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Les spécificités hormonales de la sportive de haut niveau : adapter la prise en charge pour optimiser la performance / C. Enea in Science & sports, Vol.37 N°2 (avril 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 83-93 Titre : Les spécificités hormonales de la sportive de haut niveau : adapter la prise en charge pour optimiser la performance Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Enea ; C. Arc ; N. Delpech Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 83-93 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sportives  Performance  Cycle menstruel  Contraceptifs oraux  Troubles du cycle Résumé : Objectifs Faire une synthèse des connaissances actuelles concernant 1) les effets du cycle menstruel et de la prise de contraceptifs oraux sur la performance sportive, 2) les troubles du cycle susceptibles d’avoir un effet délétère sur la performance et la santé de la sportive de haut niveau. Proposer des recommandations pour améliorer la prise en charge de la sportive. Actualités Alors que le taux de participation des femmes ne cesse d’augmenter dans les compétitions internationales, les spécificités hormonales et leurs effets sur la performance de la sportive sont encore mal connues du milieu sportif et par conséquent peu prises en compte dans la gestion de l’entrainement. D’autre part, selon leur origine, certains troubles du cycle peuvent durablement impacter la performance et la santé de la sportive et doivent donc être corrigés. Perspectives et projets De nombreuses inconnues subsistent concernant l’intérêt de périodiser l’entrainement en fonction des variations hormonales du cycle menstruel ou de privilégier l’utilisation de certains contraceptifs oraux chez les sportives de haut niveau. Davantage d’études sur la population féminine sportive devraient être réalisées dans le futur pour mieux comprendre les effets du statut hormonal sur la réponse à l’entrainement. Conclusion Une meilleure connaissance des spécificités féminines par le milieu sportif permettrait d’adapter la prise en charge des sportives de haut niveau et d’optimiser dans certains cas leurs performances. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103247 [article] Les spécificités hormonales de la sportive de haut niveau : adapter la prise en charge pour optimiser la performance [texte imprimé] / C. Enea ; C. Arc ; N. Delpech . - 2022 . - p. 83-93. Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 83-93 Mots-clés : Sportives  Performance  Cycle menstruel  Contraceptifs oraux  Troubles du cycle Résumé : Objectifs Faire une synthèse des connaissances actuelles concernant 1) les effets du cycle menstruel et de la prise de contraceptifs oraux sur la performance sportive, 2) les troubles du cycle susceptibles d’avoir un effet délétère sur la performance et la santé de la sportive de haut niveau. Proposer des recommandations pour améliorer la prise en charge de la sportive. Actualités Alors que le taux de participation des femmes ne cesse d’augmenter dans les compétitions internationales, les spécificités hormonales et leurs effets sur la performance de la sportive sont encore mal connues du milieu sportif et par conséquent peu prises en compte dans la gestion de l’entrainement. D’autre part, selon leur origine, certains troubles du cycle peuvent durablement impacter la performance et la santé de la sportive et doivent donc être corrigés. Perspectives et projets De nombreuses inconnues subsistent concernant l’intérêt de périodiser l’entrainement en fonction des variations hormonales du cycle menstruel ou de privilégier l’utilisation de certains contraceptifs oraux chez les sportives de haut niveau. Davantage d’études sur la population féminine sportive devraient être réalisées dans le futur pour mieux comprendre les effets du statut hormonal sur la réponse à l’entrainement. Conclusion Une meilleure connaissance des spécificités féminines par le milieu sportif permettrait d’adapter la prise en charge des sportives de haut niveau et d’optimiser dans certains cas leurs performances. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103247

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Way for improvement: Primary survey on concussion knowledge of sports stakeholders in three European countries / A. Thibaut in Science & sports, Vol.37 N°2 (avril 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 94-100 Titre : Way for improvement: Primary survey on concussion knowledge of sports stakeholders in three European countries Titre original : Pistes d’amélioration : enquête primaire sur la connaissance des commotions cérébrales chez les acteurs du sport dans trois pays européens Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Thibaut ; J.F. Kaux ; G. Martens ; A. Urhausen ; P. Tscholl ; D. Hannouche ; S. Le Garrec ; M. Crema ; L. Winkler ; J. Cabri ; S. Leclerc Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 94-100 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Commotion cérébrale  Sport  Athlète  Traumatisme cérébral léger Résumé : Objectif Évaluer les connaissances sur la gestion des commotions cérébrales dans trois pays participant au groupe ReFORM. Méthodes Dans cette enquête transversale, la population cible était constituée de quatre-vingt-cinq participants à une conférence éducative sur la gestion des commotions cérébrales donnée en Suisse, au Luxembourg et en Belgique en septembre 2019. Trente-huit participants sur 85 (45 %) ont complété une enquête anonyme en ligne. Ils ont répondu à 22 questions à choix multiples concernant leurs connaissances sur le diagnostic, la gestion et le traitement des commotions cérébrales avant la conférence. Deux personnes ont été exclues (ne travaillant pas dans le sport et n’étant pas des professionnels de la santé). L’échantillon se composait de médecins (28 %), de professionnels de la santé (41,5 %), d’entraîneurs (14 %), de préparateurs physiques (5,5 %) ou d’intervenants occupant différents postes dans le sport (11 %). Le nombre d’années de travail dans le sport variait de 34 %>15 ans, 41 % pour 5–15 ans et 25 % pour 0–4 ans. Le niveau de sport dans lequel ils travaillaient comprenait les milieux récréatifs, internationaux et professionnels. Résultats Au total, 50 % des participants ne connaissaient pas les directives internationales pour la gestion des commotions cérébrales, 76 % et 83 % ne connaissaient pas les protocoles de « retour au sport » et de « retour à l’apprentissage », respectivement. Quatre-vingt-douze pour cent ont répondu qu’un programme d’éducation pour les athlètes serait nécessaire. D’importantes divergences ont été constatées sur la question de savoir qui est responsable de la reconnaissance et du diagnostic des commotions cérébrales (par exemple, le médecin, le kinésithérapeute ou l’entraîneur), sur les outils d’évaluation et ainsi que sur la prise en charge. Conclusion Cette enquête pilote souligne le manque de connaissances communes sur le diagnostic, la prise en charge et le traitement des commotions cérébrales. Une enquête plus large est en cours pour mieux identifier les besoins spécifiques de chaque pays du groupe ReFORM et proposer des programmes de formation adaptés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103248 [article] Way for improvement: Primary survey on concussion knowledge of sports stakeholders in three European countries = Pistes d’amélioration : enquête primaire sur la connaissance des commotions cérébrales chez les acteurs du sport dans trois pays européens [texte imprimé] / A. Thibaut ; J.F. Kaux ; G. Martens ; A. Urhausen ; P. Tscholl ; D. Hannouche ; S. Le Garrec ; M. Crema ; L. Winkler ; J. Cabri ; S. Leclerc . - 2022 . - p. 94-100. Langues : Anglais (eng) in Science & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 94-100 Mots-clés : Commotion cérébrale  Sport  Athlète  Traumatisme cérébral léger Résumé : Objectif Évaluer les connaissances sur la gestion des commotions cérébrales dans trois pays participant au groupe ReFORM. Méthodes Dans cette enquête transversale, la population cible était constituée de quatre-vingt-cinq participants à une conférence éducative sur la gestion des commotions cérébrales donnée en Suisse, au Luxembourg et en Belgique en septembre 2019. Trente-huit participants sur 85 (45 %) ont complété une enquête anonyme en ligne. Ils ont répondu à 22 questions à choix multiples concernant leurs connaissances sur le diagnostic, la gestion et le traitement des commotions cérébrales avant la conférence. Deux personnes ont été exclues (ne travaillant pas dans le sport et n’étant pas des professionnels de la santé). L’échantillon se composait de médecins (28 %), de professionnels de la santé (41,5 %), d’entraîneurs (14 %), de préparateurs physiques (5,5 %) ou d’intervenants occupant différents postes dans le sport (11 %). Le nombre d’années de travail dans le sport variait de 34 %>15 ans, 41 % pour 5–15 ans et 25 % pour 0–4 ans. Le niveau de sport dans lequel ils travaillaient comprenait les milieux récréatifs, internationaux et professionnels. Résultats Au total, 50 % des participants ne connaissaient pas les directives internationales pour la gestion des commotions cérébrales, 76 % et 83 % ne connaissaient pas les protocoles de « retour au sport » et de « retour à l’apprentissage », respectivement. Quatre-vingt-douze pour cent ont répondu qu’un programme d’éducation pour les athlètes serait nécessaire. D’importantes divergences ont été constatées sur la question de savoir qui est responsable de la reconnaissance et du diagnostic des commotions cérébrales (par exemple, le médecin, le kinésithérapeute ou l’entraîneur), sur les outils d’évaluation et ainsi que sur la prise en charge. Conclusion Cette enquête pilote souligne le manque de connaissances communes sur le diagnostic, la prise en charge et le traitement des commotions cérébrales. Une enquête plus large est en cours pour mieux identifier les besoins spécifiques de chaque pays du groupe ReFORM et proposer des programmes de formation adaptés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103248

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Exercise targeted on maximal lipid oxidation has long-term weight-reducing effects but improves insulin secretion and lipid oxidation before reducing fat mass / E. Varlet-Marie in Science & sports, Vol.37 N°2 (avril 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 101-112 Titre : Exercise targeted on maximal lipid oxidation has long-term weight-reducing effects but improves insulin secretion and lipid oxidation before reducing fat mass Titre original : L’exercice ciblé sur l’oxydation maximale des lipides détermine une perte de poids à long terme et améliore la sécrétion d’insuline et l’oxydation des lipides avant de réduire la masse grasse Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Varlet-Marie ; J.-F. Brun ; J. Myzia ; G. Bui ; A. Chérif ; E. Javernaud ; L. Hammoudi ; J. Mercier Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 101-112 Langues : Français (fre) Mots-clés : Entraînement en endurance  Oxydation lipidique  Sécrétion d’insuline  Sensibilité à l’insuline  Modèle minimal  Test du petit-déjeuner  Perte de poids  LIPOXmax  FATmax Résumé : Introduction et objectif L’entraînement physique à faible intensité dans la zone où l’oxydation lipidique atteint un maximum (entraînement au LIPOXmax) réduit progressivement le poids corporel et améliore à la fois le métabolisme des glucides et des lipides. Nous avons étudié chez des patients suivis pour un entraînement LIPOXmax à long terme quels étaient ses effets sur le poids corporel après 4ans et quels étaient les premiers effets de 10 semaines d’entraînement sur l’oxydation des lipides à l’exercice et sur les paramètres de sécrétion d’insuline et d’assimilation du glucose mesurés lors d’un repas-test standardisé. Méthodes Nous présentons donc ici l’extension sur 4ans d’une série de 28 sujets obèses précédemment suivis sur 3ans pour évaluer les effets à long terme sur le poids corporel de l’entraînement au LIPOXmax. Dans un sous-groupe de 14 patients participant à un tel protocole de formation, un test de petit-déjeuner avec une analyse par le minimal model de la sécrétion d’insuline et de la sensibilité à l’insuline ainsi qu’une calorimétrie à l’effort ont été réalisés avant et après 10 semaines d’entraînement ciblé. Résultats Sur 48 mois, les patients avaient perdu en moyenne −8,37±1,74kg, soit −9,42±1,93 % du poids initial (p<0,001). Entre 36 et 48 mois, la perte de poids était toujours en cours (en moyenne −0,2kg/mois). Le sous-groupe de 14 patients suivant un entraînement au LIPOXmax présentait après 10 semaines les modifications attendues de la composition corporelle chez seulement la moitié des sujets, tandis que la calorimétrie à l’effort montrait une amélioration de la capacité à oxyder les lipides pendant l’exercice (p=0,011) et une augmentation de la phase 1 de la sécrétion d’insuline (p=0,003). L’augmentation attendue de la sensibilité à l’insuline n’a été trouvée que chez 4 sujets et ces modifications de la sensibilité à l’insuline étaient négativement corrélées aux changements de masse grasse (r=−0,608, p=0,047) et également négativement corrélées aux changements de sensibilité au glucose des cellules bêta (qui quantifie la seconde phase de la sécrétion d’insuline) (r=−0,710, p=0,032). Il y avait également une corrélation entre les modifications du tour de taille et la sécrétion préhépatique totale d’insuline (r=−0,763, p=0,046). Conclusion L’entraînement physique effectué dans la zone d’oxydation lipidique maximale détermine une perte de poids prolongée sur plus de 4ans. Cette étude démontre également pour la première fois qu’il a des effets précoces sur le métabolisme qui deviennent significatifs avant même tout changement décelable de la composition corporelle. La sensibilité à l’insuline s’améliore lorsque la masse grasse diminue et elle-même corrélée à une diminution de la deuxième phase de sécrétion d’insuline. En revanche, la capacité à oxyder les lipides à l’exercice s’améliore plus précocement, de même que la phase 1 de la sécrétion d’insuline. Ainsi, l’entraînement au LIPOXmax améliore rapidement l’oxydation des lipides et la première phase de la sécrétion d’insuline, puis entraîne sur la durée une perte de poids qui va améliorer la sensibilité à l’insuline et corriger de ce fait l’excès d’insulinosécrétion associé à la résistance à l’insuline. Ces derniers effets ne sont pas totalement obtenus après 11 semaines. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103255 [article] Exercise targeted on maximal lipid oxidation has long-term weight-reducing effects but improves insulin secretion and lipid oxidation before reducing fat mass = L’exercice ciblé sur l’oxydation maximale des lipides détermine une perte de poids à long terme et améliore la sécrétion d’insuline et l’oxydation des lipides avant de réduire la masse grasse [texte imprimé] / E. Varlet-Marie ; J.-F. Brun ; J. Myzia ; G. Bui ; A. Chérif ; E. Javernaud ; L. Hammoudi ; J. Mercier . - 2022 . - p. 101-112. Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 101-112 Mots-clés : Entraînement en endurance  Oxydation lipidique  Sécrétion d’insuline  Sensibilité à l’insuline  Modèle minimal  Test du petit-déjeuner  Perte de poids  LIPOXmax  FATmax Résumé : Introduction et objectif L’entraînement physique à faible intensité dans la zone où l’oxydation lipidique atteint un maximum (entraînement au LIPOXmax) réduit progressivement le poids corporel et améliore à la fois le métabolisme des glucides et des lipides. Nous avons étudié chez des patients suivis pour un entraînement LIPOXmax à long terme quels étaient ses effets sur le poids corporel après 4ans et quels étaient les premiers effets de 10 semaines d’entraînement sur l’oxydation des lipides à l’exercice et sur les paramètres de sécrétion d’insuline et d’assimilation du glucose mesurés lors d’un repas-test standardisé. Méthodes Nous présentons donc ici l’extension sur 4ans d’une série de 28 sujets obèses précédemment suivis sur 3ans pour évaluer les effets à long terme sur le poids corporel de l’entraînement au LIPOXmax. Dans un sous-groupe de 14 patients participant à un tel protocole de formation, un test de petit-déjeuner avec une analyse par le minimal model de la sécrétion d’insuline et de la sensibilité à l’insuline ainsi qu’une calorimétrie à l’effort ont été réalisés avant et après 10 semaines d’entraînement ciblé. Résultats Sur 48 mois, les patients avaient perdu en moyenne −8,37±1,74kg, soit −9,42±1,93 % du poids initial (p<0,001). Entre 36 et 48 mois, la perte de poids était toujours en cours (en moyenne −0,2kg/mois). Le sous-groupe de 14 patients suivant un entraînement au LIPOXmax présentait après 10 semaines les modifications attendues de la composition corporelle chez seulement la moitié des sujets, tandis que la calorimétrie à l’effort montrait une amélioration de la capacité à oxyder les lipides pendant l’exercice (p=0,011) et une augmentation de la phase 1 de la sécrétion d’insuline (p=0,003). L’augmentation attendue de la sensibilité à l’insuline n’a été trouvée que chez 4 sujets et ces modifications de la sensibilité à l’insuline étaient négativement corrélées aux changements de masse grasse (r=−0,608, p=0,047) et également négativement corrélées aux changements de sensibilité au glucose des cellules bêta (qui quantifie la seconde phase de la sécrétion d’insuline) (r=−0,710, p=0,032). Il y avait également une corrélation entre les modifications du tour de taille et la sécrétion préhépatique totale d’insuline (r=−0,763, p=0,046). Conclusion L’entraînement physique effectué dans la zone d’oxydation lipidique maximale détermine une perte de poids prolongée sur plus de 4ans. Cette étude démontre également pour la première fois qu’il a des effets précoces sur le métabolisme qui deviennent significatifs avant même tout changement décelable de la composition corporelle. La sensibilité à l’insuline s’améliore lorsque la masse grasse diminue et elle-même corrélée à une diminution de la deuxième phase de sécrétion d’insuline. En revanche, la capacité à oxyder les lipides à l’exercice s’améliore plus précocement, de même que la phase 1 de la sécrétion d’insuline. Ainsi, l’entraînement au LIPOXmax améliore rapidement l’oxydation des lipides et la première phase de la sécrétion d’insuline, puis entraîne sur la durée une perte de poids qui va améliorer la sensibilité à l’insuline et corriger de ce fait l’excès d’insulinosécrétion associé à la résistance à l’insuline. Ces derniers effets ne sont pas totalement obtenus après 11 semaines. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103255

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Les blessures liées à la pratique du Breakdance : étude épidémiologique transversale descriptive chez les danseurs amateurs et professionnels de plus de dix-huit ans / F. Cousin in Science & sports, Vol.37 N°2 (avril 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 113-122 Titre : Les blessures liées à la pratique du Breakdance : étude épidémiologique transversale descriptive chez les danseurs amateurs et professionnels de plus de dix-huit ans Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Cousin ; F. Poisson Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 113-122 Langues : Français (fre) Mots-clés : Breakdance  Blessure  Épidémiologie  Danse  Poignet Résumé : Objectif L’objectif principal de cette étude était de déterminer l’incidence ainsi que la localisation anatomique des blessures chez les breakeurs amateurs et professionnels en France. Les objectifs secondaires étaient de rechercher l’existence de facteurs favorisant l’apparition des blessures ainsi que de décrire les mécanismes lésionnels des blessures du poignet. Méthode Quatre-vingt-quatorze danseurs ont été interrogés lors de compétitions et par internet à l’aide d’un questionnaire en deux parties. La première était réalisée en autonomie, la seconde sous forme d’entretien dirigé. Résultats Il y avait une incidence de 2,25 blessures pour 1000heures d’exposition. Les principales localisations des blessures étaient le poignet (20,31 %), la cheville (15,63 %), le genou (12,50 %), l’épaule (10,94 %) et le rachis cervical (10,16 %). Les mouvements les plus traumatiques étaient le thomas (poignets) suivi de la couronne (rachis cervical). Les principaux mécanismes lésionnels des blessures aux poignets étaient l’overuse (80 %) suivi du landing (20 %). Les danseurs faisant du renforcement musculaire encadré par un coach se blessaient moins que les autres (p=0,032). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103256 [article] Les blessures liées à la pratique du Breakdance : étude épidémiologique transversale descriptive chez les danseurs amateurs et professionnels de plus de dix-huit ans [texte imprimé] / F. Cousin ; F. Poisson . - 2022 . - p. 113-122. Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 113-122 Mots-clés : Breakdance  Blessure  Épidémiologie  Danse  Poignet Résumé : Objectif L’objectif principal de cette étude était de déterminer l’incidence ainsi que la localisation anatomique des blessures chez les breakeurs amateurs et professionnels en France. Les objectifs secondaires étaient de rechercher l’existence de facteurs favorisant l’apparition des blessures ainsi que de décrire les mécanismes lésionnels des blessures du poignet. Méthode Quatre-vingt-quatorze danseurs ont été interrogés lors de compétitions et par internet à l’aide d’un questionnaire en deux parties. La première était réalisée en autonomie, la seconde sous forme d’entretien dirigé. Résultats Il y avait une incidence de 2,25 blessures pour 1000heures d’exposition. Les principales localisations des blessures étaient le poignet (20,31 %), la cheville (15,63 %), le genou (12,50 %), l’épaule (10,94 %) et le rachis cervical (10,16 %). Les mouvements les plus traumatiques étaient le thomas (poignets) suivi de la couronne (rachis cervical). Les principaux mécanismes lésionnels des blessures aux poignets étaient l’overuse (80 %) suivi du landing (20 %). Les danseurs faisant du renforcement musculaire encadré par un coach se blessaient moins que les autres (p=0,032). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103256

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The spread of COVID-19 in athletes / M. You in Science & sports, Vol.37 N°2 (avril 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 123-130 Titre : The spread of COVID-19 in athletes Titre original : Diffusion du COVID-19 parmi les athlètes Type de document : texte imprimé Auteurs : M. You ; H. Liu ; Z. Wu Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 123-130 Langues : Français (fre) Mots-clés : COVID-19  SARS-CoV-2  Un sportif infecté  Diffusion  Démographique Résumé : Contexte/objectifs Rien qu’en mars 2020, plus de 100 athlètes auraient été infectés par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère, ce qui nous a amenés à étudier la propagation du COVID-19 et à élaborer des stratégies de prévention. Méthodologie Nous avons recueilli et analysé des données démographiques sur la nationalité, le sexe, l’âge, le nom, le projet sportif, le niveau de mouvement, l’origine et les causes de l’infection, la date de l’apparition ou de la confirmation de l’état positif, la date du rétablissement, l’emplacement de la contraction, les symptômes et les personnes infectées de 521 athlètes infectés. Au niveau mondial, à la fin de juillet 2020. Résultats Il y a 95,49 % d’hommes dans ce groupe ; 57,2 % sont âgés de 19 à 35 ans et l’âge moyen est de 23 ans. Au maximum, en mars 2020 (27,3 %) et en juin 2020 (30,1 %), 90,8 % étaient des athlètes actifs, 74,2 % des athlètes professionnels, 45,2 % des athlètes infectés présentaient des symptômes modérés et 30,6 % ne présentaient aucun symptôme. Au total, 23,1 % des cas sont mortels, dont les moins de 40 ans. Les athlètes infectés sont principalement le football (46,6 %), le football (15,9 %) et le basket-ball (10,9 %). Les athlètes infectés venaient principalement d’Europe occidentale et des États-Unis. Ces athlètes ont été infectés principalement aux États-Unis, en Europe occidentale et au Japon. La diffusion du COVID-19 parmi ces athlètes se fait principalement dans le cadre d’activités de formation et de compétition. Plus de 60 % des athlètes infectés ne savent pas d’où ils viennent infection. Conclusions Constatant que l’arrêt de l’entraînement et des compétitions, l’isolement des athlètes chez eux et la détection rapide permettent de contrôler efficacement la propagation du COVID-19 chez les athlètes, et recommandant aux athlètes de cesser de voyager à l’étranger, en particulier pour les pays à haut risque épidémiologique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103257 [article] The spread of COVID-19 in athletes = Diffusion du COVID-19 parmi les athlètes [texte imprimé] / M. You ; H. Liu ; Z. Wu . - 2022 . - p. 123-130. Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 123-130 Mots-clés : COVID-19  SARS-CoV-2  Un sportif infecté  Diffusion  Démographique Résumé : Contexte/objectifs Rien qu’en mars 2020, plus de 100 athlètes auraient été infectés par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère, ce qui nous a amenés à étudier la propagation du COVID-19 et à élaborer des stratégies de prévention. Méthodologie Nous avons recueilli et analysé des données démographiques sur la nationalité, le sexe, l’âge, le nom, le projet sportif, le niveau de mouvement, l’origine et les causes de l’infection, la date de l’apparition ou de la confirmation de l’état positif, la date du rétablissement, l’emplacement de la contraction, les symptômes et les personnes infectées de 521 athlètes infectés. Au niveau mondial, à la fin de juillet 2020. Résultats Il y a 95,49 % d’hommes dans ce groupe ; 57,2 % sont âgés de 19 à 35 ans et l’âge moyen est de 23 ans. Au maximum, en mars 2020 (27,3 %) et en juin 2020 (30,1 %), 90,8 % étaient des athlètes actifs, 74,2 % des athlètes professionnels, 45,2 % des athlètes infectés présentaient des symptômes modérés et 30,6 % ne présentaient aucun symptôme. Au total, 23,1 % des cas sont mortels, dont les moins de 40 ans. Les athlètes infectés sont principalement le football (46,6 %), le football (15,9 %) et le basket-ball (10,9 %). Les athlètes infectés venaient principalement d’Europe occidentale et des États-Unis. Ces athlètes ont été infectés principalement aux États-Unis, en Europe occidentale et au Japon. La diffusion du COVID-19 parmi ces athlètes se fait principalement dans le cadre d’activités de formation et de compétition. Plus de 60 % des athlètes infectés ne savent pas d’où ils viennent infection. Conclusions Constatant que l’arrêt de l’entraînement et des compétitions, l’isolement des athlètes chez eux et la détection rapide permettent de contrôler efficacement la propagation du COVID-19 chez les athlètes, et recommandant aux athlètes de cesser de voyager à l’étranger, en particulier pour les pays à haut risque épidémiologique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103257

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Prospective analysis of physical activity levels and associated fitness factors amid COVID-19 pandemic and social-distancing rules. A special focus on adolescents / R.K. Elnaggar in Science & sports, Vol.37 N°2 (avril 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 131-138 Titre : Prospective analysis of physical activity levels and associated fitness factors amid COVID-19 pandemic and social-distancing rules. A special focus on adolescents Titre original : Analyse prospective des niveaux d’activité physique et des facteurs de forme physique associés au milieu des règles de pandémie et de distance sociale COVID-19. Un accent particulier sur les adolescents Type de document : texte imprimé Auteurs : R.K. Elnaggar ; B.A. Alqahtani ; W.S. Mahmoud ; M.S. Elfakharany Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 131-138 Langues : Français (fre) Mots-clés : Santé physique  SARS-CoV-2  Capacité d’endurance aérobie  Littératie physique  Adolescents Résumé : Objectif L’activité physique est un déterminant important de la santé et est susceptible d’être influencée par les règles de distanciation sociale imposées par les autorités pendant la pandémie de COVID-19. Cette étude a exploré les différences basées sur le sexe dans les niveaux d’activité physique (PAL) et les facteurs associés au milieu de la pandémie de COVID-19 chez les adolescents. Méthodes Dans cette analyse prospective, 112 adolescents en bonne santé (15,63±1,21ans) ont participé. Ils ont été évalués au départ (avant l’annonce du COVID-19 en tant que pandémie mondiale) pour l’anthropométrie, le statut de forme physique et les PAL (PAL de référence), et ensuite lors du suivi (trois mois de règles de distanciation sociale imposées) pour les PAL (suivi-PAL) sur une plate-forme internet via le questionnaire sur l’activité physique pour adolescents. Résultats Une baisse significative des PAL a été mise en évidence pour l’ensemble de l’échantillon (p<,001) et une telle baisse a été principalement affectée par une réduction significative des PAL chez les hommes (p<,001) plutôt que chez les femmes (p=,06). Les variables de forme physique (puissance explosive, endurance musculaire, flexibilité et endurance aérobie) étaient constamment corrélées positivement avec les PAL de référence et de suivi chez les deux sexes avec des associations particulièrement importantes de PAL avec la puissance explosive et l’endurance aérobie. Conclusion La littératie physique est nécessaire pour la préservation des PAL, étant donné les diminutions remarquables des PAL chez les adolescents lors de circonstances difficiles telles que la pandémie de COVID-19. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103258 [article] Prospective analysis of physical activity levels and associated fitness factors amid COVID-19 pandemic and social-distancing rules. A special focus on adolescents = Analyse prospective des niveaux d’activité physique et des facteurs de forme physique associés au milieu des règles de pandémie et de distance sociale COVID-19. Un accent particulier sur les adolescents [texte imprimé] / R.K. Elnaggar ; B.A. Alqahtani ; W.S. Mahmoud ; M.S. Elfakharany . - 2022 . - p. 131-138. Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 131-138 Mots-clés : Santé physique  SARS-CoV-2  Capacité d’endurance aérobie  Littératie physique  Adolescents Résumé : Objectif L’activité physique est un déterminant important de la santé et est susceptible d’être influencée par les règles de distanciation sociale imposées par les autorités pendant la pandémie de COVID-19. Cette étude a exploré les différences basées sur le sexe dans les niveaux d’activité physique (PAL) et les facteurs associés au milieu de la pandémie de COVID-19 chez les adolescents. Méthodes Dans cette analyse prospective, 112 adolescents en bonne santé (15,63±1,21ans) ont participé. Ils ont été évalués au départ (avant l’annonce du COVID-19 en tant que pandémie mondiale) pour l’anthropométrie, le statut de forme physique et les PAL (PAL de référence), et ensuite lors du suivi (trois mois de règles de distanciation sociale imposées) pour les PAL (suivi-PAL) sur une plate-forme internet via le questionnaire sur l’activité physique pour adolescents. Résultats Une baisse significative des PAL a été mise en évidence pour l’ensemble de l’échantillon (p<,001) et une telle baisse a été principalement affectée par une réduction significative des PAL chez les hommes (p<,001) plutôt que chez les femmes (p=,06). Les variables de forme physique (puissance explosive, endurance musculaire, flexibilité et endurance aérobie) étaient constamment corrélées positivement avec les PAL de référence et de suivi chez les deux sexes avec des associations particulièrement importantes de PAL avec la puissance explosive et l’endurance aérobie. Conclusion La littératie physique est nécessaire pour la préservation des PAL, étant donné les diminutions remarquables des PAL chez les adolescents lors de circonstances difficiles telles que la pandémie de COVID-19. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103258

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