Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Vol.34, n°2Paru le : 01/04/2020 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierCartographie génétique des maladies osseuses constitutionnelles / P. Marzin in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°2 (Avril 2020)
[article]
Titre : Cartographie génétique des maladies osseuses constitutionnelles Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Marzin ; V. Cormier-Daire Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-011-B-10 [Tome 1] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(19)87612-X Langues : Français (fre) Mots-clés : MOC Hétérogénéité génétique Variabilité phénotypique Ossification Diagnostic des maladies osseuses constitutionnelles Résumé : La dernière classification internationale des maladies osseuses constitutionnelles (MOC, 2015) reconnaît 461 entités réparties en 42 groupes basés sur des critères moléculaires, radiologiques, ou cliniques. En 2019, 437 gènes étaient associés à des MOC reflétant la complexité moléculaire de ce cadre diagnostique. L'identification de ces gènes a contribué à la mise en évidence d'une grande diversité de protéines impliquées dans les phénomènes d'ossification comprenant des protéines de structure, mais aussi des récepteurs et leurs ligands, des hormones, des cytokines ou des facteurs de transcription. Au cours de la dernière décennie, l'essor de nouvelles techniques de séquençage haut débit associées à une approche clinicoradiologique a permis l'identification de nombreux gènes avec de nouvelles familles de protéines jouant un rôle clé dans les processus d'ossification. Malgré cela, plus de 100 MOC n'ont pas encore de base moléculaire connue. Si le diagnostic de la plupart des MOC est le plus souvent clinique et radiologique, l'identification moléculaire de ces affections permet de proposer un conseil génétique précis et pour les formes sévères un diagnostic prénatal. Par ailleurs, ces avancées moléculaires sont essentielles dans la compréhension des processus d'ossification et sont à l'origine de nouvelles thérapeutiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93076
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-011-B-10 [Tome 1][article] Cartographie génétique des maladies osseuses constitutionnelles [texte imprimé] / P. Marzin ; V. Cormier-Daire . - 2020 . - 14-011-B-10 [Tome 1].
Doi : 10.1016/S0246-0521(19)87612-X
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-011-B-10 [Tome 1]
Mots-clés : MOC Hétérogénéité génétique Variabilité phénotypique Ossification Diagnostic des maladies osseuses constitutionnelles Résumé : La dernière classification internationale des maladies osseuses constitutionnelles (MOC, 2015) reconnaît 461 entités réparties en 42 groupes basés sur des critères moléculaires, radiologiques, ou cliniques. En 2019, 437 gènes étaient associés à des MOC reflétant la complexité moléculaire de ce cadre diagnostique. L'identification de ces gènes a contribué à la mise en évidence d'une grande diversité de protéines impliquées dans les phénomènes d'ossification comprenant des protéines de structure, mais aussi des récepteurs et leurs ligands, des hormones, des cytokines ou des facteurs de transcription. Au cours de la dernière décennie, l'essor de nouvelles techniques de séquençage haut débit associées à une approche clinicoradiologique a permis l'identification de nombreux gènes avec de nouvelles familles de protéines jouant un rôle clé dans les processus d'ossification. Malgré cela, plus de 100 MOC n'ont pas encore de base moléculaire connue. Si le diagnostic de la plupart des MOC est le plus souvent clinique et radiologique, l'identification moléculaire de ces affections permet de proposer un conseil génétique précis et pour les formes sévères un diagnostic prénatal. Par ailleurs, ces avancées moléculaires sont essentielles dans la compréhension des processus d'ossification et sont à l'origine de nouvelles thérapeutiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93076 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Atteintes ostéoarticulaires des tréponématoses / L. Bialé in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°2 (Avril 2020)
[article]
Titre : Atteintes ostéoarticulaires des tréponématoses Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Bialé ; C. Glanowski ; C. Jamakorzyan ; F. Banal Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-019-A-10 [Tome 1] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)41570-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéite Tréponématoses endémiques Syphilis vénérienne Syphilis congénitale Pian Bejel Résumé : Les tréponématoses sont des infections dues à des bactéries spiralées appartenant au genre Treponema (T.), au sein de l'ordre des Spirochaetales. On distingue classiquement la syphilis vénérienne, transmise par T. pallidum spp. pallidum, des tréponématoses dites « non vénériennes ou endémiques » qui comprennent le bejel, transmis par T. pallidum spp. endemicum, le pian, transmis par T. pallidum ssp. pertenue, et la pinta, transmise par T. carateum. Les atteintes ostéoarticulaires des tréponématoses sont définies comme l'ensemble des affections ostéoarticulaires provoquées par ces bactéries, hormis T. carateum, seule tréponématose n'ayant que des manifestations cutanées. Dans certains pays d'Afrique, d'Amérique du Sud et d'Asie du Sud-Est, les tréponématoses non vénériennes, après une longue période de faible endémicité liée aux campagnes de pénicillinothérapie instaurées par l'Organisation mondiale de la santé et l'United Nations International Children's Emergency Fund de 1954 à 1963, restent actuellement endémiques. En France, la syphilis vénérienne, après avoir quasiment disparu dans les années 1990, connaît une recrudescence depuis les années 2000, notamment dans certaines populations à risque, d'après le réseau de surveillance RésIST sous l'égide de l'Institut de veille sanitaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93077
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-019-A-10 [Tome 1][article] Atteintes ostéoarticulaires des tréponématoses [texte imprimé] / L. Bialé ; C. Glanowski ; C. Jamakorzyan ; F. Banal . - 2020 . - 14-019-A-10 [Tome 1].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)41570-0
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-019-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : Ostéite Tréponématoses endémiques Syphilis vénérienne Syphilis congénitale Pian Bejel Résumé : Les tréponématoses sont des infections dues à des bactéries spiralées appartenant au genre Treponema (T.), au sein de l'ordre des Spirochaetales. On distingue classiquement la syphilis vénérienne, transmise par T. pallidum spp. pallidum, des tréponématoses dites « non vénériennes ou endémiques » qui comprennent le bejel, transmis par T. pallidum spp. endemicum, le pian, transmis par T. pallidum ssp. pertenue, et la pinta, transmise par T. carateum. Les atteintes ostéoarticulaires des tréponématoses sont définies comme l'ensemble des affections ostéoarticulaires provoquées par ces bactéries, hormis T. carateum, seule tréponématose n'ayant que des manifestations cutanées. Dans certains pays d'Afrique, d'Amérique du Sud et d'Asie du Sud-Est, les tréponématoses non vénériennes, après une longue période de faible endémicité liée aux campagnes de pénicillinothérapie instaurées par l'Organisation mondiale de la santé et l'United Nations International Children's Emergency Fund de 1954 à 1963, restent actuellement endémiques. En France, la syphilis vénérienne, après avoir quasiment disparu dans les années 1990, connaît une recrudescence depuis les années 2000, notamment dans certaines populations à risque, d'après le réseau de surveillance RésIST sous l'égide de l'Institut de veille sanitaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93077 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Hypercalciurie / Emmanuel Letavernier in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°2 (Avril 2020)
[article]
Titre : Hypercalciurie Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Letavernier Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-027-P-10 [Tome 2] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)42142-4 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hypercalciurie Calcium Rein Lithiase Ostéoporose Résumé : L'hypercalciurie est définie par une concentration élevée de calcium urinaire et prédispose à la maladie lithiasique, aux calcifications du tissu rénal (néphrocalcinose), mais est également associée à la déminéralisation osseuse. Outre le traitement des étiologies sous-jacentes, la diminution de la calciurie est un enjeu de prévention majeure de la récidive de la maladie lithiasique. La place du dépistage et du traitement de l'hypercalciurie dans la déminéralisation osseuse reste à définir. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93078
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-027-P-10 [Tome 2][article] Hypercalciurie [texte imprimé] / Emmanuel Letavernier . - 2020 . - 14-027-P-10 [Tome 2].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)42142-4
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-027-P-10 [Tome 2]
Mots-clés : Hypercalciurie Calcium Rein Lithiase Ostéoporose Résumé : L'hypercalciurie est définie par une concentration élevée de calcium urinaire et prédispose à la maladie lithiasique, aux calcifications du tissu rénal (néphrocalcinose), mais est également associée à la déminéralisation osseuse. Outre le traitement des étiologies sous-jacentes, la diminution de la calciurie est un enjeu de prévention majeure de la récidive de la maladie lithiasique. La place du dépistage et du traitement de l'hypercalciurie dans la déminéralisation osseuse reste à définir. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93078 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Syndrome de Gougerot-Sjögren primitif / E. Doare in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°2 (Avril 2020)
[article]
Titre : Syndrome de Gougerot-Sjögren primitif Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Doare ; D. Cornec ; S. Jousse-Joulin ; J.-O. Pers ; V. Devauchelle-Pensec ; A. Saraux Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-223-A-10 [Tome 5] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)41579-7 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome de Gougerot-Sjögren primitif Scores d'activité Lymphocytes B Biothérapies Résumé : Le syndrome de Gougerot-Sjögren primitif, plus communément appelé syndrome de Sjögren hors de la France, est une maladie auto-immune systémique qui se caractérise principalement par une atteinte inflammatoire des glandes salivaires et lacrymales conduisant à un syndrome sec oculaire et buccal, mais qui peut également toucher de multiples organes. Il peut parfois être associé à une autre maladie de système, on le désigne alors syndrome de Sjögren secondaire, terme cependant discuté dans la mesure ou, si l'association est indiscutable, le syndrome de Gougerot-Sjögren n'est pas plus secondaire à une autre maladie auto-immune que la maladie auto-immune lui est secondaire. Une de ses complications les plus graves est la survenue d'un lymphome, le plus souvent de type lymphome B non hogkinien de bas grade comme les lymphomes du MALT (mucosa-associated lymphoid tissue). La prévalence du syndrome de Gougerot-Sjögren primitif est estimée entre 0,02 et 0,1 %, la prédominance féminine est marquée (90 % de femmes), avec un pic d'incidence vers 55 ans. Sa physiopathologie est complexe et fait intervenir des facteurs génétiques, environnementaux et immunologiques, avec une place centrale attribuée aux lymphocytes B. Le diagnostic repose sur les critères de classification ACR/EULAR (American College of Rheumatology/European League Against Rheumatism) publiés en 2016, qui sont souvent utilisés comme critères diagnostiques en pratique. Des scores spécifiques évaluant l'intensité des symptômes et l'activité systémique de la maladie ont été développés et validés. La prise en charge des formes non systémiques est essentiellement symptomatique, avec des substituts de larmes et de salive ou des médicaments stimulant leur production, et le traitement des complications systémiques repose sur la corticothérapie et les immunosuppresseurs. Aucun traitement de fond immunomodulateur n'a prouvé son efficacité pour modifier le cours de la maladie et améliorer les symptômes des patients. L'avènement des biothérapies promet des progrès thérapeutiques dans les prochaines années. De nombreux essais cliniques sont actuellement en cours, évaluant notamment des traitements développés spécifiquement pour cette indication et modulant de nombreuses voies physiopathologiques différentes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93079
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-223-A-10 [Tome 5][article] Syndrome de Gougerot-Sjögren primitif [texte imprimé] / E. Doare ; D. Cornec ; S. Jousse-Joulin ; J.-O. Pers ; V. Devauchelle-Pensec ; A. Saraux . - 2020 . - 14-223-A-10 [Tome 5].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)41579-7
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-223-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Syndrome de Gougerot-Sjögren primitif Scores d'activité Lymphocytes B Biothérapies Résumé : Le syndrome de Gougerot-Sjögren primitif, plus communément appelé syndrome de Sjögren hors de la France, est une maladie auto-immune systémique qui se caractérise principalement par une atteinte inflammatoire des glandes salivaires et lacrymales conduisant à un syndrome sec oculaire et buccal, mais qui peut également toucher de multiples organes. Il peut parfois être associé à une autre maladie de système, on le désigne alors syndrome de Sjögren secondaire, terme cependant discuté dans la mesure ou, si l'association est indiscutable, le syndrome de Gougerot-Sjögren n'est pas plus secondaire à une autre maladie auto-immune que la maladie auto-immune lui est secondaire. Une de ses complications les plus graves est la survenue d'un lymphome, le plus souvent de type lymphome B non hogkinien de bas grade comme les lymphomes du MALT (mucosa-associated lymphoid tissue). La prévalence du syndrome de Gougerot-Sjögren primitif est estimée entre 0,02 et 0,1 %, la prédominance féminine est marquée (90 % de femmes), avec un pic d'incidence vers 55 ans. Sa physiopathologie est complexe et fait intervenir des facteurs génétiques, environnementaux et immunologiques, avec une place centrale attribuée aux lymphocytes B. Le diagnostic repose sur les critères de classification ACR/EULAR (American College of Rheumatology/European League Against Rheumatism) publiés en 2016, qui sont souvent utilisés comme critères diagnostiques en pratique. Des scores spécifiques évaluant l'intensité des symptômes et l'activité systémique de la maladie ont été développés et validés. La prise en charge des formes non systémiques est essentiellement symptomatique, avec des substituts de larmes et de salive ou des médicaments stimulant leur production, et le traitement des complications systémiques repose sur la corticothérapie et les immunosuppresseurs. Aucun traitement de fond immunomodulateur n'a prouvé son efficacité pour modifier le cours de la maladie et améliorer les symptômes des patients. L'avènement des biothérapies promet des progrès thérapeutiques dans les prochaines années. De nombreux essais cliniques sont actuellement en cours, évaluant notamment des traitements développés spécifiquement pour cette indication et modulant de nombreuses voies physiopathologiques différentes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93079 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pubalgie du sportif / M. Bouvard in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°2 (Avril 2020)
[article]
Titre : Pubalgie du sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Bouvard ; C. Kajetanek ; O. Bonnefoy Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-323-A-10 [Tome 5] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)42144-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pubalgie Adducteur Canal inguinal Symphyse pubienne Sport Résumé : La pubalgie du sportif est une maladie touchant toutes les structures locomotrices de la partie antérieure de la ceinture pelvienne. Sa distribution est universelle, presque exclusivement masculine. Il n'existe pas encore de consensus sur la nosologie et la prise en charge thérapeutique de la pubalgie. La maladie évolue le plus souvent sur un mode chronique d'installation progressive, mais il existe des formes aiguës, traumatiques. Le diagnostic de pubalgie du sportif n'est retenu qu'après élimination des nombreux diagnostics différentiels. Quatre formes anatomocliniques de pubalgie sont régulièrement intriquées : l'atteinte de la symphyse pubienne et de ses annexes ; les lésions de la partie basse des droits de l'abdomen, proche de leur insertion ; les lésions du corps et de l'insertion des adducteurs qui peuvent se compliquer d'un syndrome canalaire du nerf obturateur ; l'atteinte du canal inguinal par défaut de paroi et souffrance neurologique ilio-inguinale et ilio-hypogastrique. Deux examens cliniques dont un au décours d'une période d'effort débutent la stratégie diagnostique avant un bilan radiographique conventionnel. Le traitement initial est en règle générale médical, sur trois mois. Il débute par la prise en charge de la douleur puis par un programme personnalisé de rééducation compensant les points faibles du couple force-souplesse de la ceinture pelvienne et de la hanche. Dans un deuxième temps, le travail des qualités neurophysiologiques précède le réentraînement physique puis spécifique. Sous traitement, une évolution défavorable à trois mois doit remettre en cause le diagnostic. La topographie des lésions est précisée par la réalisation d'un examen en imagerie par résonance magnétique (IRM). L'indication chirurgicale est portée si le canal inguinal est atteint avec ou sans participation d'un des secteurs tendineux. Dans les cas difficiles, la réalisation d'un bloc anesthésique contribue très utilement au diagnostic. Cinquante (forme canalaire isolée) à 150 jours (forme associée) sont en moyenne nécessaires au retour à la compétition après chirurgie. La prévention primaire et secondaire influence le pronostic à long terme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93080
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-323-A-10 [Tome 5][article] Pubalgie du sportif [texte imprimé] / M. Bouvard ; C. Kajetanek ; O. Bonnefoy . - 2020 . - 14-323-A-10 [Tome 5].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)42144-8
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-323-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Pubalgie Adducteur Canal inguinal Symphyse pubienne Sport Résumé : La pubalgie du sportif est une maladie touchant toutes les structures locomotrices de la partie antérieure de la ceinture pelvienne. Sa distribution est universelle, presque exclusivement masculine. Il n'existe pas encore de consensus sur la nosologie et la prise en charge thérapeutique de la pubalgie. La maladie évolue le plus souvent sur un mode chronique d'installation progressive, mais il existe des formes aiguës, traumatiques. Le diagnostic de pubalgie du sportif n'est retenu qu'après élimination des nombreux diagnostics différentiels. Quatre formes anatomocliniques de pubalgie sont régulièrement intriquées : l'atteinte de la symphyse pubienne et de ses annexes ; les lésions de la partie basse des droits de l'abdomen, proche de leur insertion ; les lésions du corps et de l'insertion des adducteurs qui peuvent se compliquer d'un syndrome canalaire du nerf obturateur ; l'atteinte du canal inguinal par défaut de paroi et souffrance neurologique ilio-inguinale et ilio-hypogastrique. Deux examens cliniques dont un au décours d'une période d'effort débutent la stratégie diagnostique avant un bilan radiographique conventionnel. Le traitement initial est en règle générale médical, sur trois mois. Il débute par la prise en charge de la douleur puis par un programme personnalisé de rééducation compensant les points faibles du couple force-souplesse de la ceinture pelvienne et de la hanche. Dans un deuxième temps, le travail des qualités neurophysiologiques précède le réentraînement physique puis spécifique. Sous traitement, une évolution défavorable à trois mois doit remettre en cause le diagnostic. La topographie des lésions est précisée par la réalisation d'un examen en imagerie par résonance magnétique (IRM). L'indication chirurgicale est portée si le canal inguinal est atteint avec ou sans participation d'un des secteurs tendineux. Dans les cas difficiles, la réalisation d'un bloc anesthésique contribue très utilement au diagnostic. Cinquante (forme canalaire isolée) à 150 jours (forme associée) sont en moyenne nécessaires au retour à la compétition après chirurgie. La prévention primaire et secondaire influence le pronostic à long terme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93080 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Cyphoses pathologiques / C. Garreau de Loubresse in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°2 (Avril 2020)
[article]
Titre : Cyphoses pathologiques Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Garreau de Loubresse ; Guillaume Lonjon ; E. Ferrero Année de publication : 2020 Article en page(s) : 15-869-A-10 [Tome 7] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(19)66369-2 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cyphose régulière Cyphose angulaire Déformation du rachis Maladie de Scheuermann Cyphose congénitale Cyphose iatrogène Résumé : La cyphose se définit comme une courbure rachidienne à concavité antérieure. Le rachis comporte dans le plan sagittal une succession physiologique de courbures harmonieuses de sens inverse : lordose cervicale, cyphose thoracique, lordose lombaire. Ces courbures se constituent au cours de la croissance et leurs amplitudes varient d'un individu à l'autre. Pour chaque individu, l'équilibre sagittal du rachis est le résultat d'une combinaison de courbures aboutissant à une posture « économique » dite physiologique. La cyphose est qualifiée de pathologique après l'analyse clinique précise de la déformation en tenant compte des antécédents du patient, de fréquentes variabilités dans la population et de multiples facteurs d'ordre psychologique ou sociaux. Les cyphoses pathologiques se répartissent en deux grands groupes. Les cyphoses régulières sont étendues de manière harmonieuse sur plusieurs vertèbres. Leur caractère « pathologique » repose sur l'importance de la courbure, sa raideur, son évolutivité ou sa localisation sur un segment rachidien habituellement en lordose. Les cyphoses angulaires sont constituées sur un petit nombre de vertèbres. Il s'agit de déformations souvent importantes et raides dont le caractère « pathologique » est incontestable. De multiples causes, congénitales ou acquises, sont responsables du développement d'une cyphose rachidienne pathologique. L'analyse de la déformation et la connaissance de son histoire naturelle sont le préalable indispensable à tout projet thérapeutique. Les principales étapes diagnostiques et thérapeutiques sont résumées et analysées pour chacune des causes les plus fréquentes de cyphose rachidienne pathologique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93081
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 15-869-A-10 [Tome 7][article] Cyphoses pathologiques [texte imprimé] / C. Garreau de Loubresse ; Guillaume Lonjon ; E. Ferrero . - 2020 . - 15-869-A-10 [Tome 7].
Doi : 10.1016/S0246-0521(19)66369-2
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 15-869-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Cyphose régulière Cyphose angulaire Déformation du rachis Maladie de Scheuermann Cyphose congénitale Cyphose iatrogène Résumé : La cyphose se définit comme une courbure rachidienne à concavité antérieure. Le rachis comporte dans le plan sagittal une succession physiologique de courbures harmonieuses de sens inverse : lordose cervicale, cyphose thoracique, lordose lombaire. Ces courbures se constituent au cours de la croissance et leurs amplitudes varient d'un individu à l'autre. Pour chaque individu, l'équilibre sagittal du rachis est le résultat d'une combinaison de courbures aboutissant à une posture « économique » dite physiologique. La cyphose est qualifiée de pathologique après l'analyse clinique précise de la déformation en tenant compte des antécédents du patient, de fréquentes variabilités dans la population et de multiples facteurs d'ordre psychologique ou sociaux. Les cyphoses pathologiques se répartissent en deux grands groupes. Les cyphoses régulières sont étendues de manière harmonieuse sur plusieurs vertèbres. Leur caractère « pathologique » repose sur l'importance de la courbure, sa raideur, son évolutivité ou sa localisation sur un segment rachidien habituellement en lordose. Les cyphoses angulaires sont constituées sur un petit nombre de vertèbres. Il s'agit de déformations souvent importantes et raides dont le caractère « pathologique » est incontestable. De multiples causes, congénitales ou acquises, sont responsables du développement d'une cyphose rachidienne pathologique. L'analyse de la déformation et la connaissance de son histoire naturelle sont le préalable indispensable à tout projet thérapeutique. Les principales étapes diagnostiques et thérapeutiques sont résumées et analysées pour chacune des causes les plus fréquentes de cyphose rachidienne pathologique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93081 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire