Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Mention de date : 01/10/2003
Paru le : 01/10/2003
|
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panier
[article]
Titre : |
Le coup de chaleur d’exercice : I – Aspects cliniques et prévention |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
pp.228-240 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectifs. – Fournir à la communauté médicale, ainsi qu’à l’ensemble des personnes impliquées dans le management du sport, un guide de référence sur les aspects médicaux et sur la prévention du coup de chaleur d’exercice.
Actualités. – Parmi les accidents hyperthermiques survenant à l’occasion d’activités physiques ou sportives, il faut distinguer :
• le coup de chaleur d’exercice qui touche un sujet jeune, en bonne santé, au cours d’un exercice physique très intense de durée intermédiaire ;
• l’épuisement hyperthermique qui survient plus souvent chez un sujet déshydraté pendant un exercice d’intensité modérée à élevée, de longue durée ;
• et enfin le coup de chaleur mixte observé par temps très lourd au cours d’activités de la vie courante.
L’importante variabilité clinique du coup de chaleur d’exercice reflète aussi la diversité des mécanismes physiopathologiques qui contribuent à son développement. Ceux-ci, discutés dans le second article de ce dossier, aident à systématiser les nombreux facteurs favorisants de cette affection en facteurs extrinsèques (conditions climatiques), intrinsèques (propres à l’individu et permanents) et circonstanciels.
Perspectives et projets. – Cette démarche qui permet aux différents acteurs intervenant dans ce domaine de mieux se comprendre doit aussi les aider à mieux appréhender les facteurs susceptibles de favoriser la survenue du coup de chaleur d’exercice donc de mieux prévenir cet accident.
Conclusion. – Le démantèlement en cours de l’ensemble « fourre-tout » des accidents hyperthermiques survenant à l’occasion d’activités physiques ou sportives permet d’isoler le cas spécifique du coup de chaleur d’exercice, décrit dans ses aspects médicaux et opérationnels dans cet article. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25028 |
in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.228-240
[article] Le coup de chaleur d’exercice : I – Aspects cliniques et prévention [texte imprimé] . - 2003 . - pp.228-240. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.228-240
Résumé : |
Objectifs. – Fournir à la communauté médicale, ainsi qu’à l’ensemble des personnes impliquées dans le management du sport, un guide de référence sur les aspects médicaux et sur la prévention du coup de chaleur d’exercice.
Actualités. – Parmi les accidents hyperthermiques survenant à l’occasion d’activités physiques ou sportives, il faut distinguer :
• le coup de chaleur d’exercice qui touche un sujet jeune, en bonne santé, au cours d’un exercice physique très intense de durée intermédiaire ;
• l’épuisement hyperthermique qui survient plus souvent chez un sujet déshydraté pendant un exercice d’intensité modérée à élevée, de longue durée ;
• et enfin le coup de chaleur mixte observé par temps très lourd au cours d’activités de la vie courante.
L’importante variabilité clinique du coup de chaleur d’exercice reflète aussi la diversité des mécanismes physiopathologiques qui contribuent à son développement. Ceux-ci, discutés dans le second article de ce dossier, aident à systématiser les nombreux facteurs favorisants de cette affection en facteurs extrinsèques (conditions climatiques), intrinsèques (propres à l’individu et permanents) et circonstanciels.
Perspectives et projets. – Cette démarche qui permet aux différents acteurs intervenant dans ce domaine de mieux se comprendre doit aussi les aider à mieux appréhender les facteurs susceptibles de favoriser la survenue du coup de chaleur d’exercice donc de mieux prévenir cet accident.
Conclusion. – Le démantèlement en cours de l’ensemble « fourre-tout » des accidents hyperthermiques survenant à l’occasion d’activités physiques ou sportives permet d’isoler le cas spécifique du coup de chaleur d’exercice, décrit dans ses aspects médicaux et opérationnels dans cet article. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25028 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Le coup de chaleur d’exercice : II – Physiopathologie |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
pp.241-252 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectif. – Discuter les éléments pathogéniques récents susceptibles d’associer leurs effets pour induire le coup de chaleur d’exercice et proposer un processus global faisant intervenir le tissu musculaire, la sphère hépatosplanchnique et le système nerveux central.
Actualités. – Depuis longtemps, on pense que le facteur hyperthermie est le principal élément pathogénique du coup de chaleur d’exercice, une hypothèse renforcée par la démonstration récente qu’un certain nombre de sujets victimes d’un CCE sont porteurs d’anomalies musculaires infracliniques du type de celle rencontrée dans l’hyperthermie maligne peranesthésique. Pourtant l’analyse des cas rapportés et des facteurs favorisants démontrent :
• que l’effet de l’hyperthermie ne résulte pas linéairement de son niveau ;
• et que l’activation du système immuno-inflammatoire est un autre facteur d’importance majeure, aussi bien localement au niveau du système nerveux central, du système hépato-entérocolique et peut-être des fibres musculaires striées qu’au niveau de l’organisme entier.
Conclusion et perspectives. – La description d’un phénomène général pouvant intervenir à différents niveaux, où son action peut être modulée en plus ou en moins, permet d’envisager un cheminement pathogénique spécifique pour un individu donné et donc des pistes thérapeutiques précoces de nature étiologique. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25029 |
in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.241-252
[article] Le coup de chaleur d’exercice : II – Physiopathologie [texte imprimé] . - 2003 . - pp.241-252. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.241-252
Résumé : |
Objectif. – Discuter les éléments pathogéniques récents susceptibles d’associer leurs effets pour induire le coup de chaleur d’exercice et proposer un processus global faisant intervenir le tissu musculaire, la sphère hépatosplanchnique et le système nerveux central.
Actualités. – Depuis longtemps, on pense que le facteur hyperthermie est le principal élément pathogénique du coup de chaleur d’exercice, une hypothèse renforcée par la démonstration récente qu’un certain nombre de sujets victimes d’un CCE sont porteurs d’anomalies musculaires infracliniques du type de celle rencontrée dans l’hyperthermie maligne peranesthésique. Pourtant l’analyse des cas rapportés et des facteurs favorisants démontrent :
• que l’effet de l’hyperthermie ne résulte pas linéairement de son niveau ;
• et que l’activation du système immuno-inflammatoire est un autre facteur d’importance majeure, aussi bien localement au niveau du système nerveux central, du système hépato-entérocolique et peut-être des fibres musculaires striées qu’au niveau de l’organisme entier.
Conclusion et perspectives. – La description d’un phénomène général pouvant intervenir à différents niveaux, où son action peut être modulée en plus ou en moins, permet d’envisager un cheminement pathogénique spécifique pour un individu donné et donc des pistes thérapeutiques précoces de nature étiologique. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25029 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Électromyostimulation et récupération fonctionnelle d’un muscle dénervé |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
pp.253-263 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectifs. – L’objectif de cette revue est de faire le point sur les recherches qui ont visé à étudier les effets de l’électrostimulation musculaire chronique sur la récupération de la fonction musculaire après dénervation et réinnervation.
Actualité. – L’utilisation thérapeutique de l’électrothérapie remonte à des temps anciens lorsque les grecs utilisaient des anguilles électriques afin de traiter des maladies physiques. De nos jours, le courant électrique est utilisé communément par les entraîneurs et les physiothérapeutes. Les motoneurones ⍺ conduisant les messages nerveux de la moelle épinière vers le muscle. Quand la conduction des messages nerveux est interrompue, l’individu perd le contrôle du muscle affecté et le muscle est considéré comme dénervé ou sans innervation. Contrairement aux fibres nerveuses du système nerveux central, les fibres nerveuses du système nerveux périphérique peuvent régénérer et le contrôle actif du muscle peut être restauré.
Perspectives et projets. – L’efficacité de la stimulation électrique sur la régénération nerveuse n’a pas été établie chez l’homme même si un muscle régulièrement stimulé peut récupérer une capacité à générer une force plus rapidement lorsque la réinnervation est possible. Chez l’animal, il est montré depuis quelques années que la stimulation régulière d’un muscle dont le nerf a été réparé favorisait le retour de la motricité. Récemment, il a également été observé chez l’animal que la stimulation d’un muscle avec un courant de type biphasique entraînait un retour plus rapide de la sensibilité musculaire. Ces travaux préliminaires réalisés chez le jeune mammifère adulte nécessitent d’être approfondie. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25030 |
in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.253-263
[article] Électromyostimulation et récupération fonctionnelle d’un muscle dénervé [texte imprimé] . - 2003 . - pp.253-263. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.253-263
Résumé : |
Objectifs. – L’objectif de cette revue est de faire le point sur les recherches qui ont visé à étudier les effets de l’électrostimulation musculaire chronique sur la récupération de la fonction musculaire après dénervation et réinnervation.
Actualité. – L’utilisation thérapeutique de l’électrothérapie remonte à des temps anciens lorsque les grecs utilisaient des anguilles électriques afin de traiter des maladies physiques. De nos jours, le courant électrique est utilisé communément par les entraîneurs et les physiothérapeutes. Les motoneurones ⍺ conduisant les messages nerveux de la moelle épinière vers le muscle. Quand la conduction des messages nerveux est interrompue, l’individu perd le contrôle du muscle affecté et le muscle est considéré comme dénervé ou sans innervation. Contrairement aux fibres nerveuses du système nerveux central, les fibres nerveuses du système nerveux périphérique peuvent régénérer et le contrôle actif du muscle peut être restauré.
Perspectives et projets. – L’efficacité de la stimulation électrique sur la régénération nerveuse n’a pas été établie chez l’homme même si un muscle régulièrement stimulé peut récupérer une capacité à générer une force plus rapidement lorsque la réinnervation est possible. Chez l’animal, il est montré depuis quelques années que la stimulation régulière d’un muscle dont le nerf a été réparé favorisait le retour de la motricité. Récemment, il a également été observé chez l’animal que la stimulation d’un muscle avec un courant de type biphasique entraînait un retour plus rapide de la sensibilité musculaire. Ces travaux préliminaires réalisés chez le jeune mammifère adulte nécessitent d’être approfondie. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25030 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Diagnostic étiologique d’une douleur de jambe : le muscle soléaire accessoire |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
pp.264-266 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectifs. – Exposé d’une observation de muscle soléaire accessoire responsable d’une douleur de jambe.
Synthèse des faits. – Un muscle soléaire accessoire serait présent chez 6 % des individus, de façon bilatérale dans 2 cas sur 3. Cinq formes anatomiques ont été décrites. Le plus souvent asymptomatique, cette variante anatomique peut se manifester surtout à l’effort par des douleurs de jambe à type de crampes. Une simple tuméfaction dure latéro-achiléenne interne peut être objectivée sans autre signe physique. L’association d’un muscle soléaire accessoire avec un pied bot varus équin a pu être décrite. L’imagerie par résonance magnétique assure le diagnostic de certitude. Le traitement réservé aux formes invalidantes, repose sur l’exérèse du soléaire surnuméraire.
Conclusion. – L’arrêt des activités physiques déclenchant les douleurs est souhaitable avec une réorientation vers d’autres activités sollicitant de façon moins importante le complexe musculaire fléchisseur de la cheville. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25031 |
in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.264-266
[article] Diagnostic étiologique d’une douleur de jambe : le muscle soléaire accessoire [texte imprimé] . - 2003 . - pp.264-266. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.264-266
Résumé : |
Objectifs. – Exposé d’une observation de muscle soléaire accessoire responsable d’une douleur de jambe.
Synthèse des faits. – Un muscle soléaire accessoire serait présent chez 6 % des individus, de façon bilatérale dans 2 cas sur 3. Cinq formes anatomiques ont été décrites. Le plus souvent asymptomatique, cette variante anatomique peut se manifester surtout à l’effort par des douleurs de jambe à type de crampes. Une simple tuméfaction dure latéro-achiléenne interne peut être objectivée sans autre signe physique. L’association d’un muscle soléaire accessoire avec un pied bot varus équin a pu être décrite. L’imagerie par résonance magnétique assure le diagnostic de certitude. Le traitement réservé aux formes invalidantes, repose sur l’exérèse du soléaire surnuméraire.
Conclusion. – L’arrêt des activités physiques déclenchant les douleurs est souhaitable avec une réorientation vers d’autres activités sollicitant de façon moins importante le complexe musculaire fléchisseur de la cheville. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25031 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Thérapie génique en traumatologie sportive : mythe ou réalité ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
pp.267-271 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectifs. – Dresser un bilan des perspectives de la thérapie génique en médecine du sport.
Actualités. – Les spéculations de la thérapie génique ont ouvert la voie à de nombreuses recherches dans le transfert de gène d’intérêt par le biais de vecteurs de plus en plus performants. Les espoirs dans le traitement des déficits immunitaires sévères congénitaux ont été interrompus par les effets pervers de l’intégration aléatoire du transgène. Profitant des découvertes cellulaires et génétiques, les scientifiques ont orienté leurs travaux vers la réparation d’éléments non régénératifs spontanément : le cartilage, le ménisque, les tendons et les ligaments. L’ère de l’ingénierie tissulaire est apparue concomitamment avec la thérapie cellulaire et les recherches en thérapie génique. L’utilisation de biomatériaux hybrides, véritable support de culture cellulaire ex vivo, fait l’objet de travaux intensifs au sein de nombreuses équipes.
Perspectives. – Pour le moment et à court terme, la thérapie cellulaire suscite les meilleurs espoirs de réparation des lésions traumatiques du sujet jeune et sportif. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25032 |
in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.267-271
[article] Thérapie génique en traumatologie sportive : mythe ou réalité ? [texte imprimé] . - 2003 . - pp.267-271. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.267-271
Résumé : |
Objectifs. – Dresser un bilan des perspectives de la thérapie génique en médecine du sport.
Actualités. – Les spéculations de la thérapie génique ont ouvert la voie à de nombreuses recherches dans le transfert de gène d’intérêt par le biais de vecteurs de plus en plus performants. Les espoirs dans le traitement des déficits immunitaires sévères congénitaux ont été interrompus par les effets pervers de l’intégration aléatoire du transgène. Profitant des découvertes cellulaires et génétiques, les scientifiques ont orienté leurs travaux vers la réparation d’éléments non régénératifs spontanément : le cartilage, le ménisque, les tendons et les ligaments. L’ère de l’ingénierie tissulaire est apparue concomitamment avec la thérapie cellulaire et les recherches en thérapie génique. L’utilisation de biomatériaux hybrides, véritable support de culture cellulaire ex vivo, fait l’objet de travaux intensifs au sein de nombreuses équipes.
Perspectives. – Pour le moment et à court terme, la thérapie cellulaire suscite les meilleurs espoirs de réparation des lésions traumatiques du sujet jeune et sportif. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25032 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Le devoir de mémoire en médecine du sport |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
pp.272-274 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Plan
Les précurseurs de la médecine du sport
Un courant d’origine médicale, et principalement physiologique
Un courant d’origine gymnique
Le courant d’origine aérostatique
Le courant d’origine cardiologique
Les organisateurs de la médecine du sport
Fernand Lagrange
Geoges Demeny
Fabre, Merklen et Chailley-Bert
D’autres pionniers
Les organisateurs de la médecine du sport
Pourquoi ces oublis des origines de la médecine du sport ?
Méconnaissance des références anciennes
Sélectivité excessive des références actuelles
Influence ambiguë d’Internet
Compléments de lecture |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25033 |
in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.272-274
[article] Le devoir de mémoire en médecine du sport [texte imprimé] . - 2003 . - pp.272-274. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 5 (01/10/2003) . - pp.272-274
Résumé : |
Plan
Les précurseurs de la médecine du sport
Un courant d’origine médicale, et principalement physiologique
Un courant d’origine gymnique
Le courant d’origine aérostatique
Le courant d’origine cardiologique
Les organisateurs de la médecine du sport
Fernand Lagrange
Geoges Demeny
Fabre, Merklen et Chailley-Bert
D’autres pionniers
Les organisateurs de la médecine du sport
Pourquoi ces oublis des origines de la médecine du sport ?
Méconnaissance des références anciennes
Sélectivité excessive des références actuelles
Influence ambiguë d’Internet
Compléments de lecture |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25033 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |