Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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| Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierArt et culture : l’activité physique n’est pas la seule alternative pour la santé / Anne-Violette Bruyneel in Mains libres, N°2 (Juin 2021)
Titre : Art et culture : l’activité physique n’est pas la seule alternative pour la santé Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Violette Bruyneel ; Claude Pichonnaz Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 75-76 Langues : Français (fre) Résumé : Apport des stimulations globales pour la santé
Les bienfaits des activités culturelles
Les bienfaits de la pratique d’activités artistiques
Implications cliniques pour les physiothérapeutesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96013
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 75-76[article] Art et culture : l’activité physique n’est pas la seule alternative pour la santé [texte imprimé] / Anne-Violette Bruyneel ; Claude Pichonnaz . - 2021 . - p. 75-76.
Langues : Français (fre)
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 75-76
Résumé : Apport des stimulations globales pour la santé
Les bienfaits des activités culturelles
Les bienfaits de la pratique d’activités artistiques
Implications cliniques pour les physiothérapeutesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96013 Exemplaires (1)
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Titre : Identification et capacité des variables cliniques à prédire la récupération motrice du membre supérieur hémiplégique suite à un accident vasculaire cérébral : un examen de portée Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte De Gregorio ; Virginie Alder ; Anne-Violette Bruyneel Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 79-90 Langues : Français (fre) Résumé : Contexte : La plégie du membre supérieur est l’un des symptômes les plus courants après un accident vasculaire cérébral (AVC). Être en mesure de prédire la récupération motrice du membre supérieur à 6 mois post-AVC au moyen de tests que le physiothérapeute est habileté à effectuer permettrait d’optimiser le traitement et d’offrir au patient la possibilité d’imaginer son futur.
Objectif : Le but de cette étude était de déterminer quelles sont les variables cliniques en phase aiguë (1 à 7 jours) et subaiguë précoce (7 jours à 3 mois) qui prédisent la récupération après un AVC.
Méthode : Un examen de portée (scoping review) a été réalisé. Suite aux critères de sélection et à la recherche d’articles dans les bases de données (PubMed, PEDro, CINAHL), 11 études ont été incluses dans ce travail.
Résultats : Les variables prédictives évaluées par les physiothérapeutes étaient principalement l’extension des doigts, la force de préhension, la motricité de la main, l’abduction de l’épaule, les tests de fonction motrice du membre supérieur, le système somatosensoriel, la sensibilité et la spasticité sévère du membre supérieur. Pour un membre supérieur gravement atteint, le score de motricité du membre inférieur et la sévérité de l’AVC ont permis de prédire la récupération. La fenêtre temporelle de prédiction était comprise entre 3 et 30 jours post-AVC.
Conclusion : Les variables cliniques permettent de prédire cette récupération pour la majorité de la population concernée lorsqu’elles sont incluses dans un modèle pronostic. Elles diffèrent selon la fenêtre temporelle d’évaluation et la sévérité de l’atteinte du membre supérieur. Les résultats sont à considérer avec prudence car la validité des modèles doit encore être testée en clinique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96014
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 79-90[article] Identification et capacité des variables cliniques à prédire la récupération motrice du membre supérieur hémiplégique suite à un accident vasculaire cérébral : un examen de portée [texte imprimé] / Charlotte De Gregorio ; Virginie Alder ; Anne-Violette Bruyneel . - 2021 . - p. 79-90.
Langues : Français (fre)
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 79-90
Résumé : Contexte : La plégie du membre supérieur est l’un des symptômes les plus courants après un accident vasculaire cérébral (AVC). Être en mesure de prédire la récupération motrice du membre supérieur à 6 mois post-AVC au moyen de tests que le physiothérapeute est habileté à effectuer permettrait d’optimiser le traitement et d’offrir au patient la possibilité d’imaginer son futur.
Objectif : Le but de cette étude était de déterminer quelles sont les variables cliniques en phase aiguë (1 à 7 jours) et subaiguë précoce (7 jours à 3 mois) qui prédisent la récupération après un AVC.
Méthode : Un examen de portée (scoping review) a été réalisé. Suite aux critères de sélection et à la recherche d’articles dans les bases de données (PubMed, PEDro, CINAHL), 11 études ont été incluses dans ce travail.
Résultats : Les variables prédictives évaluées par les physiothérapeutes étaient principalement l’extension des doigts, la force de préhension, la motricité de la main, l’abduction de l’épaule, les tests de fonction motrice du membre supérieur, le système somatosensoriel, la sensibilité et la spasticité sévère du membre supérieur. Pour un membre supérieur gravement atteint, le score de motricité du membre inférieur et la sévérité de l’AVC ont permis de prédire la récupération. La fenêtre temporelle de prédiction était comprise entre 3 et 30 jours post-AVC.
Conclusion : Les variables cliniques permettent de prédire cette récupération pour la majorité de la population concernée lorsqu’elles sont incluses dans un modèle pronostic. Elles diffèrent selon la fenêtre temporelle d’évaluation et la sévérité de l’atteinte du membre supérieur. Les résultats sont à considérer avec prudence car la validité des modèles doit encore être testée en clinique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96014 Exemplaires (1)
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Titre : Utilisation de bandes adhésives élastiques pour traiter la douleur de l’épaule hémiplégique Type de document : texte imprimé Auteurs : Christopher Juillard ; Nicolas Duclos ; Marc Vassant Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 91-98 Langues : Français (fre) Résumé : Contexte : Après un accident vasculaire cérébral (AVC), le risque de développer une épaule hémiplégique douloureuse (EHD) est élevé. Actuellement, l’utilisation de dispositifs de soutien de l’épaule (écharpe, attelle de soutien ou tablettes sur fauteuil roulant) associés à la physiothérapie est généralement le traitement de choix, mais ces approches limitent les mouvements des patients. Les bandes adhésives élastiques (BAE) pourraient être une alternative pour soutenir l’épaule sans entraver le mouvement.
Objectif : Comparer, pour des personnes présentant une épaule hémiplégique douloureuse post-AVC, l’effet sur la douleur et les amplitudes de l’épaule des BAE associées à de la physiothérapie classique par rapport à de la physiothérapie classique seule ou avec BAE placebo.
Méthode : Les recherches ont été menées dans les bases de données PEDro, Embase, Cinhal, Kinedoc, Cochrane et PubMed. Pour être incluses, les études devaient être des essais contrôlés randomisés (ECR) évaluant les effets des BAE sur les douleurs de l’épaule hémiplégique.
Résultats : Quatre études correspondaient aux critères d’inclusion définis pour cette revue. L’ECR incluant des personnes en phase chronique d’AVC montrait des améliorations significatives. Pour les deux études en phase subaiguë, des effets positifs mais, non significatifs sur la douleur et les amplitudes d’épaule ont été observés. Quant à l’étude en phase aiguë, les résultats sont uniquement significatifs pour la douleur à la fin du suivi.
Discussion : Les résultats sont globalement positifs bien que parfois non significatifs, mais l’analyse de la qualité des études a mis en évidence de multiples biais.
A ce stade, aucune donnée probante ne permet de montrer une plus-value des BAE sur la douleur et l’amplitude de l’épaule hémiplégique, excepté en phase chronique de l’AVC.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96015
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 91-98[article] Utilisation de bandes adhésives élastiques pour traiter la douleur de l’épaule hémiplégique [texte imprimé] / Christopher Juillard ; Nicolas Duclos ; Marc Vassant . - 2021 . - p. 91-98.
Langues : Français (fre)
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 91-98
Résumé : Contexte : Après un accident vasculaire cérébral (AVC), le risque de développer une épaule hémiplégique douloureuse (EHD) est élevé. Actuellement, l’utilisation de dispositifs de soutien de l’épaule (écharpe, attelle de soutien ou tablettes sur fauteuil roulant) associés à la physiothérapie est généralement le traitement de choix, mais ces approches limitent les mouvements des patients. Les bandes adhésives élastiques (BAE) pourraient être une alternative pour soutenir l’épaule sans entraver le mouvement.
Objectif : Comparer, pour des personnes présentant une épaule hémiplégique douloureuse post-AVC, l’effet sur la douleur et les amplitudes de l’épaule des BAE associées à de la physiothérapie classique par rapport à de la physiothérapie classique seule ou avec BAE placebo.
Méthode : Les recherches ont été menées dans les bases de données PEDro, Embase, Cinhal, Kinedoc, Cochrane et PubMed. Pour être incluses, les études devaient être des essais contrôlés randomisés (ECR) évaluant les effets des BAE sur les douleurs de l’épaule hémiplégique.
Résultats : Quatre études correspondaient aux critères d’inclusion définis pour cette revue. L’ECR incluant des personnes en phase chronique d’AVC montrait des améliorations significatives. Pour les deux études en phase subaiguë, des effets positifs mais, non significatifs sur la douleur et les amplitudes d’épaule ont été observés. Quant à l’étude en phase aiguë, les résultats sont uniquement significatifs pour la douleur à la fin du suivi.
Discussion : Les résultats sont globalement positifs bien que parfois non significatifs, mais l’analyse de la qualité des études a mis en évidence de multiples biais.
A ce stade, aucune donnée probante ne permet de montrer une plus-value des BAE sur la douleur et l’amplitude de l’épaule hémiplégique, excepté en phase chronique de l’AVC.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96015 Exemplaires (1)
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Titre : Douleur et raideur du rachis cervical en rotation axiale chez des patientes suite à une intervention chirurgicale pour cancer du sein, avant et après une prise en charge ostéopathique: série de cas Type de document : texte imprimé Auteurs : Lorie Jadot ; Ludivine Lahaeye ; Ana Bengoetxea ; Walid Salem Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 99-111 Langues : Français (fre) Résumé : Contexte : Les séquelles musculosquelettiques sont fréquentes à la suite d’un cancer du sein opéré et leur impact au quotidien pousse les patientes à utiliser des thérapies non-conventionnelles.
Objectif : Quantifier la modification des paramètres de douleur et de raideur lors de la rotation axiale cervicale chez des patientes ayant bénéficié d’une chirurgie du cancer du sein, avant et après une prise en charge ostéopathique.
Méthode : Cinq patientes (62 ± 9 ans) ont participé à l’étude et ont rempli une échelle visuelle analogique (EVA) de la douleur avant, immédiatement après et un mois après la séance ostéopathique, ainsi qu’un questionnaire IDVQ-20 avant et un mois après. L’amplitude maximale active et passive en rotation cervicale, les moments de force associés, la zone neutre, le coefficient de raideur et le rapport entre la zone élastique et la zone neutre ont été mesurés, avant et après le traitement.
Résultats : La comparaison des moyennes de l’EVA avant et un mois après la séance montre des différences significatives (p = 0,02) qui ne semblent pas corrélées au traitement ostéopathique, contrairement aux résultats découverts pour la moyenne des amplitudes maximales actives (p = 0,03). Des tendances ont été mises en évidence pour certains paramètres et les courbes d’hystérésis semblent s’atténuer après la prise en charge.
Conclusion : La faiblesse de l’échantillon ne permet pas de confirmer ou d’infirmer l’efficacité de l’ostéopathie. Des recherches supplémentaires restent essentielles pour affiner les résultats obtenus et comprendre les mécanismes sous-jacents afin d’améliorer la prise en charge post-chirurgicale de ces patientes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96016
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 99-111[article] Douleur et raideur du rachis cervical en rotation axiale chez des patientes suite à une intervention chirurgicale pour cancer du sein, avant et après une prise en charge ostéopathique: série de cas [texte imprimé] / Lorie Jadot ; Ludivine Lahaeye ; Ana Bengoetxea ; Walid Salem . - 2021 . - p. 99-111.
Langues : Français (fre)
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 99-111
Résumé : Contexte : Les séquelles musculosquelettiques sont fréquentes à la suite d’un cancer du sein opéré et leur impact au quotidien pousse les patientes à utiliser des thérapies non-conventionnelles.
Objectif : Quantifier la modification des paramètres de douleur et de raideur lors de la rotation axiale cervicale chez des patientes ayant bénéficié d’une chirurgie du cancer du sein, avant et après une prise en charge ostéopathique.
Méthode : Cinq patientes (62 ± 9 ans) ont participé à l’étude et ont rempli une échelle visuelle analogique (EVA) de la douleur avant, immédiatement après et un mois après la séance ostéopathique, ainsi qu’un questionnaire IDVQ-20 avant et un mois après. L’amplitude maximale active et passive en rotation cervicale, les moments de force associés, la zone neutre, le coefficient de raideur et le rapport entre la zone élastique et la zone neutre ont été mesurés, avant et après le traitement.
Résultats : La comparaison des moyennes de l’EVA avant et un mois après la séance montre des différences significatives (p = 0,02) qui ne semblent pas corrélées au traitement ostéopathique, contrairement aux résultats découverts pour la moyenne des amplitudes maximales actives (p = 0,03). Des tendances ont été mises en évidence pour certains paramètres et les courbes d’hystérésis semblent s’atténuer après la prise en charge.
Conclusion : La faiblesse de l’échantillon ne permet pas de confirmer ou d’infirmer l’efficacité de l’ostéopathie. Des recherches supplémentaires restent essentielles pour affiner les résultats obtenus et comprendre les mécanismes sous-jacents afin d’améliorer la prise en charge post-chirurgicale de ces patientes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96016 Exemplaires (1)
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Titre : La physiothérapie comme actrice d’un système de santé plus durable Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Ferchichi ; Fanny Poget ; Filip Maric ; Guillaume Christe Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 113-120 Langues : Français (fre) Résumé : Contexte : La santé des populations et la crise environnementale sont intimement liées. Le monde de la santé a la responsabilité d’inclure la problématique environnementale dans ses actions.
Objectif : L’objectif de cet article est de proposer des pistes de réflexion pour intégrer les questions environnementales et de durabilité dans la pratique de la physiothérapie.
Développement : Des actions visant à promouvoir des soins à haute efficacité, communiquer sur la problématique environnementale avec les patients afin de favoriser les moyens de déplacement actifs, développer leurs compétences (self-management) et les traitements en groupe peuvent amener des effets positifs sur le climat, tout en garantissant la qualité des thérapies. Néanmoins, des actions systémiques permettraient des bénéfices plus larges. Favoriser les traitements conservateurs au détriment de traitements chirurgicaux, promouvoir l’interdisciplinarité et développer les rôles de prévention et de promotion de la santé au niveau communautaire auraient un impact beaucoup plus important sur la santé et le climat.
Discussion : De nombreuses possibilités d’agir en faveur d’un système de santé plus durable existent pour les physiothérapeutes. Les actions qui auraient le plus d’effet nécessitent cependant des changements au niveau du rôle des physiothérapeutes dans le système de soins. Ces changements passent par des efforts importants au niveau de la formation, du lobbying et des associations professionnelles.
Conclusion : La promotion de la physiothérapie comme un acteur essentiel d’un système de santé durable est une opportunité importante de développement de la profession. Cela va de pair avec le développement de nouveaux rôles pour la profession qui intègrent l’importance des composantes environnementales et sociales pour la santé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96017
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 113-120[article] La physiothérapie comme actrice d’un système de santé plus durable [texte imprimé] / Sylvie Ferchichi ; Fanny Poget ; Filip Maric ; Guillaume Christe . - 2021 . - p. 113-120.
Langues : Français (fre)
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 113-120
Résumé : Contexte : La santé des populations et la crise environnementale sont intimement liées. Le monde de la santé a la responsabilité d’inclure la problématique environnementale dans ses actions.
Objectif : L’objectif de cet article est de proposer des pistes de réflexion pour intégrer les questions environnementales et de durabilité dans la pratique de la physiothérapie.
Développement : Des actions visant à promouvoir des soins à haute efficacité, communiquer sur la problématique environnementale avec les patients afin de favoriser les moyens de déplacement actifs, développer leurs compétences (self-management) et les traitements en groupe peuvent amener des effets positifs sur le climat, tout en garantissant la qualité des thérapies. Néanmoins, des actions systémiques permettraient des bénéfices plus larges. Favoriser les traitements conservateurs au détriment de traitements chirurgicaux, promouvoir l’interdisciplinarité et développer les rôles de prévention et de promotion de la santé au niveau communautaire auraient un impact beaucoup plus important sur la santé et le climat.
Discussion : De nombreuses possibilités d’agir en faveur d’un système de santé plus durable existent pour les physiothérapeutes. Les actions qui auraient le plus d’effet nécessitent cependant des changements au niveau du rôle des physiothérapeutes dans le système de soins. Ces changements passent par des efforts importants au niveau de la formation, du lobbying et des associations professionnelles.
Conclusion : La promotion de la physiothérapie comme un acteur essentiel d’un système de santé durable est une opportunité importante de développement de la profession. Cela va de pair avec le développement de nouveaux rôles pour la profession qui intègrent l’importance des composantes environnementales et sociales pour la santé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96017 Exemplaires (1)
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Titre : Les propriétés des outils de mesure : les questions utiles à se poser Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Pichonnaz Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 121-127 Langues : Français (fre) Résumé : Contexte : Des outils de mesure de plus en plus nombreux sont mis à disposition des cliniciens. De nombreuses propriétés doivent être testées pour s’assurer que le résultat mesuré par l’outil soit sensé, représente la réalité et que son degré de précision soit acceptable.
Objectif : Cet article vise à présenter les diverses questions qui se posent au clinicien lorsqu’il recourt à un outil de mesure, et à expliquer quelle propriété de mesure est rattachée à chaque question.
Développement : Qu’ils soient des appareils, des questionnaires ou des scores de performance physique les outils de mesure doivent faire preuve de multiples qualités pour garantir que le résultat représente correctement la réalité. Ces qualités sont résumées par les notions de validité (l’outil mesure-t-il ce qu’il prétend mesurer ?), de fiabilité (quelle sont ses marges d’erreur ?) et de sensibilité au changement d’état (détecte-t-il les changements d’état du patient ?). De plus, il est utile de connaître certaines valeurs-seuil utiles à l’interprétation des résultats.
Discussion : Un processus exhaustif de validation requiert de nombreuses investigations. Il ne faut pas perdre de vue que les propriétés d’un outil de mesures varient en fonction de la population, de son degré d’atteinte et du contexte d’application. De plus, les aspects pratiques sont importants à considérer lors du choix d’un outil de mesure clinique.
Conclusion : Un bon outil mesure effectivement ce qu’on souhaite mesurer, produit un résultat correct et stable, et reflète les évolutions du patient. Ces qualités doivent être remplies pour que les mesures contribuent à des prises de décisions cliniques adéquates.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96018
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 121-127[article] Les propriétés des outils de mesure : les questions utiles à se poser [texte imprimé] / Claude Pichonnaz . - 2021 . - p. 121-127.
Langues : Français (fre)
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 121-127
Résumé : Contexte : Des outils de mesure de plus en plus nombreux sont mis à disposition des cliniciens. De nombreuses propriétés doivent être testées pour s’assurer que le résultat mesuré par l’outil soit sensé, représente la réalité et que son degré de précision soit acceptable.
Objectif : Cet article vise à présenter les diverses questions qui se posent au clinicien lorsqu’il recourt à un outil de mesure, et à expliquer quelle propriété de mesure est rattachée à chaque question.
Développement : Qu’ils soient des appareils, des questionnaires ou des scores de performance physique les outils de mesure doivent faire preuve de multiples qualités pour garantir que le résultat représente correctement la réalité. Ces qualités sont résumées par les notions de validité (l’outil mesure-t-il ce qu’il prétend mesurer ?), de fiabilité (quelle sont ses marges d’erreur ?) et de sensibilité au changement d’état (détecte-t-il les changements d’état du patient ?). De plus, il est utile de connaître certaines valeurs-seuil utiles à l’interprétation des résultats.
Discussion : Un processus exhaustif de validation requiert de nombreuses investigations. Il ne faut pas perdre de vue que les propriétés d’un outil de mesures varient en fonction de la population, de son degré d’atteinte et du contexte d’application. De plus, les aspects pratiques sont importants à considérer lors du choix d’un outil de mesure clinique.
Conclusion : Un bon outil mesure effectivement ce qu’on souhaite mesurer, produit un résultat correct et stable, et reflète les évolutions du patient. Ces qualités doivent être remplies pour que les mesures contribuent à des prises de décisions cliniques adéquates.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96018 Exemplaires (1)
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Titre : Place du physiothérapeute respiratoire dans la crise Covid-19 : expérience neuchâteloise Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Dugernier ; Nils Correvon ; Stéphanie Gérard Mattsson ; Matthieu Pons ; Aurélie Geiser ; Lucie Grand-Guillaume-Perrenoud ; Damien Gyger ; Tiziana Russo ; Lucie Sahli ; Elodie Senoner ; Aurélien Thomas ; Guillaume Jobin ; Dumeng Décosterd ; Sandra Van Den Broecke ; Jean-Marc Fellrath Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 129-133 Langues : Français (fre) Résumé : Le Service de physiothérapie s’est inscrit comme un acteur important dans la prise en charge des patients Covid-19 à l’Hôpital Pourtalès (Neuchâtel, Suisse), illustrant son rôle important dans l’organigramme des unités de soins aigus. L’effectif a été augmenté et les horaires étendus (7 j/7, 24 h/24). Les physiothérapeutes spécialisés dans le domaine respiratoire ont activement participé à la mise en route des traitements respiratoires et à leur adaptation dans les unités dédiées aux patients Covid-19 (urgences, soins intensifs et pneumologie), tels que l’oxygénothérapie et l’assistance ventilatoire invasive et non invasive. Une réhabilitation a par ailleurs été initiée précocement afin de limiter le risque de polyneuromyopathie acquise aux soins intensifs et de prévenir le déconditionnement physique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96019
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 129-133[article] Place du physiothérapeute respiratoire dans la crise Covid-19 : expérience neuchâteloise [texte imprimé] / J. Dugernier ; Nils Correvon ; Stéphanie Gérard Mattsson ; Matthieu Pons ; Aurélie Geiser ; Lucie Grand-Guillaume-Perrenoud ; Damien Gyger ; Tiziana Russo ; Lucie Sahli ; Elodie Senoner ; Aurélien Thomas ; Guillaume Jobin ; Dumeng Décosterd ; Sandra Van Den Broecke ; Jean-Marc Fellrath . - 2021 . - p. 129-133.
Langues : Français (fre)
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 129-133
Résumé : Le Service de physiothérapie s’est inscrit comme un acteur important dans la prise en charge des patients Covid-19 à l’Hôpital Pourtalès (Neuchâtel, Suisse), illustrant son rôle important dans l’organigramme des unités de soins aigus. L’effectif a été augmenté et les horaires étendus (7 j/7, 24 h/24). Les physiothérapeutes spécialisés dans le domaine respiratoire ont activement participé à la mise en route des traitements respiratoires et à leur adaptation dans les unités dédiées aux patients Covid-19 (urgences, soins intensifs et pneumologie), tels que l’oxygénothérapie et l’assistance ventilatoire invasive et non invasive. Une réhabilitation a par ailleurs été initiée précocement afin de limiter le risque de polyneuromyopathie acquise aux soins intensifs et de prévenir le déconditionnement physique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96019 Exemplaires (1)
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Titre : Opposition à l’hésitation vaccinale durant la pandémie de Covid-19 : un commentaire critique et une déclaration commune d’une communauté internationale de chercheurs en ostéopathie Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomson OP ; A MacMillan ; J Draper-Rodi ; et al. Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 134-136 Langues : Français (fre) Résumé : La pandémie de la Covid-19 a un impact sans précédent sur la santé sociale, mentale et physique de la population mondiale. Aujourd’hui, grâce à des innovations médicales et scientifiques majeures et rapides, il existe plusieurs vaccins sûrs et efficaces contre la Covid-19, et d’autres vaccins sont encore en cours de développement.
La recherche a confirmé que les professionnels de la santé (PSS), tels que les ostéopathes, sont susceptibles d’apporter une contribution importante à la prise de décision des patients concernant l’adhésion à la vaccination. Les croyances, la confiance et les comportements des ostéopathes à l’égard de la vaccination peuvent influencer leurs recommandations aux patients.
Des indications informelles, sous forme de discours intra-professionnels et de messages sur les médias sociaux, suggèrent qu’une majorité d’ostéopathes soutiennent celles délivrées par la santé publique et recommandées par les autorités sanitaires. Cependant, la communauté des chercheurs en ostéopathie est préoccupée par les sentiments négatifs, les opinions peu fondées et, dans certains cas, un franc scepticisme concernant les vaccins, d’une partie de la profession ostéopathique.
Selon les auteurs, aucune recherche n’a été publiée sur les croyances et les attitudes des ostéopathes à l’égard des vaccins. Des recherches seraient donc nécessaires pour mieux comprendre l’éventail des opinions et des croyances des ostéopathes à l’égard de la vaccination et pour mieux cerner celles qui influencent le comportement des ostéopathes en matière d’adhésion et de conseils de vaccination.
Ces doutes vis-à-vis de la vaccination parmi les PSS peuvent conduire leurs patients à hésiter à se faire vacciner et nuire aux efforts de santé publique des autorités sanitaires dans la lutte contre la pandémie.
Depuis le début de la pandémie, certains membres des professions ostéopathiques et chiropratiques se sont inquiétés des affirmations pseudo-scientifiques et de désinformations développées par des praticiens sur le rôle que ces professions peuvent avoir sur la prévention de la maladie covidienne.
L’objectif de cet article est de mettre en lumière la question du scepticisme à l’égard des vaccins et d’expliquer pourquoi les ostéopathes ou les patients peuvent avoir des opinions hésitantes à l’égard des vaccins afin d’améliorer la pratique collaborative, la prise de décision partagée et de stimuler le débat. Les stratégies de soutien à la santé devraient être fondées sur un niveau approprié de preuves, afin de faciliter un débat équitable et une prise de décision transparente. Le public peut ainsi avoir confiance dans l’exactitude des informations qui lui sont présentées par les professionnels et faire des choix autonomes en connaissance de cause, sur la base d’informations fondées.
L’hésitation vaccinale
En 1796, le vaccin contre la variole a été introduit et est devenu le fondement de la vaccinologie moderne. Depuis les années 1840, les différents points de vue sur les vaccins et la vaccination se situent sur un continuum allant de l’acceptation totale au refus total en fonction de différents facteurs sociaux, culturels, psychologiques et contextuels.
La plupart de ces opinions «vaccino-sceptiques» reposent sur des inquiétudes relatives aux risques, à la sécurité et aux effets délétères des vaccins, sur l’atteinte à la liberté de choix et à l’autonomie des individus et sur une méfiance à l’égard de la médecine.
La notion « d’hésitation vaccinale » a été définie comme le «retard dans l’acceptation ou le refus de la vaccination malgré la disponibilité des services de vaccination». L’hésitation vaccinale est mondiale, complexe et spécifique au contexte, variant selon le temps, le lieu et les types de vaccins. La rapidité avec laquelle les vaccins ont été développés et approuvés peut légitimement susciter certaines réticences tant chez les professionnels de santé que chez les patients.
L’hésitation vaccinale est considérée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme l’une des dix principales menaces pour la santé mondiale.
Dans ce contexte, les ostéopathes ont un rôle à jouer pour faciliter l’accès des patients à des informations fiables et crédibles sur les vaccins afin de soutenir la prise de décision partagée, la promotion de la santé et contribuer à relever le défi mondial majeur pour le contrôle à long terme de la Covid-19.
Dans ces conditions, les ostéopathes devraient être pru-dents et précis dans la façon dont ils communiquent les informations concernant la vaccination à leurs patients.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96020
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 134-136[article] Opposition à l’hésitation vaccinale durant la pandémie de Covid-19 : un commentaire critique et une déclaration commune d’une communauté internationale de chercheurs en ostéopathie [texte imprimé] / Thomson OP ; A MacMillan ; J Draper-Rodi ; et al. . - 2021 . - p. 134-136.
Langues : Français (fre)
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 134-136
Résumé : La pandémie de la Covid-19 a un impact sans précédent sur la santé sociale, mentale et physique de la population mondiale. Aujourd’hui, grâce à des innovations médicales et scientifiques majeures et rapides, il existe plusieurs vaccins sûrs et efficaces contre la Covid-19, et d’autres vaccins sont encore en cours de développement.
La recherche a confirmé que les professionnels de la santé (PSS), tels que les ostéopathes, sont susceptibles d’apporter une contribution importante à la prise de décision des patients concernant l’adhésion à la vaccination. Les croyances, la confiance et les comportements des ostéopathes à l’égard de la vaccination peuvent influencer leurs recommandations aux patients.
Des indications informelles, sous forme de discours intra-professionnels et de messages sur les médias sociaux, suggèrent qu’une majorité d’ostéopathes soutiennent celles délivrées par la santé publique et recommandées par les autorités sanitaires. Cependant, la communauté des chercheurs en ostéopathie est préoccupée par les sentiments négatifs, les opinions peu fondées et, dans certains cas, un franc scepticisme concernant les vaccins, d’une partie de la profession ostéopathique.
Selon les auteurs, aucune recherche n’a été publiée sur les croyances et les attitudes des ostéopathes à l’égard des vaccins. Des recherches seraient donc nécessaires pour mieux comprendre l’éventail des opinions et des croyances des ostéopathes à l’égard de la vaccination et pour mieux cerner celles qui influencent le comportement des ostéopathes en matière d’adhésion et de conseils de vaccination.
Ces doutes vis-à-vis de la vaccination parmi les PSS peuvent conduire leurs patients à hésiter à se faire vacciner et nuire aux efforts de santé publique des autorités sanitaires dans la lutte contre la pandémie.
Depuis le début de la pandémie, certains membres des professions ostéopathiques et chiropratiques se sont inquiétés des affirmations pseudo-scientifiques et de désinformations développées par des praticiens sur le rôle que ces professions peuvent avoir sur la prévention de la maladie covidienne.
L’objectif de cet article est de mettre en lumière la question du scepticisme à l’égard des vaccins et d’expliquer pourquoi les ostéopathes ou les patients peuvent avoir des opinions hésitantes à l’égard des vaccins afin d’améliorer la pratique collaborative, la prise de décision partagée et de stimuler le débat. Les stratégies de soutien à la santé devraient être fondées sur un niveau approprié de preuves, afin de faciliter un débat équitable et une prise de décision transparente. Le public peut ainsi avoir confiance dans l’exactitude des informations qui lui sont présentées par les professionnels et faire des choix autonomes en connaissance de cause, sur la base d’informations fondées.
L’hésitation vaccinale
En 1796, le vaccin contre la variole a été introduit et est devenu le fondement de la vaccinologie moderne. Depuis les années 1840, les différents points de vue sur les vaccins et la vaccination se situent sur un continuum allant de l’acceptation totale au refus total en fonction de différents facteurs sociaux, culturels, psychologiques et contextuels.
La plupart de ces opinions «vaccino-sceptiques» reposent sur des inquiétudes relatives aux risques, à la sécurité et aux effets délétères des vaccins, sur l’atteinte à la liberté de choix et à l’autonomie des individus et sur une méfiance à l’égard de la médecine.
La notion « d’hésitation vaccinale » a été définie comme le «retard dans l’acceptation ou le refus de la vaccination malgré la disponibilité des services de vaccination». L’hésitation vaccinale est mondiale, complexe et spécifique au contexte, variant selon le temps, le lieu et les types de vaccins. La rapidité avec laquelle les vaccins ont été développés et approuvés peut légitimement susciter certaines réticences tant chez les professionnels de santé que chez les patients.
L’hésitation vaccinale est considérée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme l’une des dix principales menaces pour la santé mondiale.
Dans ce contexte, les ostéopathes ont un rôle à jouer pour faciliter l’accès des patients à des informations fiables et crédibles sur les vaccins afin de soutenir la prise de décision partagée, la promotion de la santé et contribuer à relever le défi mondial majeur pour le contrôle à long terme de la Covid-19.
Dans ces conditions, les ostéopathes devraient être pru-dents et précis dans la façon dont ils communiquent les informations concernant la vaccination à leurs patients.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96020 Exemplaires (1)
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Titre : L’enseignement pratique en visioconférence pendant la période Covid-19 – Un parallèle avec la télé-réhabilitation ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Violette Bruyneel Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 146-147 Langues : Français (fre) Résumé : La Covid-19 est apparue en Chine en décembre 2019 et a commencé à se disséminer dans le monde entier en janvier 2020(1). Les actions préventives considérées comme efficaces pour contrôler l’épidémie étaient principalement la distanciation sociale, le port de masques, l’hygiène des mains, la détection des cas suspects et la mise en quarantaine, dans un contexte où aucun traitement efficace contre la Covid-19 n’existait(1). La mise en œuvre de ces actions préventives a perturbé les modes de vie et le fonctionnement des personnes, notamment pour les «professions sociales» – qui nécessitent une présence physique (suracti-vité du secteur de la santé et sous-activité des autres sec-teurs) – et pour les structures d’enseignement supérieur, qui ont toutes été fermées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96021
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 146-147[article] L’enseignement pratique en visioconférence pendant la période Covid-19 – Un parallèle avec la télé-réhabilitation ? [texte imprimé] / Anne-Violette Bruyneel . - 2021 . - p. 146-147.
Langues : Français (fre)
in Mains libres > N°2 (Juin 2021) . - p. 146-147
Résumé : La Covid-19 est apparue en Chine en décembre 2019 et a commencé à se disséminer dans le monde entier en janvier 2020(1). Les actions préventives considérées comme efficaces pour contrôler l’épidémie étaient principalement la distanciation sociale, le port de masques, l’hygiène des mains, la détection des cas suspects et la mise en quarantaine, dans un contexte où aucun traitement efficace contre la Covid-19 n’existait(1). La mise en œuvre de ces actions préventives a perturbé les modes de vie et le fonctionnement des personnes, notamment pour les «professions sociales» – qui nécessitent une présence physique (suracti-vité du secteur de la santé et sous-activité des autres sec-teurs) – et pour les structures d’enseignement supérieur, qui ont toutes été fermées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96021 Exemplaires (1)
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