[article]
Titre : |
Réduction d’un traitement chronique par inhibiteur de la pompe à protons, possible ? |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
J.-P. Sculier |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 65-68 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Abstention thérapeutique Médicament Oesophagite Pompes à protons Reflux gastro-oesophagien Thérapeutique Ulcere |
Résumé : |
Les IPP sont des médicaments très largement prescrits, essentiellement pour le reflux gastro-œsophagien et ses complications, l’œsophagite, l’ulcère peptique gastroduodénal qu’il soit dû à la prise d’anti-inflammatoires ou à une infection à Helicobacter pylori ou la dyspepsie. Ils soulagent efficacement les patients de leurs plaintes : brûlant (pyrosis), régurgitation, douleur thoracique, toux, dyspnée (bronchospasme), raucité, douleur épigastrique, nausées sans parler des complications (anémie, perforation digestive, cancérisation dans le cas d’un œsophage de Barrett) (1). Les patients sont souvent opposés à l’arrêt du traitement par IPP car un rebond d’acidité gastrique source d’inconfort survient lors de l’arrêt de l’inhibition de la sécrétion acide gastrique pendant une à deux semaines voire plus. Outre le coût économique qu’entraîne la prescription au long cours de ces médicaments, il faut tenir compte des effets indésirables (essentiellement troubles digestifs et céphalées) et des interactions médicamenteuses qu’ils engendrent (2). Toutes ces raisons ont conduit une équipe canadienne à faire une synthèse méthodique sur la réduction (arrêt ou passage à la demande) d’un traitement chronique par IPP dans le cadre de la Cochrane Collaboration. |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2165 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=86499 |
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 5 (Juin 2018) . - p. 65-68
[article] Réduction d’un traitement chronique par inhibiteur de la pompe à protons, possible ? [document électronique] / J.-P. Sculier . - 2018 . - p. 65-68. Langues : Français ( fre) in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 5 (Juin 2018) . - p. 65-68
Mots-clés : |
Abstention thérapeutique Médicament Oesophagite Pompes à protons Reflux gastro-oesophagien Thérapeutique Ulcere |
Résumé : |
Les IPP sont des médicaments très largement prescrits, essentiellement pour le reflux gastro-œsophagien et ses complications, l’œsophagite, l’ulcère peptique gastroduodénal qu’il soit dû à la prise d’anti-inflammatoires ou à une infection à Helicobacter pylori ou la dyspepsie. Ils soulagent efficacement les patients de leurs plaintes : brûlant (pyrosis), régurgitation, douleur thoracique, toux, dyspnée (bronchospasme), raucité, douleur épigastrique, nausées sans parler des complications (anémie, perforation digestive, cancérisation dans le cas d’un œsophage de Barrett) (1). Les patients sont souvent opposés à l’arrêt du traitement par IPP car un rebond d’acidité gastrique source d’inconfort survient lors de l’arrêt de l’inhibition de la sécrétion acide gastrique pendant une à deux semaines voire plus. Outre le coût économique qu’entraîne la prescription au long cours de ces médicaments, il faut tenir compte des effets indésirables (essentiellement troubles digestifs et céphalées) et des interactions médicamenteuses qu’ils engendrent (2). Toutes ces raisons ont conduit une équipe canadienne à faire une synthèse méthodique sur la réduction (arrêt ou passage à la demande) d’un traitement chronique par IPP dans le cadre de la Cochrane Collaboration. |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2165 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=86499 |
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