Dépouillements

Les pathologies du membre supérieur dominant chez les jeunes joueurs de tennis… et si on évoquait aussi le nerf suprascapulaire in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.191-192 Titre : Les pathologies du membre supérieur dominant chez les jeunes joueurs de tennis… et si on évoquait aussi le nerf suprascapulaire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.191-192 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24664 [article] Les pathologies du membre supérieur dominant chez les jeunes joueurs de tennis… et si on évoquait aussi le nerf suprascapulaire [texte imprimé] . - 2013 . - pp.191-192. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.191-192 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24664

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Évaluation d’un protocole de kinésithérapie ambulatoire pour la prise en charge des coxarthroses et conflits antérieurs fémoro-acétabulaires des sportifs in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.193-200 Titre : Évaluation d’un protocole de kinésithérapie ambulatoire pour la prise en charge des coxarthroses et conflits antérieurs fémoro-acétabulaires des sportifs Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.193-200 Langues : Français (fre) Résumé : Introduction La coxarthrose et le conflit antérieur fémoro-acétabulaire (CAFA) affectent les sportifs de façon fréquente et sont sources d’une invalidité permanente. L’attitude thérapeutique avant le stade chirurgical n’est pas établie. Il est souvent proposé une kinésithérapie mais la prescription reste difficile. L’objectif principal de notre étude était de prouver la supériorité en termes d’antalgie et d’intensification de la pratique sportive du protocole mixte fait de kinésithérapie et de thérapie manuelle « PROTOCOX » par rapport à un protocole de kinésithérapie « CONTRÔLE ». Nos objectifs secondaires étaient de montrer l’amélioration de la qualité de vie et des amplitudes articulaires. Méthode Vingt-six patients sportifs ayant consulté à l’Institut régional de médecine du sport de Haute Normandie (IRMSHN) ont été inclus sur une durée de 18 mois. Plusieurs données dont les scores de HOOS et de Lequesne ont fait l’objet d’un recueil avant et après les six séances, puis à trois mois. Résultats On a retrouvé une nette amélioration de l’indice de HOOS pour les patients (n=11) du groupe « PROTOCOX » (p=0,034), prédominant sur la douleur (p=0,04) et permettant une augmentation de l’activité physique (p=0,007). À trois mois, il persistait une amélioration transitoire autorisant une intensification de la pratique sportive pour 75 % des patients (n=8) du groupe « PROTOCOX » contre 18,2 % des patients du groupe « CONTRÔLE » (p=0,023). Conclusion Le protocole « PROTOCOX », simple et réalisable en milieu libéral, offre des bénéfices en termes d’antalgie et d’augmentation de l’activité physique, en un nombre de séances réduites, avec une efficacité transitoire persistant à moyen terme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24665 [article] Évaluation d’un protocole de kinésithérapie ambulatoire pour la prise en charge des coxarthroses et conflits antérieurs fémoro-acétabulaires des sportifs [texte imprimé] . - 2013 . - pp.193-200. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.193-200 Résumé : Introduction La coxarthrose et le conflit antérieur fémoro-acétabulaire (CAFA) affectent les sportifs de façon fréquente et sont sources d’une invalidité permanente. L’attitude thérapeutique avant le stade chirurgical n’est pas établie. Il est souvent proposé une kinésithérapie mais la prescription reste difficile. L’objectif principal de notre étude était de prouver la supériorité en termes d’antalgie et d’intensification de la pratique sportive du protocole mixte fait de kinésithérapie et de thérapie manuelle « PROTOCOX » par rapport à un protocole de kinésithérapie « CONTRÔLE ». Nos objectifs secondaires étaient de montrer l’amélioration de la qualité de vie et des amplitudes articulaires. Méthode Vingt-six patients sportifs ayant consulté à l’Institut régional de médecine du sport de Haute Normandie (IRMSHN) ont été inclus sur une durée de 18 mois. Plusieurs données dont les scores de HOOS et de Lequesne ont fait l’objet d’un recueil avant et après les six séances, puis à trois mois. Résultats On a retrouvé une nette amélioration de l’indice de HOOS pour les patients (n=11) du groupe « PROTOCOX » (p=0,034), prédominant sur la douleur (p=0,04) et permettant une augmentation de l’activité physique (p=0,007). À trois mois, il persistait une amélioration transitoire autorisant une intensification de la pratique sportive pour 75 % des patients (n=8) du groupe « PROTOCOX » contre 18,2 % des patients du groupe « CONTRÔLE » (p=0,023). Conclusion Le protocole « PROTOCOX », simple et réalisable en milieu libéral, offre des bénéfices en termes d’antalgie et d’augmentation de l’activité physique, en un nombre de séances réduites, avec une efficacité transitoire persistant à moyen terme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24665

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Intérêt de l’arthroscopie du poignet dans les lésions du ligament triangulaire in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.201-210 Titre : Intérêt de l’arthroscopie du poignet dans les lésions du ligament triangulaire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.201-210 Langues : Français (fre) Résumé : Les lésions du ligament triangulaire sont fréquentes chez les sportifs. Elles sont souvent méconnues et entraînent, si elles ne sont pas diagnostiquées et traitées, des troubles fonctionnels sévères responsables d’une baisse du niveau sportif, avant de voir apparaître des lésions dégénératives plus graves justifiant alors d’un traitement palliatif signant l’arrêt définitif d’un sport pratiqué à un haut niveau. L’avènement de l’arthroscopie du poignet, découlant du succès obtenu pour d’autres articulations (genou, épaule), a permis d’améliorer le diagnostic de ces lésions, de faciliter la compréhension des mécanismes pathogéniques, et de développer des thérapeutiques nouvelles dont les résultats semblent prometteurs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24666 [article] Intérêt de l’arthroscopie du poignet dans les lésions du ligament triangulaire [texte imprimé] . - 2013 . - pp.201-210. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.201-210 Résumé : Les lésions du ligament triangulaire sont fréquentes chez les sportifs. Elles sont souvent méconnues et entraînent, si elles ne sont pas diagnostiquées et traitées, des troubles fonctionnels sévères responsables d’une baisse du niveau sportif, avant de voir apparaître des lésions dégénératives plus graves justifiant alors d’un traitement palliatif signant l’arrêt définitif d’un sport pratiqué à un haut niveau. L’avènement de l’arthroscopie du poignet, découlant du succès obtenu pour d’autres articulations (genou, épaule), a permis d’améliorer le diagnostic de ces lésions, de faciliter la compréhension des mécanismes pathogéniques, et de développer des thérapeutiques nouvelles dont les résultats semblent prometteurs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24666

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Efficacité thérapeutique de l’autologous conditioned plasma (ACP™) : analyse de sa composition cellulaire et revue de la littérature in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.211-215 Titre : Efficacité thérapeutique de l’autologous conditioned plasma (ACP™) : analyse de sa composition cellulaire et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.211-215 Langues : Français (fre) Résumé : Introduction L’injection de concentrés plaquettaires, plasma riche en plaquettes ou PRP, dans le tissu lésé s’est généralisée ces dernières années, notamment en pathologie traumatique sportive. Il n’existe pas de consensus sur la concentration optimale mais une valeur comprise entre 200 000 et 1 000 000/μL semble avoir un effet thérapeutique. L’autologous conditioned plasma (ACP™) est un PRP rapide à préparer mais sa concentration moyenne en plaquettes est significativement plus faible comparée aux autres PRP. Le but principal de l’étude était d’analyser la concentration plaquettaire de l’ACP™ dans un groupe de patients et de la comparer à celle du sang total chez ces mêmes sujets. L’objectif secondaire était de faire le point sur l’intérêt de l’ACP™ grâce à une revue de la littérature. Patients et méthodes Une étude prospective menée en 2011 a inclus une série continue de patients présentant une tendinopathie chronique résistant aux traitements habituels et pour laquelle une injection d’ACP™ avait été programmée. Trois prélèvements de sang veineux, d’un volume de 9μL chacun, ont été effectués chez chaque patient : le premier pour analyse de la numération formule sanguine, les deuxième et troisième pour la préparation de deux doses d’ACP™, l’une était injectée au patient et l’autre soumise à une analyse biologique. Les paramètres analysés étaient, dans le sang total, le taux d’hématocrite et la concentration plaquettaire, et dans l’ACP™, la concentration plaquettaire, le nombre de globules rouges et de globules blancs. Une recherche bibliographique a été réalisée dans PubMed en utilisant les mots clés autologous conditioned plasma. Toutes les études, aussi bien expérimentales que cliniques, en anglais ou en français, ont été incluses. Résultats La série comprenait 14 patients âgés en moyenne de 39±14ans, tous de sexe masculin. La concentration plaquettaire moyenne dans le sang total était de 230 538,5±23 663/μL (min : 192 000, max : 267 000). La concentration plaquettaire moyenne dans l’ACP™ était de 377 153,8±69 169,9/μL (min : 291 000, max : 511 000). La concentration plaquettaire dans l’ACP™ était significativement plus élevée que celle du sang total, (p=0,00015). Le ratio moyen « concentration plaquettaire ACP™/concentration plaquettaire sang total » était de 1,64±0,30. Le nombre de globules rouges et de globules blancs était en dessous du seuil de détection. La revue systématique a identifié huit études : trois chez l’animal, cinq chez l’humain. Discussion La revue bibliographique réalisée a montré que dans l’état actuel des connaissances, il n’était pas possible de conclure sur l’intérêt clinique de l’ACP™. Conclusion La technique de préparation de l’ACP™ était rapide et simple d’utilisation, aussi bien au bloc qu’en consultation. L’ACP™ avait une concentration plaquettaire significativement plus élevée que celle du sang total et ne contenait ni globules blancs, ni globules rouges. La revue bibliographique n’a pas permis de conclure sur l’efficacité thérapeutique de l’ACP™. Des études cliniques randomisées comparées versus placebo sont nécessaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24667 [article] Efficacité thérapeutique de l’autologous conditioned plasma (ACP™) : analyse de sa composition cellulaire et revue de la littérature [texte imprimé] . - 2013 . - pp.211-215. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.211-215 Résumé : Introduction L’injection de concentrés plaquettaires, plasma riche en plaquettes ou PRP, dans le tissu lésé s’est généralisée ces dernières années, notamment en pathologie traumatique sportive. Il n’existe pas de consensus sur la concentration optimale mais une valeur comprise entre 200 000 et 1 000 000/μL semble avoir un effet thérapeutique. L’autologous conditioned plasma (ACP™) est un PRP rapide à préparer mais sa concentration moyenne en plaquettes est significativement plus faible comparée aux autres PRP. Le but principal de l’étude était d’analyser la concentration plaquettaire de l’ACP™ dans un groupe de patients et de la comparer à celle du sang total chez ces mêmes sujets. L’objectif secondaire était de faire le point sur l’intérêt de l’ACP™ grâce à une revue de la littérature. Patients et méthodes Une étude prospective menée en 2011 a inclus une série continue de patients présentant une tendinopathie chronique résistant aux traitements habituels et pour laquelle une injection d’ACP™ avait été programmée. Trois prélèvements de sang veineux, d’un volume de 9μL chacun, ont été effectués chez chaque patient : le premier pour analyse de la numération formule sanguine, les deuxième et troisième pour la préparation de deux doses d’ACP™, l’une était injectée au patient et l’autre soumise à une analyse biologique. Les paramètres analysés étaient, dans le sang total, le taux d’hématocrite et la concentration plaquettaire, et dans l’ACP™, la concentration plaquettaire, le nombre de globules rouges et de globules blancs. Une recherche bibliographique a été réalisée dans PubMed en utilisant les mots clés autologous conditioned plasma. Toutes les études, aussi bien expérimentales que cliniques, en anglais ou en français, ont été incluses. Résultats La série comprenait 14 patients âgés en moyenne de 39±14ans, tous de sexe masculin. La concentration plaquettaire moyenne dans le sang total était de 230 538,5±23 663/μL (min : 192 000, max : 267 000). La concentration plaquettaire moyenne dans l’ACP™ était de 377 153,8±69 169,9/μL (min : 291 000, max : 511 000). La concentration plaquettaire dans l’ACP™ était significativement plus élevée que celle du sang total, (p=0,00015). Le ratio moyen « concentration plaquettaire ACP™/concentration plaquettaire sang total » était de 1,64±0,30. Le nombre de globules rouges et de globules blancs était en dessous du seuil de détection. La revue systématique a identifié huit études : trois chez l’animal, cinq chez l’humain. Discussion La revue bibliographique réalisée a montré que dans l’état actuel des connaissances, il n’était pas possible de conclure sur l’intérêt clinique de l’ACP™. Conclusion La technique de préparation de l’ACP™ était rapide et simple d’utilisation, aussi bien au bloc qu’en consultation. L’ACP™ avait une concentration plaquettaire significativement plus élevée que celle du sang total et ne contenait ni globules blancs, ni globules rouges. La revue bibliographique n’a pas permis de conclure sur l’efficacité thérapeutique de l’ACP™. Des études cliniques randomisées comparées versus placebo sont nécessaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24667

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Test isocinétique précoce après ligamentoplastie antérieure de genou : résultats et conclusions in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.216-219 Titre : Test isocinétique précoce après ligamentoplastie antérieure de genou : résultats et conclusions Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.216-219 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif Nous avons comparé les résultats des tests isocinétiques précoces après ligamentoplastie de genou, selon la technique de Kenneth-Jones (transplant libre rotulien) et DIDT (transplant libre tendon ischiojambier). Méthodes Il s’agit d’une étude rétrospective sur cinq ans portant sur les enregistrements isocinétiques de patients pris en rééducation sportive après ligamentoplastie de genou, puis revus à quatre mois post-chirurgical. L’étude a concerné 146 patients, composés de 116 hommes et 30 femmes, 69 ayant bénéficié de la technique DIDT et 77 de la technique de Kenneth-Jones. Résultats Dans la technique de Kenneth-Jones, le déficit prédomine sur les extenseurs de jambe, alors que l’on constate un déficit sur les fléchisseurs pour le DIDT, également présent à un degré moindre sur les extenseurs. Ces déficits sont constatés aux trois vitesses que l’analyse porte sur le pic de couple ou le travail musculaire. Conclusions D’après la littérature, le déficit sur les fléchisseurs pour le DIDT est imputable au travail retardé à cause de douleurs et blessures fréquentes. Le choix de cette zone de prélèvement intervient également dans la perte des propriétés biomécaniques altérées dues à la fibrose musculaire de la zone de prélèvement. Pour le DIDT et le KJ, le déficit sur les extenseurs est dû à l’inhibition musculaire liée à l’association de la douleur, de l’œdème et de la sous-utilisation qu’ils induisent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24668 [article] Test isocinétique précoce après ligamentoplastie antérieure de genou : résultats et conclusions [texte imprimé] . - 2013 . - pp.216-219. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.216-219 Résumé : Objectif Nous avons comparé les résultats des tests isocinétiques précoces après ligamentoplastie de genou, selon la technique de Kenneth-Jones (transplant libre rotulien) et DIDT (transplant libre tendon ischiojambier). Méthodes Il s’agit d’une étude rétrospective sur cinq ans portant sur les enregistrements isocinétiques de patients pris en rééducation sportive après ligamentoplastie de genou, puis revus à quatre mois post-chirurgical. L’étude a concerné 146 patients, composés de 116 hommes et 30 femmes, 69 ayant bénéficié de la technique DIDT et 77 de la technique de Kenneth-Jones. Résultats Dans la technique de Kenneth-Jones, le déficit prédomine sur les extenseurs de jambe, alors que l’on constate un déficit sur les fléchisseurs pour le DIDT, également présent à un degré moindre sur les extenseurs. Ces déficits sont constatés aux trois vitesses que l’analyse porte sur le pic de couple ou le travail musculaire. Conclusions D’après la littérature, le déficit sur les fléchisseurs pour le DIDT est imputable au travail retardé à cause de douleurs et blessures fréquentes. Le choix de cette zone de prélèvement intervient également dans la perte des propriétés biomécaniques altérées dues à la fibrose musculaire de la zone de prélèvement. Pour le DIDT et le KJ, le déficit sur les extenseurs est dû à l’inhibition musculaire liée à l’association de la douleur, de l’œdème et de la sous-utilisation qu’ils induisent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24668

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Connaissances et attitudes des enseignants d’éducation physique et sportive (EPS) sur la prise en charge de l’expulsion de l’incisive centrale maxillaire in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.220-224 Titre : Connaissances et attitudes des enseignants d’éducation physique et sportive (EPS) sur la prise en charge de l’expulsion de l’incisive centrale maxillaire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.220-224 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs L’objectif de cette étude était d’évaluer le niveau de connaissances et d’analyser les attitudes des enseignants d’éducation physique et sportive (EPS), sur la prise en charge de l’expulsion de l’incisive centrale maxillaire. Matériel et méthode Il s’agit d’une étude descriptive transversale réalisée chez 162 enseignants repartis sur 93 établissements choisis de façon randomisée dans la région de Dakar. Des questionnaires auto-administrés ont été distribués à l’ensemble des enseignants afin d’analyser leur expérience face à l’expulsion de l’incisive centrale maxillaire. Les données ont été analysées avec le test du Chi2. Résultats La fréquence de l’expulsion dentaire était de 17,28 % au décours des activités physiques et sportives et plus des 4/5 des enseignants la considéraient comme une urgence. Un enseignant sur 3 rince la dent et l’eau courante reste la solution la plus utilisée (44,3 %). La réimplantation immédiate n’a été choisie que par 5,55 % des enseignants et la conservation par 67 %. Les milieux les plus prisés étaient, à égalité, le papier et les compresses, avec 30,4 %. Pour les milieux liquides, 54,5 % des enseignants avaient choisi l’eau courante. Le lait n’a pas été pris comme milieu de conservation. Conclusion Cette étude révèle un manque de connaissances des enseignants d’EPS de Dakar en ce qui concerne la prise en charge en urgence de l’expulsion de l’incisive centrale maxillaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24669 [article] Connaissances et attitudes des enseignants d’éducation physique et sportive (EPS) sur la prise en charge de l’expulsion de l’incisive centrale maxillaire [texte imprimé] . - 2013 . - pp.220-224. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.220-224 Résumé : Objectifs L’objectif de cette étude était d’évaluer le niveau de connaissances et d’analyser les attitudes des enseignants d’éducation physique et sportive (EPS), sur la prise en charge de l’expulsion de l’incisive centrale maxillaire. Matériel et méthode Il s’agit d’une étude descriptive transversale réalisée chez 162 enseignants repartis sur 93 établissements choisis de façon randomisée dans la région de Dakar. Des questionnaires auto-administrés ont été distribués à l’ensemble des enseignants afin d’analyser leur expérience face à l’expulsion de l’incisive centrale maxillaire. Les données ont été analysées avec le test du Chi2. Résultats La fréquence de l’expulsion dentaire était de 17,28 % au décours des activités physiques et sportives et plus des 4/5 des enseignants la considéraient comme une urgence. Un enseignant sur 3 rince la dent et l’eau courante reste la solution la plus utilisée (44,3 %). La réimplantation immédiate n’a été choisie que par 5,55 % des enseignants et la conservation par 67 %. Les milieux les plus prisés étaient, à égalité, le papier et les compresses, avec 30,4 %. Pour les milieux liquides, 54,5 % des enseignants avaient choisi l’eau courante. Le lait n’a pas été pris comme milieu de conservation. Conclusion Cette étude révèle un manque de connaissances des enseignants d’EPS de Dakar en ce qui concerne la prise en charge en urgence de l’expulsion de l’incisive centrale maxillaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24669

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Fracture-avulsion de l’épine iliaque antéro-inférieure et du petit trochanter chez un jeune adolescent in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.225-228 Titre : Fracture-avulsion de l’épine iliaque antéro-inférieure et du petit trochanter chez un jeune adolescent Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.225-228 Langues : Français (fre) Résumé : Les fractures-avulsions concomitantes de l’épine iliaque antéro-inférieure et du petit trochanter sont rares. Elles surviennent le plus souvent chez des adolescents au cours d’activités sportives. Chez l’adulte, elles sont exceptionnelles. Nous rapportons un cas survenu chez un jeune adolescent de 15ans ayant eu un traumatisme récent du bassin lors d’un triple saut avec douleur inguinale et impotence fonctionnelle du membre inférieur droit. L’examen clinique retrouvait une douleur à la mobilisation de la hanche droite en extension. La radiographie standard du bassin a mis en évidence une fracture-avulsion de l’épine iliaque antéro-inférieure avec arrachement du petit trochanter, confirmée par une tomodensitométrie. Le patient a été traité orthopédiquement par du repos et mise en décharge du membre inférieur traumatisé. L’évolution a constaté la disparition de la douleur en quelques semaines puis reprise de l’activité sportive à six mois. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24670 [article] Fracture-avulsion de l’épine iliaque antéro-inférieure et du petit trochanter chez un jeune adolescent [texte imprimé] . - 2013 . - pp.225-228. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.225-228 Résumé : Les fractures-avulsions concomitantes de l’épine iliaque antéro-inférieure et du petit trochanter sont rares. Elles surviennent le plus souvent chez des adolescents au cours d’activités sportives. Chez l’adulte, elles sont exceptionnelles. Nous rapportons un cas survenu chez un jeune adolescent de 15ans ayant eu un traumatisme récent du bassin lors d’un triple saut avec douleur inguinale et impotence fonctionnelle du membre inférieur droit. L’examen clinique retrouvait une douleur à la mobilisation de la hanche droite en extension. La radiographie standard du bassin a mis en évidence une fracture-avulsion de l’épine iliaque antéro-inférieure avec arrachement du petit trochanter, confirmée par une tomodensitométrie. Le patient a été traité orthopédiquement par du repos et mise en décharge du membre inférieur traumatisé. L’évolution a constaté la disparition de la douleur en quelques semaines puis reprise de l’activité sportive à six mois. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24670

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Rupture post-traumatique négligée du retinaculum extensorum à la cheville. À propos d’un cas et revue de la littérature in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.229-231 Titre : Rupture post-traumatique négligée du retinaculum extensorum à la cheville. À propos d’un cas et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.229-231 Langues : Français (fre) Résumé : La rupture post-traumatique du retinaculum extensorum (RE) à la cheville est rare et est à l’origine d’une subluxation tendineuse (effet corde) et d’un dysfonctionnement à type de fatigue et de perte de force de la cheville. Nous rapportons l’observation d’un patient de 35ans, pratiquant le full contact depuis 20ans, victime deux ans auparavant d’un accident de sport, suite à un coup de pied dans un sac de frappe, au cours d’une séance d’entraînement responsable d’une rupture du RE de la cheville. L’imagerie (échographie et IRM) a permis de conforter l’examen clinique et de poser le diagnostic de rupture de la bande inférieure du retinaculum avec subluxation des tendons du tibialis anterior et de l’extensor hallucis longus, sans autre anomalie tendineuse associée. La prise en charge a consisté en une plastie locale du RE. Au dernier recul (6 mois), le patient est satisfait du résultat et est en cours de reprise de son activité sportive initiale. À travers notre observation et une revue de la littérature, nous tenterons de revoir l’anatomie du RE à la cheville et d’analyser les causes et les conséquences de sa rupture ainsi que l’apport de l’imagerie dans l’analyse de cette structure anatomique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24671 [article] Rupture post-traumatique négligée du retinaculum extensorum à la cheville. À propos d’un cas et revue de la littérature [texte imprimé] . - 2013 . - pp.229-231. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.229-231 Résumé : La rupture post-traumatique du retinaculum extensorum (RE) à la cheville est rare et est à l’origine d’une subluxation tendineuse (effet corde) et d’un dysfonctionnement à type de fatigue et de perte de force de la cheville. Nous rapportons l’observation d’un patient de 35ans, pratiquant le full contact depuis 20ans, victime deux ans auparavant d’un accident de sport, suite à un coup de pied dans un sac de frappe, au cours d’une séance d’entraînement responsable d’une rupture du RE de la cheville. L’imagerie (échographie et IRM) a permis de conforter l’examen clinique et de poser le diagnostic de rupture de la bande inférieure du retinaculum avec subluxation des tendons du tibialis anterior et de l’extensor hallucis longus, sans autre anomalie tendineuse associée. La prise en charge a consisté en une plastie locale du RE. Au dernier recul (6 mois), le patient est satisfait du résultat et est en cours de reprise de son activité sportive initiale. À travers notre observation et une revue de la littérature, nous tenterons de revoir l’anatomie du RE à la cheville et d’analyser les causes et les conséquences de sa rupture ainsi que l’apport de l’imagerie dans l’analyse de cette structure anatomique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24671

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La prise en charge rééducative globale de patients présentant un syndrome fémoro-patellaire : la lutte contre l’effondrement du membre inférieur par le renforcement du moyen fessier in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.232-239 Titre : La prise en charge rééducative globale de patients présentant un syndrome fémoro-patellaire : la lutte contre l’effondrement du membre inférieur par le renforcement du moyen fessier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.232-239 Langues : Français (fre) Résumé : Le syndrome fémoro-patellaire est une pathologie provoquant des douleurs antérieures du genou et une mauvaise cinématique patellaire. Nous nous intéressons dans cet article, au syndrome fémoro-patellaire primaire. Il existe des facteurs locaux provoquant la douleur (souffrance de l’os sous-chondral, rétraction du retinaculum latéral, inflammation du corps adipeux infra-patellaire), mais aussi des facteurs proximaux (hanche, bassin) et distaux (cheville, pied) qui expliquent la mauvaise biomécanique du membre inférieur et son affaissement, notamment lors du squat unipodal. Depuis les années 1980, le gold standard de la prise en charge du SFP est le renforcement du vaste médial oblique du quadriceps (VMO), afin de lutter contre la subluxation latérale de la patella lors de la flexion de genou. Cependant, ces dernières années, avec les progrès des moyens d’investigations biomécaniques et neuromusculaires, de nombreuses publications proposent de renforcer les muscles abducteurs de la hanche dans le SFP. Cela permet une prise en charge globale du patient et une correction posturale de l’ensemble du membre inférieur, permettant de soulager cette pathologie complexe et difficile à traiter. Le renforcement des muscles abducteurs de hanches (moyen fessier) apparaît être le meilleur moyen pour lutter contre l’effondrement postural unipodal du membre inférieur, responsable de nombreuses pathologies touchant l’appareil locomoteur, et est donc une nouvelle stratégie rééducative, supportée et validée par des études scientifiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24672 [article] La prise en charge rééducative globale de patients présentant un syndrome fémoro-patellaire : la lutte contre l’effondrement du membre inférieur par le renforcement du moyen fessier [texte imprimé] . - 2013 . - pp.232-239. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.232-239 Résumé : Le syndrome fémoro-patellaire est une pathologie provoquant des douleurs antérieures du genou et une mauvaise cinématique patellaire. Nous nous intéressons dans cet article, au syndrome fémoro-patellaire primaire. Il existe des facteurs locaux provoquant la douleur (souffrance de l’os sous-chondral, rétraction du retinaculum latéral, inflammation du corps adipeux infra-patellaire), mais aussi des facteurs proximaux (hanche, bassin) et distaux (cheville, pied) qui expliquent la mauvaise biomécanique du membre inférieur et son affaissement, notamment lors du squat unipodal. Depuis les années 1980, le gold standard de la prise en charge du SFP est le renforcement du vaste médial oblique du quadriceps (VMO), afin de lutter contre la subluxation latérale de la patella lors de la flexion de genou. Cependant, ces dernières années, avec les progrès des moyens d’investigations biomécaniques et neuromusculaires, de nombreuses publications proposent de renforcer les muscles abducteurs de la hanche dans le SFP. Cela permet une prise en charge globale du patient et une correction posturale de l’ensemble du membre inférieur, permettant de soulager cette pathologie complexe et difficile à traiter. Le renforcement des muscles abducteurs de hanches (moyen fessier) apparaît être le meilleur moyen pour lutter contre l’effondrement postural unipodal du membre inférieur, responsable de nombreuses pathologies touchant l’appareil locomoteur, et est donc une nouvelle stratégie rééducative, supportée et validée par des études scientifiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24672

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Soccer World Cup 2010: Evaluation of portable ultrasonography for diagnosing musculoskeletal injuries in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.240-243 Titre : Soccer World Cup 2010: Evaluation of portable ultrasonography for diagnosing musculoskeletal injuries Titre original : Coupe du monde 2010 : évaluation d’un échographe portable pour le diagnostic des lésions musculo-squelettiques Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.240-243 Langues : Français (fre) Résumé : Depuis 1930, année de sa création, la Coupe du monde de football est devenue l’événement sportif le plus important au monde. Trente-deux équipes s’affrontaient, du 11 juin au 11 juillet 2010, en Afrique du Sud. En phase de préparation ou pendant la compétition, des joueurs peuvent se blesser, à l’entraînement et/ou lors des matchs, ces blessures les empêchant parfois, selon la gravité, de participer à la compétition. Par ailleurs, cette épreuve impose de nombreux déplacements lors de la préparation mais aussi pendant le tournoi et oblige le staff médical à s’adapter à ce « nomadisme sportif ». Chez ces footballeurs de très haut niveau, le diagnostic de gravité, face à un traumatisme de l’appareil locomoteur, tient à la qualité de l’examen clinique et, souvent, à un complément d’imagerie. L’échographie est un outil de choix. Les appareils d’échographie portables, dédiés à l’appareil locomoteur, ont connu des progrès récents tant au niveau de la qualité de l’image que de la réelle facilité de transport. Un échographe portable semble donc un outil indispensable pour un staff médical d’une équipe de football, lors d’un tournoi de haut niveau, pour faire un diagnostic de gravité rapide et précis. Le but de cet article est de présenter notre expérience sur l’apport d’un échographe portable (appareil Esaote, MyLab™Five, équipé d’une sonde linéaire 7,5–12MHz) pour le suivi traumatologique de l’équipe nationale du Cameroun, lors de la Coupe du monde de football 2010. Nous concluons que l’échographe portable permet d’optimiser la rapidité et la qualité du diagnostic des blessures des footballeurs et réduit les déplacements du sportif blessé vers des structures éloignées du camp d’entraînement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24673 [article] Soccer World Cup 2010: Evaluation of portable ultrasonography for diagnosing musculoskeletal injuries = Coupe du monde 2010 : évaluation d’un échographe portable pour le diagnostic des lésions musculo-squelettiques [texte imprimé] . - 2013 . - pp.240-243. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.240-243 Résumé : Depuis 1930, année de sa création, la Coupe du monde de football est devenue l’événement sportif le plus important au monde. Trente-deux équipes s’affrontaient, du 11 juin au 11 juillet 2010, en Afrique du Sud. En phase de préparation ou pendant la compétition, des joueurs peuvent se blesser, à l’entraînement et/ou lors des matchs, ces blessures les empêchant parfois, selon la gravité, de participer à la compétition. Par ailleurs, cette épreuve impose de nombreux déplacements lors de la préparation mais aussi pendant le tournoi et oblige le staff médical à s’adapter à ce « nomadisme sportif ». Chez ces footballeurs de très haut niveau, le diagnostic de gravité, face à un traumatisme de l’appareil locomoteur, tient à la qualité de l’examen clinique et, souvent, à un complément d’imagerie. L’échographie est un outil de choix. Les appareils d’échographie portables, dédiés à l’appareil locomoteur, ont connu des progrès récents tant au niveau de la qualité de l’image que de la réelle facilité de transport. Un échographe portable semble donc un outil indispensable pour un staff médical d’une équipe de football, lors d’un tournoi de haut niveau, pour faire un diagnostic de gravité rapide et précis. Le but de cet article est de présenter notre expérience sur l’apport d’un échographe portable (appareil Esaote, MyLab™Five, équipé d’une sonde linéaire 7,5–12MHz) pour le suivi traumatologique de l’équipe nationale du Cameroun, lors de la Coupe du monde de football 2010. Nous concluons que l’échographe portable permet d’optimiser la rapidité et la qualité du diagnostic des blessures des footballeurs et réduit les déplacements du sportif blessé vers des structures éloignées du camp d’entraînement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24673

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Clavicule in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.244-247 Titre : Clavicule Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.244-247 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24674 [article] Clavicule [texte imprimé] . - 2013 . - pp.244-247. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.244-247 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24674

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Les facteurs de risque de rupture du ligament croisé antérieur du genou : l’état neuromusculaire in Journal de traumatologie du sport, Volume 30 numéro 4 (01/12/2013)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.248-252 Titre : Les facteurs de risque de rupture du ligament croisé antérieur du genou : l’état neuromusculaire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp.248-252 Langues : Français (fre) Résumé : Introduction Facteurs de risque neuromusculaires Contrôle proprioceptif Contrôle musculaire Raideur du genou Méthodes d’évaluation des facteurs de risque neuromusculaires Conclusion Déclaration d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24675 [article] Les facteurs de risque de rupture du ligament croisé antérieur du genou : l’état neuromusculaire [texte imprimé] . - 2013 . - pp.248-252. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 30 numéro 4 (01/12/2013) . - pp.248-252 Résumé : Introduction Facteurs de risque neuromusculaires Contrôle proprioceptif Contrôle musculaire Raideur du genou Méthodes d’évaluation des facteurs de risque neuromusculaires Conclusion Déclaration d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24675

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