Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Paru le : 01/09/2020 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierAdaptation des mesures dhygiène en thérapie manuelle et rééducation maxillo-faciale pendant la pandémie Covid-19 (1ère partie) / Laurine Delaisse in Kinésithérapie scientifique, 623 (Septembre 2020)
[article]
Titre : Adaptation des mesures dhygiène en thérapie manuelle et rééducation maxillo-faciale pendant la pandémie Covid-19 (1ère partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurine Delaisse, Auteur ; Caroline Alavarado, Auteur ; Chloé Condemine, Auteur ; Pascal Pommerol, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 45-48 Langues : Français (fre) Résumé : Le virus SARS-COV-2 (Severe Acute Respiratory Syndrom CoronaVirus 2) est un virus de 0,125µm en moyenne et fait partie de la famille des coronavirus. Ils peuvent entraîner des infections respiratoires chez l’être humain allant du simple rhume à des maladies plus grave comme la COVID-19 (COronaVIrus Disease 2019) [1, 2]. L’épidémie aurait débuté fin novembre 2019 à Wuhan (Chine), puis atteint le stade de pandémie le 11 mars 2020 [3]. Ceci a contraint plusieurs pays à imposer un confinement pendant plusieurs semaines à leur population pour ralentir la propagation du virus.
En France, un déconfinement progressif a débuté le 11 mai 2020, permettant à de nombreux kinésithérapeutes de reprendre leur activité. Des règles d’hygiène strictes ont été recommandées par le CNOMK afin d’empêcher le virus de circuler lors de la reprise. Cependant, les kinésithérapeutes réalisant des soins maxillo-faciaux n’ont pas eu de directives claires concernant les règles d’hygiène supplémentaires à appliquer. En effet, leurs patients seront amenés à enlever leurs masques pendant la séance afin de voir et manipuler les zones orales et labiales.
À partir d’une enquête et d’une revue de littérature, nous avons eu pour objectif de comprendre les modes de contamination du SARS-COV-2 et comment adapter les mesures d’hygiène en rééducation maxillo-faciale dans le contexte de COVID-19. Cela permettra de proposer un protocole.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89594
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 45-48[article] Adaptation des mesures dhygiène en thérapie manuelle et rééducation maxillo-faciale pendant la pandémie Covid-19 (1ère partie) [texte imprimé] / Laurine Delaisse, Auteur ; Caroline Alavarado, Auteur ; Chloé Condemine, Auteur ; Pascal Pommerol, Auteur . - 2020 . - p. 45-48.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 45-48
Résumé : Le virus SARS-COV-2 (Severe Acute Respiratory Syndrom CoronaVirus 2) est un virus de 0,125µm en moyenne et fait partie de la famille des coronavirus. Ils peuvent entraîner des infections respiratoires chez l’être humain allant du simple rhume à des maladies plus grave comme la COVID-19 (COronaVIrus Disease 2019) [1, 2]. L’épidémie aurait débuté fin novembre 2019 à Wuhan (Chine), puis atteint le stade de pandémie le 11 mars 2020 [3]. Ceci a contraint plusieurs pays à imposer un confinement pendant plusieurs semaines à leur population pour ralentir la propagation du virus.
En France, un déconfinement progressif a débuté le 11 mai 2020, permettant à de nombreux kinésithérapeutes de reprendre leur activité. Des règles d’hygiène strictes ont été recommandées par le CNOMK afin d’empêcher le virus de circuler lors de la reprise. Cependant, les kinésithérapeutes réalisant des soins maxillo-faciaux n’ont pas eu de directives claires concernant les règles d’hygiène supplémentaires à appliquer. En effet, leurs patients seront amenés à enlever leurs masques pendant la séance afin de voir et manipuler les zones orales et labiales.
À partir d’une enquête et d’une revue de littérature, nous avons eu pour objectif de comprendre les modes de contamination du SARS-COV-2 et comment adapter les mesures d’hygiène en rééducation maxillo-faciale dans le contexte de COVID-19. Cela permettra de proposer un protocole.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89594 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtCe sera comme demain... / Aude Quesnot in Kinésithérapie scientifique, 623 (Septembre 2020)
[article]
Titre : Ce sera comme demain... Type de document : texte imprimé Auteurs : Aude Quesnot, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : 1 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89600
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - 1[article] Ce sera comme demain... [texte imprimé] / Aude Quesnot, Auteur . - 2020 . - 1.
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Exclu du prêtCOXARTHROSE OU CONFLIT DISCO-RADICULAIRE ? La douleur de la face antérieure de la cuisse : un symptôme trompeur / Frédéric Sailhan in Kinésithérapie scientifique, 623 (Septembre 2020)
[article]
Titre : COXARTHROSE OU CONFLIT DISCO-RADICULAIRE ? La douleur de la face antérieure de la cuisse : un symptôme trompeur Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Sailhan, Auteur ; Etienne Mireau, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 5-12 Langues : Français (fre) Mots-clés : Déplacement de disque intervertébral Coxarthrose Cuisse Résumé : Une douleur occupant la face antérieure de la cuisse peut en effet traduire l’existence d’une pathologie rachidienne lombaire ou coxo-fémorale avec des caractéristiques sémiologiques qui semblent au premier abord similaires.
Les causes les plus fréquentes de douleur de cuisse sont :
– la radiculalgie crurale par conflit discal lombaire sur la racine nerveuse L3 ou L4 ;
– la coxalgie le plus souvent arthrosique.
En réalité, un interrogatoire bien conduit associé à un examen clinique attentif permettent dans la plupart des cas de différencier une origine coxo-fémorale d’une cause disco-vertébrale. L’interrogatoire va permettre de faire préciser les caractéristiques de la douleur et de rechercher des signes d’accompagnement. C’est grâce à un faisceau d’arguments que l’on pourra se faire une idée de l’origine de la douleur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89601
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 5-12[article] COXARTHROSE OU CONFLIT DISCO-RADICULAIRE ? La douleur de la face antérieure de la cuisse : un symptôme trompeur [texte imprimé] / Frédéric Sailhan, Auteur ; Etienne Mireau, Auteur . - 2020 . - p. 5-12.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 5-12
Mots-clés : Déplacement de disque intervertébral Coxarthrose Cuisse Résumé : Une douleur occupant la face antérieure de la cuisse peut en effet traduire l’existence d’une pathologie rachidienne lombaire ou coxo-fémorale avec des caractéristiques sémiologiques qui semblent au premier abord similaires.
Les causes les plus fréquentes de douleur de cuisse sont :
– la radiculalgie crurale par conflit discal lombaire sur la racine nerveuse L3 ou L4 ;
– la coxalgie le plus souvent arthrosique.
En réalité, un interrogatoire bien conduit associé à un examen clinique attentif permettent dans la plupart des cas de différencier une origine coxo-fémorale d’une cause disco-vertébrale. L’interrogatoire va permettre de faire préciser les caractéristiques de la douleur et de rechercher des signes d’accompagnement. C’est grâce à un faisceau d’arguments que l’on pourra se faire une idée de l’origine de la douleur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89601 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtIntérêt du biofeedback visuel échographique dans la rééducation périnéale chez l'homme : une étude préliminaire / Guillaume Galliou in Kinésithérapie scientifique, 623 (Septembre 2020)
[article]
Titre : Intérêt du biofeedback visuel échographique dans la rééducation périnéale chez l'homme : une étude préliminaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Galliou, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 31-38 Langues : Français (fre) Mots-clés : Thérapie par rétrocontrôle biologique Rééducation périnéale Résumé : En 2014, un bulletin de l’inVes, indique qu’en France 38 % des patients souffrant d’un cancer de la prostate subissent une prostatectomie radicale [1]. Les conséquences de ce traitement sont principalement l’incontinence urinaire (IU) et les dysfonctions érectiles.
La rééducation périnéale, préconisée par la Haute Autorité de la Santé (HAS) et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme traitement préférentiel de l’IU, a pour objectif de diminuer, voire de faire disparaître ces symptômes [2, 3].
L’utilisation de l’échographie en réhabilitation périnéale est une pratique courante dans les pays anglo-saxons [4, 5]. En France, l’échographie est d’apparition très récente dans la masso-kinésithérapie a rendu un avis favorable à l’utilisation de l’échographie par les praticiens le 27 mars 2015 [6]. L’emploi de cet outil devrait donc se généraliser dans notre activité quotidienne puisque l’utilisation de l’échographie permet une évaluation fiable de la modification de l’activité musculaire [7].Plusieurs études combinent l’utilisation de l’échographie avec la recherche des causes physiologiques de l’incontinence, en mesurant l’avancée du col de la vessie [8, 9] ou le déplacement de l’angle ano-rectal [5].Ce travail a pour objectif de montrer que, bien plus qu’un outil d’examen, l’échographie transpérinéale peut être utilisée comme un outil de biofeedback visuel dans la rééducation périnéale masculine post-prostatectomie, permettant de se substituer au biofeedback habituel utilisant des sondes de surface ou endocavitaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89611
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 31-38[article] Intérêt du biofeedback visuel échographique dans la rééducation périnéale chez l'homme : une étude préliminaire [texte imprimé] / Guillaume Galliou, Auteur . - 2020 . - p. 31-38.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 31-38
Mots-clés : Thérapie par rétrocontrôle biologique Rééducation périnéale Résumé : En 2014, un bulletin de l’inVes, indique qu’en France 38 % des patients souffrant d’un cancer de la prostate subissent une prostatectomie radicale [1]. Les conséquences de ce traitement sont principalement l’incontinence urinaire (IU) et les dysfonctions érectiles.
La rééducation périnéale, préconisée par la Haute Autorité de la Santé (HAS) et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme traitement préférentiel de l’IU, a pour objectif de diminuer, voire de faire disparaître ces symptômes [2, 3].
L’utilisation de l’échographie en réhabilitation périnéale est une pratique courante dans les pays anglo-saxons [4, 5]. En France, l’échographie est d’apparition très récente dans la masso-kinésithérapie a rendu un avis favorable à l’utilisation de l’échographie par les praticiens le 27 mars 2015 [6]. L’emploi de cet outil devrait donc se généraliser dans notre activité quotidienne puisque l’utilisation de l’échographie permet une évaluation fiable de la modification de l’activité musculaire [7].Plusieurs études combinent l’utilisation de l’échographie avec la recherche des causes physiologiques de l’incontinence, en mesurant l’avancée du col de la vessie [8, 9] ou le déplacement de l’angle ano-rectal [5].Ce travail a pour objectif de montrer que, bien plus qu’un outil d’examen, l’échographie transpérinéale peut être utilisée comme un outil de biofeedback visuel dans la rééducation périnéale masculine post-prostatectomie, permettant de se substituer au biofeedback habituel utilisant des sondes de surface ou endocavitaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89611 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtL'activité physique au service de l'amélioration des fonctions cognitives des seniors / Jean-Jacques Temprado in Kinésithérapie scientifique, 623 (Septembre 2020)
[article]
Titre : L'activité physique au service de l'amélioration des fonctions cognitives des seniors Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Jacques Temprado, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 17-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : activité physique plasticité cérébrale Vieillissement Résumé : VIEILLISSEMENT ET COGNITION
L’allongement de la durée de vie observé dans la plupart des pays industrialisés se traduit par un vieillissement de la population. Cette transition démographique est généralement présentée comme une bonne nouvelle. Pourtant, il est difficile de se réjouir à l’idée de vivre plus longtemps si cela s’accompagne d’une rupture importante de la qualité de vie en raison de la diminution des capacités physiques et cognitives.
Les recherches en Sciences du mouvement humain ont un rôle important à jouer dans cette perspective. En effet, de nombreux travaux suggèrent qu’un potentiel de plasticité cérébrale demeure au cours du vieillissement normal [1, 2] et que cette plasticité peut être exploitée grâce à l’adoption d’habitudes de vie neuro-protectrices, au premier rang desquelles figure la pratique régulière d’exercices physiques.
Les premiers travaux scientifiques mettant en évidence le lien entre l’exercice physique et la longévité datent des années 50, mais cette thématique a connu un développement important au cours des 20 dernières années.
Aujourd’hui, la question des liens entre exercice physique, plasticité cérébrale et performances cognitives mobilise des équipes de recherche pluridisciplinaires dont bon nombre sont en lien avec des start-up qui développement des solutions numériques et technologiques pour faciliter l’entraînement à domicile. Il faut dire que les enjeux socio-économiques sont importants puisqu’on estime à 61 milliards d’euros par an les coûts de santé et de baisse de productivité liés à l’inactivité physique au niveau mondial. De plus, l’inactivité physique serait responsable de près de 5 millions de décès par an.
Face à ces chiffres vertigineux, le message délivré au « grand public » et, notamment, aux seniors est très simple : effectuer 10 000 pas/jour ou 75 à 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée à vigoureuse par semaine. Cette prescription résume une sorte de consensus issu des données de la littérature et sur lequel s’accordent bon nombre de sociétés ou d’organismes. On mesure cependant à quel point le souci de simplification masque la complexité des mécanismes sous-jacents et surtout, les multiples facteurs modérateurs qui conditionnent l’efficacité de la pratique de l’exercice physique (niveau de forme du pratiquant, durée, intensité, fréquence, type d’exercice...).
Par ailleurs, la préconisation courante concerne principalement l’effet de l’exercice physique sur la santé globale (i.e. la prévention des maladies chroniques) plutôt que sur les performances cognitives. Pourtant, de nombreux travaux ont montré que l’activité physique permet aussi de retarder ou d’atténuer l’altération des structures cérébrales et le déclin des fonctions cognitives lié au vieillissement. De fait, la question se pose de savoir si les recommandations générales en matière d’exercice physique doivent être affinées afin de cibler spécifiquement la plasticité cérébrale et l’efficience des fonctions cognitives.
Cet article a pour but de présenter une brève synthèse, non exhaustive, des connaissances actuelles sur l’exercice physique et ses liens avec la cognition. Il s’agit notamment de montrer que la prise en charge de la personne âgée ne doit pas se limiter au reconditionnement musculaire et cardio-vasculaire. En effet, grâce à des entraînements combinant activité physique et stimulation cognitive, il est possible d’améliorer l’adaptabilité motrice dans la vie quotidienne et de lutter contre les conséquences dramatiques du vieillissement, notamment le déclin cognitif, les troubles de l’équilibre ou de la marche.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89612
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 17-29[article] L'activité physique au service de l'amélioration des fonctions cognitives des seniors [texte imprimé] / Jean-Jacques Temprado, Auteur . - 2020 . - p. 17-29.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 17-29
Mots-clés : activité physique plasticité cérébrale Vieillissement Résumé : VIEILLISSEMENT ET COGNITION
L’allongement de la durée de vie observé dans la plupart des pays industrialisés se traduit par un vieillissement de la population. Cette transition démographique est généralement présentée comme une bonne nouvelle. Pourtant, il est difficile de se réjouir à l’idée de vivre plus longtemps si cela s’accompagne d’une rupture importante de la qualité de vie en raison de la diminution des capacités physiques et cognitives.
Les recherches en Sciences du mouvement humain ont un rôle important à jouer dans cette perspective. En effet, de nombreux travaux suggèrent qu’un potentiel de plasticité cérébrale demeure au cours du vieillissement normal [1, 2] et que cette plasticité peut être exploitée grâce à l’adoption d’habitudes de vie neuro-protectrices, au premier rang desquelles figure la pratique régulière d’exercices physiques.
Les premiers travaux scientifiques mettant en évidence le lien entre l’exercice physique et la longévité datent des années 50, mais cette thématique a connu un développement important au cours des 20 dernières années.
Aujourd’hui, la question des liens entre exercice physique, plasticité cérébrale et performances cognitives mobilise des équipes de recherche pluridisciplinaires dont bon nombre sont en lien avec des start-up qui développement des solutions numériques et technologiques pour faciliter l’entraînement à domicile. Il faut dire que les enjeux socio-économiques sont importants puisqu’on estime à 61 milliards d’euros par an les coûts de santé et de baisse de productivité liés à l’inactivité physique au niveau mondial. De plus, l’inactivité physique serait responsable de près de 5 millions de décès par an.
Face à ces chiffres vertigineux, le message délivré au « grand public » et, notamment, aux seniors est très simple : effectuer 10 000 pas/jour ou 75 à 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée à vigoureuse par semaine. Cette prescription résume une sorte de consensus issu des données de la littérature et sur lequel s’accordent bon nombre de sociétés ou d’organismes. On mesure cependant à quel point le souci de simplification masque la complexité des mécanismes sous-jacents et surtout, les multiples facteurs modérateurs qui conditionnent l’efficacité de la pratique de l’exercice physique (niveau de forme du pratiquant, durée, intensité, fréquence, type d’exercice...).
Par ailleurs, la préconisation courante concerne principalement l’effet de l’exercice physique sur la santé globale (i.e. la prévention des maladies chroniques) plutôt que sur les performances cognitives. Pourtant, de nombreux travaux ont montré que l’activité physique permet aussi de retarder ou d’atténuer l’altération des structures cérébrales et le déclin des fonctions cognitives lié au vieillissement. De fait, la question se pose de savoir si les recommandations générales en matière d’exercice physique doivent être affinées afin de cibler spécifiquement la plasticité cérébrale et l’efficience des fonctions cognitives.
Cet article a pour but de présenter une brève synthèse, non exhaustive, des connaissances actuelles sur l’exercice physique et ses liens avec la cognition. Il s’agit notamment de montrer que la prise en charge de la personne âgée ne doit pas se limiter au reconditionnement musculaire et cardio-vasculaire. En effet, grâce à des entraînements combinant activité physique et stimulation cognitive, il est possible d’améliorer l’adaptabilité motrice dans la vie quotidienne et de lutter contre les conséquences dramatiques du vieillissement, notamment le déclin cognitif, les troubles de l’équilibre ou de la marche.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89612 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtL'échographie neuro-musculo-squelettique appliquée en pédiatrie : synthèse de la littérature / Marion Lemarinel in Kinésithérapie scientifique, 623 (Septembre 2020)
[article]
Titre : L'échographie neuro-musculo-squelettique appliquée en pédiatrie : synthèse de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Lemarinel, Auteur ; Anthony Demont, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.39-43 Langues : Français (fre) Mots-clés : Échographie Pédiatrie Résumé : L’échographie est aujourd’hui une technique d’imagerie très utilisée en pédiatrie. La portabilité, le coût relativement faible, l'absence de rayonnement et l'absence de contre-indications connues renforcent son utilité par exemple pour l'évaluation des muscles squelettiques chez cette population [1].
La revue systématique de Rahmani et al. [1] a mis en évidence que l’échographie constitue une méthode fiable et utile pour l'évaluation des muscles squelettiques avec une sensibilité et une spécificité élevées chez les enfants asymptomatiques ainsi que pour la détection des changements musculaires chez les enfants atteints de maladies neuromusculaires. Facilement accessible en urgence et en ambulatoire, l'échographie permet aux cliniciens d'effectuer une évaluation dynamique de l’appareil musculo-squelettique sans avoir recours aux rayonnements ionisants ou à la sédation pour la réalisation d’examen invasif.
Une évaluation échographique précoce suite au bilan-diagnostic kinésithérapique peut aider les kinésithérapeutes à orienter la prise en charge clinique d'un enfant et à déterminer un plan de traitement le plus adaptée possible au patient. En effet, lors de la première consultation, le kinésithérapeute formulera une ou plusieurs hypothèses cliniques et il peut s’aider de l’échographie afin d’infirmer ou de confirmer ces dernières dans le but de planifier le traitement le plus adapté pour le patient.
L’objectif de cet article est de faire un état de la littérature existante sur l’intérêt et la pertinence de l’utilisation de l’échographie pour l’évaluation fonctionnelle et le suivi des enfants présentant des pathologies neuro-musculo-squelettiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89613
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p.39-43[article] L'échographie neuro-musculo-squelettique appliquée en pédiatrie : synthèse de la littérature [texte imprimé] / Marion Lemarinel, Auteur ; Anthony Demont, Auteur . - 2020 . - p.39-43.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p.39-43
Mots-clés : Échographie Pédiatrie Résumé : L’échographie est aujourd’hui une technique d’imagerie très utilisée en pédiatrie. La portabilité, le coût relativement faible, l'absence de rayonnement et l'absence de contre-indications connues renforcent son utilité par exemple pour l'évaluation des muscles squelettiques chez cette population [1].
La revue systématique de Rahmani et al. [1] a mis en évidence que l’échographie constitue une méthode fiable et utile pour l'évaluation des muscles squelettiques avec une sensibilité et une spécificité élevées chez les enfants asymptomatiques ainsi que pour la détection des changements musculaires chez les enfants atteints de maladies neuromusculaires. Facilement accessible en urgence et en ambulatoire, l'échographie permet aux cliniciens d'effectuer une évaluation dynamique de l’appareil musculo-squelettique sans avoir recours aux rayonnements ionisants ou à la sédation pour la réalisation d’examen invasif.
Une évaluation échographique précoce suite au bilan-diagnostic kinésithérapique peut aider les kinésithérapeutes à orienter la prise en charge clinique d'un enfant et à déterminer un plan de traitement le plus adaptée possible au patient. En effet, lors de la première consultation, le kinésithérapeute formulera une ou plusieurs hypothèses cliniques et il peut s’aider de l’échographie afin d’infirmer ou de confirmer ces dernières dans le but de planifier le traitement le plus adapté pour le patient.
L’objectif de cet article est de faire un état de la littérature existante sur l’intérêt et la pertinence de l’utilisation de l’échographie pour l’évaluation fonctionnelle et le suivi des enfants présentant des pathologies neuro-musculo-squelettiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89613 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLe conflit fémoro-acétabulaire / Erwan Pansard in Kinésithérapie scientifique, 623 (Septembre 2020)
[article]
Titre : Le conflit fémoro-acétabulaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Erwan Pansard, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 13-16 Langues : Français (fre) Mots-clés : Conflit fémoro-acétabulaire Résumé : Le conflit fémoro-acétabulaire (CFA) est l'une des causes les plus fréquentes de douleurs inguinales du sujet jeune et est un facteur de risque de coxarthrose précoce [1]. Pourtant les douleurs de hanche sont encore trop souvent qualifiées d’idiopathiques et le diagnostic de CFA peut passer inaperçu.
Les principes biomécaniques de développement d’une coxarthrose sont connus depuis longtemps dans le cadre des hanches dysplasiques. Un défaut d’orientation des surfaces articulaires associé à une diminution des surfaces de contact entraînent des pics de pression responsables d’une usure précoce du cartilage[1]. Le diagnostic est posé sur une coxométrie classique à l’aide de radiographie de hanche de face et de profil [2].
En 2003, Ganz et al. [1] ont décris le CFA. Les critères diagnostics radiographiques étaient alors inconnus ainsi que sa prise en charge. Son étiologie est un contact anormal entre l’extrémité proximale du fémur et le cotyle notamment dans les amplitudes articulaires extrêmes. Il entraîne principalement des lésions osseuses et cartilagineuses. Il s’agit donc d’un diagnostic fréquent de douleur inguinale chez les jeunes actifs ou sportifs. Son traitement se faisait initialement par une chirurgie à ciel ouvert mais l’arthroscopie de hanche permet d’accélérer la récupération, diminuer le taux de complications, les douleurs et la morbidité postopératoire par rapport aux techniques à ciel ouvertPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89624
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 13-16[article] Le conflit fémoro-acétabulaire [texte imprimé] / Erwan Pansard, Auteur . - 2020 . - p. 13-16.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 13-16
Mots-clés : Conflit fémoro-acétabulaire Résumé : Le conflit fémoro-acétabulaire (CFA) est l'une des causes les plus fréquentes de douleurs inguinales du sujet jeune et est un facteur de risque de coxarthrose précoce [1]. Pourtant les douleurs de hanche sont encore trop souvent qualifiées d’idiopathiques et le diagnostic de CFA peut passer inaperçu.
Les principes biomécaniques de développement d’une coxarthrose sont connus depuis longtemps dans le cadre des hanches dysplasiques. Un défaut d’orientation des surfaces articulaires associé à une diminution des surfaces de contact entraînent des pics de pression responsables d’une usure précoce du cartilage[1]. Le diagnostic est posé sur une coxométrie classique à l’aide de radiographie de hanche de face et de profil [2].
En 2003, Ganz et al. [1] ont décris le CFA. Les critères diagnostics radiographiques étaient alors inconnus ainsi que sa prise en charge. Son étiologie est un contact anormal entre l’extrémité proximale du fémur et le cotyle notamment dans les amplitudes articulaires extrêmes. Il entraîne principalement des lésions osseuses et cartilagineuses. Il s’agit donc d’un diagnostic fréquent de douleur inguinale chez les jeunes actifs ou sportifs. Son traitement se faisait initialement par une chirurgie à ciel ouvert mais l’arthroscopie de hanche permet d’accélérer la récupération, diminuer le taux de complications, les douleurs et la morbidité postopératoire par rapport aux techniques à ciel ouvertPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89624 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLe haut débit nasal, un sujet qui ne manque pas d'air ! / Guillaume Prieur in Kinésithérapie scientifique, 623 (Septembre 2020)
[article]
Titre : Le haut débit nasal, un sujet qui ne manque pas d'air ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Prieur, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 49-53 Langues : Français (fre) Résumé : L’oxygénothérapie et la ventilation en pression positive étaient les traitements de choix pour améliorer l’hypoxémie sévère et l’hypoventilation alvéolaire chez les patients en détresse respiratoire aigüe. Récemment, le haut débit nasal a connu un essor considérable aux urgences, dans les services de réanimations, de pneumologies et de pédiatries. Cette technique a pour but d’administrer de l’air ou de l’oxygène à haut débit (jusqu’à 60 litres par minute) tout en étant réchauffé et humidifié.
Le mélange gazeux est administré au patient via une canule nasale (fig. 1) ce qui confère un avantage sur le confort des patients en comparaison à la ventilation non invasive (VNI) par masque facial ou le masque haute concentration/Venturi pour les besoins élevés en oxygène.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89625
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 49-53[article] Le haut débit nasal, un sujet qui ne manque pas d'air ! [texte imprimé] / Guillaume Prieur, Auteur . - 2020 . - p. 49-53.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 49-53
Résumé : L’oxygénothérapie et la ventilation en pression positive étaient les traitements de choix pour améliorer l’hypoxémie sévère et l’hypoventilation alvéolaire chez les patients en détresse respiratoire aigüe. Récemment, le haut débit nasal a connu un essor considérable aux urgences, dans les services de réanimations, de pneumologies et de pédiatries. Cette technique a pour but d’administrer de l’air ou de l’oxygène à haut débit (jusqu’à 60 litres par minute) tout en étant réchauffé et humidifié.
Le mélange gazeux est administré au patient via une canule nasale (fig. 1) ce qui confère un avantage sur le confort des patients en comparaison à la ventilation non invasive (VNI) par masque facial ou le masque haute concentration/Venturi pour les besoins élevés en oxygène.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89625 Exemplaires (1)
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