Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Vol.35 n°4Paru le : 01/11/2021 |
Exemplaires
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierManifestations ostéoarticulaires des hémopathies malignes (myélome exclu) / S. Roux in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35 n°4 (Novembre 2021)
[article]
Titre : Manifestations ostéoarticulaires des hémopathies malignes (myélome exclu) Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Roux Année de publication : 2021 Article en page(s) : 14-027-A-20 [tome 2] Langues : Français (fre) Mots-clés : Lymphome osseux Hémopathie maligne Lymphome non hodgkinien Leucémie Ostéolyse Hypercalcémie Arthrite Résumé : L'atteinte osseuse au cours des leucémies et lymphomes est un événement rare, en dehors des leucémies/lymphomes associées au human T cell leukemia/lymphoma virus type 1 (HTLV-1). Les manifestations articulaires des hémopathies malignes sont le plus souvent liées à un processus infectieux (arthrite septique), ou métabolique (goutte). Les arthrites spécifiques sont l'apanage des leucémies aiguës. Des manifestations articulaires satellites d'une vascularite paranéoplasique sont surtout fréquentes dans les leucémies à tricholeucocytes et les leucémies myélomonocytaires chroniques. Ces manifestations ostéoarticulaires peuvent précéder le diagnostic de l'hémopathie, ou traduire une rechute ou une transformation aiguë. Le diagnostic des douleurs osseuses et des arthrites doit inclure la possibilité d'une hémopathie en cas de résistance aux traitements usuels, en présence de fièvre ou de syndrome inflammatoire biologique persistant, ou de lésions radiologiques atypiques. L'existence de rares localisations osseuses ou articulaires spécifiques ne doit bien sûr pas faire méconnaître les complications infectieuses ou métaboliques, bien plus fréquentes dans ce contexte. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98214
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 14-027-A-20 [tome 2][article] Manifestations ostéoarticulaires des hémopathies malignes (myélome exclu) [texte imprimé] / S. Roux . - 2021 . - 14-027-A-20 [tome 2].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 14-027-A-20 [tome 2]
Mots-clés : Lymphome osseux Hémopathie maligne Lymphome non hodgkinien Leucémie Ostéolyse Hypercalcémie Arthrite Résumé : L'atteinte osseuse au cours des leucémies et lymphomes est un événement rare, en dehors des leucémies/lymphomes associées au human T cell leukemia/lymphoma virus type 1 (HTLV-1). Les manifestations articulaires des hémopathies malignes sont le plus souvent liées à un processus infectieux (arthrite septique), ou métabolique (goutte). Les arthrites spécifiques sont l'apanage des leucémies aiguës. Des manifestations articulaires satellites d'une vascularite paranéoplasique sont surtout fréquentes dans les leucémies à tricholeucocytes et les leucémies myélomonocytaires chroniques. Ces manifestations ostéoarticulaires peuvent précéder le diagnostic de l'hémopathie, ou traduire une rechute ou une transformation aiguë. Le diagnostic des douleurs osseuses et des arthrites doit inclure la possibilité d'une hémopathie en cas de résistance aux traitements usuels, en présence de fièvre ou de syndrome inflammatoire biologique persistant, ou de lésions radiologiques atypiques. L'existence de rares localisations osseuses ou articulaires spécifiques ne doit bien sûr pas faire méconnaître les complications infectieuses ou métaboliques, bien plus fréquentes dans ce contexte. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98214 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Polytraumatismes de l'enfant / F. Bastard in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35 n°4 (Novembre 2021)
[article]
Titre : Polytraumatismes de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Bastard ; K. Bin ; G. Podevin ; F. Schmitt Année de publication : 2021 Article en page(s) : 14-033-C-10 [Tome 2] Langues : Français (fre) Mots-clés : Polytraumatisme de l'enfant Damage control Séquelles Résumé : Les polytraumatismes chez l'enfant sont des situations rares mais la première cause de décès chez l'enfant de plus de 1 an. Les situations récentes d'attentats et d'afflux massifs de patients ont souligné l'importance d'actualiser les connaissances et les savoir-faire dans ces situations, jusqu'alors loin de nos pratiques quotidiennes. La prise en charge doit suivre un enchaînement bien établi, une collaboration multidisciplinaire avec des équipes entraînées afin de prévenir le risque de décès qui survient dans la moitié des cas dans l'heure qui suit le traumatisme. Les spécificités anatomiques et physiologiques de l'enfant sont indispensables à connaître pour optimiser cette prise en charge. Les séquelles dans les suites du traumatisme sont complexes et ne doivent pas être négligées chez l'enfant en croissance. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98215
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 14-033-C-10 [Tome 2][article] Polytraumatismes de l'enfant [texte imprimé] / F. Bastard ; K. Bin ; G. Podevin ; F. Schmitt . - 2021 . - 14-033-C-10 [Tome 2].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 14-033-C-10 [Tome 2]
Mots-clés : Polytraumatisme de l'enfant Damage control Séquelles Résumé : Les polytraumatismes chez l'enfant sont des situations rares mais la première cause de décès chez l'enfant de plus de 1 an. Les situations récentes d'attentats et d'afflux massifs de patients ont souligné l'importance d'actualiser les connaissances et les savoir-faire dans ces situations, jusqu'alors loin de nos pratiques quotidiennes. La prise en charge doit suivre un enchaînement bien établi, une collaboration multidisciplinaire avec des équipes entraînées afin de prévenir le risque de décès qui survient dans la moitié des cas dans l'heure qui suit le traumatisme. Les spécificités anatomiques et physiologiques de l'enfant sont indispensables à connaître pour optimiser cette prise en charge. Les séquelles dans les suites du traumatisme sont complexes et ne doivent pas être négligées chez l'enfant en croissance. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98215 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) / C. Dumontier in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35 n°4 (Novembre 2021)
[article]
Titre : Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Dumontier ; M. Soubeyrand ; S. Carmès Année de publication : 2021 Article en page(s) : 14-046F-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture des os du carpe Imagerie scanner Triquetrum Hamatum Hamulus ossi hamatum Résumé : Les fractures isolées des os du carpe, en dehors du scaphoïde, sont rares et de diagnostic difficile. Le scanner et/ou l'imagerie par résonance magnétique sont les examens complémentaires indispensables pour les dépister. Il faut se méfier des associations lésionnelles, et rechercher tout particulièrement les lésions carpométacarpiennes souvent méconnues lors des fractures des os de la deuxième rangée et les luxations intracarpiennes spontanément réduites dans les fractures des os de la première rangée. Le triquetrum est l'os du carpe le plus souvent fracturé (après le scaphoïde). Il s'agit en général d'une lésion par compression détachant un fragment postérieur. La fracture de l'hamulus est souvent méconnue, elle fait suite à un traumatisme souvent peu spectaculaire (traumatisme sportif avec un manche d'objet) et elle est découverte au stade de pseudarthrose par des complications tendineuses ou nerveuses. Isolées, les fractures des os du carpe sont souvent non déplacées et leur traitement est volontiers orthopédique. Lorsqu'elles sont associées à d'autres lésions, leur traitement est alors plus volontiers chirurgical. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98216
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 14-046F-10 [Tome 3][article] Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) [texte imprimé] / C. Dumontier ; M. Soubeyrand ; S. Carmès . - 2021 . - 14-046F-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 14-046F-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture des os du carpe Imagerie scanner Triquetrum Hamatum Hamulus ossi hamatum Résumé : Les fractures isolées des os du carpe, en dehors du scaphoïde, sont rares et de diagnostic difficile. Le scanner et/ou l'imagerie par résonance magnétique sont les examens complémentaires indispensables pour les dépister. Il faut se méfier des associations lésionnelles, et rechercher tout particulièrement les lésions carpométacarpiennes souvent méconnues lors des fractures des os de la deuxième rangée et les luxations intracarpiennes spontanément réduites dans les fractures des os de la première rangée. Le triquetrum est l'os du carpe le plus souvent fracturé (après le scaphoïde). Il s'agit en général d'une lésion par compression détachant un fragment postérieur. La fracture de l'hamulus est souvent méconnue, elle fait suite à un traumatisme souvent peu spectaculaire (traumatisme sportif avec un manche d'objet) et elle est découverte au stade de pseudarthrose par des complications tendineuses ou nerveuses. Isolées, les fractures des os du carpe sont souvent non déplacées et leur traitement est volontiers orthopédique. Lorsqu'elles sont associées à d'autres lésions, leur traitement est alors plus volontiers chirurgical. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98216 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Rhumatismes intermittents en dehors des syndromes auto-inflammatoires / C. Rempenault in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35 n°4 (Novembre 2021)
[article]
Titre : Rhumatismes intermittents en dehors des syndromes auto-inflammatoires Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Rempenault ; B. Combe Année de publication : 2021 Article en page(s) : 14-210-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Rhumatismes intermittents Rhumatisme palindromique Nodulite rhumatoïde Hydarthrose intermittente Syndrome de Flory Résumé : Les rhumatismes intermittents sont des rhumatismes qui évoluent par crises, entrecoupées de périodes de rémission durant lesquelles les patients sont complètement asymptomatiques, contrairement aux rhumatismes inflammatoires chroniques comme la polyarthrite rhumatoïde. Il existe de nombreux rhumatismes intermittents, dont les plus fréquents sont les rhumatismes microcristallins, comme la goutte ou la chondrocalcinose, mais ces pathologies qui méritent à elles seules une mise au point à part ne sont pas traitées ici, tout comme les maladies auto-inflammatoires (plus spécifiquement la maladie périodique, le syndrome auto-inflammatoire associé au récepteur du tumor necrosis factor [TRAPS] et le syndrome périodique associé à la cryopyrine [CAPS]). Sont traités ici le rhumatisme palindromique, la nodulite rhumatoïde, l'hydarthrose intermittente et, enfin, le syndrome de Flory. Chacune de ces entités se distingue par sa présentation clinique et paraclinique, son pronostic et ses traitements. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98217
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 14-210-A-10 [Tome 4][article] Rhumatismes intermittents en dehors des syndromes auto-inflammatoires [texte imprimé] / C. Rempenault ; B. Combe . - 2021 . - 14-210-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 14-210-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Rhumatismes intermittents Rhumatisme palindromique Nodulite rhumatoïde Hydarthrose intermittente Syndrome de Flory Résumé : Les rhumatismes intermittents sont des rhumatismes qui évoluent par crises, entrecoupées de périodes de rémission durant lesquelles les patients sont complètement asymptomatiques, contrairement aux rhumatismes inflammatoires chroniques comme la polyarthrite rhumatoïde. Il existe de nombreux rhumatismes intermittents, dont les plus fréquents sont les rhumatismes microcristallins, comme la goutte ou la chondrocalcinose, mais ces pathologies qui méritent à elles seules une mise au point à part ne sont pas traitées ici, tout comme les maladies auto-inflammatoires (plus spécifiquement la maladie périodique, le syndrome auto-inflammatoire associé au récepteur du tumor necrosis factor [TRAPS] et le syndrome périodique associé à la cryopyrine [CAPS]). Sont traités ici le rhumatisme palindromique, la nodulite rhumatoïde, l'hydarthrose intermittente et, enfin, le syndrome de Flory. Chacune de ces entités se distingue par sa présentation clinique et paraclinique, son pronostic et ses traitements. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98217 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kyste osseux anévrismal / J. Cottalorda in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35 n°4 (Novembre 2021)
[article]
Titre : Kyste osseux anévrismal Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Cottalorda ; D. Louahem ; C. Jeandel ; M. Delpont Année de publication : 2021 Article en page(s) : 114-771 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux anévrismal Tumeur osseuse bénigne Traitement Résumé : Le kyste osseux anévrismal (KOA) est une tumeur bénigne, généralement solitaire. Il représente 1 % des tumeurs bénignes. Le KOA est primitif (70 % des cas) ou secondaire (30 % des cas), se développant sur une lésion préexistante qu'il peut masquer. Une translocation chromosomique spécifique, 17p11-13 ou 16q22 est caractéristique du KOA primitif. Bien qu'étant une tumeur bénigne, le KOA a un potentiel d'aggressivité important. La grande majorité des cas survient entre 10 et 20 ans. La clinique est dominée par la douleur et une tuméfaction. La fracture pathologique est rare dans le KOA. Radiologiquement, le KOA correspond à une lésion lytique métaphysaire, arrondie, excentrée, souvent de grande taille. Cette lésion souffle le périoste en érodant progressivement la corticale. En imagerie par résonance magnétique (IRM), une lésion osseuse expansive bien limitée, une diminution de signal en T1 avec une augmentation de ce signal en T2, un liseré périphérique de bas signal rehaussé par l'injection de produit de contraste, de nombreuses logettes délimitées par des septas et la présence de niveaux liquides, sont très évocateurs de KOA. Le diagnostic par imagerie reste un diagnostic de probabilité et doit toujours être confirmé par une biopsie. La résection chirurgicale en bloc et la résection intralésionnelle (curetage ou saucérisation)±utilisation d'adjuvants locaux ont été pendant longtemps le traitement de choix. Depuis quelques années, les traitements moins invasifs (embolisation artérielle sélective [EAS], sclérothérapie) prennent le pas sur les traitements chirurgicaux. Ils sont efficaces, présentent peu de complications et ont une morbidité bien moindre que la chirurgie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98218
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 114-771 [Tome 6][article] Kyste osseux anévrismal [texte imprimé] / J. Cottalorda ; D. Louahem ; C. Jeandel ; M. Delpont . - 2021 . - 114-771 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 114-771 [Tome 6]
Mots-clés : Kyste osseux anévrismal Tumeur osseuse bénigne Traitement Résumé : Le kyste osseux anévrismal (KOA) est une tumeur bénigne, généralement solitaire. Il représente 1 % des tumeurs bénignes. Le KOA est primitif (70 % des cas) ou secondaire (30 % des cas), se développant sur une lésion préexistante qu'il peut masquer. Une translocation chromosomique spécifique, 17p11-13 ou 16q22 est caractéristique du KOA primitif. Bien qu'étant une tumeur bénigne, le KOA a un potentiel d'aggressivité important. La grande majorité des cas survient entre 10 et 20 ans. La clinique est dominée par la douleur et une tuméfaction. La fracture pathologique est rare dans le KOA. Radiologiquement, le KOA correspond à une lésion lytique métaphysaire, arrondie, excentrée, souvent de grande taille. Cette lésion souffle le périoste en érodant progressivement la corticale. En imagerie par résonance magnétique (IRM), une lésion osseuse expansive bien limitée, une diminution de signal en T1 avec une augmentation de ce signal en T2, un liseré périphérique de bas signal rehaussé par l'injection de produit de contraste, de nombreuses logettes délimitées par des septas et la présence de niveaux liquides, sont très évocateurs de KOA. Le diagnostic par imagerie reste un diagnostic de probabilité et doit toujours être confirmé par une biopsie. La résection chirurgicale en bloc et la résection intralésionnelle (curetage ou saucérisation)±utilisation d'adjuvants locaux ont été pendant longtemps le traitement de choix. Depuis quelques années, les traitements moins invasifs (embolisation artérielle sélective [EAS], sclérothérapie) prennent le pas sur les traitements chirurgicaux. Ils sont efficaces, présentent peu de complications et ont une morbidité bien moindre que la chirurgie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98218 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie du rachis : spondylodiscite infectieuse non tuberculeuse / M. Couderc in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35 n°4 (Novembre 2021)
[article]
Titre : Pathologie du rachis : spondylodiscite infectieuse non tuberculeuse Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Couderc ; A. Tournadre ; M. Soubrier ; J.-J. Dubost Année de publication : 2021 Article en page(s) : 15-860-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Spondylodiscite infectieuse Infection ostéoarticulaire Rachis IRM du rachis Ponction discovertébrale Résumé : La spondylodiscite est une infection du disque et des plateaux vertébraux adjacents qui résulte d'une dissémination hématogène ou, plus rarement, d'une inoculation directe par geste local (ponction, infiltration) ou chirurgie discale. Les germes en cause sont divers : staphylocoques (50 %) mais aussi bacilles à Gram négatif et streptocoques. La porte d'entrée est souvent génito-urinaire ou cutanée. Elle s'observe à tout âge mais surtout après 60 ans, et elle est favorisée par le diabète et l'immunosuppression. Elle se traduit par des rachialgies inflammatoires avec parfois radiculalgie et un syndrome infectieux souvent atténué. Une augmentation de la C-reactive protein a une grande valeur d'alerte. Quand les radiographies ne sont pas démonstratives, l'imagerie par résonance magnétique, très sensible et spécifique, s'impose en urgence. La ponction-biopsie discovertébrale est indispensable pour identifier le germe quand les hémocultures sont négatives et doit être réalisée si possible avant toute antibiothérapie. Sous antibiothérapie adaptée et immobilisation (alitement puis orthèse d'immobilisation), l'évolution est favorable. Déficit neurologique et déformation rachidienne résultent habituellement d'un retard diagnostique et nécessitent parfois une intervention chirurgicale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98219
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 15-860-A-10 [Tome 7][article] Pathologie du rachis : spondylodiscite infectieuse non tuberculeuse [texte imprimé] / M. Couderc ; A. Tournadre ; M. Soubrier ; J.-J. Dubost . - 2021 . - 15-860-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 15-860-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Spondylodiscite infectieuse Infection ostéoarticulaire Rachis IRM du rachis Ponction discovertébrale Résumé : La spondylodiscite est une infection du disque et des plateaux vertébraux adjacents qui résulte d'une dissémination hématogène ou, plus rarement, d'une inoculation directe par geste local (ponction, infiltration) ou chirurgie discale. Les germes en cause sont divers : staphylocoques (50 %) mais aussi bacilles à Gram négatif et streptocoques. La porte d'entrée est souvent génito-urinaire ou cutanée. Elle s'observe à tout âge mais surtout après 60 ans, et elle est favorisée par le diabète et l'immunosuppression. Elle se traduit par des rachialgies inflammatoires avec parfois radiculalgie et un syndrome infectieux souvent atténué. Une augmentation de la C-reactive protein a une grande valeur d'alerte. Quand les radiographies ne sont pas démonstratives, l'imagerie par résonance magnétique, très sensible et spécifique, s'impose en urgence. La ponction-biopsie discovertébrale est indispensable pour identifier le germe quand les hémocultures sont négatives et doit être réalisée si possible avant toute antibiothérapie. Sous antibiothérapie adaptée et immobilisation (alitement puis orthèse d'immobilisation), l'évolution est favorable. Déficit neurologique et déformation rachidienne résultent habituellement d'un retard diagnostique et nécessitent parfois une intervention chirurgicale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98219 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire