[article] 
inAnnales de kinésithérapie > vol. 27/3 (2000) . - p.119-124

Titre :	La loi d'Euler rapportée aux courbures rachidiennes : un exemple d'appropriation et d'emploi abusif vieux de plus d'un siècle
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	SEYRES P. ; HUCHON R.
Année de publication :	2000
Article en page(s) :	p.119-124
Mots-clés :	Rachis  Loi
Résumé :	L'existence des courbures vertébrales trouve, selon de nombreux auteurs, une justification dans les propriétés de résistance que celles-ci confèrent à la colonne vertébrale. Cette justification s'appuie sur une loi mathématique représentative du phénomène physique de flambement (aussi appelé flambage) des poutres utilisées pour calculer les charges critiques supportables par des poutres soumises à des compressions axiales et d'en prévoir la déformation. Elle est connue sous le nom de " Formule d'Euler". Bien que la théorie d'Euler existe réellement pour de tels phénomènes, ses résultats n'ont jamais été énoncés sous la forme simpliste R = N + 1 que l'on connaît en physiologie articulaire ou en biomécanique. Cette formulation, en l'état, ne répond à aucune démarche scientifique. Elle est pourtant reprise et démontrée comme telle depuis plus d'un siècle.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=19990

[article] La loi d'Euler rapportée aux courbures rachidiennes : un exemple d'appropriation et d'emploi abusif vieux de plus d'un siècle [texte imprimé] / SEYRES P. ; HUCHON R. . - 2000 . - p.119-124.
in Annales de kinésithérapie > vol. 27/3 (2000) . - p.119-124

Mots-clés :	Rachis  Loi
Résumé :	L'existence des courbures vertébrales trouve, selon de nombreux auteurs, une justification dans les propriétés de résistance que celles-ci confèrent à la colonne vertébrale. Cette justification s'appuie sur une loi mathématique représentative du phénomène physique de flambement (aussi appelé flambage) des poutres utilisées pour calculer les charges critiques supportables par des poutres soumises à des compressions axiales et d'en prévoir la déformation. Elle est connue sous le nom de " Formule d'Euler". Bien que la théorie d'Euler existe réellement pour de tels phénomènes, ses résultats n'ont jamais été énoncés sous la forme simpliste R = N + 1 que l'on connaît en physiologie articulaire ou en biomécanique. Cette formulation, en l'état, ne répond à aucune démarche scientifique. Elle est pourtant reprise et démontrée comme telle depuis plus d'un siècle.
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