Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 10 juillet : de 9h à 11h
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
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Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 10 juillet : de 9h à 11h
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
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La récupération, clé de la performance in Science & sports, Volume 19 numéro 5 (01/10/2004)
[article]
Titre : La récupération, clé de la performance Type de document : texte imprimé Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp.213-214 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24978
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.213-214[article] La récupération, clé de la performance [texte imprimé] . - 2004 . - pp.213-214.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.213-214
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24978 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtMétabolisme et récupération : introduction in Science & sports, Volume 19 numéro 5 (01/10/2004)
[article]
Titre : Métabolisme et récupération : introduction Type de document : texte imprimé Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp.216-219 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24979
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.216-219[article] Métabolisme et récupération : introduction [texte imprimé] . - 2004 . - pp.216-219.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.216-219
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Exclu du prêtInfluence du sexe sur le métabolisme à l'exercice et en récupération. Implications nutritionnelles in Science & sports, Volume 19 numéro 5 (01/10/2004)
[article]
Titre : Influence du sexe sur le métabolisme à l'exercice et en récupération. Implications nutritionnelles Type de document : texte imprimé Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp.220-227 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs. – L'objectif de cette revue est de préciser l'influence du sexe sur le métabolisme à l'exercice et en récupération.
Actualités. – À l'exercice bref et intense, les différences de morphologie expliquent majoritairement les performances. À l'exercice prolongé, la femme utilise plus de lipides et moins de glucides et de protéines que son homologue masculin. Par des apports appropriés en glucides en fin d'épreuve, hommes et femmes sont susceptibles de restaurer de façon identique leurs stocks de glycogène.
Perspectives. – De par leurs spécificités métaboliques, les femmes sont plus adaptées aux épreuves de longue durée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24980
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.220-227[article] Influence du sexe sur le métabolisme à l'exercice et en récupération. Implications nutritionnelles [texte imprimé] . - 2004 . - pp.220-227.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.220-227
Résumé : Objectifs. – L'objectif de cette revue est de préciser l'influence du sexe sur le métabolisme à l'exercice et en récupération.
Actualités. – À l'exercice bref et intense, les différences de morphologie expliquent majoritairement les performances. À l'exercice prolongé, la femme utilise plus de lipides et moins de glucides et de protéines que son homologue masculin. Par des apports appropriés en glucides en fin d'épreuve, hommes et femmes sont susceptibles de restaurer de façon identique leurs stocks de glycogène.
Perspectives. – De par leurs spécificités métaboliques, les femmes sont plus adaptées aux épreuves de longue durée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24980 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtProtéines et acides aminés dans la récupération post-effort in Science & sports, Volume 19 numéro 5 (01/10/2004)
[article]
Titre : Protéines et acides aminés dans la récupération post-effort Type de document : texte imprimé Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp.228-233 Langues : Français (fre) Résumé : Actualités. – Des données récentes mettent en évidence l'intérêt d'un apport de substances azotées dans la phase anabolique de la récupération. Des quantités modestes d'acides aminés indispensables stimulent le bilan protéique net et pourraient, à terme, contribuer à l'adaptation musculaire induite par l'entraînement physique. Les protéines jouent aussi un rôle subsidiaire mais limité dans la resynthèse de glycogène. Pour les autres fonctions théoriquement susceptibles d'être modulées par des acides aminés spécifiques, par exemple la cystéine et la glutamine, il n'y a pas d'évidence quantitative à ce jour permettant d'affirmer que des suppléments ciblés sur des acides aminés spécifiques seraient utiles à des athlètes en bonne santé. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24982
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.228-233[article] Protéines et acides aminés dans la récupération post-effort [texte imprimé] . - 2004 . - pp.228-233.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.228-233
Résumé : Actualités. – Des données récentes mettent en évidence l'intérêt d'un apport de substances azotées dans la phase anabolique de la récupération. Des quantités modestes d'acides aminés indispensables stimulent le bilan protéique net et pourraient, à terme, contribuer à l'adaptation musculaire induite par l'entraînement physique. Les protéines jouent aussi un rôle subsidiaire mais limité dans la resynthèse de glycogène. Pour les autres fonctions théoriquement susceptibles d'être modulées par des acides aminés spécifiques, par exemple la cystéine et la glutamine, il n'y a pas d'évidence quantitative à ce jour permettant d'affirmer que des suppléments ciblés sur des acides aminés spécifiques seraient utiles à des athlètes en bonne santé. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24982 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtRehydration and recovery after exercise in Science & sports, Volume 19 numéro 5 (01/10/2004)
[article]
Titre : Rehydration and recovery after exercise Type de document : texte imprimé Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp.234-238 Langues : Français (fre) Résumé : Actualités. – La restauration de l'équilibre hydroélectrolytique est une part essentielle du processus de récupération des pertes sudorales au cours de l'exercice.
L'ingestion d'eau plate a comme conséquence une chute de la concentration en sodium et de l'osmolalité du plasma, rétablissant l'envie de boire. L'addition de sodium et de potassium aux liquides de réhydratation diminue l'urine produite dans les heures après la réhydratation. En raison des pertes d'urine, les sujets sont dans un bilan liquidien négatif tout au long de la période de rétablissement, à moins que le volume ingéré excède la perte. Le rendement d'urine est inversement proportionnel à la concentration en sodium du liquide ingéré. L'ingestion de grands volumes de liquides n'est pas efficace car il en maintient un équilibre liquide positif sans qu'il y ait remplacement d'électrolytes. L'ingestion de nourriture solide ainsi que d'eau plate est efficace dans le maintien de l'équilibre hydroélectrolytique si le contenu en électrolytes est respecté. L'addition de l'alcool aux liquides ingérés a peu d'effet pour des concentrations de 1 ou de 2 %, mais a un effet diurétique qui devient significatif quand la concentration en alcool est de 4 % environ. L'absorption ad libitum est fortement influencée par la palatabilité du produit ingéré.
Conclusion. – La réhydratation sera considérée comme réalisée quand aura été ingéré un volume de liquides supérieur à celui résultant de la perte de sueur ainsi que les électrolytes en quantité suffisante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24983
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.234-238[article] Rehydration and recovery after exercise [texte imprimé] . - 2004 . - pp.234-238.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.234-238
Résumé : Actualités. – La restauration de l'équilibre hydroélectrolytique est une part essentielle du processus de récupération des pertes sudorales au cours de l'exercice.
L'ingestion d'eau plate a comme conséquence une chute de la concentration en sodium et de l'osmolalité du plasma, rétablissant l'envie de boire. L'addition de sodium et de potassium aux liquides de réhydratation diminue l'urine produite dans les heures après la réhydratation. En raison des pertes d'urine, les sujets sont dans un bilan liquidien négatif tout au long de la période de rétablissement, à moins que le volume ingéré excède la perte. Le rendement d'urine est inversement proportionnel à la concentration en sodium du liquide ingéré. L'ingestion de grands volumes de liquides n'est pas efficace car il en maintient un équilibre liquide positif sans qu'il y ait remplacement d'électrolytes. L'ingestion de nourriture solide ainsi que d'eau plate est efficace dans le maintien de l'équilibre hydroélectrolytique si le contenu en électrolytes est respecté. L'addition de l'alcool aux liquides ingérés a peu d'effet pour des concentrations de 1 ou de 2 %, mais a un effet diurétique qui devient significatif quand la concentration en alcool est de 4 % environ. L'absorption ad libitum est fortement influencée par la palatabilité du produit ingéré.
Conclusion. – La réhydratation sera considérée comme réalisée quand aura été ingéré un volume de liquides supérieur à celui résultant de la perte de sueur ainsi que les électrolytes en quantité suffisante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24983 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtCarbohydrate intake and recovery from exercise in Science & sports, Volume 19 numéro 5 (01/10/2004)
[article]
Titre : Carbohydrate intake and recovery from exercise Titre original : Hydrates de Carbone et Récupération après exercice Type de document : texte imprimé Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp.239-244 Langues : Français (fre) Résumé : La poursuite d'un exercice intensif et prolongé n'est possible que dans la mesure où les muscles et le cerveau peuvent disposer des quantités nécessaires en hydrates de carbone. L'apparition de la fatigue est étroitement associée à l'épuisement des stocks en glycogène musculaire et hépatique. Par conséquent, il n'est pas étonnant que des stratégies aient été élaborées pour s'assurer de la quantité et de la qualité des réserves en glycogène ainsi que de la rapidité de leur reconstitution après l'exercice. Une absorption glucidique après un exercice augmente le taux de resynthèse du glycogène musculaire et a également un effet bénéfique sur les performances à venir. Une ration de récupération, riche en hydrates de carbone (10 g/kg par masse de poids corporel et par jour) permet aux athlètes de reconstituer leur capacité d'exercice le jour suivant, ce qui n'est pas le cas quand ils absorbent une alimentation diversifiée, répondant aux besoins énergétiques. La nature de l'hydrate de carbone du régime de récupération a également une influence sur la capacité de résistance le jour suivant. Une ration de récupération contenant des hydrates de carbone à index glycémique bas d'index augmente la capacité des graisses, d'où une amélioration des qualités d'endurance par rapport à un régime à base d'hydrates de carbone à index glycémique élevé. Bien que la consommation d'un mélange hydrates de carbone–protéines pendant la phase de récupération augmente la sécrétion d'insuline, et probablement le taux de resynthèse du glycogène, il ne semble pas que la capacité de résistance soit supérieure à celle qui suit une absorption d'hydrates de carbone seuls. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24984
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.239-244[article] Carbohydrate intake and recovery from exercise = Hydrates de Carbone et Récupération après exercice [texte imprimé] . - 2004 . - pp.239-244.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.239-244
Résumé : La poursuite d'un exercice intensif et prolongé n'est possible que dans la mesure où les muscles et le cerveau peuvent disposer des quantités nécessaires en hydrates de carbone. L'apparition de la fatigue est étroitement associée à l'épuisement des stocks en glycogène musculaire et hépatique. Par conséquent, il n'est pas étonnant que des stratégies aient été élaborées pour s'assurer de la quantité et de la qualité des réserves en glycogène ainsi que de la rapidité de leur reconstitution après l'exercice. Une absorption glucidique après un exercice augmente le taux de resynthèse du glycogène musculaire et a également un effet bénéfique sur les performances à venir. Une ration de récupération, riche en hydrates de carbone (10 g/kg par masse de poids corporel et par jour) permet aux athlètes de reconstituer leur capacité d'exercice le jour suivant, ce qui n'est pas le cas quand ils absorbent une alimentation diversifiée, répondant aux besoins énergétiques. La nature de l'hydrate de carbone du régime de récupération a également une influence sur la capacité de résistance le jour suivant. Une ration de récupération contenant des hydrates de carbone à index glycémique bas d'index augmente la capacité des graisses, d'où une amélioration des qualités d'endurance par rapport à un régime à base d'hydrates de carbone à index glycémique élevé. Bien que la consommation d'un mélange hydrates de carbone–protéines pendant la phase de récupération augmente la sécrétion d'insuline, et probablement le taux de resynthèse du glycogène, il ne semble pas que la capacité de résistance soit supérieure à celle qui suit une absorption d'hydrates de carbone seuls. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24984 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRéponses du muscle à l'exercice et récupération in Science & sports, Volume 19 numéro 5 (01/10/2004)
[article]
Titre : Réponses du muscle à l'exercice et récupération Type de document : texte imprimé Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp.246-263 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs. – Le symposium consacré à la « Plasticité et régénération musculaire » a permis de mettre en communication différents experts internationaux sur des sujets qui concernent le muscle squelettique et cardiaque, ses réponses adaptatives à l'entraînement physique, et ses modalités de récupération.
Actualités. – Le professeur James Skinner participe à un vaste programme de recherche, dont l'objectif est d'évaluer le rôle joué par le patrimoine génétique dans les réponses à l'entraînement physique et dans l'évolution associée des facteurs de risque aux maladies cardiovasculaires et métaboliques (étude HERITAGE). Dans le cadre de cette étude, il a pu montrer que les variations attendues de la consommation maximale d'oxygène à l'entraînement (marqueur de la réponse à l'entraînement), ne dépendent pas de l'âge des sujets, de leur race, ni de leur aptitude initiale. C'est pourquoi, on peut penser que le phénotype de « fort-répondeur » à l'entraînement va dépendre de l'interaction de nombreux gènes entre eux et avec l'environnement. Parmi ces gènes, on a isolé un candidat ; on a en effet suggéré que le polymorphisme du gène codant pour l'enzyme de conversion de l'angiotensine pouvait rendre compte de la bonne réponse à l'entraînement. Les résultats de l'étude HERITAGE ne permettent pas de confirmer cette hypothèse, et rien ne prouve que la prédominance de l'allèle I du gène codant pour l'ACE joue un rôle déterminant dans les réponses adaptatives à l'exercice répété.
Depuis quelques années, des études paraissent, dont l'objectif est d'élucider les mécanismes moléculaires qui expliquent les réponses du muscle à l'entraînement. Des progrès très conséquents ont été réalisés dans la compréhension des évènements cellulaires qui expliquent l'augmentation de la densité mitochondriale ; le déséquilibre énergétique intracellulaire est un événement majeur qui serait à l'origine de l'activation d'une enzyme, l'AMPkinase (AMP-activated protein kinase), elle-même à l'origine de l'expression d'un facteur de transcription (PGC-1⍺ PPAR-γ coactivator-1⍺) qui coordonne l'expression des génomes nucléaire et mitochondrial. Le réseau capillaire augmente à l'entraînement en endurance, essentiellement grâce à l'expression d'un facteur de croissance local, le VEGF (Vascular Endothelial Growth Factor). L'hypoxie intracellulaire induite par l'exercice joue un rôle déterminant dans cette réponse génique. Ce sont principalement les variations de la masse musculaire qui caractérisent les réponses à l'entraînement en force. Des progrès importants ont été réalisés dans les mécanismes d'action de l'IGF-1 (insulin-like growth factor-1). Par ailleurs, l'inhibition de la voie de l'ubiquitine du protéasome pourrait être un temps important de l'augmentation de la masse musculaire à l'entraînement ; l'accent a été mis sur le rôle joué par deux enzymes activatrices de la cascade des ubiquitines, protéines Murf1 (muscle ring finger 1) et MAFbx (muscle atrophy F-box, ou Atrogin-1). Le rôle physiologique joué par l'interleukine-6 (IL-6) dans les réponses musculaires à l'entraînement est tout à fait original. L'exercice prolongé est associé à une augmentation de la concentration plasmatique en IL-6, qui résulte d'une production par le tissu musculaire, et par les muscles actifs. Cette cytokine est produite en relation inverse de l'état des réserves musculaires en glycogène, et a pour fonction (entre autre), de stimuler la production hépatique de glycogène pendant l'exercice, ainsi que la libération des acides gras à partir du tissu adipeux blanc. IL-6 doit actuellement être considérée comme un facteur d'importance majeure dans l'explication des réponses métaboliques et immunitaires à l'exercice, et dans la qualité de la récupération.
Perspectives. – Les résultats de toutes ces recherches qui à l'évidence ont un caractère très fondamental, ont cependant un impact évident en physiologie et biologie de l'exercice ; ils contribuent à une meilleure connaissance des réponses adaptatives du tissu musculaire aux variations de sa charge de travail, et des processus de récupération qui s'ensuivent. De plus, ces recherches sont susceptibles d'avoir des conséquences à moyen terme, sur le développement de thérapeutiques ou de stratégies permettant d'éviter le déconditionnement musculaire et d'accélérer la reprise de l'activité physique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24985
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.246-263[article] Réponses du muscle à l'exercice et récupération [texte imprimé] . - 2004 . - pp.246-263.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.246-263
Résumé : Objectifs. – Le symposium consacré à la « Plasticité et régénération musculaire » a permis de mettre en communication différents experts internationaux sur des sujets qui concernent le muscle squelettique et cardiaque, ses réponses adaptatives à l'entraînement physique, et ses modalités de récupération.
Actualités. – Le professeur James Skinner participe à un vaste programme de recherche, dont l'objectif est d'évaluer le rôle joué par le patrimoine génétique dans les réponses à l'entraînement physique et dans l'évolution associée des facteurs de risque aux maladies cardiovasculaires et métaboliques (étude HERITAGE). Dans le cadre de cette étude, il a pu montrer que les variations attendues de la consommation maximale d'oxygène à l'entraînement (marqueur de la réponse à l'entraînement), ne dépendent pas de l'âge des sujets, de leur race, ni de leur aptitude initiale. C'est pourquoi, on peut penser que le phénotype de « fort-répondeur » à l'entraînement va dépendre de l'interaction de nombreux gènes entre eux et avec l'environnement. Parmi ces gènes, on a isolé un candidat ; on a en effet suggéré que le polymorphisme du gène codant pour l'enzyme de conversion de l'angiotensine pouvait rendre compte de la bonne réponse à l'entraînement. Les résultats de l'étude HERITAGE ne permettent pas de confirmer cette hypothèse, et rien ne prouve que la prédominance de l'allèle I du gène codant pour l'ACE joue un rôle déterminant dans les réponses adaptatives à l'exercice répété.
Depuis quelques années, des études paraissent, dont l'objectif est d'élucider les mécanismes moléculaires qui expliquent les réponses du muscle à l'entraînement. Des progrès très conséquents ont été réalisés dans la compréhension des évènements cellulaires qui expliquent l'augmentation de la densité mitochondriale ; le déséquilibre énergétique intracellulaire est un événement majeur qui serait à l'origine de l'activation d'une enzyme, l'AMPkinase (AMP-activated protein kinase), elle-même à l'origine de l'expression d'un facteur de transcription (PGC-1⍺ PPAR-γ coactivator-1⍺) qui coordonne l'expression des génomes nucléaire et mitochondrial. Le réseau capillaire augmente à l'entraînement en endurance, essentiellement grâce à l'expression d'un facteur de croissance local, le VEGF (Vascular Endothelial Growth Factor). L'hypoxie intracellulaire induite par l'exercice joue un rôle déterminant dans cette réponse génique. Ce sont principalement les variations de la masse musculaire qui caractérisent les réponses à l'entraînement en force. Des progrès importants ont été réalisés dans les mécanismes d'action de l'IGF-1 (insulin-like growth factor-1). Par ailleurs, l'inhibition de la voie de l'ubiquitine du protéasome pourrait être un temps important de l'augmentation de la masse musculaire à l'entraînement ; l'accent a été mis sur le rôle joué par deux enzymes activatrices de la cascade des ubiquitines, protéines Murf1 (muscle ring finger 1) et MAFbx (muscle atrophy F-box, ou Atrogin-1). Le rôle physiologique joué par l'interleukine-6 (IL-6) dans les réponses musculaires à l'entraînement est tout à fait original. L'exercice prolongé est associé à une augmentation de la concentration plasmatique en IL-6, qui résulte d'une production par le tissu musculaire, et par les muscles actifs. Cette cytokine est produite en relation inverse de l'état des réserves musculaires en glycogène, et a pour fonction (entre autre), de stimuler la production hépatique de glycogène pendant l'exercice, ainsi que la libération des acides gras à partir du tissu adipeux blanc. IL-6 doit actuellement être considérée comme un facteur d'importance majeure dans l'explication des réponses métaboliques et immunitaires à l'exercice, et dans la qualité de la récupération.
Perspectives. – Les résultats de toutes ces recherches qui à l'évidence ont un caractère très fondamental, ont cependant un impact évident en physiologie et biologie de l'exercice ; ils contribuent à une meilleure connaissance des réponses adaptatives du tissu musculaire aux variations de sa charge de travail, et des processus de récupération qui s'ensuivent. De plus, ces recherches sont susceptibles d'avoir des conséquences à moyen terme, sur le développement de thérapeutiques ou de stratégies permettant d'éviter le déconditionnement musculaire et d'accélérer la reprise de l'activité physique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24985 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtExercice physique chronique et remodelage cardiovasculaire in Science & sports, Volume 19 numéro 5 (01/10/2004)
[article]
Titre : Exercice physique chronique et remodelage cardiovasculaire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp.264-266 Langues : Français (fre) Résumé : L'exercice physique en perturbant l'homéostasie de l'organisme induit des adaptations fonctionnelles mais aussi, en cas de pratique sportive intense, morphologiques au niveau du myocarde et de l'arbre vasculaire. L'importance de ces adaptations varie en fonction de la réponse du patrimoine génétique individuel aux contraintes hémodynamiques et neurohormonales. Chez le sportif de haut niveau d'entraînement, ces adaptations expliquent pour une grande part l'amélioration des performances aérobies. Ainsi, la fonction diastolique améliorée et l'hypertrophie dilatation harmonieuse modérée de ses quatre cavités favorisent le remplissage du cœur. L'éjection ventriculaire est aussi favorisée par une meilleure qualité de contraction et une moindre résistance vasculaire due à une angiogenèse et une vasodilatation accrue. Dans la majeure partie des cas, ces adaptations, en particulier fonctionnelles, sont bénéfiques. Cependant des limites sont parfois observées sous la forme d'une intolérance à l'orthostatisme et/ou de troubles du rythme, le plus souvent supraventriculaires. Cette symptomatologie étant améliorée par la diminution de l'entraînement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24986
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.264-266[article] Exercice physique chronique et remodelage cardiovasculaire [texte imprimé] . - 2004 . - pp.264-266.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.264-266
Résumé : L'exercice physique en perturbant l'homéostasie de l'organisme induit des adaptations fonctionnelles mais aussi, en cas de pratique sportive intense, morphologiques au niveau du myocarde et de l'arbre vasculaire. L'importance de ces adaptations varie en fonction de la réponse du patrimoine génétique individuel aux contraintes hémodynamiques et neurohormonales. Chez le sportif de haut niveau d'entraînement, ces adaptations expliquent pour une grande part l'amélioration des performances aérobies. Ainsi, la fonction diastolique améliorée et l'hypertrophie dilatation harmonieuse modérée de ses quatre cavités favorisent le remplissage du cœur. L'éjection ventriculaire est aussi favorisée par une meilleure qualité de contraction et une moindre résistance vasculaire due à une angiogenèse et une vasodilatation accrue. Dans la majeure partie des cas, ces adaptations, en particulier fonctionnelles, sont bénéfiques. Cependant des limites sont parfois observées sous la forme d'une intolérance à l'orthostatisme et/ou de troubles du rythme, le plus souvent supraventriculaires. Cette symptomatologie étant améliorée par la diminution de l'entraînement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24986 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLa fatigue centrale : introduction à la cession in Science & sports, Volume 19 numéro 5 (01/10/2004)
[article]
Titre : La fatigue centrale : introduction à la cession Type de document : texte imprimé Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp.268-269 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24987
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.268-269[article] La fatigue centrale : introduction à la cession [texte imprimé] . - 2004 . - pp.268-269.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.268-269
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24987 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLa fatigue : mécanismes et conséquences in Science & sports, Volume 19 numéro 5 (01/10/2004)
[article]
Titre : La fatigue : mécanismes et conséquences Type de document : texte imprimé Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp.270-279 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs. – Examiner les différentes composantes de la fatigue.
Actualités. – De nombreux travaux ont montré que l'augmentation de la charge de travail physique peut aboutir à de la fatigue qui se caractérise par une diminution des performances physiques et mentales. L'état de fatigue a pour origine un déséquilibre de la balance énergétique entre les apports nutritionnels et la dépense liée au travail musculaire. Des contraintes supplémentaires telles que des perturbations du rythme veille-sommeil ou le stress psychologique facilitent cet état. Ces différents facteurs agissent ensemble pour modifier le statut hormonal et immunitaire.
Perpectives et projets. – Les principaux axes hormonosensibles aux facteurs de fatigue sont les axes gonadotrope et somatotrope, l'axe hypothalamo-hypophysosurrénalien, le système sympatho-médullosurrénalien, et les neurotransmetteurs. Les perturbations métaboliques et hormonales induites par la fatigue sont responsables de modifications importantes à la fois de certains neurotransmetteurs centraux et de certaines fonctions immunitaires. Un certain nombre de résultats souligne le fait que l'augmentation ou la diminution de l'activité sérotoninergique puisse accélérer ou diminuer la fatigue. On a également pu établir un lien fonctionnel entre la réponse neuroendocrinienne et la diminution des défenses immunitaires, celle-ci étant favorisée par la réaction inflammatoire musculaire liée à l'excès de l'exercice.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24988
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.270-279[article] La fatigue : mécanismes et conséquences [texte imprimé] . - 2004 . - pp.270-279.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 19 numéro 5 (01/10/2004) . - pp.270-279
Résumé : Objectifs. – Examiner les différentes composantes de la fatigue.
Actualités. – De nombreux travaux ont montré que l'augmentation de la charge de travail physique peut aboutir à de la fatigue qui se caractérise par une diminution des performances physiques et mentales. L'état de fatigue a pour origine un déséquilibre de la balance énergétique entre les apports nutritionnels et la dépense liée au travail musculaire. Des contraintes supplémentaires telles que des perturbations du rythme veille-sommeil ou le stress psychologique facilitent cet état. Ces différents facteurs agissent ensemble pour modifier le statut hormonal et immunitaire.
Perpectives et projets. – Les principaux axes hormonosensibles aux facteurs de fatigue sont les axes gonadotrope et somatotrope, l'axe hypothalamo-hypophysosurrénalien, le système sympatho-médullosurrénalien, et les neurotransmetteurs. Les perturbations métaboliques et hormonales induites par la fatigue sont responsables de modifications importantes à la fois de certains neurotransmetteurs centraux et de certaines fonctions immunitaires. Un certain nombre de résultats souligne le fait que l'augmentation ou la diminution de l'activité sérotoninergique puisse accélérer ou diminuer la fatigue. On a également pu établir un lien fonctionnel entre la réponse neuroendocrinienne et la diminution des défenses immunitaires, celle-ci étant favorisée par la réaction inflammatoire musculaire liée à l'excès de l'exercice.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24988 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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