Centre de Documentation Campus Montignies
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Auteur Brigitte Schurch |
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OnabotulinumtoxinA et sclérose en plaques / Brigitte Schurch in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°5 (July 2014)
[article]
Titre : OnabotulinumtoxinA et sclérose en plaques Type de document : texte imprimé Auteurs : Brigitte Schurch, Auteur ; Stefano Carda, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 302-314 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Sclérose plaque Incontinence urinaire Sclérose en plaques,Toxine botulique type A,Vessie hyperactive,Incontinence urinaire Résumé : Des troubles urinaires du bas appareil sont présents à cinq ans du diagnostic chez les deux tiers des patients avec une sclérose en plaques. Les symptômes les plus fréquents sont liés à l’hyperactivité du détrusor d’origine neurogène, fréquemment associée à la dyssynergie vésico-sphinctérienne. Dès la fin des années 1990, l’évidence scientifique a montré que l’hyperactivité neurogène du détrusor peut être traitée efficacement par des injections intradétrusoriennes de toxine botulique de type A. Ce traitement a fait ses preuves, dans plusieurs études randomisées contrôlées par placebo, de sécurité et efficacité par rapport aux paramètres cliniques et urodynamiques, avec une amélioration significative de la qualité de vie. La durée d’effet médiane est de neuf mois. La grande majorité des études ont été effectuées avec de l’onabotulinumtoxinA. La dose d’onabotulinumtoxinA normalement utilisée pour traiter l’hyperactivité neurogène du détrusor chez les patients avec une sclérose en plaques est de 200UI, même si, dans des cas sélectionnés, des doses plus faibles peuvent être choisies. Pour être considéré apte au traitement, chaque patient doit accepter et être instruit à l’auto-cathétérisme intermittent propre, en raison du risque d’augmentation du résidu post-mictionnel et/ou de rétention urinaire, surtout avec une dose de 200UI d’onabotulinumtoxinA. Néanmoins, la qualité de vie et la satisfaction des patients ne semblent pas être altérés par le besoin de s’auto-sonder. Le risque d’infection urinaire après la procédure doit être considéré, surtout chez les patients avec sclérose en plaques, donc une prophylaxie par antibiotiques est vivement recommandée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29830
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 302-314[article] OnabotulinumtoxinA et sclérose en plaques [texte imprimé] / Brigitte Schurch, Auteur ; Stefano Carda, Auteur . - 2014 . - p. 302-314.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 302-314
Mots-clés : Sclérose plaque Incontinence urinaire Sclérose en plaques,Toxine botulique type A,Vessie hyperactive,Incontinence urinaire Résumé : Des troubles urinaires du bas appareil sont présents à cinq ans du diagnostic chez les deux tiers des patients avec une sclérose en plaques. Les symptômes les plus fréquents sont liés à l’hyperactivité du détrusor d’origine neurogène, fréquemment associée à la dyssynergie vésico-sphinctérienne. Dès la fin des années 1990, l’évidence scientifique a montré que l’hyperactivité neurogène du détrusor peut être traitée efficacement par des injections intradétrusoriennes de toxine botulique de type A. Ce traitement a fait ses preuves, dans plusieurs études randomisées contrôlées par placebo, de sécurité et efficacité par rapport aux paramètres cliniques et urodynamiques, avec une amélioration significative de la qualité de vie. La durée d’effet médiane est de neuf mois. La grande majorité des études ont été effectuées avec de l’onabotulinumtoxinA. La dose d’onabotulinumtoxinA normalement utilisée pour traiter l’hyperactivité neurogène du détrusor chez les patients avec une sclérose en plaques est de 200UI, même si, dans des cas sélectionnés, des doses plus faibles peuvent être choisies. Pour être considéré apte au traitement, chaque patient doit accepter et être instruit à l’auto-cathétérisme intermittent propre, en raison du risque d’augmentation du résidu post-mictionnel et/ou de rétention urinaire, surtout avec une dose de 200UI d’onabotulinumtoxinA. Néanmoins, la qualité de vie et la satisfaction des patients ne semblent pas être altérés par le besoin de s’auto-sonder. Le risque d’infection urinaire après la procédure doit être considéré, surtout chez les patients avec sclérose en plaques, donc une prophylaxie par antibiotiques est vivement recommandée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29830 Exemplaires (1)
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