Centre de Documentation Campus Montignies
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Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Philosophie magazine . 69Mention de date : mai 2013 Paru le : 01/05/2013 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Empruntable sur demande auprès des documentalistes Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierD’où vient le mal ? L’hypothèse Arendt in Philosophie magazine, 69 (mai 2013)
[article]
Titre : D’où vient le mal ? L’hypothèse Arendt : dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 40-65 Langues : Français (fre) Mots-clés : Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité) Bourreaux 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs Résumé : Du mal, on pensait, de Platon à Nietzsche, avoir tout dit – ainsi que son contraire. Et pourtant, comme le montre l’émouvant biopic que Margarethe von Trotta lui consacre, c’est un véritable coup de tonnerre dans le ciel de la métaphysique que provoquera Hannah Arendt en publiant son reportage sur le procès d’Adolf Eichmann en 1963. Quand tout le monde voulait voir en Eichmann une figure démoniaque, elle considère le haut fonctionnaire nazi comme un « clown » animé d’une insoutenable « banalité du mal ». « Perversité de l’intelligence », répliquera-t-on à la philosophe. Mais est-ce si sûr ? Alors que l’idée de banalité du mal offre à nombre d’intellectuels une clé de lecture des perversions qui minent la société contemporaine, peut-être Arendt pointait-elle une nouvelle modalité du vice qui vient tristement enrichir la gamme théorisée avant elle par Augustin, Rousseau, Kant ou Freud. Une modalité qui attendait l’avènement des sociétés de masse pour se manifester. Et qui prend à revers deux mille ans de tradition philosophique. Nous signalant par là que penser le mal est une tâche qui incombe encore à chacun de nous. Note de contenu : Articles :
- Dépasser le manichéisme Par Alexandre Lacroix
« Je ne connais pas bien l’Amérique mais, d’après ses films, je crois que, pour mieux se préserver, pour se garder intacte, elle a inventé une sorte de gangster qui incarne à peu près totalement le Mal. Ces gangsters sont naturellement imaginaires. L’Amérique a dressé devant elle un gangster imaginaire de telle façon qu’on ne puisse pas l’identifier, elle, l’Amérique, avec le Mal. »
- L’hypothèse Arendt Par Martin Legros
Lorsqu’elle arrive à Jérusalem en 1961 pour couvrir le procès de l’officier SS Adolf Eichmann, Hannah Arendt n’imaginait pas qu’elle allait déclencher avec son concept de « banalité du mal » une controverse mondiale. Retour sur les enjeux historiques, politiques et métaphysiques d’une théorie toujours brûlante.
+ Le mal radical selon Kant
+ les protagonistes : Hannah Arendt (1906-1975) : Adolf Eichmann (1906-1962), Martin Heidegger (1889-1976), Heinrich Blücher (1899-1970), Gershom Scholem (1897-1982), Hans Jonas (1903-1993) et Karl Jaspers (1883-1969)
+ De la radicalité à la banalité du mal
- Margarethe von Trotta. «Je voulais que le public arrive à la même conclusion qu’Arendt» Par Svenja Flaßpöhler , Pierre Rusch
Son film «Hannah Arendt» a déjà connu un succès inattendu en Allemagne. À l’occasion de la sortie en France de ce long métrage centré sur le regard de la philosophe pendant le procès Eichmann, la réalisatrice Margarethe von Trotta explique pourquoi elle s’est passionnée pour la théoricienne de la « banalité du mal ».
- Gestion des ressources inhumaines Par Michel Eltchaninoff
De l’entreprise à l’action humanitaire, la banalité du mal sévit-elle encore, de manière discrète mais destructrice, dans nos sociétés ? Réponses de l’historien Jacques Sémelin, du philosophe Michel Terestchenko, du psychanalyste Christophe Dejours et du fondateur de Médecins sans frontières Rony Brauman.
- Au cœur des ténèbres Par Martin Duru
Trois matchs. À chaque fois, le même scénario. D’un côté, ceux qui neutralisent le mal en l’expliquant comme l’œuvre de Dieu, de la société, de notre ignorance. De l’autre, ceux qui en font une dimension essentielle de notre condition, dont il nous arrive même de tirer du plaisir
* Est-ce vraiment de notre faute ?
* Peut-on jouir du mal ?
* Est-ce la société qui nous rend mauvais ?
- Platon n’y a vu que du feu Par Mehdi Belhaj Kacem
Depuis Platon, la philosophie a oublié le mal, érigeant le bien comme idée suprême. Pour Mehdi Belhaj Kacem, il est grand temps, surtout après Auschwitz, qu’elle s’y intéresse. Car, en le refoulant, notre civilisation rationnelle et technicienne s’est vouée à être hantée par un nihilisme menaçant.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101665
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 40-65[article] D’où vient le mal ? L’hypothèse Arendt : dossier [texte imprimé] . - 2013 . - p. 40-65.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 40-65
Mots-clés : Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité) Bourreaux 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs Résumé : Du mal, on pensait, de Platon à Nietzsche, avoir tout dit – ainsi que son contraire. Et pourtant, comme le montre l’émouvant biopic que Margarethe von Trotta lui consacre, c’est un véritable coup de tonnerre dans le ciel de la métaphysique que provoquera Hannah Arendt en publiant son reportage sur le procès d’Adolf Eichmann en 1963. Quand tout le monde voulait voir en Eichmann une figure démoniaque, elle considère le haut fonctionnaire nazi comme un « clown » animé d’une insoutenable « banalité du mal ». « Perversité de l’intelligence », répliquera-t-on à la philosophe. Mais est-ce si sûr ? Alors que l’idée de banalité du mal offre à nombre d’intellectuels une clé de lecture des perversions qui minent la société contemporaine, peut-être Arendt pointait-elle une nouvelle modalité du vice qui vient tristement enrichir la gamme théorisée avant elle par Augustin, Rousseau, Kant ou Freud. Une modalité qui attendait l’avènement des sociétés de masse pour se manifester. Et qui prend à revers deux mille ans de tradition philosophique. Nous signalant par là que penser le mal est une tâche qui incombe encore à chacun de nous. Note de contenu : Articles :
- Dépasser le manichéisme Par Alexandre Lacroix
« Je ne connais pas bien l’Amérique mais, d’après ses films, je crois que, pour mieux se préserver, pour se garder intacte, elle a inventé une sorte de gangster qui incarne à peu près totalement le Mal. Ces gangsters sont naturellement imaginaires. L’Amérique a dressé devant elle un gangster imaginaire de telle façon qu’on ne puisse pas l’identifier, elle, l’Amérique, avec le Mal. »
- L’hypothèse Arendt Par Martin Legros
Lorsqu’elle arrive à Jérusalem en 1961 pour couvrir le procès de l’officier SS Adolf Eichmann, Hannah Arendt n’imaginait pas qu’elle allait déclencher avec son concept de « banalité du mal » une controverse mondiale. Retour sur les enjeux historiques, politiques et métaphysiques d’une théorie toujours brûlante.
+ Le mal radical selon Kant
+ les protagonistes : Hannah Arendt (1906-1975) : Adolf Eichmann (1906-1962), Martin Heidegger (1889-1976), Heinrich Blücher (1899-1970), Gershom Scholem (1897-1982), Hans Jonas (1903-1993) et Karl Jaspers (1883-1969)
+ De la radicalité à la banalité du mal
- Margarethe von Trotta. «Je voulais que le public arrive à la même conclusion qu’Arendt» Par Svenja Flaßpöhler , Pierre Rusch
Son film «Hannah Arendt» a déjà connu un succès inattendu en Allemagne. À l’occasion de la sortie en France de ce long métrage centré sur le regard de la philosophe pendant le procès Eichmann, la réalisatrice Margarethe von Trotta explique pourquoi elle s’est passionnée pour la théoricienne de la « banalité du mal ».
- Gestion des ressources inhumaines Par Michel Eltchaninoff
De l’entreprise à l’action humanitaire, la banalité du mal sévit-elle encore, de manière discrète mais destructrice, dans nos sociétés ? Réponses de l’historien Jacques Sémelin, du philosophe Michel Terestchenko, du psychanalyste Christophe Dejours et du fondateur de Médecins sans frontières Rony Brauman.
- Au cœur des ténèbres Par Martin Duru
Trois matchs. À chaque fois, le même scénario. D’un côté, ceux qui neutralisent le mal en l’expliquant comme l’œuvre de Dieu, de la société, de notre ignorance. De l’autre, ceux qui en font une dimension essentielle de notre condition, dont il nous arrive même de tirer du plaisir
* Est-ce vraiment de notre faute ?
* Peut-on jouir du mal ?
* Est-ce la société qui nous rend mauvais ?
- Platon n’y a vu que du feu Par Mehdi Belhaj Kacem
Depuis Platon, la philosophie a oublié le mal, érigeant le bien comme idée suprême. Pour Mehdi Belhaj Kacem, il est grand temps, surtout après Auschwitz, qu’elle s’y intéresse. Car, en le refoulant, notre civilisation rationnelle et technicienne s’est vouée à être hantée par un nihilisme menaçant.
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DisponibleEt vous trouvez ça drôle ? in Philosophie magazine, 69 (mai 2013)
[article]
Titre : Et vous trouvez ça drôle ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 26-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Humour Liberté d'expression - blasphème Résumé : Condamné par la religion, rejeté par les moralistes, il a fallu longtemps pour que le rire gagne ses titres de noblesse. Alors que Hobbes y voit une transposition de la guerre de tous contre tous, Spinoza le considère comme un acquiescement joyeux au monde tel qu’il est. Mais qu’en est-il aujourd’hui, à l’heure des comiques médiatiques et du ricanement obligatoire sur les réseaux sociaux ? Éléments de réponse avec, notamment, Gad Elmaleh et François Morel. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101669
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 26-33[article] Et vous trouvez ça drôle ? [texte imprimé] . - 2013 . - p. 26-33.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 26-33
Mots-clés : Humour Liberté d'expression - blasphème Résumé : Condamné par la religion, rejeté par les moralistes, il a fallu longtemps pour que le rire gagne ses titres de noblesse. Alors que Hobbes y voit une transposition de la guerre de tous contre tous, Spinoza le considère comme un acquiescement joyeux au monde tel qu’il est. Mais qu’en est-il aujourd’hui, à l’heure des comiques médiatiques et du ricanement obligatoire sur les réseaux sociaux ? Éléments de réponse avec, notamment, Gad Elmaleh et François Morel. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101669 Réservation
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DisponibleLa post-démocratie / Catherine Portevin in Philosophie magazine, 69 (mai 2013)
[article]
Titre : La post-démocratie Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Portevin, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 74 Langues : Français (fre) Mots-clés : 321.7 Démocratie / Démocratisation Résumé : Le succès de Beppe Grillo en Italie est révélateur : notre système politique est en crise. D’où la nécessité de lui concevoir un au-delà ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101688
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 74[article] La post-démocratie [texte imprimé] / Catherine Portevin, Auteur . - 2013 . - p. 74.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 74
Mots-clés : 321.7 Démocratie / Démocratisation Résumé : Le succès de Beppe Grillo en Italie est révélateur : notre système politique est en crise. D’où la nécessité de lui concevoir un au-delà ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101688 Réservation
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DisponibleMontaigne et l’amitié in Philosophie magazine, 69 (mai 2013)
[article]
Titre : Montaigne et l’amitié : dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 78-83 + livret (16 p.) Langues : Français (fre) Mots-clés : 929 Montaigne, Michel Eyquem de (1533-1592) 316.47 Relation sociale . Violence . Torture 179 Questions diverses de morale 177 Morale et société. Respect humain Résumé : Chuchoté ou crié, l’aveu est bouleversant : « Parce que c’était lui, parce que c’était moi. » Ainsi Montaigne traduit-il l’évidence et l’intensité de sa relation avec Étienne de La Boétie, son alter ego trop tôt disparu. L’amitié entre les deux hommes est l’une des plus belles histoires qu’offre la philosophie. Une « divine liaison » que l’auteur des Essais n’a cessé de célébrer pour son caractère unique et fusionnel, et dont il n’est jamais parvenu à faire le deuil. L’essayiste anglaise Sarah Bakewell, qui a récemment consacré à Montaigne un ouvrage intitulé Comment vivre ?, raconte avec finesse la rencontre et le lien indéfectible entre les deux amis. André Comte-Sponville, grand admirateur de Montaigne, présente son essai « De l’Amitié » et restitue la profondeur existentielle et philosophique qu’il donne à ce thème. La « parfaite amitié » comme ouverture totale à l’autre, libre communication de tous les instants avec « lui », qui ne fait qu’un avec « moi » : si ce modèle de perfection peut paraître exigeant, n’est-il pas opportun de s’y référer à l’heure où, sur les réseaux sociaux, nous multiplions les « amis » virtuels, sans parfois les connaître personnellement ? Selon Montaigne, l’amitié véritable non seulement dévoile autrui mais nous apporte également une plus grande lucidité sur nous-mêmes. Note de contenu : Articles :
Montaigne. « Parce que c’était lui, parce que c’était moi » Par Sarah Bakewell, Pierre-Emmanuel Dauzat
Vers 1558, à Bordeaux, deux jeunes hommes engagent la conversation lors d’un dîner officiel. C’est le début d’une amitié si intense qu’on aurait pu les dire enamourés.
Soi-même par les autres Par Martin Duru
« C’est moi que je peins » ; « Je suis moi-même la matière de mon livre » ; « J’ose non seulement parler de moi, mais parler seulement de moi ». Montaigne le répète à satiété dans les Essais : le sujet et l’objet de l’ouvrage, c’est lui dans sa vérité singulière.
Les philosophes et l’amitié Par Martin Duru
Depuis l’Antiquité, les philosophes, pourtant réputés peu sociables, ont réfléchi aux liens qui unissent les hommes. Passage en revue.
Montaigne, sa vie Par Martin Duru
Entre guerres de religion, voyages et responsabilités politiques.
L’œuvre Par Martin Duru
Il a consacré la seconde moitié de sa vie à ses «Essais».
Éloge de l’ami Par André Comte-Sponville
Lorsque Montaigne célèbre son ami irremplaçable, Étienne de La Boétie, il touche, pour André Comte-Sponville, à l’essence même de l’humanité.
+ livret n°69 : Montaigne et l'amitié dans les Essais, 14p.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101709
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 78-83 + livret (16 p.)[article] Montaigne et l’amitié : dossier [texte imprimé] . - 2013 . - p. 78-83 + livret (16 p.).
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 78-83 + livret (16 p.)
Mots-clés : 929 Montaigne, Michel Eyquem de (1533-1592) 316.47 Relation sociale . Violence . Torture 179 Questions diverses de morale 177 Morale et société. Respect humain Résumé : Chuchoté ou crié, l’aveu est bouleversant : « Parce que c’était lui, parce que c’était moi. » Ainsi Montaigne traduit-il l’évidence et l’intensité de sa relation avec Étienne de La Boétie, son alter ego trop tôt disparu. L’amitié entre les deux hommes est l’une des plus belles histoires qu’offre la philosophie. Une « divine liaison » que l’auteur des Essais n’a cessé de célébrer pour son caractère unique et fusionnel, et dont il n’est jamais parvenu à faire le deuil. L’essayiste anglaise Sarah Bakewell, qui a récemment consacré à Montaigne un ouvrage intitulé Comment vivre ?, raconte avec finesse la rencontre et le lien indéfectible entre les deux amis. André Comte-Sponville, grand admirateur de Montaigne, présente son essai « De l’Amitié » et restitue la profondeur existentielle et philosophique qu’il donne à ce thème. La « parfaite amitié » comme ouverture totale à l’autre, libre communication de tous les instants avec « lui », qui ne fait qu’un avec « moi » : si ce modèle de perfection peut paraître exigeant, n’est-il pas opportun de s’y référer à l’heure où, sur les réseaux sociaux, nous multiplions les « amis » virtuels, sans parfois les connaître personnellement ? Selon Montaigne, l’amitié véritable non seulement dévoile autrui mais nous apporte également une plus grande lucidité sur nous-mêmes. Note de contenu : Articles :
Montaigne. « Parce que c’était lui, parce que c’était moi » Par Sarah Bakewell, Pierre-Emmanuel Dauzat
Vers 1558, à Bordeaux, deux jeunes hommes engagent la conversation lors d’un dîner officiel. C’est le début d’une amitié si intense qu’on aurait pu les dire enamourés.
Soi-même par les autres Par Martin Duru
« C’est moi que je peins » ; « Je suis moi-même la matière de mon livre » ; « J’ose non seulement parler de moi, mais parler seulement de moi ». Montaigne le répète à satiété dans les Essais : le sujet et l’objet de l’ouvrage, c’est lui dans sa vérité singulière.
Les philosophes et l’amitié Par Martin Duru
Depuis l’Antiquité, les philosophes, pourtant réputés peu sociables, ont réfléchi aux liens qui unissent les hommes. Passage en revue.
Montaigne, sa vie Par Martin Duru
Entre guerres de religion, voyages et responsabilités politiques.
L’œuvre Par Martin Duru
Il a consacré la seconde moitié de sa vie à ses «Essais».
Éloge de l’ami Par André Comte-Sponville
Lorsque Montaigne célèbre son ami irremplaçable, Étienne de La Boétie, il touche, pour André Comte-Sponville, à l’essence même de l’humanité.
+ livret n°69 : Montaigne et l'amitié dans les Essais, 14p.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101709 Réservation
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