| Titre : |
Quel est l'intérêt de la rpise en charge en kinésithérapie pour lutter contre les effets des polyneuropathies périphériques induites par la chimiothérapie? |
| Type de document : |
TFE / Mémoire |
| Auteurs : |
Moreno Gomez, Auteur ; Sarah Wissam, Auteur ; Loris Del Natale, Promoteur du mémoire |
| Editeur : |
Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut |
| Année de publication : |
2024 |
| Importance : |
108p. |
| Note générale : |
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . |
| Langues : |
Français (fre) |
| Index. décimale : |
MK Mémoire Kinésithérapie |
| Résumé : |
Objectif : L’objectif de ce mémoire était de mettre en évidence l’importance d’une prise en charge en kinésithérapie pour contrer les effets indésirables liées aux polyneuropathies périphériques induites par la chimiothérapie et permettre une amélioration de la qualité de vie des patients.
Méthode : la recherche des articles s’est effectuée sur 5 bases de données : PubMed, Google Scholar, Cinahl, Cochrane Library et ScienceDirect. Seules les études étant de bonne qualité méthodologique et ayant un haut niveau de preuve, déterminé à l’aide de différents outils, ont été conservées. De plus, les articles n’étant pas rédigés en anglais ou français et dont la publication est antérieure à 2012 ont été écartés. Des critères d’inclusion et d’exclusion ont été établis afin de sélectionner les articles les plus pertinents par rapport à la question de recherche.
Résultats : L’ensemble des études analysées ont démontré un net accroissement des différentes composantes fonctionnelles tels que la force musculaire, l’équilibre, l’endurance ainsi que de la sévérité des symptômes des PNP induites par une chimiothérapie, le tout améliorant la qualité de vie des patients. Des séances s’étendant de 3 à 36 semaines et réalisées à une fréquence de 2 à 5 fois par semaine permettent de générer de bons résultats en tant que traitement non pharmacologique. Néanmoins, il est important de conserver un certain recul par rapport à l'interprétation de ces résultats au vu de la récence des recherches.
Conclusions : Ces résultats ont permis de confirmer l’hypothèse selon laquelle l’exercice physique est une alternative intéressante aux traitements médicamenteux afin de lutter contre les effets liés aux polyneuropathies périphériques induites par la chimiothérapie. Des recherches supplémentaires avec une prise en charge à long terme sont nécessaires pour attester que la kinésithérapie constitue un traitement de choix dans le domaine oncologique. Cette vision novatrice permet de s’éloigner des idées préconçues selon lesquelles la maladie nécessite avant tout du repos. |
| Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=115863 |
Quel est l'intérêt de la rpise en charge en kinésithérapie pour lutter contre les effets des polyneuropathies périphériques induites par la chimiothérapie? [TFE / Mémoire] / Moreno Gomez, Auteur ; Sarah Wissam, Auteur ; Loris Del Natale, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2024 . - 108p. Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . Langues : Français ( fre)
| Index. décimale : |
MK Mémoire Kinésithérapie |
| Résumé : |
Objectif : L’objectif de ce mémoire était de mettre en évidence l’importance d’une prise en charge en kinésithérapie pour contrer les effets indésirables liées aux polyneuropathies périphériques induites par la chimiothérapie et permettre une amélioration de la qualité de vie des patients.
Méthode : la recherche des articles s’est effectuée sur 5 bases de données : PubMed, Google Scholar, Cinahl, Cochrane Library et ScienceDirect. Seules les études étant de bonne qualité méthodologique et ayant un haut niveau de preuve, déterminé à l’aide de différents outils, ont été conservées. De plus, les articles n’étant pas rédigés en anglais ou français et dont la publication est antérieure à 2012 ont été écartés. Des critères d’inclusion et d’exclusion ont été établis afin de sélectionner les articles les plus pertinents par rapport à la question de recherche.
Résultats : L’ensemble des études analysées ont démontré un net accroissement des différentes composantes fonctionnelles tels que la force musculaire, l’équilibre, l’endurance ainsi que de la sévérité des symptômes des PNP induites par une chimiothérapie, le tout améliorant la qualité de vie des patients. Des séances s’étendant de 3 à 36 semaines et réalisées à une fréquence de 2 à 5 fois par semaine permettent de générer de bons résultats en tant que traitement non pharmacologique. Néanmoins, il est important de conserver un certain recul par rapport à l'interprétation de ces résultats au vu de la récence des recherches.
Conclusions : Ces résultats ont permis de confirmer l’hypothèse selon laquelle l’exercice physique est une alternative intéressante aux traitements médicamenteux afin de lutter contre les effets liés aux polyneuropathies périphériques induites par la chimiothérapie. Des recherches supplémentaires avec une prise en charge à long terme sont nécessaires pour attester que la kinésithérapie constitue un traitement de choix dans le domaine oncologique. Cette vision novatrice permet de s’éloigner des idées préconçues selon lesquelles la maladie nécessite avant tout du repos. |
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./index.php?lvl=notice_display&id=115863 |
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