Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Kinésithérapie, la revue . 248-249Mention de date : Aout-septembre 2022 Paru le : 01/08/2022 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierDénoncer l’utilisation des armes explosives en Ukraine et faire de l’accès à la kinésithérapie un enjeu sanitaire d’« importance capitale » / Paul Lyonnas in Kinésithérapie, la revue, 248-249 (Aout-septembre 2022)
[article]
Titre : Dénoncer l’utilisation des armes explosives en Ukraine et faire de l’accès à la kinésithérapie un enjeu sanitaire d’« importance capitale » Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Lyonnas Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 1-2 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105732
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 1-2[article] Dénoncer l’utilisation des armes explosives en Ukraine et faire de l’accès à la kinésithérapie un enjeu sanitaire d’« importance capitale » [texte imprimé] / Paul Lyonnas . - 2022 . - p. 1-2.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 1-2
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105732 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtBlanchir la littérature grise en kinésithérapie. Contribuer à améliorer les pratiques / Michel Gedda in Kinésithérapie, la revue, 248-249 (Aout-septembre 2022)
[article]
Titre : Blanchir la littérature grise en kinésithérapie. Contribuer à améliorer les pratiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Gedda Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 3-5 Langues : Français (fre) Mots-clés : Données Édition Littérature blanche Mémoire Rédaction Thèse Université Résumé :
Contemporaine de l’universitarisation de la formation initiale en Masso-Kinésithérapie [1] et de sa reconnaissance au grade Master [2], la production de littérature grise française (notamment mémoires et thèses) ne cesse de croître et s’améliorer.
Le design des études est souvent mieux élaboré, les recherches documentaires sont plus précises et exhaustives – et (enfin) de plus en plus souvent présentées en annexe1 , les méthodes sont décrites et appliquées plus rigoureusement – et avec davantage de puissance (matérielle2 , statistique, etc.), les discussions sont plus pertinentes et ouvertes, les textes sont mieux structurés et rédigés, la bibliographie est plus adaptée et solide.
Cette bonification qualitative résulte d’une progression qui implique tous les acteurs de la chaîne de production : des formateurs au sein des Instituts de Formation en Masso-Kinésithérapie (IFMK) de plus en plus souvent diplômés du niveau 7 (Master) ou 8 (Doctorat en science) [3], des étudiants motivés à intégrer un parcours universitaire [4], et des praticiens de terrain plus sensibles à l’intérêt de « scientifiser » les savoirs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105734
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 3-5[article] Blanchir la littérature grise en kinésithérapie. Contribuer à améliorer les pratiques [texte imprimé] / Michel Gedda . - 2022 . - p. 3-5.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 3-5
Mots-clés : Données Édition Littérature blanche Mémoire Rédaction Thèse Université Résumé :
Contemporaine de l’universitarisation de la formation initiale en Masso-Kinésithérapie [1] et de sa reconnaissance au grade Master [2], la production de littérature grise française (notamment mémoires et thèses) ne cesse de croître et s’améliorer.
Le design des études est souvent mieux élaboré, les recherches documentaires sont plus précises et exhaustives – et (enfin) de plus en plus souvent présentées en annexe1 , les méthodes sont décrites et appliquées plus rigoureusement – et avec davantage de puissance (matérielle2 , statistique, etc.), les discussions sont plus pertinentes et ouvertes, les textes sont mieux structurés et rédigés, la bibliographie est plus adaptée et solide.
Cette bonification qualitative résulte d’une progression qui implique tous les acteurs de la chaîne de production : des formateurs au sein des Instituts de Formation en Masso-Kinésithérapie (IFMK) de plus en plus souvent diplômés du niveau 7 (Master) ou 8 (Doctorat en science) [3], des étudiants motivés à intégrer un parcours universitaire [4], et des praticiens de terrain plus sensibles à l’intérêt de « scientifiser » les savoirs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105734 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtInfluence de la crise sanitaire COVID-19 sur la perception de la télérééducation dans la population des kinésithérapeutes français, une étude qualitative / Elodie Le Toullec in Kinésithérapie, la revue, 248-249 (Aout-septembre 2022)
[article]
Titre : Influence de la crise sanitaire COVID-19 sur la perception de la télérééducation dans la population des kinésithérapeutes français, une étude qualitative Type de document : texte imprimé Auteurs : Elodie Le Toullec ; Patrice Piette ; Philippe Gallien ; Emilie Leblong ; Bastien Fraudet ; Florence Terrade Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 6-13 Langues : Français (fre) Résumé : Contexte
Le télésoin est une opportunité pour développer l’accompagnement des patients complexes ; il peut également être utilisé en cas de crise sanitaire comme celle du Covid-19.
Objectif
La question de recherche était l’évaluation de l’acceptabilité de ces dispositifs chez les kinésithérapeutes et, dans un second temps, de déterminer si la crise du Covid-19 avait une influence sur cette acceptabilité.
Méthode
Une grille d’items basée sur l’Unified Theory of Acceptance and Use of Technology 2 a été construite pour conduire des entretiens semi-directifs et analyser les discussions des réseaux sociaux. Le principe méthodologique de saturation a été utilisé afin d’échantillonner et compter les occurrences pour assembler les tableaux de données. Cette méthode permet ainsi un recueil exhaustif des freins et leviers psychosociaux sans procéder à une quantification.
Résultats
Une série d’entretiens pré-Covid-19 et post-confinement a été menée. Une autre série post-confinement a été ajoutée pour avoir une base représentative de ceux qui expérimentaient les dispositifs. Une publication Facebook conduisant à un large débat sur le sujet a aussi été analysée.
Discussion
La profession présente deux cultures différentes et opposées. La première est basée sur la nécessité du toucher comme socle fondamental, la seconde est plus ouverte sur les avantages possibles du côté du patient comme du côté professionnel, avec la prédominance de techniques actives.
Conclusion
Une partie de la profession reste opposée au télésoin. L’impact du Covid-19 sur l’acceptabilité reste marginal. L’état des réseaux numériques, la complexité des interfaces, les questions légales et les conditions de rémunération sont évoqués comme des freins importants.
Niveau de preuve 5Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105735
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 6-13[article] Influence de la crise sanitaire COVID-19 sur la perception de la télérééducation dans la population des kinésithérapeutes français, une étude qualitative [texte imprimé] / Elodie Le Toullec ; Patrice Piette ; Philippe Gallien ; Emilie Leblong ; Bastien Fraudet ; Florence Terrade . - 2022 . - p. 6-13.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 6-13
Résumé : Contexte
Le télésoin est une opportunité pour développer l’accompagnement des patients complexes ; il peut également être utilisé en cas de crise sanitaire comme celle du Covid-19.
Objectif
La question de recherche était l’évaluation de l’acceptabilité de ces dispositifs chez les kinésithérapeutes et, dans un second temps, de déterminer si la crise du Covid-19 avait une influence sur cette acceptabilité.
Méthode
Une grille d’items basée sur l’Unified Theory of Acceptance and Use of Technology 2 a été construite pour conduire des entretiens semi-directifs et analyser les discussions des réseaux sociaux. Le principe méthodologique de saturation a été utilisé afin d’échantillonner et compter les occurrences pour assembler les tableaux de données. Cette méthode permet ainsi un recueil exhaustif des freins et leviers psychosociaux sans procéder à une quantification.
Résultats
Une série d’entretiens pré-Covid-19 et post-confinement a été menée. Une autre série post-confinement a été ajoutée pour avoir une base représentative de ceux qui expérimentaient les dispositifs. Une publication Facebook conduisant à un large débat sur le sujet a aussi été analysée.
Discussion
La profession présente deux cultures différentes et opposées. La première est basée sur la nécessité du toucher comme socle fondamental, la seconde est plus ouverte sur les avantages possibles du côté du patient comme du côté professionnel, avec la prédominance de techniques actives.
Conclusion
Une partie de la profession reste opposée au télésoin. L’impact du Covid-19 sur l’acceptabilité reste marginal. L’état des réseaux numériques, la complexité des interfaces, les questions légales et les conditions de rémunération sont évoqués comme des freins importants.
Niveau de preuve 5Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105735 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtEffet d’une sollicitation accrue des muscles inspiratoires à l’entraînement sur la performance en course à pied de jeunes sujets sains / Alban Morilleau in Kinésithérapie, la revue, 248-249 (Aout-septembre 2022)
[article]
Titre : Effet d’une sollicitation accrue des muscles inspiratoires à l’entraînement sur la performance en course à pied de jeunes sujets sains Type de document : texte imprimé Auteurs : Alban Morilleau ; Mikael Scohier Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : muscles inspiratoires Résumé : Il semblerait qu’un travail spécifique des muscles inspiratoires soit rarement réalisé par les sportifs. Cette étude a évalué l’effet d’un court programme d’entraînement qui intégrait une résistance à l’inspiration lors de sessions de course à pied.
Méthode
Dix-neuf sujets ont été répartis en 3 groupes : contrôle, entraînement de course à pied uniquement, entraînement de course à pied associé à une résistance à l’inspiration. Une évaluation des performances a été réalisée avant et après le programme. Elle comportait une course maximale de 5minutes et un test d’économie de course.
Résultats
Seuls les sujets qui avaient renforcé les muscles inspiratoires ont augmenté la distance de course lors du test de 5minutes. Ils ont aussi rapporté une diminution de la sensation de dyspnée. Aucune modification de l’économie de course n’a été observée.
Discussion
Une sollicitation accrue des muscles inspiratoires à l’entraînement pourrait permettre de diminuer la perception de l’effort et, via une apparition retardée du métaboréflexe, de différer la fatigue des muscles locomoteurs lors d’exercices ultérieurs.
Niveau de preuve 2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105736
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 14-22[article] Effet d’une sollicitation accrue des muscles inspiratoires à l’entraînement sur la performance en course à pied de jeunes sujets sains [texte imprimé] / Alban Morilleau ; Mikael Scohier . - 2022 . - p. 14-22.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 14-22
Mots-clés : muscles inspiratoires Résumé : Il semblerait qu’un travail spécifique des muscles inspiratoires soit rarement réalisé par les sportifs. Cette étude a évalué l’effet d’un court programme d’entraînement qui intégrait une résistance à l’inspiration lors de sessions de course à pied.
Méthode
Dix-neuf sujets ont été répartis en 3 groupes : contrôle, entraînement de course à pied uniquement, entraînement de course à pied associé à une résistance à l’inspiration. Une évaluation des performances a été réalisée avant et après le programme. Elle comportait une course maximale de 5minutes et un test d’économie de course.
Résultats
Seuls les sujets qui avaient renforcé les muscles inspiratoires ont augmenté la distance de course lors du test de 5minutes. Ils ont aussi rapporté une diminution de la sensation de dyspnée. Aucune modification de l’économie de course n’a été observée.
Discussion
Une sollicitation accrue des muscles inspiratoires à l’entraînement pourrait permettre de diminuer la perception de l’effort et, via une apparition retardée du métaboréflexe, de différer la fatigue des muscles locomoteurs lors d’exercices ultérieurs.
Niveau de preuve 2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105736 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLe risque de lombalgies communes liées à l’activité professionnelle chez les masseurs-kinésithérapeutes : prévalences et facteurs de risque selon les modalités d’exercice / Baptiste Pellissier in Kinésithérapie, la revue, 248-249 (Aout-septembre 2022)
[article]
Titre : Le risque de lombalgies communes liées à l’activité professionnelle chez les masseurs-kinésithérapeutes : prévalences et facteurs de risque selon les modalités d’exercice Type de document : texte imprimé Auteurs : Baptiste Pellissier ; François-Régis Sarhan ; Frédéric Telliez Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 23-30 Langues : Français (fre) Résumé : Les physiothérapeutes sont atteints de lombalgies partout dans le monde.
En France, le sujet reste peu documenté.
Objectif
Déterminer s’il existe des différences de risque de lombalgies communes liées à l’activité professionnelle selon les modalités d’exercice de la kinésithérapie.
Méthode
Un auto-questionnaire a été mis en ligne à l’attention des masseurs-kinésithérapeutes. La prévalence, le nombre de jour de lombalgies et l’exposition à des facteurs de risque ont été comparés entre les différentes modalités d’exercice.
Résultats
Chez les 604 masseurs-kinésithérapeutes inclus, la prévalence des lombalgies communes liées à l’activité professionnelle était de 40,4 % sur les 12 derniers mois. La prévalence était significativement supérieure dans le champ gériatrie/gérontologie (p =0,033), inférieure dans le champ sport/APA (p =0,010). Des différences d’exposition à des facteurs de risque ont aussi été trouvées.
Conclusion
Le risque de lombalgies chez les masseurs-kinésithérapeutes semble fonction des modalités d’exercice. Toutes les dimensions du risque doivent être prises en compte. Cette étude pourrait servir de base à des travaux plus ciblés sur les modes d’exercice et les spécialités.
Niveau de preuve 5.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105737
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 23-30[article] Le risque de lombalgies communes liées à l’activité professionnelle chez les masseurs-kinésithérapeutes : prévalences et facteurs de risque selon les modalités d’exercice [texte imprimé] / Baptiste Pellissier ; François-Régis Sarhan ; Frédéric Telliez . - 2022 . - p. 23-30.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 23-30
Résumé : Les physiothérapeutes sont atteints de lombalgies partout dans le monde.
En France, le sujet reste peu documenté.
Objectif
Déterminer s’il existe des différences de risque de lombalgies communes liées à l’activité professionnelle selon les modalités d’exercice de la kinésithérapie.
Méthode
Un auto-questionnaire a été mis en ligne à l’attention des masseurs-kinésithérapeutes. La prévalence, le nombre de jour de lombalgies et l’exposition à des facteurs de risque ont été comparés entre les différentes modalités d’exercice.
Résultats
Chez les 604 masseurs-kinésithérapeutes inclus, la prévalence des lombalgies communes liées à l’activité professionnelle était de 40,4 % sur les 12 derniers mois. La prévalence était significativement supérieure dans le champ gériatrie/gérontologie (p =0,033), inférieure dans le champ sport/APA (p =0,010). Des différences d’exposition à des facteurs de risque ont aussi été trouvées.
Conclusion
Le risque de lombalgies chez les masseurs-kinésithérapeutes semble fonction des modalités d’exercice. Toutes les dimensions du risque doivent être prises en compte. Cette étude pourrait servir de base à des travaux plus ciblés sur les modes d’exercice et les spécialités.
Niveau de preuve 5.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105737 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtEntraîner l’activité physique chez les personnes atteintes de cardiopathies congénitales : apparemment efficace, mais à confirmer / Dominique Monnin in Kinésithérapie, la revue, 248-249 (Aout-septembre 2022)
[article]
Titre : Entraîner l’activité physique chez les personnes atteintes de cardiopathies congénitales : apparemment efficace, mais à confirmer Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Monnin ; Colette Widmer Leu Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 31-32 Langues : Français (fre) Résumé : Les cardiopathies congénitales, anomalies du développement du cœur ou des vaisseaux intrathoraciques, présentent une prévalence à la naissance d’environ 1 %. Même si elle s’améliore régulièrement, la survie à long terme des personnes qui en sont atteintes reste réduite. Leur niveau de forme physique est limité et ce problème est fortement associé à l’évolution de leur santé. Il semble donc crucial qu’elles adoptent un mode de vie actif. Les recommandations actuelles préconisent 60minutes d’activité physique modérée à vigoureuse par jour chez les jeunes (<18 ans) et 150minutes par semaine chez les adultes en bonne santé.
Les interventions dans ce sens consistent habituellement à promouvoir l’activité physique (entretien motivationnel, fixation d’objectifs, etc.), à proposer des programmes d’exercices dans des centres de santé, ou les deux. Récemment, l’entraînement appareillé des muscles inspiratoires est venu compléter ces interventions. Mais il n’existe pas de consensus sur la manière d’améliorer l’activité physique et les capacités cardio-respiratoires chez les personnes atteintes de cardiopathie congénitale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105738
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 31-32[article] Entraîner l’activité physique chez les personnes atteintes de cardiopathies congénitales : apparemment efficace, mais à confirmer [texte imprimé] / Dominique Monnin ; Colette Widmer Leu . - 2022 . - p. 31-32.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 31-32
Résumé : Les cardiopathies congénitales, anomalies du développement du cœur ou des vaisseaux intrathoraciques, présentent une prévalence à la naissance d’environ 1 %. Même si elle s’améliore régulièrement, la survie à long terme des personnes qui en sont atteintes reste réduite. Leur niveau de forme physique est limité et ce problème est fortement associé à l’évolution de leur santé. Il semble donc crucial qu’elles adoptent un mode de vie actif. Les recommandations actuelles préconisent 60minutes d’activité physique modérée à vigoureuse par jour chez les jeunes (<18 ans) et 150minutes par semaine chez les adultes en bonne santé.
Les interventions dans ce sens consistent habituellement à promouvoir l’activité physique (entretien motivationnel, fixation d’objectifs, etc.), à proposer des programmes d’exercices dans des centres de santé, ou les deux. Récemment, l’entraînement appareillé des muscles inspiratoires est venu compléter ces interventions. Mais il n’existe pas de consensus sur la manière d’améliorer l’activité physique et les capacités cardio-respiratoires chez les personnes atteintes de cardiopathie congénitale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105738 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDéveloppement d’un nouvel outil de communication « enfant-thérapeute » pour améliorer la motivation en rééducation : KID’EM / Fanny Breton in Kinésithérapie, la revue, 248-249 (Aout-septembre 2022)
[article]
Titre : Développement d’un nouvel outil de communication « enfant-thérapeute » pour améliorer la motivation en rééducation : KID’EM Type de document : texte imprimé Auteurs : Fanny Breton ; Rodolphe Bailly ; Laeticia Houx ; Sylvain Brochard Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 33-40 Langues : Français (fre) Résumé : Introduction
La co-construction (enfant-thérapeute) des objectifs ainsi que l’identification des facilitateurs et des obstacles à l’engagement sont des clés connues en rééducation/réadaptation, mais peu mises en œuvre. Elles permettent pourtant de maximiser la motivation et l’engagement de l’enfant. Le but de cette étude était de développer un nouvel outil de communication enfant-thérapeute qui respecte ces 3 concepts et soit utilisable en routine clinique.
Méthode
Huit experts ont développé KID’EM. Il comporte les items « connaissance de l’enfant », « besoins », « objectifs SMART1 », « moyens thérapeutiques » au recto, et les « facteurs favorisants » et « potentiels obstacles » représentés en une carte conceptuelle au verso. Cinquante enfants, toutes pathologies confondues, (moyenne d’âge 11,1 ans (1,5–17), sex ratio=1), en traitement auprès de 13 kinésithérapeutes pédiatriques (8 femmes, moyenne d’âge=37 ans, 46 % en cabinet libéral, 54 % en structure de soins de suite et réadaptation pédiatrique) ont évalué KID’EM et ont fait un retour d’expérience sur des questionnaires préétablis.
Résultats
KID’EM a été considéré comme utile pour 78 % des enfants, en particulier au cours de leur traitement. Dans 49 cas sur 50, les thérapeutes ont affirmé que KID’EM leur avait permis de repérer les facteurs de motivation et de démotivation de l’enfant. La majorité des thérapeutes atteste l’utilité de KID’EM et le recommande en pratique clinique. KID’EM a aussi été majoritairement jugé compatible avec l’activité d’un kinésithérapeute. Seuls 29 % des objectifs correspondaient objectivement aux 5 critères SMART. Le profil d’enfant rapporté comme le plus adapté à KID’EM est celui d’un enfant de 6 à 14 ans, suivi au long cours et sans déficience intellectuelle.
Discussion
KID’EM répond à l’objectif d’une facilitation de communication entre l’enfant et son thérapeute et permet de co-construire des objectifs thérapeutiques. Il se différencie des outils similaires décrits dans la littérature par sa simplicité et la rapidité de sa mise en œuvre. Les thérapeutes doivent cependant être sensibilisés et formés au préalable à la détermination des objectifs selon le modèle SMART.
1Spécifique, Mesurable, Acceptable, Réaliste, Temporellement défini.
Niveau de preuve 5.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105739
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 33-40[article] Développement d’un nouvel outil de communication « enfant-thérapeute » pour améliorer la motivation en rééducation : KID’EM [texte imprimé] / Fanny Breton ; Rodolphe Bailly ; Laeticia Houx ; Sylvain Brochard . - 2022 . - p. 33-40.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 33-40
Résumé : Introduction
La co-construction (enfant-thérapeute) des objectifs ainsi que l’identification des facilitateurs et des obstacles à l’engagement sont des clés connues en rééducation/réadaptation, mais peu mises en œuvre. Elles permettent pourtant de maximiser la motivation et l’engagement de l’enfant. Le but de cette étude était de développer un nouvel outil de communication enfant-thérapeute qui respecte ces 3 concepts et soit utilisable en routine clinique.
Méthode
Huit experts ont développé KID’EM. Il comporte les items « connaissance de l’enfant », « besoins », « objectifs SMART1 », « moyens thérapeutiques » au recto, et les « facteurs favorisants » et « potentiels obstacles » représentés en une carte conceptuelle au verso. Cinquante enfants, toutes pathologies confondues, (moyenne d’âge 11,1 ans (1,5–17), sex ratio=1), en traitement auprès de 13 kinésithérapeutes pédiatriques (8 femmes, moyenne d’âge=37 ans, 46 % en cabinet libéral, 54 % en structure de soins de suite et réadaptation pédiatrique) ont évalué KID’EM et ont fait un retour d’expérience sur des questionnaires préétablis.
Résultats
KID’EM a été considéré comme utile pour 78 % des enfants, en particulier au cours de leur traitement. Dans 49 cas sur 50, les thérapeutes ont affirmé que KID’EM leur avait permis de repérer les facteurs de motivation et de démotivation de l’enfant. La majorité des thérapeutes atteste l’utilité de KID’EM et le recommande en pratique clinique. KID’EM a aussi été majoritairement jugé compatible avec l’activité d’un kinésithérapeute. Seuls 29 % des objectifs correspondaient objectivement aux 5 critères SMART. Le profil d’enfant rapporté comme le plus adapté à KID’EM est celui d’un enfant de 6 à 14 ans, suivi au long cours et sans déficience intellectuelle.
Discussion
KID’EM répond à l’objectif d’une facilitation de communication entre l’enfant et son thérapeute et permet de co-construire des objectifs thérapeutiques. Il se différencie des outils similaires décrits dans la littérature par sa simplicité et la rapidité de sa mise en œuvre. Les thérapeutes doivent cependant être sensibilisés et formés au préalable à la détermination des objectifs selon le modèle SMART.
1Spécifique, Mesurable, Acceptable, Réaliste, Temporellement défini.
Niveau de preuve 5.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105739 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtExcision et représentations : quel impact en rééducation périnéale ? / Solène Mairesse in Kinésithérapie, la revue, 248-249 (Aout-septembre 2022)
[article]
Titre : Excision et représentations : quel impact en rééducation périnéale ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Solène Mairesse Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 42-45 Langues : Français (fre) Résumé : Les mutilations sexuelles féminines (MSF) concernaient 200 millions de femmes dans le monde en 2016 selon l’UNICEF. L’OMS les a définies comme « les interventions aboutissant à une ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme et/ou toute autre lésion des organes génitaux féminins pratiquée à des fins non thérapeutiques ». La classification de l’OMS de 2007 décrit 4 types de MSF, pratiquées sur tous les continents, mais plus fréquentes en Afrique et en Asie du Sud-Est. Le type II, l’« excision du clitoris avec excision partielle ou totale des petites lèvres », appelé « excision », désigne souvent les MSF en général dans le langage courant. En France, pays d’immigration, les MSF sont interdites, pénalisées et ainsi parfois sous-déclarées, ce qui rend difficile l’estimation de leur prévalence.
Leurs conséquences, outre les conséquences psychologiques, peuvent être immédiates ou à long terme. Parmi elles, des douleurs périnéales chroniques, des infections génitales, pelviennes et urinaires, des dysfonctions sexuelles et des complications obstétricales. Le tissu cicatriciel étant relativement inélastique, le risque de déchirures du périnée, de troubles urinaires ou de douleurs périnéales est augmenté dans le cadre du post-partum, après un accouchement par voie basse. Ces troubles peuvent justifier une rééducation périnéale, ce qui potentialise la rencontre entre un masseur-kinésithérapeute (MK) qui pratique ce type de rééducation et une patiente excisée. Un phénomène d’hypertonie périnéale serait parfois associé aux MSF, posant alors la question d’une possible adaptation de la rééducation périnéale, d’un point de vue technique et matériel, pour les femmes excisées.
Piaget définit l’adaptation comme « un équilibre des échanges entre le sujet et les objets ». Ce concept est complété par la théorie du « niveau d’adaptation » d’Helson, selon laquelle le jugement d’un individu par rapport à un stimulus est basé sur ses expériences antérieures. L’adaptation sociale, « les mécanismes par lesquels un individu se rend apte à appartenir à un groupe », est intriquée au concept d’intégration sociale. Ainsi, selon Boudon, « pour être accepté, l’individu doit partager jusqu’à un certain point les valeurs, opinions et attitudes du groupe » qui ne doivent pas venir « contredire des opinions et attitudes auxquelles l’individu tient parce qu’elles lui permettent de confirmer son appartenance à d’autres groupes ». Cette assertion conforte l’expérience de Shérif, dans laquelle les sujets font converger leurs estimations pour s’ajuster à une norme établie par le groupe et ne reflétant pas la réalité objective. L’excision, interdite en France, constitue une pratique qui porte atteinte à l’intégrité corporelle de la femme, pour citer la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Cela amènerait les opinions et attitudes d’un praticien formé dans ce pays à se confronter, lors des séances, aux représentations de la patiente au sujet de l’excision. Des adaptations concernant la manière dont le thérapeute va communiquer de manière verbale et non-verbale sont susceptibles d’être mises en place, impactant directement la relation de soin.D’après Jodelet, les représentations correspondent à des « formes de connaissance, dites de sens commun, socialement élaborées et partagées » qui, « constituées à partir des expériences, des informations, des savoirs, des modèles de pensée », ont « une visée pratique d’organisation, de compréhension et d’orientation des conduites ». Elles « agissent comme des grilles de lecture et des guides d’action » [13]. On en distingue trois types : individuelles, collectives et sociales [14]. Leurs fonctions « identitaire », de « savoir » et « justificatrice » permettent de s’adapter concrètement à des situations sociales [15]. On peut ainsi supposer que les représentations liées au corps, à l’intime et à la pudeur, à la sphère sexuelle, à la douleur ainsi que les tabous culturels et les données épidémiologiques de l’excision interagissent dans le cadre de la relation thérapeutique praticien-patiente excisée dans un contexte où la langue peut représenter une barrière.L’objectif de cette étude était de déterminer comment les représentations des MK influencent le traitement d’une patiente excisée en rééducation périnéale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105740
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 42-45[article] Excision et représentations : quel impact en rééducation périnéale ? [texte imprimé] / Solène Mairesse . - 2022 . - p. 42-45.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 42-45
Résumé : Les mutilations sexuelles féminines (MSF) concernaient 200 millions de femmes dans le monde en 2016 selon l’UNICEF. L’OMS les a définies comme « les interventions aboutissant à une ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme et/ou toute autre lésion des organes génitaux féminins pratiquée à des fins non thérapeutiques ». La classification de l’OMS de 2007 décrit 4 types de MSF, pratiquées sur tous les continents, mais plus fréquentes en Afrique et en Asie du Sud-Est. Le type II, l’« excision du clitoris avec excision partielle ou totale des petites lèvres », appelé « excision », désigne souvent les MSF en général dans le langage courant. En France, pays d’immigration, les MSF sont interdites, pénalisées et ainsi parfois sous-déclarées, ce qui rend difficile l’estimation de leur prévalence.
Leurs conséquences, outre les conséquences psychologiques, peuvent être immédiates ou à long terme. Parmi elles, des douleurs périnéales chroniques, des infections génitales, pelviennes et urinaires, des dysfonctions sexuelles et des complications obstétricales. Le tissu cicatriciel étant relativement inélastique, le risque de déchirures du périnée, de troubles urinaires ou de douleurs périnéales est augmenté dans le cadre du post-partum, après un accouchement par voie basse. Ces troubles peuvent justifier une rééducation périnéale, ce qui potentialise la rencontre entre un masseur-kinésithérapeute (MK) qui pratique ce type de rééducation et une patiente excisée. Un phénomène d’hypertonie périnéale serait parfois associé aux MSF, posant alors la question d’une possible adaptation de la rééducation périnéale, d’un point de vue technique et matériel, pour les femmes excisées.
Piaget définit l’adaptation comme « un équilibre des échanges entre le sujet et les objets ». Ce concept est complété par la théorie du « niveau d’adaptation » d’Helson, selon laquelle le jugement d’un individu par rapport à un stimulus est basé sur ses expériences antérieures. L’adaptation sociale, « les mécanismes par lesquels un individu se rend apte à appartenir à un groupe », est intriquée au concept d’intégration sociale. Ainsi, selon Boudon, « pour être accepté, l’individu doit partager jusqu’à un certain point les valeurs, opinions et attitudes du groupe » qui ne doivent pas venir « contredire des opinions et attitudes auxquelles l’individu tient parce qu’elles lui permettent de confirmer son appartenance à d’autres groupes ». Cette assertion conforte l’expérience de Shérif, dans laquelle les sujets font converger leurs estimations pour s’ajuster à une norme établie par le groupe et ne reflétant pas la réalité objective. L’excision, interdite en France, constitue une pratique qui porte atteinte à l’intégrité corporelle de la femme, pour citer la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Cela amènerait les opinions et attitudes d’un praticien formé dans ce pays à se confronter, lors des séances, aux représentations de la patiente au sujet de l’excision. Des adaptations concernant la manière dont le thérapeute va communiquer de manière verbale et non-verbale sont susceptibles d’être mises en place, impactant directement la relation de soin.D’après Jodelet, les représentations correspondent à des « formes de connaissance, dites de sens commun, socialement élaborées et partagées » qui, « constituées à partir des expériences, des informations, des savoirs, des modèles de pensée », ont « une visée pratique d’organisation, de compréhension et d’orientation des conduites ». Elles « agissent comme des grilles de lecture et des guides d’action » [13]. On en distingue trois types : individuelles, collectives et sociales [14]. Leurs fonctions « identitaire », de « savoir » et « justificatrice » permettent de s’adapter concrètement à des situations sociales [15]. On peut ainsi supposer que les représentations liées au corps, à l’intime et à la pudeur, à la sphère sexuelle, à la douleur ainsi que les tabous culturels et les données épidémiologiques de l’excision interagissent dans le cadre de la relation thérapeutique praticien-patiente excisée dans un contexte où la langue peut représenter une barrière.L’objectif de cette étude était de déterminer comment les représentations des MK influencent le traitement d’une patiente excisée en rééducation périnéale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105740 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtTest de 10 mètres de marche / Simone Gafner in Kinésithérapie, la revue, 248-249 (Aout-septembre 2022)
[article]
Titre : Test de 10 mètres de marche Type de document : texte imprimé Auteurs : Simone Gafner ; Anne-Violette Bruyneel Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 46-49 Langues : Français (fre) Mots-clés : Test de la marche Résumé : La marche est une activité essentielle de l’être humain, indépendamment du genre, de l’âge ou des conditions de santé [1]. Son évaluation est primordiale car une dégradation de la marche est souvent liée à une diminution de la santé. Fritz et al . (2009) proposent que le test de vitesse de marche soit considéré comme le sixième signe clinique vital, après la pression artérielle, la fréquence cardiaque et respiratoire, la température et la saturation en oxygène [2]. Une vitesse de marche ralentie serait prédictive d’une dépendance fonctionnelle, de la fragilité, du déclin des capacités cognitives, de la dépression, du risque de chutes, des troubles cardio-respiratoires, de la sarcopénie et de la mortalité [3, 4]. Dès lors, cette évaluation est particulièrement pertinente et devrait être systématiquement proposée dans le suivi habituel des patients, au même titre que la tension artérielle ou le bilan sanguin. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105741
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 46-49[article] Test de 10 mètres de marche [texte imprimé] / Simone Gafner ; Anne-Violette Bruyneel . - 2022 . - p. 46-49.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 248-249 (Aout-septembre 2022) . - p. 46-49
Mots-clés : Test de la marche Résumé : La marche est une activité essentielle de l’être humain, indépendamment du genre, de l’âge ou des conditions de santé [1]. Son évaluation est primordiale car une dégradation de la marche est souvent liée à une diminution de la santé. Fritz et al . (2009) proposent que le test de vitesse de marche soit considéré comme le sixième signe clinique vital, après la pression artérielle, la fréquence cardiaque et respiratoire, la température et la saturation en oxygène [2]. Une vitesse de marche ralentie serait prédictive d’une dépendance fonctionnelle, de la fragilité, du déclin des capacités cognitives, de la dépression, du risque de chutes, des troubles cardio-respiratoires, de la sarcopénie et de la mortalité [3, 4]. Dès lors, cette évaluation est particulièrement pertinente et devrait être systématiquement proposée dans le suivi habituel des patients, au même titre que la tension artérielle ou le bilan sanguin. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105741 Exemplaires (1)
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