Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Philosophie magazine . 56Mention de date : février 2012 Paru le : 01/02/2012 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierLes marchés sont-ils bêtes et méchants? in Philosophie magazine, 56 (février 2012)
[article]
Titre : Les marchés sont-ils bêtes et méchants? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 34-59 Langues : Français (fre) Mots-clés : 336.7 Monnaie Banque Bourse 336 Finances 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs Résumé : Dossier : Les marchés sont-ils bêtes et méchants?
Les marchés financiers – avec leurs banquiers, leurs analystes surdiplômés – sont censés incarner le nec plus ultra de l’intelligence et de la prévoyance. L’argent, c’est eux qui savent comment l’investir, quand les élus de nos démocraties le gâchent… Mais la crise a brisé ce tableau idyllique : ceux-là mêmes qui exigent des États rigueur et économies serrées fonctionnent en réalité aux krachs, à la panique, se distribuent des bonus mirobolants tout en réclamant l’argent public en cas de pertes… Les marchés savent-ils où ils vont ? À y regarder de plus près, la théorie financière est parfaite, sauf qu’elle est biaisée – comme le rappelle le penseur norvégien Jon Elster – et que ses lacunes nous mènent potentiellement à la catastrophe. Le problème des traders est peut-être moins leur cupidité – réelle – que la limite de leurs croyances et un certain conformisme. La finance est donc un monstre rationnel, qu’il faut passer au crible d’une critique philosophique serrée si l’on veut avoir une chance de l’apprivoiser. P.S. : Que les derniers ultralibéraux se rassurent, à la fin de ce dossier, nous publions un panégyrique stimulant de la finance par l’inénarrable philosophe allemand Peter Sloterdijk, qui ne devrait pas passer inaperçu.
Note de contenu : * Les marchés sont-ils bêtes et méchants? Par Alexandre Lacroix
* Jon Elster. « Les économistes ont tendance à croire le marché aussi omniscient que Dieu ! »Par Martin Legros
Pour ses défenseurs, le marché se présente comme le « meilleur des mondes » de Leibniz, un monde purement rationnel, produit de façon mécanique sur la seule base de l’intérêt et du calcul. Pour le philosophe Jon Elster, il est temps de déconstruire ce mythe en réintégrant les émotions et la croyance dans la raison économique.
* Voyage à Ploutopia Par Alexandre Lacroix, Jean-François Duval
Le Grand Marché serait-il l’ultime utopie ? C’est en tout cas le dernier endroit où l’on communie encore en une raison pure et parfaite qui gouvernerait le monde. Soumettant ainsi la vie des sociétés à des décisions autistes et mortifères. Bienvenue à Ploutopia.
* L’homme est... un mouton pour l’homme
* Place à l’honneur économique ! Par Gabor Steingart, Torsten Riecke, Olivier Mannoni
Les financiers, premiers coupables de la déroute morale ? Pour Peter Sloterdijk, il ne faudrait pas exempter les États, débiteurs insolvables, de tous reproches. Provocant et visionnaire, il en appelle à un nouveau degré de civilisation qui, après « l’horreur économique », restaurerait le sens de l’honneur. Explications.
* le Golem à Wall Street
À la manière d’un monstre qui aurait échappé à son créateur, les marchés toisent aujourd’hui agressivement les politiques. Et nous posent un défi auquel il est difficile, et pourtant indispensable, de répondre.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101763
in Philosophie magazine > 56 (février 2012) . - p. 34-59[article] Les marchés sont-ils bêtes et méchants? [texte imprimé] . - 2012 . - p. 34-59.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 56 (février 2012) . - p. 34-59
Mots-clés : 336.7 Monnaie Banque Bourse 336 Finances 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs Résumé : Dossier : Les marchés sont-ils bêtes et méchants?
Les marchés financiers – avec leurs banquiers, leurs analystes surdiplômés – sont censés incarner le nec plus ultra de l’intelligence et de la prévoyance. L’argent, c’est eux qui savent comment l’investir, quand les élus de nos démocraties le gâchent… Mais la crise a brisé ce tableau idyllique : ceux-là mêmes qui exigent des États rigueur et économies serrées fonctionnent en réalité aux krachs, à la panique, se distribuent des bonus mirobolants tout en réclamant l’argent public en cas de pertes… Les marchés savent-ils où ils vont ? À y regarder de plus près, la théorie financière est parfaite, sauf qu’elle est biaisée – comme le rappelle le penseur norvégien Jon Elster – et que ses lacunes nous mènent potentiellement à la catastrophe. Le problème des traders est peut-être moins leur cupidité – réelle – que la limite de leurs croyances et un certain conformisme. La finance est donc un monstre rationnel, qu’il faut passer au crible d’une critique philosophique serrée si l’on veut avoir une chance de l’apprivoiser. P.S. : Que les derniers ultralibéraux se rassurent, à la fin de ce dossier, nous publions un panégyrique stimulant de la finance par l’inénarrable philosophe allemand Peter Sloterdijk, qui ne devrait pas passer inaperçu.
Note de contenu : * Les marchés sont-ils bêtes et méchants? Par Alexandre Lacroix
* Jon Elster. « Les économistes ont tendance à croire le marché aussi omniscient que Dieu ! »Par Martin Legros
Pour ses défenseurs, le marché se présente comme le « meilleur des mondes » de Leibniz, un monde purement rationnel, produit de façon mécanique sur la seule base de l’intérêt et du calcul. Pour le philosophe Jon Elster, il est temps de déconstruire ce mythe en réintégrant les émotions et la croyance dans la raison économique.
* Voyage à Ploutopia Par Alexandre Lacroix, Jean-François Duval
Le Grand Marché serait-il l’ultime utopie ? C’est en tout cas le dernier endroit où l’on communie encore en une raison pure et parfaite qui gouvernerait le monde. Soumettant ainsi la vie des sociétés à des décisions autistes et mortifères. Bienvenue à Ploutopia.
* L’homme est... un mouton pour l’homme
* Place à l’honneur économique ! Par Gabor Steingart, Torsten Riecke, Olivier Mannoni
Les financiers, premiers coupables de la déroute morale ? Pour Peter Sloterdijk, il ne faudrait pas exempter les États, débiteurs insolvables, de tous reproches. Provocant et visionnaire, il en appelle à un nouveau degré de civilisation qui, après « l’horreur économique », restaurerait le sens de l’honneur. Explications.
* le Golem à Wall Street
À la manière d’un monstre qui aurait échappé à son créateur, les marchés toisent aujourd’hui agressivement les politiques. Et nous posent un défi auquel il est difficile, et pourtant indispensable, de répondre.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSocrate in Philosophie magazine, 56 (février 2012)
[article]
Titre : Socrate Type de document : texte imprimé Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 68-79 + livret (16 p.) Langues : Français (fre) Mots-clés : 929 Socrate Résumé : Le grand auteur : Socrate
Faites entrer l’accusé. Nom : Socrate. Occupation : philosophe. Délits : impiété et corruption de la jeunesse. Peine votée par les juges : la mort. Tout commence par le procès intenté par Athènes en 399 av. J.-C. Pourquoi Socrate a-t-il été condamné à boire la ciguë ? Pour le comprendre, il faut mener l’enquête sur le sage le plus célèbre de l’Antiquité. Le premier, Socrate s’appuie sur la raison pour scruter l’âme des hommes et confond ses interlocuteurs avec une ironie mordante. On peut voir aussi bien en lui un moraliste, un sceptique, un inclassable à l’inquiétante étrangeté, un shaman… Alors, de quoi est-il coupable, au juste ? Peut-être d’avoir trouvé dans la philosophie une raison de vivre… et de mourir.
Note de contenu : Articles :
* Socrate. La sagesse assassin(é)e Par Cécilia Bognon-Küss
* L’âme déshabillée Par Jean-François Balaudé
Flânant dans les rues d’Athènes, Socrate mène une enquête sans concession sur ses concitoyens. Avec une ironie féroce et un art redoutable de la réfutation, il traque les évidences, abat leurs assurances et les engage à se préoccuper uniquement du bien.
Ironie, Maïeutique, Mise à l’épreuve, Connaissance et souci de soi, Démon, Vertu, Technique
* François Roustang. «Dernier shaman, premier philosophe» Par François Roustang
On n’imagine pas Socrate marmonnant des incantations et agitant des breloques. Pourtant, son usage du langage a troublé les esprits aussi efficacement que la plus puissante drogue psychédélique. Ainsi, tel un guérisseur, il permet à nos existences de retrouver un certain équilibre.
* Platon m’a tuer. Par Martin Duru
Vrai / F. Schiffter - Faux / JF. Mattéi
+ livret 56, Apologie de Socrate de Platon : extraits, préface de Nicoals Grimaldi, 15 p.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101764
in Philosophie magazine > 56 (février 2012) . - p. 68-79 + livret (16 p.)[article] Socrate [texte imprimé] . - 2012 . - p. 68-79 + livret (16 p.).
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 56 (février 2012) . - p. 68-79 + livret (16 p.)
Mots-clés : 929 Socrate Résumé : Le grand auteur : Socrate
Faites entrer l’accusé. Nom : Socrate. Occupation : philosophe. Délits : impiété et corruption de la jeunesse. Peine votée par les juges : la mort. Tout commence par le procès intenté par Athènes en 399 av. J.-C. Pourquoi Socrate a-t-il été condamné à boire la ciguë ? Pour le comprendre, il faut mener l’enquête sur le sage le plus célèbre de l’Antiquité. Le premier, Socrate s’appuie sur la raison pour scruter l’âme des hommes et confond ses interlocuteurs avec une ironie mordante. On peut voir aussi bien en lui un moraliste, un sceptique, un inclassable à l’inquiétante étrangeté, un shaman… Alors, de quoi est-il coupable, au juste ? Peut-être d’avoir trouvé dans la philosophie une raison de vivre… et de mourir.
Note de contenu : Articles :
* Socrate. La sagesse assassin(é)e Par Cécilia Bognon-Küss
* L’âme déshabillée Par Jean-François Balaudé
Flânant dans les rues d’Athènes, Socrate mène une enquête sans concession sur ses concitoyens. Avec une ironie féroce et un art redoutable de la réfutation, il traque les évidences, abat leurs assurances et les engage à se préoccuper uniquement du bien.
Ironie, Maïeutique, Mise à l’épreuve, Connaissance et souci de soi, Démon, Vertu, Technique
* François Roustang. «Dernier shaman, premier philosophe» Par François Roustang
On n’imagine pas Socrate marmonnant des incantations et agitant des breloques. Pourtant, son usage du langage a troublé les esprits aussi efficacement que la plus puissante drogue psychédélique. Ainsi, tel un guérisseur, il permet à nos existences de retrouver un certain équilibre.
* Platon m’a tuer. Par Martin Duru
Vrai / F. Schiffter - Faux / JF. Mattéi
+ livret 56, Apologie de Socrate de Platon : extraits, préface de Nicoals Grimaldi, 15 p.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101764 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSouleymane Bachir Diagne. «L'œuvre de civilisation vient de commencer» / Souleymane Bachir Diagne in Philosophie magazine, 56 (février 2012)
[article]
Titre : Souleymane Bachir Diagne. «L'œuvre de civilisation vient de commencer» Type de document : texte imprimé Auteurs : Souleymane Bachir Diagne, Personne interviewée Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 60-65 Langues : Français (fre) Mots-clés : 316.73 Interculturel Métissage Différence Multiculturel Résumé : C’est l’une des étoiles montantes de la philosophie, mais il a fallu qu’il traverse l’Atlantique pour trouver la reconnaissance. Entre Dakar, Paris et New York, Souleymane Bachir Diagne s’est imposé comme le grand penseur du métissage. Qu’il enseigne l’islam avec Bergson, la mémoire coloniale avec Derrida ou l’identité africaine avec Senghor, l’hybridation des traditions est pour lui le ressort et la chance de notre temps. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101765
in Philosophie magazine > 56 (février 2012) . - p. 60-65[article] Souleymane Bachir Diagne. «L'œuvre de civilisation vient de commencer» [texte imprimé] / Souleymane Bachir Diagne, Personne interviewée . - 2012 . - p. 60-65.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 56 (février 2012) . - p. 60-65
Mots-clés : 316.73 Interculturel Métissage Différence Multiculturel Résumé : C’est l’une des étoiles montantes de la philosophie, mais il a fallu qu’il traverse l’Atlantique pour trouver la reconnaissance. Entre Dakar, Paris et New York, Souleymane Bachir Diagne s’est imposé comme le grand penseur du métissage. Qu’il enseigne l’islam avec Bergson, la mémoire coloniale avec Derrida ou l’identité africaine avec Senghor, l’hybridation des traditions est pour lui le ressort et la chance de notre temps. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101765 Exemplaires (1)
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