Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Mention de date : Novembre 2023 Paru le : 01/11/2023 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierDengue et chikungunya, deux aboravirus sachant voyager / Côme Charrier in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 556 (Novembre 2023)
[article]
Titre : Dengue et chikungunya, deux aboravirus sachant voyager Type de document : texte imprimé Auteurs : Côme Charrier ; Magali Garcia ; Nicolas Lévêque Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 18-25 Note générale : https.//doi.org/ Langues : Français (fre) Mots-clés : Infection Chikungunya Dengue Contagion Physiopathologie Prévention santé Diagnostic Epidémiologie Bactériologie Virologie Thérapeutique médicamenteuse Résumé : Dengue et chikungunya représentent un problème de santé publique majeur touchant à la fois les régions tropicales, avec une incidence en nette augmentation, mais également les régions tempérées, avec la description de transmissions autochtones pendant la période d'activité des moustiques vecteurs. Ces deux infections virales se caractérisent par une incubation courte avant l'apparition d'une symptomatologie similaire, généralement constituée d'un syndrome pseudo-grippal et d'une éruption maculo-papuleuse. Elles se distinguent toutefois par leurs complications constituées, pour la dengue de formes hémorragiques engageant le pronostic vital et, pour le chikungunya, de formes invalidantes par le passage à la chronicité des douleurs articulaires.
Dans les deux cas, le diagnostic virologique repose sur la mise en évidence précoce du génome viral et la détection plus tardive des anticorps. Enfin, il n'existe pas de traitement spécifique mais des mesures prophylactiques sont possibles associant vaccination (dengue) et protection individuelle et collective anti-moustique. En conclusion, dengue et chikungunya représentent deux arboviroses à fort potentiel d'émergence dans les pays tempérés par l'expansion du moustique tigre et l'intensification des voyages. Leur recherche en cas de signes cliniques évocateurs chez un individu n'ayant jamais voyagé est vraisemblablement une attitude qu'il faudra systématiquement adopter en période estivale dans un futur proche. (RA)Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114418
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 556 (Novembre 2023) . - p. 18-25[article] Dengue et chikungunya, deux aboravirus sachant voyager [texte imprimé] / Côme Charrier ; Magali Garcia ; Nicolas Lévêque . - 2023 . - p. 18-25.
https.//doi.org/
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 556 (Novembre 2023) . - p. 18-25
Mots-clés : Infection Chikungunya Dengue Contagion Physiopathologie Prévention santé Diagnostic Epidémiologie Bactériologie Virologie Thérapeutique médicamenteuse Résumé : Dengue et chikungunya représentent un problème de santé publique majeur touchant à la fois les régions tropicales, avec une incidence en nette augmentation, mais également les régions tempérées, avec la description de transmissions autochtones pendant la période d'activité des moustiques vecteurs. Ces deux infections virales se caractérisent par une incubation courte avant l'apparition d'une symptomatologie similaire, généralement constituée d'un syndrome pseudo-grippal et d'une éruption maculo-papuleuse. Elles se distinguent toutefois par leurs complications constituées, pour la dengue de formes hémorragiques engageant le pronostic vital et, pour le chikungunya, de formes invalidantes par le passage à la chronicité des douleurs articulaires.
Dans les deux cas, le diagnostic virologique repose sur la mise en évidence précoce du génome viral et la détection plus tardive des anticorps. Enfin, il n'existe pas de traitement spécifique mais des mesures prophylactiques sont possibles associant vaccination (dengue) et protection individuelle et collective anti-moustique. En conclusion, dengue et chikungunya représentent deux arboviroses à fort potentiel d'émergence dans les pays tempérés par l'expansion du moustique tigre et l'intensification des voyages. Leur recherche en cas de signes cliniques évocateurs chez un individu n'ayant jamais voyagé est vraisemblablement une attitude qu'il faudra systématiquement adopter en période estivale dans un futur proche. (RA)Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114418 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL'ulcère de Buruli, une maladie tropicale négligée due à Mycobacterium ulcerans / Marie Kempt in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 556 (Novembre 2023)
[article]
Titre : L'ulcère de Buruli, une maladie tropicale négligée due à Mycobacterium ulcerans Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Kempt ; Roch Christian Johnson ; Estelle Marion ; Laurent Marsollier Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 43-50 Langues : Français (fre) Mots-clés : Mycobacterium Maladie tropicale Négligence Infection Peau [pathologie] Laboratoire Bactériologie Diagnostic OMS Population défavorisée Bactériose Physiopathologie Thérapeutique Résumé : L'ulcère de Buruli est une infection cutanée humaine due à Mycobacterium ulcerans, une mycobactérie environnementale. Cette pathologie sévit surtout dans les régions tropicales humides, notamment à proximité de régions marécageuses ou inondables. On la retrouve en particulier en Afrique de l'Ouest, où elle est endémique. En l'absence de prise en charge, l'infection conduit souvent à une destruction étendue de la peau et des tissus mous avec formation d'ulcérations importantes, généralement sur les membres, et à l'origine d'importantes incapacités fonctionnelles. La destruction tissulaire est liée à la production d'une toxine, la mycolactone. Cette toxine, principal facteur de virulence de la bactérie, confère un caractère non douloureux à l'ulcère. Cette maladie touche majoritairement les enfants de moins de quinze ans et constitue une menace pour la santé publique dans de nombreuses régions en raison des conséquences socio-économiques qu'elle engendre. En 1998, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré l'ulcère de Buruli "maladie émergente" et en 2003 il est devenu une "maladie tropicale négligée". Le traitement associe une bithérapie antibiotique si la prise en charge de l'ulcère est précoce, à la condition d'avoir un accès au dépistage et au soin. En cas de formes plus avancées de l'ulcère, le recours à la chirurgie en plus d'une antibiothérapie est indispensable, entraînant un lourd impact socio-économique. (RA) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114419
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 556 (Novembre 2023) . - p. 43-50[article] L'ulcère de Buruli, une maladie tropicale négligée due à Mycobacterium ulcerans [texte imprimé] / Marie Kempt ; Roch Christian Johnson ; Estelle Marion ; Laurent Marsollier . - 2023 . - p. 43-50.
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 556 (Novembre 2023) . - p. 43-50
Mots-clés : Mycobacterium Maladie tropicale Négligence Infection Peau [pathologie] Laboratoire Bactériologie Diagnostic OMS Population défavorisée Bactériose Physiopathologie Thérapeutique Résumé : L'ulcère de Buruli est une infection cutanée humaine due à Mycobacterium ulcerans, une mycobactérie environnementale. Cette pathologie sévit surtout dans les régions tropicales humides, notamment à proximité de régions marécageuses ou inondables. On la retrouve en particulier en Afrique de l'Ouest, où elle est endémique. En l'absence de prise en charge, l'infection conduit souvent à une destruction étendue de la peau et des tissus mous avec formation d'ulcérations importantes, généralement sur les membres, et à l'origine d'importantes incapacités fonctionnelles. La destruction tissulaire est liée à la production d'une toxine, la mycolactone. Cette toxine, principal facteur de virulence de la bactérie, confère un caractère non douloureux à l'ulcère. Cette maladie touche majoritairement les enfants de moins de quinze ans et constitue une menace pour la santé publique dans de nombreuses régions en raison des conséquences socio-économiques qu'elle engendre. En 1998, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré l'ulcère de Buruli "maladie émergente" et en 2003 il est devenu une "maladie tropicale négligée". Le traitement associe une bithérapie antibiotique si la prise en charge de l'ulcère est précoce, à la condition d'avoir un accès au dépistage et au soin. En cas de formes plus avancées de l'ulcère, le recours à la chirurgie en plus d'une antibiothérapie est indispensable, entraînant un lourd impact socio-économique. (RA) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114419 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes leishmanioses au laboratoire / Grégoire Pasquier in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 556 (Novembre 2023)
[article]
Titre : Les leishmanioses au laboratoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Grégoire Pasquier ; Christophe Ravel Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 26-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Leishmaniose Laboratoire Parasitologie Maladie tropicale Négligence Peau [pathologie] Appareil digestif [pathologie] Maladie géographique Diagnostic Thérapeutique Résumé : Les leishmanioses sont des maladies tropicales négligées, causées par une quinzaine d'espèces d'un protozoaire flagellé du genre Leishmania et transmises par un moucheron hématophage, le phlébotome. Il existe trois principales formes cliniques : les leishmanioses cutanées, cutanéomuqueuses et viscérales selon la dissémination des parasites dans le système des phagocytes mononucléés.
En 2021, les leishmanioses sont endémiques de 99 pays sur tous les continents habités hors Océanie et les dernières estimations font état de 600 000 à 1 million de cas de leishmanioses cutanées et de 50 000 à 90 000 cas de leishmanioses viscérales annuels. En France métropolitaine, les cas autochtones sont beaucoup moins fréquents que ceux d'importation.
Le diagnostic de référence est la PCR sur sang pour les leishmanioses viscérales et la PCR sur prélèvement cutané pour les versions cutanées. Cet examen doit être associé à la sérologie dans le cadre des leishmanioses viscérales et cutanéomuqueuses. L'identification de l'espèce en cause est souhaitable dans les formes cutanées ou cutanéomuqueuses pour orienter la prise en charge thérapeutique. La complexité du diagnostic et du traitement peut rendre parfois nécessaire l'aide d'un centre spécialisé. (RA)Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114420
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 556 (Novembre 2023) . - p. 26-33[article] Les leishmanioses au laboratoire [texte imprimé] / Grégoire Pasquier ; Christophe Ravel . - 2023 . - p. 26-33.
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 556 (Novembre 2023) . - p. 26-33
Mots-clés : Leishmaniose Laboratoire Parasitologie Maladie tropicale Négligence Peau [pathologie] Appareil digestif [pathologie] Maladie géographique Diagnostic Thérapeutique Résumé : Les leishmanioses sont des maladies tropicales négligées, causées par une quinzaine d'espèces d'un protozoaire flagellé du genre Leishmania et transmises par un moucheron hématophage, le phlébotome. Il existe trois principales formes cliniques : les leishmanioses cutanées, cutanéomuqueuses et viscérales selon la dissémination des parasites dans le système des phagocytes mononucléés.
En 2021, les leishmanioses sont endémiques de 99 pays sur tous les continents habités hors Océanie et les dernières estimations font état de 600 000 à 1 million de cas de leishmanioses cutanées et de 50 000 à 90 000 cas de leishmanioses viscérales annuels. En France métropolitaine, les cas autochtones sont beaucoup moins fréquents que ceux d'importation.
Le diagnostic de référence est la PCR sur sang pour les leishmanioses viscérales et la PCR sur prélèvement cutané pour les versions cutanées. Cet examen doit être associé à la sérologie dans le cadre des leishmanioses viscérales et cutanéomuqueuses. L'identification de l'espèce en cause est souhaitable dans les formes cutanées ou cutanéomuqueuses pour orienter la prise en charge thérapeutique. La complexité du diagnostic et du traitement peut rendre parfois nécessaire l'aide d'un centre spécialisé. (RA)Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114420 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes mycoses cutanées tropicales négligées : répartition géographique, clinique et importance du diagnostic biologique / Nathalie BOURGEOIS in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 556 (Novembre 2023)
[article]
Titre : Les mycoses cutanées tropicales négligées : répartition géographique, clinique et importance du diagnostic biologique Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie BOURGEOIS ; Laurence Lachaud Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 34-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : Mycose Peau [pathologie] Maladie géographique Diagnostic Biologie Parasitologie Mycologie Laboratoire Climat intertropical Histoplasmose Anatomopathologie Résumé : Les mucoses cutanées tropicales sont causées par un groupe hétérogène de champignons qui occupent chacun une niche écologique spécifique dans l'environnement avec une répartition géographique particulière. La présentation clinique est très variable et les diagnostics différentiels nombreux. Il convient de distinguer les lésions localisées souvent chroniques qui font suite à une inoculation par voie directe transcutanée ou par voie nasale des lésions secondaires qui s'observent chez les patients immunodéprimés pour les pathogènes dont la contamination se fait par voie respiratoire (Histoplama capsulatum var.capsulatum, Talaromyces marneffei, Coccidioides immitis). Le diagnostic biologique est indispensable à mettre en oeuvre pour confirmer l'atteinte fongique et identifier le champignon. Il repose essentiellement sur un examen direct bien conduit, associé à la mise en culture des échantillons. L'examen anatomopathologique est un complément indispensable pour optimiser le diagnostic. La biosécurité est une considération importante lors de la manipulation de ces organismes, et les laboratoires doivent intégrer les directives et réglementations nationales dans les processus et pratiques afin de garantir la sécurité du personnel de laboratoire. (RA) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114422
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 556 (Novembre 2023) . - p. 34-42[article] Les mycoses cutanées tropicales négligées : répartition géographique, clinique et importance du diagnostic biologique [texte imprimé] / Nathalie BOURGEOIS ; Laurence Lachaud . - 2023 . - p. 34-42.
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 556 (Novembre 2023) . - p. 34-42
Mots-clés : Mycose Peau [pathologie] Maladie géographique Diagnostic Biologie Parasitologie Mycologie Laboratoire Climat intertropical Histoplasmose Anatomopathologie Résumé : Les mucoses cutanées tropicales sont causées par un groupe hétérogène de champignons qui occupent chacun une niche écologique spécifique dans l'environnement avec une répartition géographique particulière. La présentation clinique est très variable et les diagnostics différentiels nombreux. Il convient de distinguer les lésions localisées souvent chroniques qui font suite à une inoculation par voie directe transcutanée ou par voie nasale des lésions secondaires qui s'observent chez les patients immunodéprimés pour les pathogènes dont la contamination se fait par voie respiratoire (Histoplama capsulatum var.capsulatum, Talaromyces marneffei, Coccidioides immitis). Le diagnostic biologique est indispensable à mettre en oeuvre pour confirmer l'atteinte fongique et identifier le champignon. Il repose essentiellement sur un examen direct bien conduit, associé à la mise en culture des échantillons. L'examen anatomopathologique est un complément indispensable pour optimiser le diagnostic. La biosécurité est une considération importante lors de la manipulation de ces organismes, et les laboratoires doivent intégrer les directives et réglementations nationales dans les processus et pratiques afin de garantir la sécurité du personnel de laboratoire. (RA) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114422 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt