Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Kinésithérapie, la revue . 252Paru le : 01/12/2022 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierChez les kinésithérapeutes aussi, la confiance, ça se mérite / Dominique Monnin in Kinésithérapie, la revue, 252 (décembre 2022)
[article]
Titre : Chez les kinésithérapeutes aussi, la confiance, ça se mérite Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Monnin ; Anthony Demont ; Michel Gedda Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 1-2 Langues : Français (fre) Résumé :
Les racines de la masso-kinésithérapie plongent dans les tréfonds de la pré-histoire. Les premiers massages attestés consistaient à faire pénétrer des onguents [1]. De succès en échecs, les techniques se sont multipliées et améliorées. Confiants à leurs intuitions, nos prédécesseurs se sont aussi permis de mobiliser les articulations, sur un mode empirique. Avec, il convient de le relever, des résultats parfois surprenants d’efficacitéPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108353
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 1-2[article] Chez les kinésithérapeutes aussi, la confiance, ça se mérite [texte imprimé] / Dominique Monnin ; Anthony Demont ; Michel Gedda . - 2022 . - p. 1-2.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 1-2
Résumé :
Les racines de la masso-kinésithérapie plongent dans les tréfonds de la pré-histoire. Les premiers massages attestés consistaient à faire pénétrer des onguents [1]. De succès en échecs, les techniques se sont multipliées et améliorées. Confiants à leurs intuitions, nos prédécesseurs se sont aussi permis de mobiliser les articulations, sur un mode empirique. Avec, il convient de le relever, des résultats parfois surprenants d’efficacitéPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108353 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtDébit expiratoire de pointe à la toux / Pauline Vaglio-Agnès in Kinésithérapie, la revue, 252 (décembre 2022)
[article]
Titre : Débit expiratoire de pointe à la toux Type de document : texte imprimé Auteurs : Pauline Vaglio-Agnès ; Françoise Vermeulen ; Ivo Neto Silva, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 38-40 Langues : Français (fre) Résumé :
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108355
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 38-40[article] Débit expiratoire de pointe à la toux [texte imprimé] / Pauline Vaglio-Agnès ; Françoise Vermeulen ; Ivo Neto Silva, Auteur . - 2022 . - p. 38-40.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 38-40
Résumé :
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108355 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtDevenir des blessés médullaires : à propos de 75 cas / Lala Rakotoanadahy Rasolofo in Kinésithérapie, la revue, 252 (décembre 2022)
[article]
Titre : Devenir des blessés médullaires : à propos de 75 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : Lala Rakotoanadahy Rasolofo ; Tatiana Ranaivondrambola ; Holiarisoa Andréa Raharinantenaina ; Charles Rasolonjatov ; Gaëtan Duval Solofomalala Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 12-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatismes vertébro-médullaires Rééducation et réadaptation Position déclive Résumé : Introduction
Les traumatismes vertébro-médullaires constituent une pathologie fréquente et grave. La classification neurologique par le score ASIA est importante pour apprécier le pronostic vital et fonctionnel du blessé médullaire. Les objectifs de cette étude étaient de décrire le traitement initiale et l’évolution des patients blessés médullaires dans le service de neurochirurgie et d’évaluer les contraintes de rééducation auxquelles l’équipe de Médecine physique et rééducation du CHU-JRA fait face.
Méthode
Une étude rétrospective, monocentrique, descriptive, longitudinale a été réalisée chez des patients victimes de traumatismes vertébro-médullaires, hospitalisés en service de Neurochirurgie du CHU-JRA de janvier 2015 à décembre 2017. Le score ASIA, la stratégie thérapeutique, le mode de sortie de l’hôpital, l’accessibilité à la rééducation, les complications et l’autonomie ont été étudiés.
Résultats
Soixante-quinze patients ont été inclus. L’âge moyen était de 43,64 ans avec une prédominance de la tranche d’âge de 21 à 30 ans. La majorité des lésions étaient thoraco-lombaires (73,33 %) et 41,33 % des patients avaient un déficit complet (score ASIA A). En fin d’hospitalisation de court séjour, 53,33 % des patients étaient encore alités et 76 % sous sonde vésicale à demeure. Cinquante-cinq patients sont retournés à domicile. Seuls 27 patients ont pu poursuivre la kinésithérapie à domicile. Les complications de décubitus étaient des escarres dans 22,67 % des cas, une infection urinaire dans 5,33 %, une pneumopathie 8 % ; un patient a présenté une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs. La dépression est apparue 3 à 6 mois après l’hospitalisation. Le taux de mortalité était de 20 %, principalement lié aux complications secondaires évitables.
Conclusion
Les traumatismes vertébro-médullaires constituent un problème de santé publique dans les pays en développement. À Madagascar, l’importance de l’instauration d’un suivi en rééducation ainsi qu’une structure d’hospitalisation est incontournable dans le programme de soins du blessé médullaire.
Niveau de preuve: 5.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108356
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 12-17[article] Devenir des blessés médullaires : à propos de 75 cas [texte imprimé] / Lala Rakotoanadahy Rasolofo ; Tatiana Ranaivondrambola ; Holiarisoa Andréa Raharinantenaina ; Charles Rasolonjatov ; Gaëtan Duval Solofomalala . - 2022 . - p. 12-17.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 12-17
Mots-clés : Traumatismes vertébro-médullaires Rééducation et réadaptation Position déclive Résumé : Introduction
Les traumatismes vertébro-médullaires constituent une pathologie fréquente et grave. La classification neurologique par le score ASIA est importante pour apprécier le pronostic vital et fonctionnel du blessé médullaire. Les objectifs de cette étude étaient de décrire le traitement initiale et l’évolution des patients blessés médullaires dans le service de neurochirurgie et d’évaluer les contraintes de rééducation auxquelles l’équipe de Médecine physique et rééducation du CHU-JRA fait face.
Méthode
Une étude rétrospective, monocentrique, descriptive, longitudinale a été réalisée chez des patients victimes de traumatismes vertébro-médullaires, hospitalisés en service de Neurochirurgie du CHU-JRA de janvier 2015 à décembre 2017. Le score ASIA, la stratégie thérapeutique, le mode de sortie de l’hôpital, l’accessibilité à la rééducation, les complications et l’autonomie ont été étudiés.
Résultats
Soixante-quinze patients ont été inclus. L’âge moyen était de 43,64 ans avec une prédominance de la tranche d’âge de 21 à 30 ans. La majorité des lésions étaient thoraco-lombaires (73,33 %) et 41,33 % des patients avaient un déficit complet (score ASIA A). En fin d’hospitalisation de court séjour, 53,33 % des patients étaient encore alités et 76 % sous sonde vésicale à demeure. Cinquante-cinq patients sont retournés à domicile. Seuls 27 patients ont pu poursuivre la kinésithérapie à domicile. Les complications de décubitus étaient des escarres dans 22,67 % des cas, une infection urinaire dans 5,33 %, une pneumopathie 8 % ; un patient a présenté une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs. La dépression est apparue 3 à 6 mois après l’hospitalisation. Le taux de mortalité était de 20 %, principalement lié aux complications secondaires évitables.
Conclusion
Les traumatismes vertébro-médullaires constituent un problème de santé publique dans les pays en développement. À Madagascar, l’importance de l’instauration d’un suivi en rééducation ainsi qu’une structure d’hospitalisation est incontournable dans le programme de soins du blessé médullaire.
Niveau de preuve: 5.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108356 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtEfficacité de la mobilisation précoce et de la remise en charge immédiate après ligamentoplastie anatomique de la cheville, une étude pilote / Margot Bion in Kinésithérapie, la revue, 252 (décembre 2022)
[article]
Titre : Efficacité de la mobilisation précoce et de la remise en charge immédiate après ligamentoplastie anatomique de la cheville, une étude pilote Type de document : texte imprimé Auteurs : Margot Bion ; Jean-Philippe Cassou ; Marie-Aude Munoz ; Aldjia Abdellaoui-Daoudi Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 3-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Instabilité articulaire ligamentoplastie mobilisation précoce Cheville Résumé : Après ligamentoplastie de cheville, la rééducation dite standard comprend une immobilisation de 3 à 6 semaines, associée à des déficits secondaires. L’objectif de cette étude pilote était d’évaluer l’impact d’une rééducation avec remise en charge précoce sur la fonctionnalité de la cheville. L’hypothèse était qu’une rééducation précoce, avec une mise en charge dès le premier jour postopératoire, mènerait à un résultat fonctionnel à 6 mois au moins similaire à une rééducation dite classique avec immobilisation. Une étude comparative interventionnelle a été effectuée. Un groupe standard (n =6) immobilisé par botte durant 6 semaines qui débutait la rééducation à la 4e semaine et un groupe précoce (n =9) qui débutait la rééducation sur tapis antigravitaire dès j1 ont été comparés. Des évaluations fonctionnelles similaires ont été réalisées 10 semaines et 6 mois après l’opération. Le critère de jugement principal était le score de Karlsson et Peterson. Les dates auxquelles les patients étaient en mesure d’effectuer certaines tâches fonctionnelles ont été relevées. L’évolution du score de Karlsson et Peterson était significative dans les deux groupes durant le suivi (groupe précoce : de 60,1±11,8 points en préopératoire, à 73±7,4 10 semaines après l’opération et à 89,7±12 à 6 mois après l’opération ; groupe standard : de 14±10,5 en préopératoire à 80±7 et à 98±3, respectivement 10 semaines et 6 mois après l’opération). Le groupe précoce a repris plus tôt ses activités professionnelles (-27jours) et sportives (-28jours) que le groupe standard (différences statistiquement non significatives). Ces résultats sont comparables à ceux de la littérature. La mise en charge précoce semble non délétère pour la cheville des patients. Un retour plus tôt aux activités professionnelles pourrait réduire les coûts associés aux arrêts de travail Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108357
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 3-11[article] Efficacité de la mobilisation précoce et de la remise en charge immédiate après ligamentoplastie anatomique de la cheville, une étude pilote [texte imprimé] / Margot Bion ; Jean-Philippe Cassou ; Marie-Aude Munoz ; Aldjia Abdellaoui-Daoudi . - 2022 . - p. 3-11.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 3-11
Mots-clés : Instabilité articulaire ligamentoplastie mobilisation précoce Cheville Résumé : Après ligamentoplastie de cheville, la rééducation dite standard comprend une immobilisation de 3 à 6 semaines, associée à des déficits secondaires. L’objectif de cette étude pilote était d’évaluer l’impact d’une rééducation avec remise en charge précoce sur la fonctionnalité de la cheville. L’hypothèse était qu’une rééducation précoce, avec une mise en charge dès le premier jour postopératoire, mènerait à un résultat fonctionnel à 6 mois au moins similaire à une rééducation dite classique avec immobilisation. Une étude comparative interventionnelle a été effectuée. Un groupe standard (n =6) immobilisé par botte durant 6 semaines qui débutait la rééducation à la 4e semaine et un groupe précoce (n =9) qui débutait la rééducation sur tapis antigravitaire dès j1 ont été comparés. Des évaluations fonctionnelles similaires ont été réalisées 10 semaines et 6 mois après l’opération. Le critère de jugement principal était le score de Karlsson et Peterson. Les dates auxquelles les patients étaient en mesure d’effectuer certaines tâches fonctionnelles ont été relevées. L’évolution du score de Karlsson et Peterson était significative dans les deux groupes durant le suivi (groupe précoce : de 60,1±11,8 points en préopératoire, à 73±7,4 10 semaines après l’opération et à 89,7±12 à 6 mois après l’opération ; groupe standard : de 14±10,5 en préopératoire à 80±7 et à 98±3, respectivement 10 semaines et 6 mois après l’opération). Le groupe précoce a repris plus tôt ses activités professionnelles (-27jours) et sportives (-28jours) que le groupe standard (différences statistiquement non significatives). Ces résultats sont comparables à ceux de la littérature. La mise en charge précoce semble non délétère pour la cheville des patients. Un retour plus tôt aux activités professionnelles pourrait réduire les coûts associés aux arrêts de travail Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108357 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIntérêt du renforcement des muscles intrinsèques du pied dans la rééducation des patients qui présentent une instabilité chronique de cheville / Thomas Blaise in Kinésithérapie, la revue, 252 (décembre 2022)
[article]
Titre : Intérêt du renforcement des muscles intrinsèques du pied dans la rééducation des patients qui présentent une instabilité chronique de cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Blaise ; Thibault Desjardins ; Romain Pinchon Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 35-37 Langues : Français (fre) Mots-clés : gainage Instabilité articulaire Cheville renforcement musculaire Résumé : Introduction
L’entorse latérale de cheville est l’une des blessures musculosquelettiques les plus courantes [1, 2] ; 20 à 40 % d’entre elles évoluent en instabilité chronique de cheville (ICC) [3, 4].
Par ailleurs, les muscles intrinsèques du pied jouent un rôle majeur dans le gainage du pied (intégration des différents systèmes actifs, passifs et neuronaux du pied dans le contrôle dynamique du pied et de la cheville pendant l’activité) [5]. Des signes d’altération du fonctionnement de ces muscles ont été trouvés chez les patients qui présentent une instabilité chronique. L’épaisseur de ces muscles, mesurée par l’aire transversale, est moindre chez les patients qui présentent une ICC que chez les patients sains [6]. L’épaisseur d’un muscle est fortement corrélée à sa force [7]. Or, la force en flexion de l’hallux et des orteils est plus faible chez les patients qui présentent une ICC [8]. Il est donc fortement probable que la force des muscles intrinsèques du pied soit diminuée chez les patients qui présentent une ICC. De plus, une altération du contrôle moteur et de la synergie entre muscles intrinsèques et extrinsèques du pied a été relevée dans cette population [9]. Leur rôle dans le gainage du pied – et donc dans la stabilisation de la cheville – et l’altération de leur fonctionnement chez les patients instables chroniques en font, en théorie, des cibles privilégiées de la rééducation. Plusieurs avis d’experts ont été publiés à ce sujet, promouvant les bénéfices théoriques que pourraient constituer l’intégration de ce type de renforcement dans la rééducation des patients qui présentent une ICC [10, 11]. L’objectif de ce travail était de réaliser un état des lieux de la littérature qui porte sur l’intérêt du renforcement des muscles intrinsèques du pied dans la rééducation des patients qui présentent une ICC et des pratiques des kinésithérapeutes quant à ce type de rééducation.
Méthode
Une revue de la littérature a été réalisée en août 2020 afin de dresser un état des connaissances scientifiques à ce sujet. Ont été inclus dans l’analyse les essais cliniques randomisés contrôlés qui évaluaient l’effet d’un renforcement des muscles intrinsèques du pied sur la stabilité de la cheville ainsi que la sévérité de l’instabilité de cheville. La stabilité de la cheville a été évaluée à l’aide du Star Excursion Balance Test (SEBT), test validé pour évaluer le contrôle postural dynamique chez les patients instables chroniques [12]. La sévérité de l’instabilité de la cheville a été évaluée à l’aide du Cumberland Ankle Instability Tool (CAIT), échelle dont la sensibilité a été évaluée à 83 % et la spécificité à 75 % [13]. La recherche a été effectuée dans quatre bases de données : PubMed , Cochrane, PEDro et Google Scholar . Les critères de sélections ont été basés sur la définition de l’instabilité chronique de cheville tels que définis par l’International Ankle Consortium [14]. La construction de la méthode de recherche s’est largement appuyée sur le guide de méthodologie de revues systématiques réalisé par le réseau Cochrane.En parallèle à cela, une enquête a été réalisée auprès des kinésithérapeutes qui exercent en France afin de déterminer leurs habitudes de pratiques et leurs connaissances sur le sujet. Le choix s’est porté sur un questionnaire puisque le but de l’enquête était de collecter un grand nombre de données pour espérer obtenir une représentativité satisfaisante de l’échantillon. L’enquête visait également à déterminer si des caractéristiques des personnes interrogées (expérience, mode d’exercice, formation, etc.) influençaient leur utilisation de cette technique.
L’enquête a été diffusée sur les réseaux sociaux, au sein d’établissements hospitaliers et de centres de rééducations. Des tests statistiques inférentiels (Chi2 d’association, Fisher) ont été utilisés pour déterminer les éventuelles associations entre les variables relatives à l’utilisation du renforcement des muscles intrinsèques du pied par les kinésithérapeutes dans ce type de rééducation. Pour ces tests, le seuil de significativité a été fixé à 0,05. Ils ont été réalisés à l’aide du logiciel Jamovi ®.
Cette double approche méthodologique avait pour but de confronter deux aspects de l’Evidence Based Practice (EBP) ou pratique basée sur les preuves la recherche et l’expérience clinique.
Résultats
Trois essais ont été inclus dans la revue de littérature [16, 17, 18]. Une trentaine de patients étaient inclus dans chacun des essais. Le score au CAIT a présenté une amélioration statistiquement significative dans le groupe qui effectuait le renforcement musculaire des muscles intrinsèques du pied par le short foot exercise 1 dans l’essai de Chung, Lee et Lee (p=0,001) ainsi que dans l’essai de Lee, Cho et Lee (p<0,05).
Le score au SEBT a présenté une amélioration statistiquement significative dans le groupe interventionnel de l’essai de Lee et Choi (p=0,001).
Quatre-vingt-deux kinésithérapeutes ont répondu au questionnaire de l’enquête. La plupart d’entre eux (74 %) ont mentionné utiliser cette technique. Les personnes qui avaient consulté la littérature à ce sujet utilisaient plus la technique. L’institut de formation initiale influençait aussi l’utilisation de la technique par les praticiens.
Discussion
L’objectif de cette recherche était d’établir un état des connaissances scientifiques sur l’intérêt du renforcement des muscles intrinsèques du pied dans la rééducation des patients qui présentent une ICC, ainsi que de dresser un état des lieux des pratiques et des connaissances des kinésithérapeutes concernant ce type de rééducation.La revue de littérature montre que, malgré des résultats unanimement encourageants, la recherche à ce sujet est encore assez pauvre. Il n’est donc pas possible d’émettre des conclusions valides pour la pratique clinique. La faible quantité d’essais réalisés et le nombre de patients trop peu élevé qui y ont été inclus ne permet pas de généraliser les résultats. De plus, les effets des interventions ne sont mesurés qu’à court terme, juste après la fin du programme d’intervention. Pour évaluer réellement l’intérêt de ce type de renforcement, il aurait fallu évaluer l’impact du programme à long terme (six à douze mois après la fin de l’intervention).L’analyse du questionnaire montre que la plupart des kinésithérapeutes (74 %) utilisent cette technique dans leurs rééducations. L’institut de formation où les répondants ont effectué leur formation initiale et le fait qu’ils consultent ou non la littérature influencent significativement leur utilisation de la technique. Cela montre que les kinésithérapeutes modifient leur pratique suite à la consultation de la littérature, et ce malgré l’existence d’un faible niveau de preuve !Il faut néanmoins tenir compte du fait qu’un biais de sélection a abouti à la constitution d’un échantillon non représentatif, ce qui ne permet pas de généraliser les résultats à grande échelle. En effet, un échantillonnage par convenance a dû être utilisé (en majorité par le biais des réseaux sociaux). Les personnes qui ont répondu au questionnaire sont donc plus jeunes (et moins expérimentées) que la population qu’il était prévu d’étudier au départ, soit l’ensemble des kinésithérapeutes qui exercent en France.Il convient maintenant de réaliser des essais contrôlés randomisés qui incluent un plus grand nombre de patients et qui explorent les bénéfices à long terme de la technique. On pourrait imaginer un essai contrôlé randomisé où le groupe contrôle effectuerait une rééducation dite « classique », conforme aux principales recommandations de la littérature en termes de rééducation des ICC (renforcement musculaire, exercices proprioceptifs, travail fonctionnel, éducation du patient) [19], et où le groupe interventionnel effectuerait la même rééducation en y ajoutant des exercices ciblés pour les muscles intrinsèques du pied de type short foot exercise .
Conclusion
Il pourrait être tentant d’intégrer dès à présent le renforcement des muscles intrinsèques du pied dans les protocoles de rééducation puisque que les bénéfices théoriques ont été bien décrits et que les premiers résultats de la littérature paraissent encourageants. C’est d’ailleurs ce que bon nombre des répondants ont fait. Néanmoins, il convient de rester prudent car le niveau de preuve est pour l’instant trop faible, et d’attendre les résultats de nouveaux essais pour utiliser cette technique à plus grande échelle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108359
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 35-37[article] Intérêt du renforcement des muscles intrinsèques du pied dans la rééducation des patients qui présentent une instabilité chronique de cheville [texte imprimé] / Thomas Blaise ; Thibault Desjardins ; Romain Pinchon . - 2022 . - p. 35-37.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 35-37
Mots-clés : gainage Instabilité articulaire Cheville renforcement musculaire Résumé : Introduction
L’entorse latérale de cheville est l’une des blessures musculosquelettiques les plus courantes [1, 2] ; 20 à 40 % d’entre elles évoluent en instabilité chronique de cheville (ICC) [3, 4].
Par ailleurs, les muscles intrinsèques du pied jouent un rôle majeur dans le gainage du pied (intégration des différents systèmes actifs, passifs et neuronaux du pied dans le contrôle dynamique du pied et de la cheville pendant l’activité) [5]. Des signes d’altération du fonctionnement de ces muscles ont été trouvés chez les patients qui présentent une instabilité chronique. L’épaisseur de ces muscles, mesurée par l’aire transversale, est moindre chez les patients qui présentent une ICC que chez les patients sains [6]. L’épaisseur d’un muscle est fortement corrélée à sa force [7]. Or, la force en flexion de l’hallux et des orteils est plus faible chez les patients qui présentent une ICC [8]. Il est donc fortement probable que la force des muscles intrinsèques du pied soit diminuée chez les patients qui présentent une ICC. De plus, une altération du contrôle moteur et de la synergie entre muscles intrinsèques et extrinsèques du pied a été relevée dans cette population [9]. Leur rôle dans le gainage du pied – et donc dans la stabilisation de la cheville – et l’altération de leur fonctionnement chez les patients instables chroniques en font, en théorie, des cibles privilégiées de la rééducation. Plusieurs avis d’experts ont été publiés à ce sujet, promouvant les bénéfices théoriques que pourraient constituer l’intégration de ce type de renforcement dans la rééducation des patients qui présentent une ICC [10, 11]. L’objectif de ce travail était de réaliser un état des lieux de la littérature qui porte sur l’intérêt du renforcement des muscles intrinsèques du pied dans la rééducation des patients qui présentent une ICC et des pratiques des kinésithérapeutes quant à ce type de rééducation.
Méthode
Une revue de la littérature a été réalisée en août 2020 afin de dresser un état des connaissances scientifiques à ce sujet. Ont été inclus dans l’analyse les essais cliniques randomisés contrôlés qui évaluaient l’effet d’un renforcement des muscles intrinsèques du pied sur la stabilité de la cheville ainsi que la sévérité de l’instabilité de cheville. La stabilité de la cheville a été évaluée à l’aide du Star Excursion Balance Test (SEBT), test validé pour évaluer le contrôle postural dynamique chez les patients instables chroniques [12]. La sévérité de l’instabilité de la cheville a été évaluée à l’aide du Cumberland Ankle Instability Tool (CAIT), échelle dont la sensibilité a été évaluée à 83 % et la spécificité à 75 % [13]. La recherche a été effectuée dans quatre bases de données : PubMed , Cochrane, PEDro et Google Scholar . Les critères de sélections ont été basés sur la définition de l’instabilité chronique de cheville tels que définis par l’International Ankle Consortium [14]. La construction de la méthode de recherche s’est largement appuyée sur le guide de méthodologie de revues systématiques réalisé par le réseau Cochrane.En parallèle à cela, une enquête a été réalisée auprès des kinésithérapeutes qui exercent en France afin de déterminer leurs habitudes de pratiques et leurs connaissances sur le sujet. Le choix s’est porté sur un questionnaire puisque le but de l’enquête était de collecter un grand nombre de données pour espérer obtenir une représentativité satisfaisante de l’échantillon. L’enquête visait également à déterminer si des caractéristiques des personnes interrogées (expérience, mode d’exercice, formation, etc.) influençaient leur utilisation de cette technique.
L’enquête a été diffusée sur les réseaux sociaux, au sein d’établissements hospitaliers et de centres de rééducations. Des tests statistiques inférentiels (Chi2 d’association, Fisher) ont été utilisés pour déterminer les éventuelles associations entre les variables relatives à l’utilisation du renforcement des muscles intrinsèques du pied par les kinésithérapeutes dans ce type de rééducation. Pour ces tests, le seuil de significativité a été fixé à 0,05. Ils ont été réalisés à l’aide du logiciel Jamovi ®.
Cette double approche méthodologique avait pour but de confronter deux aspects de l’Evidence Based Practice (EBP) ou pratique basée sur les preuves la recherche et l’expérience clinique.
Résultats
Trois essais ont été inclus dans la revue de littérature [16, 17, 18]. Une trentaine de patients étaient inclus dans chacun des essais. Le score au CAIT a présenté une amélioration statistiquement significative dans le groupe qui effectuait le renforcement musculaire des muscles intrinsèques du pied par le short foot exercise 1 dans l’essai de Chung, Lee et Lee (p=0,001) ainsi que dans l’essai de Lee, Cho et Lee (p<0,05).
Le score au SEBT a présenté une amélioration statistiquement significative dans le groupe interventionnel de l’essai de Lee et Choi (p=0,001).
Quatre-vingt-deux kinésithérapeutes ont répondu au questionnaire de l’enquête. La plupart d’entre eux (74 %) ont mentionné utiliser cette technique. Les personnes qui avaient consulté la littérature à ce sujet utilisaient plus la technique. L’institut de formation initiale influençait aussi l’utilisation de la technique par les praticiens.
Discussion
L’objectif de cette recherche était d’établir un état des connaissances scientifiques sur l’intérêt du renforcement des muscles intrinsèques du pied dans la rééducation des patients qui présentent une ICC, ainsi que de dresser un état des lieux des pratiques et des connaissances des kinésithérapeutes concernant ce type de rééducation.La revue de littérature montre que, malgré des résultats unanimement encourageants, la recherche à ce sujet est encore assez pauvre. Il n’est donc pas possible d’émettre des conclusions valides pour la pratique clinique. La faible quantité d’essais réalisés et le nombre de patients trop peu élevé qui y ont été inclus ne permet pas de généraliser les résultats. De plus, les effets des interventions ne sont mesurés qu’à court terme, juste après la fin du programme d’intervention. Pour évaluer réellement l’intérêt de ce type de renforcement, il aurait fallu évaluer l’impact du programme à long terme (six à douze mois après la fin de l’intervention).L’analyse du questionnaire montre que la plupart des kinésithérapeutes (74 %) utilisent cette technique dans leurs rééducations. L’institut de formation où les répondants ont effectué leur formation initiale et le fait qu’ils consultent ou non la littérature influencent significativement leur utilisation de la technique. Cela montre que les kinésithérapeutes modifient leur pratique suite à la consultation de la littérature, et ce malgré l’existence d’un faible niveau de preuve !Il faut néanmoins tenir compte du fait qu’un biais de sélection a abouti à la constitution d’un échantillon non représentatif, ce qui ne permet pas de généraliser les résultats à grande échelle. En effet, un échantillonnage par convenance a dû être utilisé (en majorité par le biais des réseaux sociaux). Les personnes qui ont répondu au questionnaire sont donc plus jeunes (et moins expérimentées) que la population qu’il était prévu d’étudier au départ, soit l’ensemble des kinésithérapeutes qui exercent en France.Il convient maintenant de réaliser des essais contrôlés randomisés qui incluent un plus grand nombre de patients et qui explorent les bénéfices à long terme de la technique. On pourrait imaginer un essai contrôlé randomisé où le groupe contrôle effectuerait une rééducation dite « classique », conforme aux principales recommandations de la littérature en termes de rééducation des ICC (renforcement musculaire, exercices proprioceptifs, travail fonctionnel, éducation du patient) [19], et où le groupe interventionnel effectuerait la même rééducation en y ajoutant des exercices ciblés pour les muscles intrinsèques du pied de type short foot exercise .
Conclusion
Il pourrait être tentant d’intégrer dès à présent le renforcement des muscles intrinsèques du pied dans les protocoles de rééducation puisque que les bénéfices théoriques ont été bien décrits et que les premiers résultats de la littérature paraissent encourageants. C’est d’ailleurs ce que bon nombre des répondants ont fait. Néanmoins, il convient de rester prudent car le niveau de preuve est pour l’instant trop faible, et d’attendre les résultats de nouveaux essais pour utiliser cette technique à plus grande échelle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108359 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLa photographie de la kinésithérapie dans deux dictionnaires Larousse. Étude comparative 1917 et 1924 / Rémi Remondière in Kinésithérapie, la revue, 252 (décembre 2022)
[article]
Titre : La photographie de la kinésithérapie dans deux dictionnaires Larousse. Étude comparative 1917 et 1924 Type de document : texte imprimé Auteurs : Rémi Remondière Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 48-54 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dictionnaires médicaux Techniques de physiothérapie Kinésithérapie (spécialité) Photographies Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108362
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 48-54[article] La photographie de la kinésithérapie dans deux dictionnaires Larousse. Étude comparative 1917 et 1924 [texte imprimé] / Rémi Remondière . - 2022 . - p. 48-54.
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Exclu du prêtLes exercices sont efficaces contre les lombalgies chroniques / Dominique Monnin in Kinésithérapie, la revue, 252 (décembre 2022)
[article]
Titre : Les exercices sont efficaces contre les lombalgies chroniques : (Analyse cochrane) Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Monnin ; Colette Widmer Leu Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 28-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lombalgie rééducation lombalgie chronique Rééducation et réadaptation Résumé :
Au cours de leur vie, 60 à 85 % des gens sont atteints d’au moins un épisode aigu de mal de dos non spécifique (sans symptômes relatifs à une pathologie spécifique) [1]. Dans 75 à 90 % des cas, leurs douleurs et limitations fonctionnelles disparaissent en trois à quatre semaines, ce qui leur permet de reprendre leurs activités usuelles. La lombalgie est dite chronique lorsque les douleurs et limitations fonctionnelles persistent au-delà de 12 semaines. Elles sont considérées comme récurrentes si les épisodes surviennent deux fois par an ou plus, avec plus de 30 jours d’intervalle entre les deux, et si les symptômes durent au moins 24h.Les lombalgies ont de lourdes répercussions socio-économiques, surtout dans les cas chroniques et récurrents. Des travaux récents indiquent que les interventions à base d’exercices seraient susceptibles de limiter le recours aux services de santé et d’améliorer la qualité de vie des patientsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108364
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 28-29[article] Les exercices sont efficaces contre les lombalgies chroniques : (Analyse cochrane) [texte imprimé] / Dominique Monnin ; Colette Widmer Leu . - 2022 . - p. 28-29.
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Mots-clés : Lombalgie rééducation lombalgie chronique Rééducation et réadaptation Résumé :
Au cours de leur vie, 60 à 85 % des gens sont atteints d’au moins un épisode aigu de mal de dos non spécifique (sans symptômes relatifs à une pathologie spécifique) [1]. Dans 75 à 90 % des cas, leurs douleurs et limitations fonctionnelles disparaissent en trois à quatre semaines, ce qui leur permet de reprendre leurs activités usuelles. La lombalgie est dite chronique lorsque les douleurs et limitations fonctionnelles persistent au-delà de 12 semaines. Elles sont considérées comme récurrentes si les épisodes surviennent deux fois par an ou plus, avec plus de 30 jours d’intervalle entre les deux, et si les symptômes durent au moins 24h.Les lombalgies ont de lourdes répercussions socio-économiques, surtout dans les cas chroniques et récurrents. Des travaux récents indiquent que les interventions à base d’exercices seraient susceptibles de limiter le recours aux services de santé et d’améliorer la qualité de vie des patientsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108364 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtPourquoi recommander l’exercice physique au patient atteint de cancer avancé / Youness Azemmour in Kinésithérapie, la revue, 252 (décembre 2022)
[article]
Titre : Pourquoi recommander l’exercice physique au patient atteint de cancer avancé Type de document : texte imprimé Auteurs : Youness Azemmour ; Hassan Beddaa Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 34 Langues : Français (fre) Mots-clés : activité physique adaptée au cancer Exercice physique Soins palliatifs Résumé : Les soins palliatifs visent à atténuer les symptômes du patient en phase terminale. Ils concernent le milieu hospitalier, les soins ambulatoires ou l’accompagnement à domicile. Si l’exercice physique (EP) est bénéfique pour le patient atteint du cancer durant le parcours thérapeutique, il reste bénéfique durant la phase palliative. Il permet d’améliorer les fonctions physiques et la qualité de vie chez le patient dans cette phase critique [ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108366
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 34[article] Pourquoi recommander l’exercice physique au patient atteint de cancer avancé [texte imprimé] / Youness Azemmour ; Hassan Beddaa . - 2022 . - p. 34.
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Mots-clés : activité physique adaptée au cancer Exercice physique Soins palliatifs Résumé : Les soins palliatifs visent à atténuer les symptômes du patient en phase terminale. Ils concernent le milieu hospitalier, les soins ambulatoires ou l’accompagnement à domicile. Si l’exercice physique (EP) est bénéfique pour le patient atteint du cancer durant le parcours thérapeutique, il reste bénéfique durant la phase palliative. Il permet d’améliorer les fonctions physiques et la qualité de vie chez le patient dans cette phase critique [ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108366 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRééducation des prolapsus des organes pelviens : recommandations de bonnes pratiques / Benoît Steenstrup in Kinésithérapie, la revue, 252 (décembre 2022)
[article]
Titre : Rééducation des prolapsus des organes pelviens : recommandations de bonnes pratiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoît Steenstrup ; Martine Cornillet-Bernard Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 30-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prolapsus d'organe pelvien Guide de bonnes pratiques Résumé : Cet article présente une synthèse de l’aspect rééducatif des prolapsus génitaux de la femme, rédigé par le groupe de travail de la Haute Autorité de Santé (voir matériel supplémentaire), et publié sous le titre : « Prolapsus génital de la femme, prise en charge thérapeutique ». Cette description pragmatique est destinée à informer sur l’attitude diagnostique et/ou thérapeutique recommandée en pratique quotidienne pour les kinésithérapeutes spécialisés en rééducation des troubles de la sphère pelvi-périnéale afin d’améliorer la symptomatologie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108368
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 30-33[article] Rééducation des prolapsus des organes pelviens : recommandations de bonnes pratiques [texte imprimé] / Benoît Steenstrup ; Martine Cornillet-Bernard . - 2022 . - p. 30-33.
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Mots-clés : Prolapsus d'organe pelvien Guide de bonnes pratiques Résumé : Cet article présente une synthèse de l’aspect rééducatif des prolapsus génitaux de la femme, rédigé par le groupe de travail de la Haute Autorité de Santé (voir matériel supplémentaire), et publié sous le titre : « Prolapsus génital de la femme, prise en charge thérapeutique ». Cette description pragmatique est destinée à informer sur l’attitude diagnostique et/ou thérapeutique recommandée en pratique quotidienne pour les kinésithérapeutes spécialisés en rééducation des troubles de la sphère pelvi-périnéale afin d’améliorer la symptomatologie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108368 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtSyndrome post-poliomyélite et efficacité de l’activité physique adaptée en balnéothérapie sur la prévention des fractures per-chute : revue de littérature exploratoire / Louise Taine in Kinésithérapie, la revue, 252 (décembre 2022)
[article]
Titre : Syndrome post-poliomyélite et efficacité de l’activité physique adaptée en balnéothérapie sur la prévention des fractures per-chute : revue de littérature exploratoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Louise Taine ; Gabrielle Cadet Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 18-27 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hydrothérapie Poliomyélite Natation Syndrome post-poliomyélitique Résumé : Le syndrome post-poliomyélite concerne aujourd’hui encore 15 % à 80 % de patients qui ont contracté la poliomyélite dans le monde. Cette revue de littérature exploratoire avait pour but de déterminer si la pratique régulière d’une activité physique adaptée effectuée en balnéothérapie diminuait le risque de fracture sur chute chez ces patients. Les critères de jugement comprenaient un critère de jugement principal, le nombre de fractures sur chute, ainsi que des critères de jugement secondaire tels que : le nombre de chutes, les amplitudes articulaires au niveau des membres inférieurs, la force des muscles des quatre membres, les douleurs articulaires/musculaires ou encore les capacités cardio-respiratoires. Parmi trois études sélectionnées, un des deux essais non randomisés révélait une diminution significative de la fréquence cardiaque pour un même niveau de travail, ainsi qu’une augmentation du rapport d’échange respiratoire. Une diminution significative de l’expérience négative de la douleur était mentionnée dans ces deux essais. Seule l’augmentation de la force dynamique des membres supérieurs variait significativement dans l’essai contrôlé randomisé. L’efficacité de l’activité physique adaptée en balnéothérapie sur le risque de fracture sur chute chez les patients post-poliomyélite n’a pas été démontrée avec un niveau de preuve suffisant. Il convient donc d’élargir les recherches afin de déterminer s’il est possible de répondre à la question initiale en transposant à cette population des résultats obtenus dans le cadre de pathologies cliniquement proches.
Niveau de preuve: 2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108369
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 18-27[article] Syndrome post-poliomyélite et efficacité de l’activité physique adaptée en balnéothérapie sur la prévention des fractures per-chute : revue de littérature exploratoire [texte imprimé] / Louise Taine ; Gabrielle Cadet . - 2022 . - p. 18-27.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 18-27
Mots-clés : Hydrothérapie Poliomyélite Natation Syndrome post-poliomyélitique Résumé : Le syndrome post-poliomyélite concerne aujourd’hui encore 15 % à 80 % de patients qui ont contracté la poliomyélite dans le monde. Cette revue de littérature exploratoire avait pour but de déterminer si la pratique régulière d’une activité physique adaptée effectuée en balnéothérapie diminuait le risque de fracture sur chute chez ces patients. Les critères de jugement comprenaient un critère de jugement principal, le nombre de fractures sur chute, ainsi que des critères de jugement secondaire tels que : le nombre de chutes, les amplitudes articulaires au niveau des membres inférieurs, la force des muscles des quatre membres, les douleurs articulaires/musculaires ou encore les capacités cardio-respiratoires. Parmi trois études sélectionnées, un des deux essais non randomisés révélait une diminution significative de la fréquence cardiaque pour un même niveau de travail, ainsi qu’une augmentation du rapport d’échange respiratoire. Une diminution significative de l’expérience négative de la douleur était mentionnée dans ces deux essais. Seule l’augmentation de la force dynamique des membres supérieurs variait significativement dans l’essai contrôlé randomisé. L’efficacité de l’activité physique adaptée en balnéothérapie sur le risque de fracture sur chute chez les patients post-poliomyélite n’a pas été démontrée avec un niveau de preuve suffisant. Il convient donc d’élargir les recherches afin de déterminer s’il est possible de répondre à la question initiale en transposant à cette population des résultats obtenus dans le cadre de pathologies cliniquement proches.
Niveau de preuve: 2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108369 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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