Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Mention de date : 01/08/2001
Paru le : 01/08/2001
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Les bases génétiques et moléculaires de la performance et de l'adaptation à l'exercice physique |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2001 |
Article en page(s) : |
pp.186-295 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectifs - Exposer l'état des connaissances sur les bases génétiques et moléculaires de la performance et de l'adaptation à l'exercice physique.
Actualités - Les études sur les bases génétiques de la performance réalisées au cours des 20 dernières années suggèrent qu'environ 25 à 50 % des différences inter-individuelles observées dans la consommation maximale d'oxygène ou au sein d'autres indicateurs de l'endurance cardiorespiratoire sont attribuables à des facteurs génétiques. Dans le cas des propriétés métaboliques et histochimiques du muscle squelettique, l'héritabilité serait de l'ordre de 40 à 70 %. Des différences inter-individuelles importantes sont également observées dans l'adaptation à l'exercice sur le plan cardiorespiratoire, métabolique ou morphologique et les résultats d'études de jumeaux et de quelques études familiales suggèrent que ces différences sont aussi déterminées par des facteurs génétiques. Comparativement à plusieurs autres traits complexes comme la tension artérielle ou l'obésité, la recherche des gènes impliqués dans la performance et l'adaptation à l'exercice physique ne fait que commencer. Seulement quelques gènes candidats, dont l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ACE), la créatine kinase musculaire (CKMM) ou des gènes de l'ADN mitochondrial ont été étudiés jusqu'à ce jour.
Conclusion - Il est encore trop tôt pour conclure de façon définitive quant à la contribution réelle de ces gènes. Même si la dissection moléculaire de la performance et l'adaptation à l'exercice physique est une tâche très complexe, il est permis de penser que des progrès considérables seront réalisés au cours de la prochaine décennie dans l'identification des bases moléculaires de la performance et de l'adaptation à l'exercice physique. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25253 |
in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.186-295
[article] Les bases génétiques et moléculaires de la performance et de l'adaptation à l'exercice physique [texte imprimé] . - 2001 . - pp.186-295. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.186-295
Résumé : |
Objectifs - Exposer l'état des connaissances sur les bases génétiques et moléculaires de la performance et de l'adaptation à l'exercice physique.
Actualités - Les études sur les bases génétiques de la performance réalisées au cours des 20 dernières années suggèrent qu'environ 25 à 50 % des différences inter-individuelles observées dans la consommation maximale d'oxygène ou au sein d'autres indicateurs de l'endurance cardiorespiratoire sont attribuables à des facteurs génétiques. Dans le cas des propriétés métaboliques et histochimiques du muscle squelettique, l'héritabilité serait de l'ordre de 40 à 70 %. Des différences inter-individuelles importantes sont également observées dans l'adaptation à l'exercice sur le plan cardiorespiratoire, métabolique ou morphologique et les résultats d'études de jumeaux et de quelques études familiales suggèrent que ces différences sont aussi déterminées par des facteurs génétiques. Comparativement à plusieurs autres traits complexes comme la tension artérielle ou l'obésité, la recherche des gènes impliqués dans la performance et l'adaptation à l'exercice physique ne fait que commencer. Seulement quelques gènes candidats, dont l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ACE), la créatine kinase musculaire (CKMM) ou des gènes de l'ADN mitochondrial ont été étudiés jusqu'à ce jour.
Conclusion - Il est encore trop tôt pour conclure de façon définitive quant à la contribution réelle de ces gènes. Même si la dissection moléculaire de la performance et l'adaptation à l'exercice physique est une tâche très complexe, il est permis de penser que des progrès considérables seront réalisés au cours de la prochaine décennie dans l'identification des bases moléculaires de la performance et de l'adaptation à l'exercice physique. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25253 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Adaptation des propriétés mécaniques du muscle à l'entraînement |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2001 |
Article en page(s) : |
pp.196-203 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectifs - Cette revue de questions se propose de présenter les modifications des propriétés mécaniques du muscle et leurs modifications liées à l'application de programmes d'entraînement.
Actualités - Pour rendre compte de ces adaptations, il est fait appel à un modèle de muscle à trois composantes permettant d'envisager successivement les propriétés de la composante contractile et les propriétés de deux composantes élastiques. La composante contractile est caractérisée par une relation force-longueur isométrique et une relation force-vitesse isotonique. La spécificité des gains de force est soulignée ainsi que les difficultés d'interprétation, en termes de muscle, de résultats obtenus à partir de l'analyse d'un mouvement. Les propriétés des deux composantes élastiques (en parallèle et en série) sont présentées sous forme de relations contrainte-déformation affectées par l'entraînement.
Conclusions - Il est souligné que, lors d'un entraînement, toute transition dans les types de fibres musculaires modifie les caractéristiques de raideur du muscle. Ces résultats sont discutés en termes d'amélioration du rendement du muscle. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25254 |
in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.196-203
[article] Adaptation des propriétés mécaniques du muscle à l'entraînement [texte imprimé] . - 2001 . - pp.196-203. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.196-203
Résumé : |
Objectifs - Cette revue de questions se propose de présenter les modifications des propriétés mécaniques du muscle et leurs modifications liées à l'application de programmes d'entraînement.
Actualités - Pour rendre compte de ces adaptations, il est fait appel à un modèle de muscle à trois composantes permettant d'envisager successivement les propriétés de la composante contractile et les propriétés de deux composantes élastiques. La composante contractile est caractérisée par une relation force-longueur isométrique et une relation force-vitesse isotonique. La spécificité des gains de force est soulignée ainsi que les difficultés d'interprétation, en termes de muscle, de résultats obtenus à partir de l'analyse d'un mouvement. Les propriétés des deux composantes élastiques (en parallèle et en série) sont présentées sous forme de relations contrainte-déformation affectées par l'entraînement.
Conclusions - Il est souligné que, lors d'un entraînement, toute transition dans les types de fibres musculaires modifie les caractéristiques de raideur du muscle. Ces résultats sont discutés en termes d'amélioration du rendement du muscle. |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Lésions musculaires induites par l'exercice et surentraînement |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2001 |
Article en page(s) : |
pp.204-215 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectifs - Rappeler les grandes caractéristiques des microlésions musculaires liées à l'exercice, leurs mécanismes et leur diagnostic. Évaluer quel est le lien unissant lésions musculaires et surentraînement.
Actualités - La pratique de l'exercice intense est associée au développement de microlésions musculaires. Leur gravité et leur évolution sont variables, dépendant de l'intensité de l'exercice, de sa durée et de ses caractéristiques. Lorsqu'il y a mort cellulaire, on assiste à la regénérescence des fibres éliminées à partir de cellules satellites. Le diagnostic biologique de ces lésions pose toujours un problème important. Les critères classiquement retenus pour le diagnostic ne sont que faiblement corrélés à l'étendue des lésions histologiques. Or ces critères biologiques (activité de la CK ou de la LDH dans le plasma, concentration plasmatique du MDA) sont classiquement recherchés au cours des états de surentraînement. L'augmentation de l'activité CK ou de la concentration de MDA dans le plasma ne peuvent au mieux refléter qu'un état de surcharge mécanique du muscle. Cependant, les fibres musculaires lésées au décours de l'exercice intense sont à l'origine de la production de cytokines pro-inflammatoires. L'altération des défenses immunitaires qui découle de la production de ces cytokines entre dans le cadre clinique du surentraînement.
Conclusions - Les lésions musculaires liées à l'exercice intense ne reflètent a priori qu'un état de surcharge mécanique du muscle. Cependant, les conséquences de ces lésions sur l'immunité peuvent s'intégrer dans le tableau clinique du surentraînement. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25255 |
in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.204-215
[article] Lésions musculaires induites par l'exercice et surentraînement [texte imprimé] . - 2001 . - pp.204-215. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.204-215
Résumé : |
Objectifs - Rappeler les grandes caractéristiques des microlésions musculaires liées à l'exercice, leurs mécanismes et leur diagnostic. Évaluer quel est le lien unissant lésions musculaires et surentraînement.
Actualités - La pratique de l'exercice intense est associée au développement de microlésions musculaires. Leur gravité et leur évolution sont variables, dépendant de l'intensité de l'exercice, de sa durée et de ses caractéristiques. Lorsqu'il y a mort cellulaire, on assiste à la regénérescence des fibres éliminées à partir de cellules satellites. Le diagnostic biologique de ces lésions pose toujours un problème important. Les critères classiquement retenus pour le diagnostic ne sont que faiblement corrélés à l'étendue des lésions histologiques. Or ces critères biologiques (activité de la CK ou de la LDH dans le plasma, concentration plasmatique du MDA) sont classiquement recherchés au cours des états de surentraînement. L'augmentation de l'activité CK ou de la concentration de MDA dans le plasma ne peuvent au mieux refléter qu'un état de surcharge mécanique du muscle. Cependant, les fibres musculaires lésées au décours de l'exercice intense sont à l'origine de la production de cytokines pro-inflammatoires. L'altération des défenses immunitaires qui découle de la production de ces cytokines entre dans le cadre clinique du surentraînement.
Conclusions - Les lésions musculaires liées à l'exercice intense ne reflètent a priori qu'un état de surcharge mécanique du muscle. Cependant, les conséquences de ces lésions sur l'immunité peuvent s'intégrer dans le tableau clinique du surentraînement. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25255 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Myalgies et crampes d'effort. Données nouvelles |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2001 |
Article en page(s) : |
pp.216-219 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Actualités - Le cadre nosologique des myalgies et des crampes d'effort s'est récemment étendu en raison des progrès de la biochimie et de l'immunohistochimie. L'intensité des symptômes est variable et de degrés progressifs : myalgies et crampes à l'exercice ; fatigabilité et déficit à l'effort ou claudication intermittente musculaire ; myoglobinuries d'effort témoins de rhabdomyolyse ; parfois syndrome de loge. Les examens complémentaires recherchent essentiellement une anomalie métabolique. Les causes de l'intolérance musculaire à l'effort sont de mieux en mieux connues. Le déficit en phosphorylase de la maladie de Mc Ardle a été une étiologie anciennement déterminée. D'autres blocs de la voie glycolytique se sont ajoutés. Puis les anomalies mitochondriales ont constitué un deuxième groupe. Récemment, divers syndromes d'intolérance à l'exercice ont été rattachés à une insuffisance de régulation du passage du calcium dans la membrane du réticulum sarcoplasmique, en particulier dans des cas sporadiques d'hyperthermie maligne, avec ou sans hyperthermie ou lors de l'insuffisance d'incorporation de la maladie de Brody. Une forme fruste de dystrophinopathie s'exprime par des myalgies d'effort avec myoglobinurie. La myopathie myotonique proximale comporte également des douleurs à l'exercice. D'autres syndromes, comme le déficit en AMP-désaminase ou la myopathie avec agrégats tubulaires sont de spécificité discutable.
Conclusions - Ces faits ont une importance pratique impliquant des examens spécialisés en présence de myalgies et de crampes d'effort qui ne font pas leur preuve. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25256 |
in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.216-219
[article] Myalgies et crampes d'effort. Données nouvelles [texte imprimé] . - 2001 . - pp.216-219. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.216-219
Résumé : |
Actualités - Le cadre nosologique des myalgies et des crampes d'effort s'est récemment étendu en raison des progrès de la biochimie et de l'immunohistochimie. L'intensité des symptômes est variable et de degrés progressifs : myalgies et crampes à l'exercice ; fatigabilité et déficit à l'effort ou claudication intermittente musculaire ; myoglobinuries d'effort témoins de rhabdomyolyse ; parfois syndrome de loge. Les examens complémentaires recherchent essentiellement une anomalie métabolique. Les causes de l'intolérance musculaire à l'effort sont de mieux en mieux connues. Le déficit en phosphorylase de la maladie de Mc Ardle a été une étiologie anciennement déterminée. D'autres blocs de la voie glycolytique se sont ajoutés. Puis les anomalies mitochondriales ont constitué un deuxième groupe. Récemment, divers syndromes d'intolérance à l'exercice ont été rattachés à une insuffisance de régulation du passage du calcium dans la membrane du réticulum sarcoplasmique, en particulier dans des cas sporadiques d'hyperthermie maligne, avec ou sans hyperthermie ou lors de l'insuffisance d'incorporation de la maladie de Brody. Une forme fruste de dystrophinopathie s'exprime par des myalgies d'effort avec myoglobinurie. La myopathie myotonique proximale comporte également des douleurs à l'exercice. D'autres syndromes, comme le déficit en AMP-désaminase ou la myopathie avec agrégats tubulaires sont de spécificité discutable.
Conclusions - Ces faits ont une importance pratique impliquant des examens spécialisés en présence de myalgies et de crampes d'effort qui ne font pas leur preuve. |
Permalink : |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Syndrome chronique des loges de jambes |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2001 |
Article en page(s) : |
pp.220-227 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Actualités - Le syndrome de loge chronique peut être défini comme un état dans lequel une augmentation de pression intramusculaire dans un espace limité (loge ostéo-aponévratique) compromet la circulation et la fonction des tissus musculonerveux situés à l'intérieur de cet espace. Pour des raisons anatomiques, chez le sujet jeune et sportif, la loge antéro-externe de la jambe est plus souvent atteinte que les loges postérieures. Les autres localisations du membre inférieur et celles intéressant le membre supérieur sont moins fréquentes mais encore sous-estimées. Le diagnostic clinique et différentiel repose sur : un terrain prédisposant (pathologie d'hyper utilisation) ; une douleur caractéristique (topographie, évolution) ; un examen clinique normal au repos. Le diagnostic est confirmé par la mesure des pressions intramusculaires au-dessus d'un seuil critique pendant l'effort, mais aussi par un retour trop lent aux pressions de repos après arrêt de l'effort. Les autres examens complémentaires ont, mis à part la scintigraphie, voire l'IRM, l'intérêt d'éliminer les diagnostics différentiels.
Conclusion - Le traitement d'un syndrome de loge chronique est avant tout chirurgical car les traitements médicaux ne peuvent faire disparaître complètement l'existence d'un seuil douloureux à l'effort. Le traitement chirurgical par aponévrotomie sous cutanée ou aponévrectomie est de règle chez le sportif désireux de poursuivre son activité avec environ 90 % de bons résultats. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25257 |
in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.220-227
[article] Syndrome chronique des loges de jambes [texte imprimé] . - 2001 . - pp.220-227. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.220-227
Résumé : |
Actualités - Le syndrome de loge chronique peut être défini comme un état dans lequel une augmentation de pression intramusculaire dans un espace limité (loge ostéo-aponévratique) compromet la circulation et la fonction des tissus musculonerveux situés à l'intérieur de cet espace. Pour des raisons anatomiques, chez le sujet jeune et sportif, la loge antéro-externe de la jambe est plus souvent atteinte que les loges postérieures. Les autres localisations du membre inférieur et celles intéressant le membre supérieur sont moins fréquentes mais encore sous-estimées. Le diagnostic clinique et différentiel repose sur : un terrain prédisposant (pathologie d'hyper utilisation) ; une douleur caractéristique (topographie, évolution) ; un examen clinique normal au repos. Le diagnostic est confirmé par la mesure des pressions intramusculaires au-dessus d'un seuil critique pendant l'effort, mais aussi par un retour trop lent aux pressions de repos après arrêt de l'effort. Les autres examens complémentaires ont, mis à part la scintigraphie, voire l'IRM, l'intérêt d'éliminer les diagnostics différentiels.
Conclusion - Le traitement d'un syndrome de loge chronique est avant tout chirurgical car les traitements médicaux ne peuvent faire disparaître complètement l'existence d'un seuil douloureux à l'effort. Le traitement chirurgical par aponévrotomie sous cutanée ou aponévrectomie est de règle chez le sportif désireux de poursuivre son activité avec environ 90 % de bons résultats. |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Quelle imagerie pour quelle lésion musculaire ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2001 |
Article en page(s) : |
pp.228-235 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectif - Définir une stratégie d'évaluation d'une atteinte musculaire en terme d'efficacité et de coût.
Actualité - Une évaluation précise de la gravité d'une atteinte musculaire est rarement effectuée alors qu'elle pourrait être d'une grande utilité pour la conduite du traitement. Facilement disponible, peu onéreuse et présentant une spécificité dynamique, l'échographique est la technique de première intention pour déterminer le siège exact et la gravité des lésions musculaires. Elle guide également la ponction des hématomes ce qui permet de raccourcir la durée d'évolution et d'éviter la survenue de cicatrices hypertrophiques. En fonction de l'étiologie du traumatisme, de grandes différences lésionnelles sont observées. Dans les traumatismes directs, les contusions, les lésions seront situées au centre du muscle alors qu'en cas d'atteinte indirecte, par contraction forcée, nous aurons essentiellement des décollements aponévrotiques périmusculaires. Le terme de rupture est donc souvent utilisé erronément pour des lésions qui sont en fait des désinsertions. Au stade séquellaire, on remarque l'importance du rôle joué par les cicatrices qui entraînent un trouble de la fonction du muscle à l'origine d'une symptomatologie traînante. Des hématomes et des calcifications sont également notés à ce stade.
Conclusion - Dans cette situation, l'échographie s'averre la technique la mieux adaptée. L'autre technique d'imagerie performante en cas d'atteinte musculaire est la résonance magnétique nucléaire mais son coût la réserve au bilan préopératoire. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25258 |
in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.228-235
[article] Quelle imagerie pour quelle lésion musculaire ? [texte imprimé] . - 2001 . - pp.228-235. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 16 numéro 4 (01/08/2001) . - pp.228-235
Résumé : |
Objectif - Définir une stratégie d'évaluation d'une atteinte musculaire en terme d'efficacité et de coût.
Actualité - Une évaluation précise de la gravité d'une atteinte musculaire est rarement effectuée alors qu'elle pourrait être d'une grande utilité pour la conduite du traitement. Facilement disponible, peu onéreuse et présentant une spécificité dynamique, l'échographique est la technique de première intention pour déterminer le siège exact et la gravité des lésions musculaires. Elle guide également la ponction des hématomes ce qui permet de raccourcir la durée d'évolution et d'éviter la survenue de cicatrices hypertrophiques. En fonction de l'étiologie du traumatisme, de grandes différences lésionnelles sont observées. Dans les traumatismes directs, les contusions, les lésions seront situées au centre du muscle alors qu'en cas d'atteinte indirecte, par contraction forcée, nous aurons essentiellement des décollements aponévrotiques périmusculaires. Le terme de rupture est donc souvent utilisé erronément pour des lésions qui sont en fait des désinsertions. Au stade séquellaire, on remarque l'importance du rôle joué par les cicatrices qui entraînent un trouble de la fonction du muscle à l'origine d'une symptomatologie traînante. Des hématomes et des calcifications sont également notés à ce stade.
Conclusion - Dans cette situation, l'échographie s'averre la technique la mieux adaptée. L'autre technique d'imagerie performante en cas d'atteinte musculaire est la résonance magnétique nucléaire mais son coût la réserve au bilan préopératoire. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25258 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |