Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Science & santé . 38Mention de date : Novembre-Décembre 2017 Paru le : 01/11/2017 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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[article]
Titre : Sexe et genre : mieux soigner les femmes et les hommes Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Dupuy Maury Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 24-35 Langues : Français (fre) Résumé : Il n’y a pas si longtemps, les barboteuses des bébés filles étaient systématiquement
roses, celles des garçons, bleues. Eh bien en santé, ce stéréotype reste d’actualité.
Par exemple, les maladies cardiovasculaires sont auréolées de bleu, l’ostéoporose
est quasi 100 % rose ! Bilan : diagnostic, prise en charge, traitements sont conçus
pour une moitié de l’humanité, sans tenir compte de l’autre. Or, femmes et hommes
sont différents tant au niveau biologique que dans leurs représentations sociales
et culturelles, leurs modes de vie ; ces deux aspects, respectivement « sexe » et
« genre », interagissent en permanence. Rien de surprenant donc à ce que les
maladies s’expriment différemment et qu’il faille tenir compte de cette variabilité
pour soigner l’ensemble de la population. Une évidence qui peine pourtant à
trouver un écho chez les chercheurs et les médecins. C’est pourquoi, dans le
cadre de ses Journées recherche et santé (JRS), l’Inserm organise un colloque
international sur le thème « Sexe et genre dans les recherches en santé : une
articulation innovante », le 23 novembre à l’hôpital Necker-Enfants malades à Paris.
L’objectif : mieux soigner les femmes et les hommes.En ligne : https://www.inserm.fr/magazine/sciencesante-n38/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101452
in Science & santé > 38 (Novembre-Décembre 2017) . - p. 24-35[article] Sexe et genre : mieux soigner les femmes et les hommes [texte imprimé] / Françoise Dupuy Maury . - 2017 . - p. 24-35.
Langues : Français (fre)
in Science & santé > 38 (Novembre-Décembre 2017) . - p. 24-35
Résumé : Il n’y a pas si longtemps, les barboteuses des bébés filles étaient systématiquement
roses, celles des garçons, bleues. Eh bien en santé, ce stéréotype reste d’actualité.
Par exemple, les maladies cardiovasculaires sont auréolées de bleu, l’ostéoporose
est quasi 100 % rose ! Bilan : diagnostic, prise en charge, traitements sont conçus
pour une moitié de l’humanité, sans tenir compte de l’autre. Or, femmes et hommes
sont différents tant au niveau biologique que dans leurs représentations sociales
et culturelles, leurs modes de vie ; ces deux aspects, respectivement « sexe » et
« genre », interagissent en permanence. Rien de surprenant donc à ce que les
maladies s’expriment différemment et qu’il faille tenir compte de cette variabilité
pour soigner l’ensemble de la population. Une évidence qui peine pourtant à
trouver un écho chez les chercheurs et les médecins. C’est pourquoi, dans le
cadre de ses Journées recherche et santé (JRS), l’Inserm organise un colloque
international sur le thème « Sexe et genre dans les recherches en santé : une
articulation innovante », le 23 novembre à l’hôpital Necker-Enfants malades à Paris.
L’objectif : mieux soigner les femmes et les hommes.En ligne : https://www.inserm.fr/magazine/sciencesante-n38/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101452 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtImprimer le vivant / Julie Coquart in Science & santé, 38 (Novembre-Décembre 2017)
[article]
Titre : Imprimer le vivant Type de document : texte imprimé Auteurs : Julie Coquart Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 36-39 Langues : Français (fre) Résumé : Le rêve de la bioimpression est-il devenu réalité ?
En partie. Les chercheurs du nouvel accélérateur de
recherche technologique (ART) BioPrint, à Bordeaux,
parviennent en effet à déposer des cellules, couche
après couche, selon une organisation en trois dimensions, programmée pour mimer au plus proche celle
des tissus natifs. Leurs outils ? Des bioimprimantes
assistées par laser, jet d’encre et micro-extrusion, les trois
technologies majeures de la bioimpression. Cependant les
« tissus » imprimés vont évoluer au cours du temps, ajoutant une quatrième dimension à l’impression 3D. Pour ce
faire, ils doivent être nourris et oxygénés. Une limitation
majeure pour imprimer un organe reste donc l’obtention
d’un réseau vasculaire permettant la perfusion de la totalité
des tissus. Pour autant, les structures cellulaires et organoïdes – modèles d’organe simplifiés – bioimprimés offrent
déjà aux chercheurs la possibilité de tester différentes organisations de cellules, l’effet d’une radiothérapie ou encore
de médicaments.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101453
in Science & santé > 38 (Novembre-Décembre 2017) . - p. 36-39[article] Imprimer le vivant [texte imprimé] / Julie Coquart . - 2017 . - p. 36-39.
Langues : Français (fre)
in Science & santé > 38 (Novembre-Décembre 2017) . - p. 36-39
Résumé : Le rêve de la bioimpression est-il devenu réalité ?
En partie. Les chercheurs du nouvel accélérateur de
recherche technologique (ART) BioPrint, à Bordeaux,
parviennent en effet à déposer des cellules, couche
après couche, selon une organisation en trois dimensions, programmée pour mimer au plus proche celle
des tissus natifs. Leurs outils ? Des bioimprimantes
assistées par laser, jet d’encre et micro-extrusion, les trois
technologies majeures de la bioimpression. Cependant les
« tissus » imprimés vont évoluer au cours du temps, ajoutant une quatrième dimension à l’impression 3D. Pour ce
faire, ils doivent être nourris et oxygénés. Une limitation
majeure pour imprimer un organe reste donc l’obtention
d’un réseau vasculaire permettant la perfusion de la totalité
des tissus. Pour autant, les structures cellulaires et organoïdes – modèles d’organe simplifiés – bioimprimés offrent
déjà aux chercheurs la possibilité de tester différentes organisations de cellules, l’effet d’une radiothérapie ou encore
de médicaments.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101453 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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