Dépouillements

Carnitine et performance physique in Science & sports, Volume 18 numéro 3 (01/06/2003)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.125-133 Titre : Carnitine et performance physique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp.125-133 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif. - L'objectif de cette publication est de préciser l'implication de la carnitine dans le fonctionnement normal de la cellule musculaire et d'évaluer l'intérêt que pourrait représenter pour les performances physiques une supplémentation en carnitine. Actualités. - Récemment, de nouvelles informations concernant la voie de la biosynthèse de la carnitine ainsi que de son transport dans les cellules musculaires ont été publiées. Les bases moléculaires des déficiences en carnitine ont notamment été identifiées permettant ainsi de mieux comprendre les mécanismes contrôlant l'utilisation de la carnitine dans ces cellules. Une analyse aussi exhaustive que possible a été menée afin de rechercher les conséquences, sur le fonctionnement du muscle, d'un déséquilibre de l'homéostasie de la carnitine. L'ensemble des données actuellement disponibles montre que l'absence de carnitine dans le muscle conduit à un dysfonctionnement majeur de ce tissu avec pour conséquence principale une dégénérescence musculaire souvent associée à des troubles nerveux. À l'inverse, les effets d'une supplémentation en carnitine sur le muscle et sur les capacités physiques semblent limités. Perspectives. - En conclusion, la carnitine est rigoureusement indispensable à la survie de l'organisme mais tout apport supplémentaire n'induit pratiquement aucun bénéfice aux personnes la consommant. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25042 [article] Carnitine et performance physique [texte imprimé] . - 2003 . - pp.125-133. Langues : Français (fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.125-133 Résumé : Objectif. - L'objectif de cette publication est de préciser l'implication de la carnitine dans le fonctionnement normal de la cellule musculaire et d'évaluer l'intérêt que pourrait représenter pour les performances physiques une supplémentation en carnitine. Actualités. - Récemment, de nouvelles informations concernant la voie de la biosynthèse de la carnitine ainsi que de son transport dans les cellules musculaires ont été publiées. Les bases moléculaires des déficiences en carnitine ont notamment été identifiées permettant ainsi de mieux comprendre les mécanismes contrôlant l'utilisation de la carnitine dans ces cellules. Une analyse aussi exhaustive que possible a été menée afin de rechercher les conséquences, sur le fonctionnement du muscle, d'un déséquilibre de l'homéostasie de la carnitine. L'ensemble des données actuellement disponibles montre que l'absence de carnitine dans le muscle conduit à un dysfonctionnement majeur de ce tissu avec pour conséquence principale une dégénérescence musculaire souvent associée à des troubles nerveux. À l'inverse, les effets d'une supplémentation en carnitine sur le muscle et sur les capacités physiques semblent limités. Perspectives. - En conclusion, la carnitine est rigoureusement indispensable à la survie de l'organisme mais tout apport supplémentaire n'induit pratiquement aucun bénéfice aux personnes la consommant. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25042

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Comparaison de deux méthodes d'analyse des variables maximales de vitesse, force et puissance dans l'évaluation fonctionnelle en karaté in Science & sports, Volume 18 numéro 3 (01/06/2003)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.134-140 Titre : Comparaison de deux méthodes d'analyse des variables maximales de vitesse, force et puissance dans l'évaluation fonctionnelle en karaté Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp.134-140 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs. - Le but de cette étude était de comparer les variables mécaniques déterminées lors de sprints sur cyclo-ergomètre à partir de 2 méthodes d'analyse différentes. Méthodes. - Vingt-deux karatékas (internationaux et nationaux) ont réalisé 6 sprints de 8 s contre 6 charges de friction différentes (0,4 ; 0,5 ; 0,6 ; 0,7 ; 0,8 ; 0,9 N kg-1). La vitesse maximale théorique, la force maximale théorique, la puissance maximale et la vitesse optimale ont été déterminées à partir de 2 méthodes d'analyse différentes. La méthode force de friction consistait à établir les relations entre la force de freinage appliquée sur la courroie de friction et le pic de vitesse de pédalage pour chaque sprint. La méthode SRM établissait durant chaque phase d'accélération la relation entre la vitesse de pédalage et la force appliquée sur le pédalier. Résultats. - Les variables mécaniques déterminées à partir des 2 méthodes d'analyse différentes étaient étroitement corrélées. Une différence significative de vitesse maximale théorique et une absence de différence significative de force maximale théorique ont été relevées entre les groupes internationaux et nationaux par les 2 méthodes d'analyse. Toutefois, seule la méthode SRM montrait l'existence de différences significatives de puissance maximale entre les groupes suggérant une meilleure sensibilité. Conclusion. - La méthode SRM peut être proposée comme méthode d'analyse de la relation force-vitesse en karaté. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25043 [article] Comparaison de deux méthodes d'analyse des variables maximales de vitesse, force et puissance dans l'évaluation fonctionnelle en karaté [texte imprimé] . - 2003 . - pp.134-140. Langues : Français (fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.134-140 Résumé : Objectifs. - Le but de cette étude était de comparer les variables mécaniques déterminées lors de sprints sur cyclo-ergomètre à partir de 2 méthodes d'analyse différentes. Méthodes. - Vingt-deux karatékas (internationaux et nationaux) ont réalisé 6 sprints de 8 s contre 6 charges de friction différentes (0,4 ; 0,5 ; 0,6 ; 0,7 ; 0,8 ; 0,9 N kg-1). La vitesse maximale théorique, la force maximale théorique, la puissance maximale et la vitesse optimale ont été déterminées à partir de 2 méthodes d'analyse différentes. La méthode force de friction consistait à établir les relations entre la force de freinage appliquée sur la courroie de friction et le pic de vitesse de pédalage pour chaque sprint. La méthode SRM établissait durant chaque phase d'accélération la relation entre la vitesse de pédalage et la force appliquée sur le pédalier. Résultats. - Les variables mécaniques déterminées à partir des 2 méthodes d'analyse différentes étaient étroitement corrélées. Une différence significative de vitesse maximale théorique et une absence de différence significative de force maximale théorique ont été relevées entre les groupes internationaux et nationaux par les 2 méthodes d'analyse. Toutefois, seule la méthode SRM montrait l'existence de différences significatives de puissance maximale entre les groupes suggérant une meilleure sensibilité. Conclusion. - La méthode SRM peut être proposée comme méthode d'analyse de la relation force-vitesse en karaté. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25043

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Dynamique de la locomotion en fauteuil roulant manuel : influences de la masse totale et de sa répartition antéropostérieure sur la résultante des forces de freinage in Science & sports, Volume 18 numéro 3 (01/06/2003)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.141-149 Titre : Dynamique de la locomotion en fauteuil roulant manuel : influences de la masse totale et de sa répartition antéropostérieure sur la résultante des forces de freinage Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp.141-149 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif. - Cette étude présente une nouvelle méthode de détermination de la résultante des forces de freinage lors du déplacement en fauteuil roulant et analyse les influences respectives de la masse du système et de sa répartition. Méthode et résultats. - La décélération du système masse-fauteuil est mesurée par un accéléromètre tridimensionnel fixé sous le siège du fauteuil. Trois masses (50, 70 et 90 kg) sont placées sur un support de façon à obtenir 3 répartitions de la masse du système sur les roues avant (10, 40 et 70 %). Pour chacune des 9 combinaisons, une série de 15 essais est réalisée. Les résultats statistiques montrent que la décélération du système est expliquée à 92 % par la répartition sur les roues avant, contre 8 % par la masse totale du système. Conclusion. - Compte tenu des mouvements antéropostérieurs du centre de masse du sujet lors de la locomotion en fauteuil roulant, les résultats de cette étude laissent supposer que la résultante des forces de freinage n'est pas constante au cours du cycle de propulsion. La méthode proposée pourrait également être utilisée pour étudier l'influence des caractéristiques du fauteuil et du sol sur la résultante des forces de freinage. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25044 [article] Dynamique de la locomotion en fauteuil roulant manuel : influences de la masse totale et de sa répartition antéropostérieure sur la résultante des forces de freinage [texte imprimé] . - 2003 . - pp.141-149. Langues : Français (fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.141-149 Résumé : Objectif. - Cette étude présente une nouvelle méthode de détermination de la résultante des forces de freinage lors du déplacement en fauteuil roulant et analyse les influences respectives de la masse du système et de sa répartition. Méthode et résultats. - La décélération du système masse-fauteuil est mesurée par un accéléromètre tridimensionnel fixé sous le siège du fauteuil. Trois masses (50, 70 et 90 kg) sont placées sur un support de façon à obtenir 3 répartitions de la masse du système sur les roues avant (10, 40 et 70 %). Pour chacune des 9 combinaisons, une série de 15 essais est réalisée. Les résultats statistiques montrent que la décélération du système est expliquée à 92 % par la répartition sur les roues avant, contre 8 % par la masse totale du système. Conclusion. - Compte tenu des mouvements antéropostérieurs du centre de masse du sujet lors de la locomotion en fauteuil roulant, les résultats de cette étude laissent supposer que la résultante des forces de freinage n'est pas constante au cours du cycle de propulsion. La méthode proposée pourrait également être utilisée pour étudier l'influence des caractéristiques du fauteuil et du sol sur la résultante des forces de freinage. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25044

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Aptitudes cardiorespiratoires et fonction musculaire périphérique chez des patients coronariens in Science & sports, Volume 18 numéro 3 (01/06/2003)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.150-157 Titre : Aptitudes cardiorespiratoires et fonction musculaire périphérique chez des patients coronariens Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp.150-157 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif. - Déterminer si l'aptitude cardiorespiratoire diminuée des patients coronariens s'accompagne d'une fonction musculaire périphérique déficiente comparativement à une population contrôle saine. Méthodes. - Treize coronariens et neuf sujets sains âgés de 57 ± 7 vs 55 ± 8 ans, ont réalisé une épreuve d'effort cardiorespiratoire à charge croissante sur ergocycle et une évaluation musculaire sur un appareil isocinétique (Cybex Norm II). Les variables cardiorespiratoires et mécaniques (VO2, VE, FC et Puissance) ont été mesurées lors de l'épreuve d'effort au niveau maximal et au niveau du seuil ventilatoire. La performance musculaire a été appréciée à partir de la mesure de la force maximale isométrique volontaire (FMIV) du quadriceps et du temps de maintien (TM) en contraction isométrique à 50 % de la FMIV. Résultats. - Les coronariens présentent une aptitude aérobie altérée à l'effort maximal (VO2max : 23,56 ± 8,1 vs 42,43 ± 9,74 ml min-1 kg-1 ; p < 0,0001 ; Vemax : 67,07 ± 16,85 vs 90,15 ± 20,76 l min-1 ; p < 0,01 ; FCmax : 110 ± 17 vs 153 ± 20 bat min-1, p < 0,0001; Pmax : 133 ± 40 vs 233 ± 39 W ; p < 0,001) et au niveau du seuil ventilatoire (VO2 : 15,81 ± 5,7 vs 29,61 ± 7,8 ml min-1 kg-1, p < 0,001 ; FC : 92 ± 11 vs 135 ± 21 bat min-1, p < 0,0001, P : 88 ± 32 vs 153 ± 39 W, p < 0,001) à l'exception de la ventilation (VE : 38,98 ± 9,91 vs 46,68 ± 7,03 l min-1 ; NS). Aucune différence n'a été observée entre les deux groupes pour la force maximale isométrique volontaire (FMIV : 230 ± 46 vs 228 ± 21 N m-1, NS). Cependant le temps de maintien est abaissé chez les coronariens (65 ± 19 vs 88 ± 9 s ; p < 0,003). Conclusion. - Les coronariens ont une capacité aérobie diminuée accompagnée d'une fonction musculaire périphérique déficiente. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25045 [article] Aptitudes cardiorespiratoires et fonction musculaire périphérique chez des patients coronariens [texte imprimé] . - 2003 . - pp.150-157. Langues : Français (fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.150-157 Résumé : Objectif. - Déterminer si l'aptitude cardiorespiratoire diminuée des patients coronariens s'accompagne d'une fonction musculaire périphérique déficiente comparativement à une population contrôle saine. Méthodes. - Treize coronariens et neuf sujets sains âgés de 57 ± 7 vs 55 ± 8 ans, ont réalisé une épreuve d'effort cardiorespiratoire à charge croissante sur ergocycle et une évaluation musculaire sur un appareil isocinétique (Cybex Norm II). Les variables cardiorespiratoires et mécaniques (VO2, VE, FC et Puissance) ont été mesurées lors de l'épreuve d'effort au niveau maximal et au niveau du seuil ventilatoire. La performance musculaire a été appréciée à partir de la mesure de la force maximale isométrique volontaire (FMIV) du quadriceps et du temps de maintien (TM) en contraction isométrique à 50 % de la FMIV. Résultats. - Les coronariens présentent une aptitude aérobie altérée à l'effort maximal (VO2max : 23,56 ± 8,1 vs 42,43 ± 9,74 ml min-1 kg-1 ; p < 0,0001 ; Vemax : 67,07 ± 16,85 vs 90,15 ± 20,76 l min-1 ; p < 0,01 ; FCmax : 110 ± 17 vs 153 ± 20 bat min-1, p < 0,0001; Pmax : 133 ± 40 vs 233 ± 39 W ; p < 0,001) et au niveau du seuil ventilatoire (VO2 : 15,81 ± 5,7 vs 29,61 ± 7,8 ml min-1 kg-1, p < 0,001 ; FC : 92 ± 11 vs 135 ± 21 bat min-1, p < 0,0001, P : 88 ± 32 vs 153 ± 39 W, p < 0,001) à l'exception de la ventilation (VE : 38,98 ± 9,91 vs 46,68 ± 7,03 l min-1 ; NS). Aucune différence n'a été observée entre les deux groupes pour la force maximale isométrique volontaire (FMIV : 230 ± 46 vs 228 ± 21 N m-1, NS). Cependant le temps de maintien est abaissé chez les coronariens (65 ± 19 vs 88 ± 9 s ; p < 0,003). Conclusion. - Les coronariens ont une capacité aérobie diminuée accompagnée d'une fonction musculaire périphérique déficiente. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25045

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Répercussion de l'asthme induit par l'exercice sur la performance aérobie de l'enfant in Science & sports, Volume 18 numéro 3 (01/06/2003)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.158-160 Titre : Répercussion de l'asthme induit par l'exercice sur la performance aérobie de l'enfant Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp.158-160 Langues : Français (fre) Résumé : Introduction. - Vérifier si l'asthme induit par l'exercice, syndrome clinique provoquant une obstruction transitoire des voies aériennes après l'exercice, a des répercussions sur la performance aérobie de l'enfant ? Synthèse des faits. - Soixante enfants prépubères dont 36 asthmatiques ont réalisé un exercice maximal et un exercice asthmogène. Les débits expirés maximaux mesurés après l'exercice asthmogène diminuent significativement chez les enfants atteints d'asthme induit par l'exercice. Cela suggère au cours de l'exercice une diminution du calibre des voies aériennes. Cette diminution ne semble pas avoir d'effet sur les paramètres aérobie mesurés. Conclusion. - Nous pouvons conclure que l'asthme contrôlé ne constitue pas chez ces sujets une limite à la performance aérobie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25046 [article] Répercussion de l'asthme induit par l'exercice sur la performance aérobie de l'enfant [texte imprimé] . - 2003 . - pp.158-160. Langues : Français (fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.158-160 Résumé : Introduction. - Vérifier si l'asthme induit par l'exercice, syndrome clinique provoquant une obstruction transitoire des voies aériennes après l'exercice, a des répercussions sur la performance aérobie de l'enfant ? Synthèse des faits. - Soixante enfants prépubères dont 36 asthmatiques ont réalisé un exercice maximal et un exercice asthmogène. Les débits expirés maximaux mesurés après l'exercice asthmogène diminuent significativement chez les enfants atteints d'asthme induit par l'exercice. Cela suggère au cours de l'exercice une diminution du calibre des voies aériennes. Cette diminution ne semble pas avoir d'effet sur les paramètres aérobie mesurés. Conclusion. - Nous pouvons conclure que l'asthme contrôlé ne constitue pas chez ces sujets une limite à la performance aérobie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25046

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Facteurs mécaniques de la performance en sprint sur 100 m chez des athlètes entraînés in Science & sports, Volume 18 numéro 3 (01/06/2003)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.161-163 Titre : Facteurs mécaniques de la performance en sprint sur 100 m chez des athlètes entraînés Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp.161-163 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs. - Étudier les paramètres mécaniques musculaires en lien avec la performance dans les différentes zones du 100 m chez des athlètes entraînés. Synthèse des faits. - La force, vitesse et puissance musculaire de 10 sprinters ainsi que leur raideur musculotendineuse, ont été corrélées à leurs performances en sprint sur 100 m. Les vitesses et forces maximales, la hauteur en saut sans élan et la puissance musculaire des athlètes étaient significativement corrélées (p < 0,05) respectivement aux vitesses moyennes à 20, 40 et 60 m et au délai d'atteinte de vitesse maximale. Aucun paramètre mécanique musculaire évalué n'était lié à la performance à vitesse maximale et en fin de course. Conclusions. - La puissance musculaire (et ses composantes de force et de vitesse) est déterminante pour la performance en phase d'accélération, les facteurs clés de la suite de la course restant inexpliqués. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25047 [article] Facteurs mécaniques de la performance en sprint sur 100 m chez des athlètes entraînés [texte imprimé] . - 2003 . - pp.161-163. Langues : Français (fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.161-163 Résumé : Objectifs. - Étudier les paramètres mécaniques musculaires en lien avec la performance dans les différentes zones du 100 m chez des athlètes entraînés. Synthèse des faits. - La force, vitesse et puissance musculaire de 10 sprinters ainsi que leur raideur musculotendineuse, ont été corrélées à leurs performances en sprint sur 100 m. Les vitesses et forces maximales, la hauteur en saut sans élan et la puissance musculaire des athlètes étaient significativement corrélées (p < 0,05) respectivement aux vitesses moyennes à 20, 40 et 60 m et au délai d'atteinte de vitesse maximale. Aucun paramètre mécanique musculaire évalué n'était lié à la performance à vitesse maximale et en fin de course. Conclusions. - La puissance musculaire (et ses composantes de force et de vitesse) est déterminante pour la performance en phase d'accélération, les facteurs clés de la suite de la course restant inexpliqués. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25047

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Réponses du cortisol et de la testostérone salivaires au cours de la récupération post-compétitive en rugby in Science & sports, Volume 18 numéro 3 (01/06/2003)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.164-165 Titre : Réponses du cortisol et de la testostérone salivaires au cours de la récupération post-compétitive en rugby Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp.164-165 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs. - Évaluer les répercussions biologiques de l'état de fatigue post-compétitive chez les joueurs d'une équipe de rugby au cours de la semaine suivant un match international. Méthodes et résultats. - Les taux de cortisol et de testostérone salivaires ont été mesurés. On relève une chute des taux de cortisol par rapport aux valeurs mesurées à la même heure lors d'une journée de repos pendant les 4 premiers jours suivant la compétition, alors qu'inversement les taux de testostérone présentent une augmentation. Par conséquent, il faut au moins 5 jours de récupération pour que ces deux variables biologiques choisies comme marqueurs de fatigue reviennent à leurs valeurs de base. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25048 [article] Réponses du cortisol et de la testostérone salivaires au cours de la récupération post-compétitive en rugby [texte imprimé] . - 2003 . - pp.164-165. Langues : Français (fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.164-165 Résumé : Objectifs. - Évaluer les répercussions biologiques de l'état de fatigue post-compétitive chez les joueurs d'une équipe de rugby au cours de la semaine suivant un match international. Méthodes et résultats. - Les taux de cortisol et de testostérone salivaires ont été mesurés. On relève une chute des taux de cortisol par rapport aux valeurs mesurées à la même heure lors d'une journée de repos pendant les 4 premiers jours suivant la compétition, alors qu'inversement les taux de testostérone présentent une augmentation. Par conséquent, il faut au moins 5 jours de récupération pour que ces deux variables biologiques choisies comme marqueurs de fatigue reviennent à leurs valeurs de base. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25048

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Variabilité de la fréquence cardiaque en fonction de l'intensité de la pratique physique chez la femme ménopausée in Science & sports, Volume 18 numéro 3 (01/06/2003)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.166-168 Titre : Variabilité de la fréquence cardiaque en fonction de l'intensité de la pratique physique chez la femme ménopausée Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp.166-168 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs. - Étudier la variabilité de la fréquence cardiaque en fonction de l'intensité de la pratique physique chez des femmes ménopausées. Méthode. - L'analyse temporelle de la variabilité de la fréquence cardiaque à partir de l'électrocardiogramme a été réalisée au repos et à l'exercice dans 3 groupes de 6 femmes : sédentaires, actives et entraînées. Résultats. - Il n'apparaît pas de différence significative intergroupe au repos. Cependant en orthostatisme, l'intervalle RR et la dispersion autour de cet intervalle diminuent uniquement chez les femmes entraînées. À l'exercice sous-maximal cette dispersion est supérieure chez les femmes actives et entraînées. Conclusion. - La pratique physique implique une meilleure réponse du noeud sinusal cardiaque aux influx nerveux parasympathiques lors de l'orthostatisme et de l'exercice sous-maximal. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25049 [article] Variabilité de la fréquence cardiaque en fonction de l'intensité de la pratique physique chez la femme ménopausée [texte imprimé] . - 2003 . - pp.166-168. Langues : Français (fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.166-168 Résumé : Objectifs. - Étudier la variabilité de la fréquence cardiaque en fonction de l'intensité de la pratique physique chez des femmes ménopausées. Méthode. - L'analyse temporelle de la variabilité de la fréquence cardiaque à partir de l'électrocardiogramme a été réalisée au repos et à l'exercice dans 3 groupes de 6 femmes : sédentaires, actives et entraînées. Résultats. - Il n'apparaît pas de différence significative intergroupe au repos. Cependant en orthostatisme, l'intervalle RR et la dispersion autour de cet intervalle diminuent uniquement chez les femmes entraînées. À l'exercice sous-maximal cette dispersion est supérieure chez les femmes actives et entraînées. Conclusion. - La pratique physique implique une meilleure réponse du noeud sinusal cardiaque aux influx nerveux parasympathiques lors de l'orthostatisme et de l'exercice sous-maximal. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25049

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Le questionnaire de surentraînement - corrélations avec le cortisol et la testostérone dans le cadre du suivi d'une équipe de haut niveau en rugby in Science & sports, Volume 18 numéro 3 (01/06/2003)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.169-171 Titre : Le questionnaire de surentraînement - corrélations avec le cortisol et la testostérone dans le cadre du suivi d'une équipe de haut niveau en rugby Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp.169-171 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif. - Mesurer un niveau de fatigue chez des joueurs de rugby. Matériels et méthodes. - Vingt et un joueurs ont répondu au questionnaire français de surentraînement élaboré par la SFMS et subi une évaluation des taux de cortisol et testostérone salivaires à deux périodes de la saison (T1 et T2). Résultats et conclusion. - Le score obtenu au questionnaire de surentraînement est significativement supérieur à T2 par rapport à T1. L'importance de la charge d'entraînement et des compétitions ont induit une augmentation significative du cortisol et une diminution significative de la testostérone durant la saison. La meilleure corrélation entre le score et les taux hormonaux salivaires a été constatée à 8 heures. De ce fait, les taux de testostérone et de cortisol salivaires utilisés comme marqueur de fatigue sont à considérer de préférence à 8 heures. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25050 [article] Le questionnaire de surentraînement - corrélations avec le cortisol et la testostérone dans le cadre du suivi d'une équipe de haut niveau en rugby [texte imprimé] . - 2003 . - pp.169-171. Langues : Français (fre) in Science & sports > Volume 18 numéro 3 (01/06/2003) . - pp.169-171 Résumé : Objectif. - Mesurer un niveau de fatigue chez des joueurs de rugby. Matériels et méthodes. - Vingt et un joueurs ont répondu au questionnaire français de surentraînement élaboré par la SFMS et subi une évaluation des taux de cortisol et testostérone salivaires à deux périodes de la saison (T1 et T2). Résultats et conclusion. - Le score obtenu au questionnaire de surentraînement est significativement supérieur à T2 par rapport à T1. L'importance de la charge d'entraînement et des compétitions ont induit une augmentation significative du cortisol et une diminution significative de la testostérone durant la saison. La meilleure corrélation entre le score et les taux hormonaux salivaires a été constatée à 8 heures. De ce fait, les taux de testostérone et de cortisol salivaires utilisés comme marqueur de fatigue sont à considérer de préférence à 8 heures. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25050

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