Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Mars 2020 Paru le : 01/03/2020 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierBaromètre hospitalier MC 2019 / Mieke Dolphens in MC-Informations [périodique éléctronique], 279 (Mars 2020)
[article]
Titre : Baromètre hospitalier MC 2019 Type de document : texte imprimé Auteurs : Mieke Dolphens ; Muriel Wantier ; Benoît Rousseau ; Elien Ghyselen ; Bernard Landtmeters Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 12-19 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hôpitaux Résumé : "En tant que cogestionnaire de l’assurance maladie, stakeholder de la politique de santé et association de patients, nous avons le plaisir de vous présenter la quinzième édition du Baromètre hospitalier MC. Il est basé essentiellement sur les factures hospitalières de nos 4,6 millions de membres.
Les constatations du baromètre hospitalier MC doivent être lues dans le contexte (international) suivant : (1) les dépenses de santé à charge des patients sont élevées en Belgique, (2) la Belgique obtient de mauvais résultats en termes d’inégalités de santé et d’accès aux soins, (3) le report des soins pour des raisons financières est un problème croissant dans notre pays, en particulier dans les groupes de revenus les plus faibles, et (4) en termes de qualité des soins, il y a une marge d’amélioration dans les domaines de l’adéquation, de la sécurité et de la continuité des soins."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97704
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 12-19[article] Baromètre hospitalier MC 2019 [texte imprimé] / Mieke Dolphens ; Muriel Wantier ; Benoît Rousseau ; Elien Ghyselen ; Bernard Landtmeters . - 2020 . - p. 12-19.
Langues : Français (fre)
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 12-19
Mots-clés : Hôpitaux Résumé : "En tant que cogestionnaire de l’assurance maladie, stakeholder de la politique de santé et association de patients, nous avons le plaisir de vous présenter la quinzième édition du Baromètre hospitalier MC. Il est basé essentiellement sur les factures hospitalières de nos 4,6 millions de membres.
Les constatations du baromètre hospitalier MC doivent être lues dans le contexte (international) suivant : (1) les dépenses de santé à charge des patients sont élevées en Belgique, (2) la Belgique obtient de mauvais résultats en termes d’inégalités de santé et d’accès aux soins, (3) le report des soins pour des raisons financières est un problème croissant dans notre pays, en particulier dans les groupes de revenus les plus faibles, et (4) en termes de qualité des soins, il y a une marge d’amélioration dans les domaines de l’adéquation, de la sécurité et de la continuité des soins."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97704 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Budget 2020 : prestataires de soins, établissements de soins, mutualités et syndicats demandent un budget construit sur un projet et permettant de nouvelles initiatives / Saskia Mahieu in MC-Informations [périodique éléctronique], 279 (Mars 2020)
[article]
Titre : Budget 2020 : prestataires de soins, établissements de soins, mutualités et syndicats demandent un budget construit sur un projet et permettant de nouvelles initiatives Type de document : texte imprimé Auteurs : Saskia Mahieu Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 4-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Politique sanitaire Résumé : "Les prestataires de soins, les établissements de soins et les mutualités ont approuvé quasiment à l’unanimité (deux abstentions) une proposition de budget pour les soins de santé en 2020 durant le Comité de l’Assurance du 7 octobre 2019. Ils ont unanimement choisi un message fort, c’est-à-dire un budget qui ouvre des perspectives en se fondant sur une vision à long terme et qui se base sur des moyens suffisants. En excluant les dépenses ponctuelles et en envisageant des mesures d’économie dans le secteur des médicaments, le Comité de l’Assurance propose un budget de 27,6 milliards d’euros, conforme aux dispositions légales, et dégage une marge de 101 millions d’euros pour de nouvelles initiatives. Le Comité de l’Assurance souhaite élaborer une vision à long terme, un plan financier stable sur plusieurs années et une réponse intégrée aux besoins du patient. Un budget suffisant doit être libéré pour les soins aux patients vulnérables et leur être effectivement consacré." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97712
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 4-11[article] Budget 2020 : prestataires de soins, établissements de soins, mutualités et syndicats demandent un budget construit sur un projet et permettant de nouvelles initiatives [texte imprimé] / Saskia Mahieu . - 2020 . - p. 4-11.
Langues : Français (fre)
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 4-11
Mots-clés : Politique sanitaire Résumé : "Les prestataires de soins, les établissements de soins et les mutualités ont approuvé quasiment à l’unanimité (deux abstentions) une proposition de budget pour les soins de santé en 2020 durant le Comité de l’Assurance du 7 octobre 2019. Ils ont unanimement choisi un message fort, c’est-à-dire un budget qui ouvre des perspectives en se fondant sur une vision à long terme et qui se base sur des moyens suffisants. En excluant les dépenses ponctuelles et en envisageant des mesures d’économie dans le secteur des médicaments, le Comité de l’Assurance propose un budget de 27,6 milliards d’euros, conforme aux dispositions légales, et dégage une marge de 101 millions d’euros pour de nouvelles initiatives. Le Comité de l’Assurance souhaite élaborer une vision à long terme, un plan financier stable sur plusieurs années et une réponse intégrée aux besoins du patient. Un budget suffisant doit être libéré pour les soins aux patients vulnérables et leur être effectivement consacré." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97712 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire La consommation d’alcool des jeunes Belges est inquiétante / Rebekka Verniest in MC-Informations [périodique éléctronique], 279 (Mars 2020)
[article]
Titre : La consommation d’alcool des jeunes Belges est inquiétante Type de document : texte imprimé Auteurs : Rebekka Verniest ; Michiel Callens Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 20-25 Langues : Français (fre) Mots-clés : Consommation d'alcool -- Jeunes Résumé : "L’Agence Intermutualiste (AIM) effectue depuis plusieurs années, en collaboration avec l’Université d’Anvers et l’UZA, une estimation du nombre d’ intoxications alcooliques chez les jeunes entre 12 et 17 ans. Cette estimation se fait au moyen d’un indicateur basé sur la nomenclature indiquant le nombre de jeunes qui se présentent par année civile aux urgences ou qui passent une nuit à l’hôpital et subissent un éthylotest le même jour. Selon les médecins traitants (médecins urgentistes, pédiatres), ce test indique, surtout chez les jeunes, presque à chaque fois une intoxication alcoolique.
Les chiffres montrent qu’un total de 2.234 jeunes se sont retrouvés à l’hôpital à la suite d’une surconsommation d’alcool en 2018. Ce chiffre reste à peu près stable depuis 10 ans et ce malgré toutes les campagnes de sensibilisation. Une faible diminution a été constatée en 2013 (2.376) ainsi qu’une faible augmentation en 2008 (2.209). L’intoxication alcoolique se présente plus souvent chez les filles que chez les garçons, ainsi que chez les jeunes ayant droit à l’ intervention majorée.
L'intoxication alcoolique chez les jeunes n’est pas un problème anodin. Outre la « gueule de bois », d’autres effets de l’ intoxication alcoolique peuvent se manifester à court terme, tels qu’un risque accru d’agressions, de comportements sexuels à risque, d’agressions sexuelles et d’accidents causés par l’abus d’alcool. À long terme, des dommages peuvent être infligés au cerveau, entraînant la perte de capacités intellectuelles et des possibilités scolaires diminuées. Il s’agit d’un problème grave et trop peu connu."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97768
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 20-25[article] La consommation d’alcool des jeunes Belges est inquiétante [texte imprimé] / Rebekka Verniest ; Michiel Callens . - 2020 . - p. 20-25.
Langues : Français (fre)
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 20-25
Mots-clés : Consommation d'alcool -- Jeunes Résumé : "L’Agence Intermutualiste (AIM) effectue depuis plusieurs années, en collaboration avec l’Université d’Anvers et l’UZA, une estimation du nombre d’ intoxications alcooliques chez les jeunes entre 12 et 17 ans. Cette estimation se fait au moyen d’un indicateur basé sur la nomenclature indiquant le nombre de jeunes qui se présentent par année civile aux urgences ou qui passent une nuit à l’hôpital et subissent un éthylotest le même jour. Selon les médecins traitants (médecins urgentistes, pédiatres), ce test indique, surtout chez les jeunes, presque à chaque fois une intoxication alcoolique.
Les chiffres montrent qu’un total de 2.234 jeunes se sont retrouvés à l’hôpital à la suite d’une surconsommation d’alcool en 2018. Ce chiffre reste à peu près stable depuis 10 ans et ce malgré toutes les campagnes de sensibilisation. Une faible diminution a été constatée en 2013 (2.376) ainsi qu’une faible augmentation en 2008 (2.209). L’intoxication alcoolique se présente plus souvent chez les filles que chez les garçons, ainsi que chez les jeunes ayant droit à l’ intervention majorée.
L'intoxication alcoolique chez les jeunes n’est pas un problème anodin. Outre la « gueule de bois », d’autres effets de l’ intoxication alcoolique peuvent se manifester à court terme, tels qu’un risque accru d’agressions, de comportements sexuels à risque, d’agressions sexuelles et d’accidents causés par l’abus d’alcool. À long terme, des dommages peuvent être infligés au cerveau, entraînant la perte de capacités intellectuelles et des possibilités scolaires diminuées. Il s’agit d’un problème grave et trop peu connu."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97768 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Politique de lutte contre la pauvreté. « Komaf met Armoede » ou Finissons-en avec la pauvreté : une campagne de « Decenniumdoelen » pour avancer / Michel Debruyne in MC-Informations [périodique éléctronique], 279 (Mars 2020)
[article]
Titre : Politique de lutte contre la pauvreté. « Komaf met Armoede » ou Finissons-en avec la pauvreté : une campagne de « Decenniumdoelen » pour avancer Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Debruyne Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 40-47 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pauvreté -- Politique publique Résumé : "« Decenniumdoelen » (les objectifs de la décennie) regroupe de nombreuses organisations de la société civile dont l’objectif est de diminuer la pauvreté de moitié en 10 ans. Ce groupe a lancé en 2018 la campagne « Komaf met Armoede » (finissons-en avec la pauvreté) pour mettre la pauvreté au menu des élections. Cette campagne ne s’est pas réduite à de la communication. « Komaf met Armoede » a également retravaillé les objectifs de « Decenniumdoelen », a dialogué avec des experts et des personnes vivant dans la pauvreté et leur a donné une place centrale dans cette campagne. 21 propositions réalisables, concrétisant 7 objectifs, ont été mises en avant. La campagne s’est adressée à un large public en plaçant des messages sur des sacs à pain et sur des trams et des bus. Facebook a été mis à contribution et des messages y ont largement été diffusés. Toutes ces initiatives poursuivaient un même but : mettre la pauvreté à l’agenda politique.
La campagne s’est conclue avec le 12e baromètre de la pauvreté. Ce baromètre ne se résume pas à des chiffres. Il se veut également une source d’inspiration pour les gouvernements flamands et fédéraux afin de les inciter à être plus actifs dans la lutte contre la pauvreté. Car le 12e baromètre indique qu’elle n’a pas baissé. Et pourtant, il est tout-à-fait possible de la combattre. Les propositions ne demandent parfois pas plus de moyens mais bien une autre répartition des ressources. La redistribution est le concept central de cette campagne."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97845
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 40-47[article] Politique de lutte contre la pauvreté. « Komaf met Armoede » ou Finissons-en avec la pauvreté : une campagne de « Decenniumdoelen » pour avancer [texte imprimé] / Michel Debruyne . - 2020 . - p. 40-47.
Langues : Français (fre)
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 40-47
Mots-clés : Pauvreté -- Politique publique Résumé : "« Decenniumdoelen » (les objectifs de la décennie) regroupe de nombreuses organisations de la société civile dont l’objectif est de diminuer la pauvreté de moitié en 10 ans. Ce groupe a lancé en 2018 la campagne « Komaf met Armoede » (finissons-en avec la pauvreté) pour mettre la pauvreté au menu des élections. Cette campagne ne s’est pas réduite à de la communication. « Komaf met Armoede » a également retravaillé les objectifs de « Decenniumdoelen », a dialogué avec des experts et des personnes vivant dans la pauvreté et leur a donné une place centrale dans cette campagne. 21 propositions réalisables, concrétisant 7 objectifs, ont été mises en avant. La campagne s’est adressée à un large public en plaçant des messages sur des sacs à pain et sur des trams et des bus. Facebook a été mis à contribution et des messages y ont largement été diffusés. Toutes ces initiatives poursuivaient un même but : mettre la pauvreté à l’agenda politique.
La campagne s’est conclue avec le 12e baromètre de la pauvreté. Ce baromètre ne se résume pas à des chiffres. Il se veut également une source d’inspiration pour les gouvernements flamands et fédéraux afin de les inciter à être plus actifs dans la lutte contre la pauvreté. Car le 12e baromètre indique qu’elle n’a pas baissé. Et pourtant, il est tout-à-fait possible de la combattre. Les propositions ne demandent parfois pas plus de moyens mais bien une autre répartition des ressources. La redistribution est le concept central de cette campagne."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97845 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Santé positive : l’engagement social et la santé / Sigrid Vancorenland in MC-Informations [périodique éléctronique], 279 (Mars 2020)
[article]
Titre : Santé positive : l’engagement social et la santé Type de document : texte imprimé Auteurs : Sigrid Vancorenland ; Hervé Avalosse ; Rebekka Verniest ; Bernard Rime ; Jessica Morton ; Johan Tourné ; Coraline Brodkom ; Johan Truyers ; Ellen Ophalvens ; Eric Olbregts ; Benjamin Vandervoort ; Géraldine Maquet ; Johan Swinnen ; Jean-Baptiste Dayez Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 26-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : Participation sociale Santé Résumé : "Une étude à grande échelle de la MC et de ses mouvements, en collaboration avec la Faculté de psychologie de l’UCLouvain, s’est intéressée au lien entre l’engagement social et la santé.
Pour ce faire, 7.021 personnes ont répondu à un questionnaire en ligne qui évaluait l’engagement social, les processus psychosociaux (soutien social, solitude...) et la santé subjective. Les résultats ont été couplés aux données de la MC, dont les informations de remboursement de soins de santé de 2017 et 2018 (contacts avec les médecins traitants et spécialistes, hospitalisations, médicaments) fournissent un indicateur objectif de la santé. Parmi les personnes interrogées, 2.033 étaient des volontaires d’un des mouvements de la MC (Samana, Altéo, Okra, Énéo, énéoSport, Kazou, Ocarina et Intersoc). Les 4.988 autres participants provenaient d’un échantillon représentatif des membres MC. Ils ont été répartis en trois groupes en fonction de leurs réponses : « participation active » (volontaire engagé dans l’organisation d’une association structurée), « participation passive » (personne bénéficiant des activités organisées par une association structurée) et « aucune participation » (personne n’ayant aucun contact avec une organisation structurée).
La comparaison de ces quatre groupes a montré un lien important entre l’engagement social et tous les processus psychosociaux évalués. Les personnes participant à la vie sociale structurée ont entre autres davantage l’impression de faire partie de la société, ont des liens sociaux plus forts, se sentent moins seules, ont un plus grand sentiment d’épanouissement et sont moins individualistes que celles qui n’y participent pas. Plus la participation est active, plus les différences sont importantes. Les volontaires des mouvements de la MC se démarquent souvent des autres volontaires (participation active) de manière positive.Ces processus psychosociaux sont associés à la santé subjective. La non-participation à la vie associative est liée négativement à la façon dont on évalue sa propre santé. Par contre, le score de la santé perçue est plus élevé dès que l’on participe à la vie associative (que cette participation soit passive ou active). Et c’est le volontariat dans un des mouvements de la MC qui a le score le plus élevé, traduisant ainsi un lien positif avec la santé subjective.
Cette impression de bonne santé influence l’utilisation des soins de santé : plus on se sent bien, moins on a recours aux soins de santé. Les personnes ne participant pas à la vie sociale structurée ont plus de contacts avec le médecin généraliste (+10%) et avec le spécialiste (+17%), en comparaison avec les volontaires de la MC. Ils ont également plus d’ hospitalisations de jour (+48%), et consomment plus de médicaments (+17%)."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97863
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 26-39[article] Santé positive : l’engagement social et la santé [texte imprimé] / Sigrid Vancorenland ; Hervé Avalosse ; Rebekka Verniest ; Bernard Rime ; Jessica Morton ; Johan Tourné ; Coraline Brodkom ; Johan Truyers ; Ellen Ophalvens ; Eric Olbregts ; Benjamin Vandervoort ; Géraldine Maquet ; Johan Swinnen ; Jean-Baptiste Dayez . - 2020 . - p. 26-39.
Langues : Français (fre)
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 26-39
Mots-clés : Participation sociale Santé Résumé : "Une étude à grande échelle de la MC et de ses mouvements, en collaboration avec la Faculté de psychologie de l’UCLouvain, s’est intéressée au lien entre l’engagement social et la santé.
Pour ce faire, 7.021 personnes ont répondu à un questionnaire en ligne qui évaluait l’engagement social, les processus psychosociaux (soutien social, solitude...) et la santé subjective. Les résultats ont été couplés aux données de la MC, dont les informations de remboursement de soins de santé de 2017 et 2018 (contacts avec les médecins traitants et spécialistes, hospitalisations, médicaments) fournissent un indicateur objectif de la santé. Parmi les personnes interrogées, 2.033 étaient des volontaires d’un des mouvements de la MC (Samana, Altéo, Okra, Énéo, énéoSport, Kazou, Ocarina et Intersoc). Les 4.988 autres participants provenaient d’un échantillon représentatif des membres MC. Ils ont été répartis en trois groupes en fonction de leurs réponses : « participation active » (volontaire engagé dans l’organisation d’une association structurée), « participation passive » (personne bénéficiant des activités organisées par une association structurée) et « aucune participation » (personne n’ayant aucun contact avec une organisation structurée).
La comparaison de ces quatre groupes a montré un lien important entre l’engagement social et tous les processus psychosociaux évalués. Les personnes participant à la vie sociale structurée ont entre autres davantage l’impression de faire partie de la société, ont des liens sociaux plus forts, se sentent moins seules, ont un plus grand sentiment d’épanouissement et sont moins individualistes que celles qui n’y participent pas. Plus la participation est active, plus les différences sont importantes. Les volontaires des mouvements de la MC se démarquent souvent des autres volontaires (participation active) de manière positive.Ces processus psychosociaux sont associés à la santé subjective. La non-participation à la vie associative est liée négativement à la façon dont on évalue sa propre santé. Par contre, le score de la santé perçue est plus élevé dès que l’on participe à la vie associative (que cette participation soit passive ou active). Et c’est le volontariat dans un des mouvements de la MC qui a le score le plus élevé, traduisant ainsi un lien positif avec la santé subjective.
Cette impression de bonne santé influence l’utilisation des soins de santé : plus on se sent bien, moins on a recours aux soins de santé. Les personnes ne participant pas à la vie sociale structurée ont plus de contacts avec le médecin généraliste (+10%) et avec le spécialiste (+17%), en comparaison avec les volontaires de la MC. Ils ont également plus d’ hospitalisations de jour (+48%), et consomment plus de médicaments (+17%)."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97863 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire