| Titre : |
Le cheval pour une thérapie spécifique dans la prise en charge globale de l'enfant IMC : Revue de la littérature |
| Type de document : |
TFE / Mémoire |
| Auteurs : |
Romane Geuens ; Paul Thiry, Promoteur du mémoire ; Isabelle Buffin, Promoteur du mémoire |
| Editeur : |
Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut |
| Année de publication : |
2023 |
| Importance : |
84p. |
| Note générale : |
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . |
| Langues : |
Français (fre) |
| Index. décimale : |
MK Mémoire Kinésithérapie |
| Résumé : |
Objectif : le principal objectif de ce mémoire est de révéler les bienfaits des activités assistées par le cheval, plus particulièrement l’hippothérapie, en prenant en charge l’enfant PC dans sa globalité, à savoir les troubles moteurs, les troubles associés ainsi que les activités, la participation et la qualité de vie. L’intérêt de ce travail étant qu’à terme, l’hippothérapie puisse devenir une thérapie qui complète la thérapie traditionnelle.
Méthode : trois bases de données (PubMed, Cochrane et Science Direct) ont été choisies afin d’établir une recherche bibliographie en incluant une équation de recherche. Les principales études retrouvées dans ce mémoire sont des revues systématiques, des méta-analyses, des essais contrôlés randomisés et des études de cas. Le niveau de preuves des études sélectionnées a été analysé à l’aide de l’échelle PEDro. À l’issue de cette recherche, 13 articles ont été sélectionnés.
Résultats : à la suite de la consultation des résultats obtenus dans les 13 études sélectionnées, ceux-ci démontrent les bienfaits de l’hippothérapie tant sur les aspects moteurs que sur les aspects qualitatifs. Malgré tout, même si l’hippothérapie semble bénéfique pour les enfants atteints de PC, ces résultats sont à pendre avec réserve car certains biais étaient à prendre en compte dans les études ainsi que la petite taille des échantillons.
Conclusion : l’hippothérapie semble être une thérapie complémentaire adéquate pour le traitement des enfants atteints de PC. Cependant, des recherches supplémentaires sont nécessaires afin d’évaluer si les résultats obtenus dans les études seront les mêmes sur le long terme, ainsi que de la fréquence optimale pour obtenir de grands avantages |
| Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=112006 |
Le cheval pour une thérapie spécifique dans la prise en charge globale de l'enfant IMC : Revue de la littérature [TFE / Mémoire] / Romane Geuens ; Paul Thiry, Promoteur du mémoire ; Isabelle Buffin, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2023 . - 84p. Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . Langues : Français ( fre)
| Index. décimale : |
MK Mémoire Kinésithérapie |
| Résumé : |
Objectif : le principal objectif de ce mémoire est de révéler les bienfaits des activités assistées par le cheval, plus particulièrement l’hippothérapie, en prenant en charge l’enfant PC dans sa globalité, à savoir les troubles moteurs, les troubles associés ainsi que les activités, la participation et la qualité de vie. L’intérêt de ce travail étant qu’à terme, l’hippothérapie puisse devenir une thérapie qui complète la thérapie traditionnelle.
Méthode : trois bases de données (PubMed, Cochrane et Science Direct) ont été choisies afin d’établir une recherche bibliographie en incluant une équation de recherche. Les principales études retrouvées dans ce mémoire sont des revues systématiques, des méta-analyses, des essais contrôlés randomisés et des études de cas. Le niveau de preuves des études sélectionnées a été analysé à l’aide de l’échelle PEDro. À l’issue de cette recherche, 13 articles ont été sélectionnés.
Résultats : à la suite de la consultation des résultats obtenus dans les 13 études sélectionnées, ceux-ci démontrent les bienfaits de l’hippothérapie tant sur les aspects moteurs que sur les aspects qualitatifs. Malgré tout, même si l’hippothérapie semble bénéfique pour les enfants atteints de PC, ces résultats sont à pendre avec réserve car certains biais étaient à prendre en compte dans les études ainsi que la petite taille des échantillons.
Conclusion : l’hippothérapie semble être une thérapie complémentaire adéquate pour le traitement des enfants atteints de PC. Cependant, des recherches supplémentaires sont nécessaires afin d’évaluer si les résultats obtenus dans les études seront les mêmes sur le long terme, ainsi que de la fréquence optimale pour obtenir de grands avantages |
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