasticité au décours d'une lésion du système nerveux central, l'usage pluriel du terme de « spasticité », sur le plan scientifique ou au cours de la pratique clinique quotidienne, porte encore aujourd'hui à confusion. Désormais, la spasticité est considérée comme un des versants neurologiques du concept plus global d'hyperrésistance, définissant la résistance d'origine neuromusculaire à l'allongement du muscle parétique. L'évaluation clinique, largement utilisée au quotidien, présente des faiblesses psychométriques qui peuvent être au moins partiellement compensées par l'émergence de nombreuses méthodes instrumentales. Néanmoins, celles-ci restent encore difficiles d'accès. La spasticité s'exprime de façon hétérogène tant sur le plan clinique que fonctionnel, en fonction notamment de l'étiologie. Seule une évaluation pluridisciplinaire globale du patient peut permettre de choisir une stratégie thérapeutique adaptée. Celle-ci pourra évoluer tout au long de la vie du patient, mêlant des traitements physiques, médicamenteux ou chirurgicaux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118674
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-011-A-10 [Tome 1][article] Spasticité et hyperrésistance : état des lieux et perspectives [texte imprimé] / C. Boulard . - 2024 . - p. 26-011-A-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-011-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : Spasticité Hyperrésistance Évaluation clinique Physiopathologie Évaluation instrumentale Thérapeutique Résumé : Malgré la fréquence de survenue de la spasticité au décours d'une lésion du système nerveux central, l'usage pluriel du terme de « spasticité », sur le plan scientifique ou au cours de la pratique clinique quotidienne, porte encore aujourd'hui à confusion. Désormais, la spasticité est considérée comme un des versants neurologiques du concept plus global d'hyperrésistance, définissant la résistance d'origine neuromusculaire à l'allongement du muscle parétique. L'évaluation clinique, largement utilisée au quotidien, présente des faiblesses psychométriques qui peuvent être au moins partiellement compensées par l'émergence de nombreuses méthodes instrumentales. Néanmoins, celles-ci restent encore difficiles d'accès. La spasticité s'exprime de façon hétérogène tant sur le plan clinique que fonctionnel, en fonction notamment de l'étiologie. Seule une évaluation pluridisciplinaire globale du patient peut permettre de choisir une stratégie thérapeutique adaptée. Celle-ci pourra évoluer tout au long de la vie du patient, mêlant des traitements physiques, médicamenteux ou chirurgicaux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118674 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire