Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 10 juillet : de 9h à 11h
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 10 juillet : de 9h à 11h
Réouverture dès ce lundi 19 août.
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Mention de date : Juin 2015 Paru le : 01/06/2015 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
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Les poliitiques de lutte contre la pauvreté au prisme de la reproduction des inégaliités / François Ghesquière in PAUVéRITé [périodique électronique], 8 (Juin 2015)
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[article]
Titre : Les poliitiques de lutte contre la pauvreté au prisme de la reproduction des inégaliités Type de document : texte imprimé Auteurs : François Ghesquière ; Joël Girès Année de publication : 2015 Article en page(s) : 24 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pauvreté Inégalités Résumé : "La manière dont on pense la question sociale influe sur celle dont on conçoit les politiques. Globalement, on peut en distinguer deux conceptions. Soit les enjeux sociaux sont vus comme une question spécifique (la pauvreté) nécessitant un traitement à part (la lutte contre la pauvreté), soit comme une question générale nécessitant une politique globale (la redistribution des richesses). L’opposition entre ces approches macrosociale et microsociale ne relève pas que de discussions techniques. En pointant des causes acrosociales, on aura tendance à mettre en avant la responsabilité collective de la société.
L’approche microsociale, par contre, se focalisera sur des explications (et donc des responsabilités) individuelles. C’est à ce glissement du collectif vers l’individuel que l’on assiste depuis 30 ans. Un glissement incarné et revendiqué par l’Etat social actif, qui n’intègre plus le constat d’une
société hiérarchisée dont la structure inégale se reproduit de génération en génération. D’où l’asthénie des politiques actuelles de lutte contre la pauvreté, que les auteurs de cette contribution passent en revue, documents officiels à l’appui."En ligne : http://www.le-forum.org/uploads/images/fblp-pauve_rite_-08.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97961
in PAUVéRITé [périodique électronique] > 8 (Juin 2015) . - 24 p.[article] Les poliitiques de lutte contre la pauvreté au prisme de la reproduction des inégaliités [texte imprimé] / François Ghesquière ; Joël Girès . - 2015 . - 24 p.
Langues : Français (fre)
in PAUVéRITé [périodique électronique] > 8 (Juin 2015) . - 24 p.
Mots-clés : Pauvreté Inégalités Résumé : "La manière dont on pense la question sociale influe sur celle dont on conçoit les politiques. Globalement, on peut en distinguer deux conceptions. Soit les enjeux sociaux sont vus comme une question spécifique (la pauvreté) nécessitant un traitement à part (la lutte contre la pauvreté), soit comme une question générale nécessitant une politique globale (la redistribution des richesses). L’opposition entre ces approches macrosociale et microsociale ne relève pas que de discussions techniques. En pointant des causes acrosociales, on aura tendance à mettre en avant la responsabilité collective de la société.
L’approche microsociale, par contre, se focalisera sur des explications (et donc des responsabilités) individuelles. C’est à ce glissement du collectif vers l’individuel que l’on assiste depuis 30 ans. Un glissement incarné et revendiqué par l’Etat social actif, qui n’intègre plus le constat d’une
société hiérarchisée dont la structure inégale se reproduit de génération en génération. D’où l’asthénie des politiques actuelles de lutte contre la pauvreté, que les auteurs de cette contribution passent en revue, documents officiels à l’appui."En ligne : http://www.le-forum.org/uploads/images/fblp-pauve_rite_-08.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97961 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire