Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . vol.36 N°4Paru le : 01/11/2022 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierRègles de prescription et techniques de massokinésithérapie dans les affections de l'appareil locomoteur / C. Daste in EMC : Appareil locomoteur, vol.36 N°4 (Novembre 2022)
[article]
Titre : Règles de prescription et techniques de massokinésithérapie dans les affections de l'appareil locomoteur Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Daste ; V. Nicol ; C. Nguyen ; F. Rannou ; M.-M. Lefèvre-Colau ; Alexandra Roren Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-001-C-10 [Tome 1] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)87667-1 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rééducation Législation Bilan diagnostique kinésithérapique Objectifs kinésithérapiques Massages Physiothérapie Gain d'amplitude articulaire Renforcement musculaire Proprioception Résumé : Les pathologies de l'appareil locomoteur sont la première cause de handicap chez l'adulte dans le monde. Les traitements de rééducation et de réadaptation, au premier rang desquels la massokinésithérapie, font partie des traitements de première intention dans ces pathologies, avec un bénéfice et une efficacité prouvés aussi bien au niveau individuel que collectif. La prescription de massokinésithérapie s'inscrit dans un cadre législatif précis, qui s'est modifié au cours des dernières décennies pour élargir le champ d'exercice des masseurs-kinésithérapeutes. Afin de garantir le secret médical, le diagnostic ne doit pas apparaître sur l'ordonnance mais peut figurer sur un courrier du médecin prescripteur au masseur-kinésithérapeute. Le masseur-kinésithérapeute tient informé le médecin prescripteur de l'évolution du traitement à partir de ses fiches de synthèse et peut être prescripteur, en l'absence de contre-indication médicale, de certains dispositifs médicaux figurant sur une liste limitative. Enfin, la notion de prescription quantitative et qualitative, supprimée en 2000, permet au masseur-kinésithérapeute de définir, à l'issu du bilan diagnostique de kinésithérapie, le nombre et la fréquence des séances ainsi que les techniques à utiliser. Le kinésithérapeute a à sa disposition de nombreuses techniques qu'on peut schématiquement diviser en deux catégories : les techniques passives, regroupant les massages et la physiothérapie, utiles à visée antalgique mais dont l'efficacité est limitée dans le temps, et les techniques actives de gain d'amplitude articulaire, de renforcement musculaire et de rééducation sensorimotrice, dont l'efficacité au cours du temps peut être accrue par l'autonomisation du patient et l'apprentissage d'un autoprogramme. Le choix et l'association de différentes techniques au cours du traitement est fréquente et dépend des objectifs thérapeutiques et fonctionnels, qui doivent être clairement définis avant le traitement, entre le médecin prescripteur, le masseur-kinésithérapeute et le patient. Ces objectifs doivent être réévalués pour adapter le traitement rééducatif et décider des modalités d'arrêt. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108108
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 14-001-C-10 [Tome 1][article] Règles de prescription et techniques de massokinésithérapie dans les affections de l'appareil locomoteur [texte imprimé] / C. Daste ; V. Nicol ; C. Nguyen ; F. Rannou ; M.-M. Lefèvre-Colau ; Alexandra Roren . - 2022 . - p. 14-001-C-10 [Tome 1].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)87667-1
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 14-001-C-10 [Tome 1]
Mots-clés : Rééducation Législation Bilan diagnostique kinésithérapique Objectifs kinésithérapiques Massages Physiothérapie Gain d'amplitude articulaire Renforcement musculaire Proprioception Résumé : Les pathologies de l'appareil locomoteur sont la première cause de handicap chez l'adulte dans le monde. Les traitements de rééducation et de réadaptation, au premier rang desquels la massokinésithérapie, font partie des traitements de première intention dans ces pathologies, avec un bénéfice et une efficacité prouvés aussi bien au niveau individuel que collectif. La prescription de massokinésithérapie s'inscrit dans un cadre législatif précis, qui s'est modifié au cours des dernières décennies pour élargir le champ d'exercice des masseurs-kinésithérapeutes. Afin de garantir le secret médical, le diagnostic ne doit pas apparaître sur l'ordonnance mais peut figurer sur un courrier du médecin prescripteur au masseur-kinésithérapeute. Le masseur-kinésithérapeute tient informé le médecin prescripteur de l'évolution du traitement à partir de ses fiches de synthèse et peut être prescripteur, en l'absence de contre-indication médicale, de certains dispositifs médicaux figurant sur une liste limitative. Enfin, la notion de prescription quantitative et qualitative, supprimée en 2000, permet au masseur-kinésithérapeute de définir, à l'issu du bilan diagnostique de kinésithérapie, le nombre et la fréquence des séances ainsi que les techniques à utiliser. Le kinésithérapeute a à sa disposition de nombreuses techniques qu'on peut schématiquement diviser en deux catégories : les techniques passives, regroupant les massages et la physiothérapie, utiles à visée antalgique mais dont l'efficacité est limitée dans le temps, et les techniques actives de gain d'amplitude articulaire, de renforcement musculaire et de rééducation sensorimotrice, dont l'efficacité au cours du temps peut être accrue par l'autonomisation du patient et l'apprentissage d'un autoprogramme. Le choix et l'association de différentes techniques au cours du traitement est fréquente et dépend des objectifs thérapeutiques et fonctionnels, qui doivent être clairement définis avant le traitement, entre le médecin prescripteur, le masseur-kinésithérapeute et le patient. Ces objectifs doivent être réévalués pour adapter le traitement rééducatif et décider des modalités d'arrêt. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108108 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Dermatoses neutrophiliques / V. Descamps in EMC : Appareil locomoteur, vol.36 N°4 (Novembre 2022)
[article]
Titre : Dermatoses neutrophiliques Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Descamps Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-249-A-10 [Tome 4] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)41583-X Langues : Français (fre) Mots-clés : Dermatose neutrophilique Syndrome de Sweet Pyoderma gangrenosum Pustulose sous-cornée de Sneddon-Wilkinson Erythema elevatum diutinum Hidrosadénite eccrine neutrophilique Résumé : Les dermatoses neutrophiliques représentent un spectre de dermatoses inflammatoires caractérisées par un infiltrat aseptique à prédominance de polynucléaires neutrophiles. Elles regroupent des pathologies hétérogènes dont le diagnostic repose sur une confrontation anatomoclinique. Les principales entités sont le pyoderma gangrenosum, le syndrome de Sweet, la pustulose sous-cornée de Sneddon-Wilkinson, l'hidradénite eccrine neutrophilique, et l'erythema elevatum diutinum. Ces affections sont souvent associées à une maladie sous-jacente (hémopathie, entéropathie inflammatoire, rhumatisme inflammatoire, connectivite, maladie auto-inflammatoire) qu'il faut rechercher. Des manifestations extracutanées sont fréquemment présentes. De ce fait, le terme de maladie neutrophilique tend aujourd'hui à remplacer le terme de dermatoses neutrophiliques témoignant du caractère systémique de ces affections avec la possibilité de formes de passage. Leur traitement repose principalement sur la corticothérapie générale mais de nouvelles thérapeutiques parmi les biothérapies comme les anti-tumor necrosis factor (TNF)-α, les anti-interleukine (IL)-12/IL-23 ou les antagonistes du récepteur à l'IL-1 témoignent du rôle de ces cytokines dans ces affections. Le concept de maladie neutrophilique est actuellement étendu à de nombreuses autres maladies où les polynucléaires neutrophiles jouent un rôle majeur : psoriasis pustuleux, pustulose érosive des jambes ou du cuir chevelu, maladie de Behçet, dermatite herpétiforme, dermatose neutrophilique urticarienne, maladies auto-inflammatoires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108109
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 14-249-A-10 [Tome 4][article] Dermatoses neutrophiliques [texte imprimé] / V. Descamps . - 2022 . - p. 14-249-A-10 [Tome 4].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)41583-X
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 14-249-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Dermatose neutrophilique Syndrome de Sweet Pyoderma gangrenosum Pustulose sous-cornée de Sneddon-Wilkinson Erythema elevatum diutinum Hidrosadénite eccrine neutrophilique Résumé : Les dermatoses neutrophiliques représentent un spectre de dermatoses inflammatoires caractérisées par un infiltrat aseptique à prédominance de polynucléaires neutrophiles. Elles regroupent des pathologies hétérogènes dont le diagnostic repose sur une confrontation anatomoclinique. Les principales entités sont le pyoderma gangrenosum, le syndrome de Sweet, la pustulose sous-cornée de Sneddon-Wilkinson, l'hidradénite eccrine neutrophilique, et l'erythema elevatum diutinum. Ces affections sont souvent associées à une maladie sous-jacente (hémopathie, entéropathie inflammatoire, rhumatisme inflammatoire, connectivite, maladie auto-inflammatoire) qu'il faut rechercher. Des manifestations extracutanées sont fréquemment présentes. De ce fait, le terme de maladie neutrophilique tend aujourd'hui à remplacer le terme de dermatoses neutrophiliques témoignant du caractère systémique de ces affections avec la possibilité de formes de passage. Leur traitement repose principalement sur la corticothérapie générale mais de nouvelles thérapeutiques parmi les biothérapies comme les anti-tumor necrosis factor (TNF)-α, les anti-interleukine (IL)-12/IL-23 ou les antagonistes du récepteur à l'IL-1 témoignent du rôle de ces cytokines dans ces affections. Le concept de maladie neutrophilique est actuellement étendu à de nombreuses autres maladies où les polynucléaires neutrophiles jouent un rôle majeur : psoriasis pustuleux, pustulose érosive des jambes ou du cuir chevelu, maladie de Behçet, dermatite herpétiforme, dermatose neutrophilique urticarienne, maladies auto-inflammatoires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108109 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kystes synoviaux / D. Baron in EMC : Appareil locomoteur, vol.36 N°4 (Novembre 2022)
[article]
Titre : Kystes synoviaux Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Baron ; N. Issaadi Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 15-154-A-10 [Tome 6] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)44707-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Kystes synoviaux Tumeurs bénignes Pseudokystes Résumé : Les kystes synoviaux sont d'une grande diversité. Schématiquement, ils appartiennent aux dystrophies et tumeurs bénignes de la synoviale. Ils forment un groupe de lésions disparates développées historiquement aux dépens du tissu synovial. Leur origine est discutée, l'évolution même du kyste peut voir disparaître les synoviocytes qui en sont la signature. Il est donc difficile de faire la différence, au sein des kystes juxta-articulaires, entre les kystes synoviaux purs et les autres sans synoviocytes, au premier rang desquels figurent les kystes mucoïdes. L'utilisation de techniques d'immunohistochimie a toutefois permis d'avancer dans ce domaine. La symptomatologie, habituellement bénigne, peut devenir plus grave dans certaines localisations, par compression vasculaire (en particulier veineuse au creux poplité) ou neurologique (au rachis, où il peut alors s'agir d'une compression radiculaire, à l'origine d'une éventuelle parésie). La compression de nerfs périphériques est aussi possible (nerf tibial postérieur en regard de l'articulation fibulotibiale supérieure). Le diagnostic, le plus souvent suspecté cliniquement, bénéficie des progrès de l'imagerie moderne permettant un diagnostic plus précoce, avec découverte de formations kystiques auparavant non visibles, parfois même asymptomatiques, posant alors la question de leur prise en charge. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108110
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 15-154-A-10 [Tome 6][article] Kystes synoviaux [texte imprimé] / D. Baron ; N. Issaadi . - 2022 . - p. 15-154-A-10 [Tome 6].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)44707-3
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 15-154-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Kystes synoviaux Tumeurs bénignes Pseudokystes Résumé : Les kystes synoviaux sont d'une grande diversité. Schématiquement, ils appartiennent aux dystrophies et tumeurs bénignes de la synoviale. Ils forment un groupe de lésions disparates développées historiquement aux dépens du tissu synovial. Leur origine est discutée, l'évolution même du kyste peut voir disparaître les synoviocytes qui en sont la signature. Il est donc difficile de faire la différence, au sein des kystes juxta-articulaires, entre les kystes synoviaux purs et les autres sans synoviocytes, au premier rang desquels figurent les kystes mucoïdes. L'utilisation de techniques d'immunohistochimie a toutefois permis d'avancer dans ce domaine. La symptomatologie, habituellement bénigne, peut devenir plus grave dans certaines localisations, par compression vasculaire (en particulier veineuse au creux poplité) ou neurologique (au rachis, où il peut alors s'agir d'une compression radiculaire, à l'origine d'une éventuelle parésie). La compression de nerfs périphériques est aussi possible (nerf tibial postérieur en regard de l'articulation fibulotibiale supérieure). Le diagnostic, le plus souvent suspecté cliniquement, bénéficie des progrès de l'imagerie moderne permettant un diagnostic plus précoce, avec découverte de formations kystiques auparavant non visibles, parfois même asymptomatiques, posant alors la question de leur prise en charge. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108110 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fibromyalgie / Françoise Laroche in EMC : Appareil locomoteur, vol.36 N°4 (Novembre 2022)
[article]
Titre : Fibromyalgie Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Laroche Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 15-916-A-10 [Tome 7] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)44746-2 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fibromyalgie Douleurs nociplastiques Information Prise en charge multidisciplinaire-individualisée Éducation Activité physique adaptée Accompagnement psychothérapique Résumé : En France, la prévalence de la fibromyalgie (FM) est de 1,6 %. La fibromyalgie touche au moins deux fois plus les femmes que les hommes. Il s'agit de la pathologie douloureuse chronique diffuse la plus fréquente. Depuis 2010, il existe un outil pratique de dépistage (autoquestionnaire de six questions) de la fibromyalgie - Fibromyalgia Rapid Screening Tool (FiRST). Les critères diagnostiques, actualisés en 2016, comportent un score de douleurs diffuses et un score de sévérité. Toutes les recommandations internationales s'accordent pour conclure que les examens complémentaires doivent être limités. De nombreuses pathologies peuvent mimer une FM. Il peut s'agir de maladies rhumatismales, de pathologies neurologiques, de troubles métaboliques. Il est important d'évoquer ces diagnostics différentiels qui peuvent parfois aussi être des diagnostics associés. Certains médicaments peuvent aussi entraîner des douleurs. Les troubles anxiodépressifs et les syndromes de stress post-traumatiques sont très souvent associés à la fibromyalgie. La prise en charge est multimodale intégrant des approches multidisciplinaires. Donner le diagnostic en fournissant une information écrite et approfondie est indispensable en premier lieu. La pratique d'une activité physique adaptée (APA) est privilégiée ainsi que les approches cognitives et comportementales en cas de difficultés d'ajustement. Les médicaments ne sont pas recommandés en première intention, les antalgiques classiques étant en général peu efficaces. Les psychotropes (certains antiépileptiques - gabapentinoïdes, les antidépresseurs tricycliques et les antidépresseurs inhibiteurs de la sérotonine et de la noradrénaline) ont une efficacité modérée chez les répondeurs. Enfin, certains médicaments sont formellement déconseillés : opioïdes forts, corticostéroïdes, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et benzodiazépines. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108111
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 15-916-A-10 [Tome 7][article] Fibromyalgie [texte imprimé] / Françoise Laroche . - 2022 . - p. 15-916-A-10 [Tome 7].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)44746-2
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 15-916-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Fibromyalgie Douleurs nociplastiques Information Prise en charge multidisciplinaire-individualisée Éducation Activité physique adaptée Accompagnement psychothérapique Résumé : En France, la prévalence de la fibromyalgie (FM) est de 1,6 %. La fibromyalgie touche au moins deux fois plus les femmes que les hommes. Il s'agit de la pathologie douloureuse chronique diffuse la plus fréquente. Depuis 2010, il existe un outil pratique de dépistage (autoquestionnaire de six questions) de la fibromyalgie - Fibromyalgia Rapid Screening Tool (FiRST). Les critères diagnostiques, actualisés en 2016, comportent un score de douleurs diffuses et un score de sévérité. Toutes les recommandations internationales s'accordent pour conclure que les examens complémentaires doivent être limités. De nombreuses pathologies peuvent mimer une FM. Il peut s'agir de maladies rhumatismales, de pathologies neurologiques, de troubles métaboliques. Il est important d'évoquer ces diagnostics différentiels qui peuvent parfois aussi être des diagnostics associés. Certains médicaments peuvent aussi entraîner des douleurs. Les troubles anxiodépressifs et les syndromes de stress post-traumatiques sont très souvent associés à la fibromyalgie. La prise en charge est multimodale intégrant des approches multidisciplinaires. Donner le diagnostic en fournissant une information écrite et approfondie est indispensable en premier lieu. La pratique d'une activité physique adaptée (APA) est privilégiée ainsi que les approches cognitives et comportementales en cas de difficultés d'ajustement. Les médicaments ne sont pas recommandés en première intention, les antalgiques classiques étant en général peu efficaces. Les psychotropes (certains antiépileptiques - gabapentinoïdes, les antidépresseurs tricycliques et les antidépresseurs inhibiteurs de la sérotonine et de la noradrénaline) ont une efficacité modérée chez les répondeurs. Enfin, certains médicaments sont formellement déconseillés : opioïdes forts, corticostéroïdes, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et benzodiazépines. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108111 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Approche psychosomatique des affections rhumatologiques / Véronique Barfety Servignat in EMC : Appareil locomoteur, vol.36 N°4 (Novembre 2022)
[article]
Titre : Approche psychosomatique des affections rhumatologiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Véronique Barfety Servignat Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 15-917-A-10 [Tome 7] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)41754-2 Langues : Français (fre) Mots-clés : Psychosomatique Psychopathologie Douleur Rhumatologie Polyarthrite rhumatoïde Fibromyalgie Lombalgie Appareil locomoteur Résumé : Dès l'Antiquité, la question de l'âme influençant le corps est abordée par Hippocrate et l'école médicale de Cos. La question s'actualise depuis au regard de l'évolution des conceptions et connaissances sur le fonctionnement psychique et somatique aux prises avec un environnement culturel particulier. L'approche psychosomatique tente de rendre compte des relations existant entre facteurs psychologiques et maladie physique. Les manifestations psychopathologiques en rhumatologie peuvent se présenter comme facteur déclencheur, de maintien ou comme retentissement d'une affection de l'appareil locomoteur. La démarche psychosomatique permet une recherche adaptée des leviers à utiliser pour faire évoluer les situations. La polyarthrite rhumatoïde (PR), les douleurs chroniques, la fibromyalgie et la lombalgie notamment témoignent de la complexité des relations entre manifestations psychiques et somatiques en rhumatologie. Et plus généralement, les pathologies rhumatologiques illustrent la pluralité des cliniques du corps souffrant. Le repérage et la prise en charge de l'impact des manifestations psychologiques dans les affections rhumatologiques sont nécessaires lors de l'annonce de la maladie et tout au long du parcours de santé. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108112
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 15-917-A-10 [Tome 7][article] Approche psychosomatique des affections rhumatologiques [texte imprimé] / Véronique Barfety Servignat . - 2022 . - p. 15-917-A-10 [Tome 7].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)41754-2
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 15-917-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Psychosomatique Psychopathologie Douleur Rhumatologie Polyarthrite rhumatoïde Fibromyalgie Lombalgie Appareil locomoteur Résumé : Dès l'Antiquité, la question de l'âme influençant le corps est abordée par Hippocrate et l'école médicale de Cos. La question s'actualise depuis au regard de l'évolution des conceptions et connaissances sur le fonctionnement psychique et somatique aux prises avec un environnement culturel particulier. L'approche psychosomatique tente de rendre compte des relations existant entre facteurs psychologiques et maladie physique. Les manifestations psychopathologiques en rhumatologie peuvent se présenter comme facteur déclencheur, de maintien ou comme retentissement d'une affection de l'appareil locomoteur. La démarche psychosomatique permet une recherche adaptée des leviers à utiliser pour faire évoluer les situations. La polyarthrite rhumatoïde (PR), les douleurs chroniques, la fibromyalgie et la lombalgie notamment témoignent de la complexité des relations entre manifestations psychiques et somatiques en rhumatologie. Et plus généralement, les pathologies rhumatologiques illustrent la pluralité des cliniques du corps souffrant. Le repérage et la prise en charge de l'impact des manifestations psychologiques dans les affections rhumatologiques sont nécessaires lors de l'annonce de la maladie et tout au long du parcours de santé. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108112 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire