Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Mai 2020
Paru le : 01/05/2020 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierBursite de la patte d'oie / Pierre Le Hir in Kinésithérapie scientifique, 620 (Mai 2020)
[article]
Titre : Bursite de la patte d'oie Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Le Hir, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 55 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bursite Résumé : La bursite de la patte d’oie est l’inflammation de la bourse de glissement entre les 3 tendons de la patte d’oie (fig. 1). Elle est d’origine mécanique et favorisée par la pratique sportive. Elle est également associée aux pathologies dégénératives ou inflammatoires du genou (arthrose fémoro-tibiale, arthrite rhumatismale, microcristalline ou infectieuse), au diabète et au surpoids. Elle entraîne des douleurs médiales et antérieures un peu en dessous de l’interligne fémoro-tibial interne avec une tuméfaction clinique douloureuse à la palpation.
L’imagerie n’est pas indispensable dans les cas typiques mais devient nécessaire si les douleurs persistent malgré le traitement et notamment la suppression des facteurs favorisants.
L’échographie est l’examen de référence pour le diagnostic positif. L’IRM permettra au mieux d’éliminer les diagnostics différentiels ou les pathologies associées.
Le traitement de première intention est lié à l’étiologie : repos et adaptation de la pratique en cas d’origine sportive, traitement de l’arthrose. En cas de résistance au traitement médical, on peut proposer une infiltration sous contrôle échographique.
Dans le cas présenté, la difficulté est liée à la présence de calcifications qui sont en rapport avec l’ancienneté de la bursite qui favorise une métaplasie synoviale, avec un aspect proche d’une ostéochondromatose synoviale qui peut aussi intéresser les bourses de glissement.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86104
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 55[article] Bursite de la patte d'oie [texte imprimé] / Pierre Le Hir, Auteur . - 2020 . - p. 55.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 55
Mots-clés : Bursite Résumé : La bursite de la patte d’oie est l’inflammation de la bourse de glissement entre les 3 tendons de la patte d’oie (fig. 1). Elle est d’origine mécanique et favorisée par la pratique sportive. Elle est également associée aux pathologies dégénératives ou inflammatoires du genou (arthrose fémoro-tibiale, arthrite rhumatismale, microcristalline ou infectieuse), au diabète et au surpoids. Elle entraîne des douleurs médiales et antérieures un peu en dessous de l’interligne fémoro-tibial interne avec une tuméfaction clinique douloureuse à la palpation.
L’imagerie n’est pas indispensable dans les cas typiques mais devient nécessaire si les douleurs persistent malgré le traitement et notamment la suppression des facteurs favorisants.
L’échographie est l’examen de référence pour le diagnostic positif. L’IRM permettra au mieux d’éliminer les diagnostics différentiels ou les pathologies associées.
Le traitement de première intention est lié à l’étiologie : repos et adaptation de la pratique en cas d’origine sportive, traitement de l’arthrose. En cas de résistance au traitement médical, on peut proposer une infiltration sous contrôle échographique.
Dans le cas présenté, la difficulté est liée à la présence de calcifications qui sont en rapport avec l’ancienneté de la bursite qui favorise une métaplasie synoviale, avec un aspect proche d’une ostéochondromatose synoviale qui peut aussi intéresser les bourses de glissement.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86104 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtCOVID-19 Quel rôle pour la kinésithérapie ? / Mathieu Delorme in Kinésithérapie scientifique, 620 (Mai 2020)
[article]
Titre : COVID-19 Quel rôle pour la kinésithérapie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Delorme, Auteur ; Marius Lebret, Auteur ; Bertrand Selleron, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 41-47 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pandémies COVID-19 Résumé : La pandémie de COVID-19 bouleverse le système sanitaire mondial. En France, nous avons été amenés à fermer nos cabinets et réduire au strict minimum nos interventions aux patients chez qui l’arrêt aurait représenté une perte de chance. Désormais, il nous faut anticiper des interventions croissantes auprès de patients COVID sortis d’hospitalisation, tout en restant vigilants à un redémarrage de l’épidémie [1]. Cet article fait le point sur les connaissances et les recommandations disponibles au moment de sa rédaction Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86105
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 41-47[article] COVID-19 Quel rôle pour la kinésithérapie ? [texte imprimé] / Mathieu Delorme, Auteur ; Marius Lebret, Auteur ; Bertrand Selleron, Auteur . - 2020 . - p. 41-47.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 41-47
Mots-clés : Pandémies COVID-19 Résumé : La pandémie de COVID-19 bouleverse le système sanitaire mondial. En France, nous avons été amenés à fermer nos cabinets et réduire au strict minimum nos interventions aux patients chez qui l’arrêt aurait représenté une perte de chance. Désormais, il nous faut anticiper des interventions croissantes auprès de patients COVID sortis d’hospitalisation, tout en restant vigilants à un redémarrage de l’épidémie [1]. Cet article fait le point sur les connaissances et les recommandations disponibles au moment de sa rédaction Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86105 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtEffets du changement de direction anticipé et non-anticipé sur le valgus dynamique du genou chez des joueurs de handball / Ludovic Mulle in Kinésithérapie scientifique, 620 (Mai 2020)
[article]
Titre : Effets du changement de direction anticipé et non-anticipé sur le valgus dynamique du genou chez des joueurs de handball Type de document : texte imprimé Auteurs : Ludovic Mulle, Auteur ; Brice Picot, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 5-13 Langues : Français (fre) Mots-clés : HANDBALL Genou Résumé : L’évolution de la pratique sportive tend aujourd’hui à majorer le nombre de traumatismes. La pratique spécifique du handball est responsable de nombreuses blessures [1]. Lors des Jeux Olympiques de Londres en 2012, il était le sport présentant le taux de blessures le plus important [2]. La majorité (i.e 36-55 %) de celles-ci se situent au niveau des membres inférieurs et les blessures au genou représentent à elles seules 7 % [3] à 29 % [4]. Un ratio moins important que les blessures de cheville mais avec une incidence et une sévérité plus grande.La blessure ligamentaire la plus importante du genou est celle de la rupture du ligament croisé antérieur (LCA), qui dans au moins 80 % des cas se produit dans une action sans contact direct avec un adversaire ou un équipier [6, 7] dans le cadre d’une réception de saut ou lors d’un changement de direction [8]. Le changement de direction représente à lui seul plus de 50 % des mécanismes de blessures du LCA lors de la pratique sportive. Les pratiquants de sports de pivots comme le handball sont les plus exposés à ce type de blessure.Lors de la pratique du handball, les changements de direction et les duels représentent près de cinquante actions par match [9]. Ces actions se réalisent après réception de balle, or des études qui se sont penchées sur l’analyse des changements de direction ont montré que la cinématique de tout le corps peut influer sur la stabilité articulaire du genou pendant le changement de direction chez des sujets sains [10-14]. Ces actions réalisées face au défenseur demandent une réponse d’adaptation à l’attaquant qui doit alors réaliser un changement de direction non anticipé pour gagner son duel. Or, plusieurs études ont indiqué que des sujets sains effectuant un changement de direction non-anticipé démontraient une modification significative de la biomécanique du genou dans les 3 plans. Cette altération pouvant augmenter les risques de lésion du LCA par rapport à un changement de direction anticipé [15].
L’analyse 3D a permis de montrer que l’augmentation du valgus dynamique apparaissait comme l’une des principales causes responsables de la rupture du LCA dans le cadre d’une réception de saut.Cowley et al. [18] ont également montré que l’augmentation du valgus était plus importante lors d’un changement de direction que lors de la réception d’un saut vertical. Cette analyse du valgus dynamique se présente alors comme un critère important dans l’étude de la stabilité articulaire du genou lors d’un changement de direction.
À ce jour, plusieurs moyens sont utilisés pour évaluer cette stabilité articulaire. L’analyse vidéo et la modélisation en 3D semblent être les plus fiables mais Mizner et al. [19] ont démontré que l’analyse vidéo 2D, via l’évaluation du Frontal Plane Projection Angle (FPPA) était suffisante pour analyser le valgus dynamique dans le plan frontal. Cette mesure se définit par l’angle formé entre l’épine iliaque antéro-supérieure (EIAS), le milieu de l’articulation fémoro-tibiale et le milieu de l’articulation talo-crurale [20].Étant donné la nature imprévisible des situations de jeu au handball, il semble nécessaire pour les joueurs d’avoir la même capacité de changement de direction sur les deux membres inférieurs. Une asymétrie dans le contrôle du genou pourrait alors être un facteur de risque supplémentaire de blessures du LCA. C’est pourquoi plusieurs études ont commencé à explorer l’effet de la dominance des membres inférieurs sur la biomécanique des changements de directions [21] ; cependant, les résultats diffèrent et ne permettent pas d’établir un consensus sur l’existence d’une asymétrie entre les deux membres inférieurs.
Dans un premier temps, l’objectif de ce travail consiste à évaluer l’effet direct de stimuli extérieurs sur la modification du valgus dynamique du genou lors d’une course avec changements de direction dans le cadre de la pratique du handball. Dans un second temps, nous avons comparé la cinématique du membre inférieur dominant et du non dominant dans cette action spécifique.Nous émettons l’hypothèse que le valgus dynamique du genou est augmenté lors de l’ajout de stimuli extérieurs et donc lors de situation non anticipée. De plus, nous faisons l’hypothèse qu’il n’existe pas de différence significative entre le membre dominant et non dominant lors des différentes situations.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86106
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 5-13[article] Effets du changement de direction anticipé et non-anticipé sur le valgus dynamique du genou chez des joueurs de handball [texte imprimé] / Ludovic Mulle, Auteur ; Brice Picot, Auteur . - 2020 . - p. 5-13.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 5-13
Mots-clés : HANDBALL Genou Résumé : L’évolution de la pratique sportive tend aujourd’hui à majorer le nombre de traumatismes. La pratique spécifique du handball est responsable de nombreuses blessures [1]. Lors des Jeux Olympiques de Londres en 2012, il était le sport présentant le taux de blessures le plus important [2]. La majorité (i.e 36-55 %) de celles-ci se situent au niveau des membres inférieurs et les blessures au genou représentent à elles seules 7 % [3] à 29 % [4]. Un ratio moins important que les blessures de cheville mais avec une incidence et une sévérité plus grande.La blessure ligamentaire la plus importante du genou est celle de la rupture du ligament croisé antérieur (LCA), qui dans au moins 80 % des cas se produit dans une action sans contact direct avec un adversaire ou un équipier [6, 7] dans le cadre d’une réception de saut ou lors d’un changement de direction [8]. Le changement de direction représente à lui seul plus de 50 % des mécanismes de blessures du LCA lors de la pratique sportive. Les pratiquants de sports de pivots comme le handball sont les plus exposés à ce type de blessure.Lors de la pratique du handball, les changements de direction et les duels représentent près de cinquante actions par match [9]. Ces actions se réalisent après réception de balle, or des études qui se sont penchées sur l’analyse des changements de direction ont montré que la cinématique de tout le corps peut influer sur la stabilité articulaire du genou pendant le changement de direction chez des sujets sains [10-14]. Ces actions réalisées face au défenseur demandent une réponse d’adaptation à l’attaquant qui doit alors réaliser un changement de direction non anticipé pour gagner son duel. Or, plusieurs études ont indiqué que des sujets sains effectuant un changement de direction non-anticipé démontraient une modification significative de la biomécanique du genou dans les 3 plans. Cette altération pouvant augmenter les risques de lésion du LCA par rapport à un changement de direction anticipé [15].
L’analyse 3D a permis de montrer que l’augmentation du valgus dynamique apparaissait comme l’une des principales causes responsables de la rupture du LCA dans le cadre d’une réception de saut.Cowley et al. [18] ont également montré que l’augmentation du valgus était plus importante lors d’un changement de direction que lors de la réception d’un saut vertical. Cette analyse du valgus dynamique se présente alors comme un critère important dans l’étude de la stabilité articulaire du genou lors d’un changement de direction.
À ce jour, plusieurs moyens sont utilisés pour évaluer cette stabilité articulaire. L’analyse vidéo et la modélisation en 3D semblent être les plus fiables mais Mizner et al. [19] ont démontré que l’analyse vidéo 2D, via l’évaluation du Frontal Plane Projection Angle (FPPA) était suffisante pour analyser le valgus dynamique dans le plan frontal. Cette mesure se définit par l’angle formé entre l’épine iliaque antéro-supérieure (EIAS), le milieu de l’articulation fémoro-tibiale et le milieu de l’articulation talo-crurale [20].Étant donné la nature imprévisible des situations de jeu au handball, il semble nécessaire pour les joueurs d’avoir la même capacité de changement de direction sur les deux membres inférieurs. Une asymétrie dans le contrôle du genou pourrait alors être un facteur de risque supplémentaire de blessures du LCA. C’est pourquoi plusieurs études ont commencé à explorer l’effet de la dominance des membres inférieurs sur la biomécanique des changements de directions [21] ; cependant, les résultats diffèrent et ne permettent pas d’établir un consensus sur l’existence d’une asymétrie entre les deux membres inférieurs.
Dans un premier temps, l’objectif de ce travail consiste à évaluer l’effet direct de stimuli extérieurs sur la modification du valgus dynamique du genou lors d’une course avec changements de direction dans le cadre de la pratique du handball. Dans un second temps, nous avons comparé la cinématique du membre inférieur dominant et du non dominant dans cette action spécifique.Nous émettons l’hypothèse que le valgus dynamique du genou est augmenté lors de l’ajout de stimuli extérieurs et donc lors de situation non anticipée. De plus, nous faisons l’hypothèse qu’il n’existe pas de différence significative entre le membre dominant et non dominant lors des différentes situations.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86106 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉtude pilote dite observationnelle sur l'analyse de la masso-kinésithérapie chez les patients atteints du syndrome du canal carpien léger ou modéré / Julien Gueneau in Kinésithérapie scientifique, 620 (Mai 2020)
[article]
Titre : Étude pilote dite observationnelle sur l'analyse de la masso-kinésithérapie chez les patients atteints du syndrome du canal carpien léger ou modéré Type de document : texte imprimé Auteurs : Julien Gueneau, Auteur ; Claude Santos, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 29-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome du canal carpien Résumé : Le syndrome du canal carpien (SCC) est un sujet courant dans notre société, il toucherait environ entre 3 à 10 % de la population générale. Il est défini comme une neuropathie périphérique faisant partie des syndromes canalaires dont il est le plus fréquent. Celui-ci regroupe différents symptômes tels que des douleurs dans le membre supérieur atteint, des fourmillements, une perte de force de la pince, voire de la poigne. Les signes seront majoritairement localisés au niveau de la main par la compression distale du nerf médian. Elle est souvent déterminée par un rapport trop étroit entre le contenu correspondant aux 9 tendons fléchisseurs et le contenant représenté par les os du carpe et le rétinaculum des fléchisseurs . La population cible est constituée principalement par des femmes ayant une cinquantaine d’années qui réalisent un mouvement répété dans leur quotidien. Le plus commun est celui d’un travail sur ordinateur. Ce phénomène s’explique par l’augmentation de la pression dans le canal qui passera de 3 à 5 mmHg en position neutre à une valeur avoisinant les 30 mmHg lors du positionnement sur le clavier.Cette altération contenant/contenu diminuera le débit sanguin qui aura pour conséquence une augmentation de la stase veineuse. Ce phénomène augmentera la vulnérabilité du nerf dans ses composantes physiologiques et mécaniques (glissement et extensibilité).Au quotidien, nous avons besoin de l’ensemble des caractéristiques du nerf pour réaliser les différents mouvements où l’ensemble des structures sont sollicitées. Si le nerf devient vulnérable, des lésions seront possibles. Ces atteintes seront d’abord centralisées au niveau des cellules de Schwann diminuant la vitesse de conduction dans les stades légers, voire modérés (perte de sensibilité), puis au niveau de l’axone pour les stades dits plus sévères (perte de sensibilité avec perte de force). D’un point de vue clinique général, une phase inflammatoire sera signalée par le patient via des douleurs nocturnes, une hyperthermie [5].Pour traiter ce syndrome, il existe différents soins selon le stade de gravité, déterminé par le neurologue grâce à l’exploitation des données de l’électroneuromyogramme (ENMG) ou par l’utilisation de tests clinique (Phalen, Tinel...) .Selon la vitesse de conduction du nerf et le temps de latence de l’information, un degré de gravité sera évoqué. Pour un stade dit léger, voire modéré un traitement conservateur est désigné en première intention selon la Haute Autorité de Santé (HAS) se basant sur la revue de Cochrane en 2012 [2]. Ce traitement est représenté par l’injection de corticoïdes, l’attelle et la kinésithérapie. Si les deux premiers sont montrés comme efficaces à court terme dans cette revue, le dernier semble plus controversé.
Pourtant, le traitement kinésithérapique pourrait s’avérer avantageux pour les patients. Il reste non invasif, contrairement à la chirurgie, évitant certaines complications après opération (environ 10 % des opérés [4]). Cette pratique s’inscrit au coeur du plan de santé en rendant acteur le patient de ses soins par la mise en place d’une éducation thérapeutique. Ce concept de responsabiliser le patient est de plus en plus recherché par les thérapeutes, les organismes de la santé et les patients sur leur droit à l’information [7].
Un point supplémentaire, sur le plan économique, le passage vers la kinésithérapie pourrait améliorer la gestion des dépenses de santé si elle s’avère efficace en première intention. En effet, elle éviterait le coût de l’acte chirurgical qui prend en compte l’intervention, la journée d’hospitalisation, les soins infirmiers voire les soins kinésithérapiques post-intervention.
Ces atouts ont apporté des perspectives d’études supplémentaires, après la synthèse dans la revue de Cochrane publié en 2012 [2]. L’impact de la kinésithérapie manuelle a été étudié chez les personnes atteintes d’un SCC d’origine idiopathique.
Il en ressort qu’un gain de force de la pince de 17 % a été relevé dans l’étude de Günay et Alp publiée en 2015 [8]. Le protocole était constitué exclusivement de mobilisations articulaires. L’étude de Fernandez-de-las-Penas et al. en 2017 [9] par un traitement plus global composé de massages, de mobilisations du poignet et des cervicales apporte un gain de la force de pince (25 %). Son protocole avec une évaluation jusqu’à 12 mois amène une vision intéressante sur les moyen et long termes.
L’étude de Wolny et al. en 2017 [10], a montré l’impact par l’utilisation de la neurodynamique sliding et tensioning dans l’impact de la douleur de manière significative par rapport à la physiothérapie. Nous pouvons voir que le traitement est riche en techniques qui peuvent être administrées les unes avec les autres.
Cette globalité est représentative de nos séances. En effet, lors d’une séance en kinésithérapie, nous n’utilisons pas une seule, mais une multitude de techniques afin d’essayer de potentialiser le résultat. C’est dans cette optique qu’un protocole a été créé en reprenant les idées de ces 3 études. L’objectif est de montrer si l’association de différentes techniques manuelles kinésithérapiques peut-elle être une solution de choix en première intention chez les patients atteints d’un syndrome du SCC léger, voire modéré ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86109
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 29-33[article] Étude pilote dite observationnelle sur l'analyse de la masso-kinésithérapie chez les patients atteints du syndrome du canal carpien léger ou modéré [texte imprimé] / Julien Gueneau, Auteur ; Claude Santos, Auteur . - 2020 . - p. 29-33.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 29-33
Mots-clés : Syndrome du canal carpien Résumé : Le syndrome du canal carpien (SCC) est un sujet courant dans notre société, il toucherait environ entre 3 à 10 % de la population générale. Il est défini comme une neuropathie périphérique faisant partie des syndromes canalaires dont il est le plus fréquent. Celui-ci regroupe différents symptômes tels que des douleurs dans le membre supérieur atteint, des fourmillements, une perte de force de la pince, voire de la poigne. Les signes seront majoritairement localisés au niveau de la main par la compression distale du nerf médian. Elle est souvent déterminée par un rapport trop étroit entre le contenu correspondant aux 9 tendons fléchisseurs et le contenant représenté par les os du carpe et le rétinaculum des fléchisseurs . La population cible est constituée principalement par des femmes ayant une cinquantaine d’années qui réalisent un mouvement répété dans leur quotidien. Le plus commun est celui d’un travail sur ordinateur. Ce phénomène s’explique par l’augmentation de la pression dans le canal qui passera de 3 à 5 mmHg en position neutre à une valeur avoisinant les 30 mmHg lors du positionnement sur le clavier.Cette altération contenant/contenu diminuera le débit sanguin qui aura pour conséquence une augmentation de la stase veineuse. Ce phénomène augmentera la vulnérabilité du nerf dans ses composantes physiologiques et mécaniques (glissement et extensibilité).Au quotidien, nous avons besoin de l’ensemble des caractéristiques du nerf pour réaliser les différents mouvements où l’ensemble des structures sont sollicitées. Si le nerf devient vulnérable, des lésions seront possibles. Ces atteintes seront d’abord centralisées au niveau des cellules de Schwann diminuant la vitesse de conduction dans les stades légers, voire modérés (perte de sensibilité), puis au niveau de l’axone pour les stades dits plus sévères (perte de sensibilité avec perte de force). D’un point de vue clinique général, une phase inflammatoire sera signalée par le patient via des douleurs nocturnes, une hyperthermie [5].Pour traiter ce syndrome, il existe différents soins selon le stade de gravité, déterminé par le neurologue grâce à l’exploitation des données de l’électroneuromyogramme (ENMG) ou par l’utilisation de tests clinique (Phalen, Tinel...) .Selon la vitesse de conduction du nerf et le temps de latence de l’information, un degré de gravité sera évoqué. Pour un stade dit léger, voire modéré un traitement conservateur est désigné en première intention selon la Haute Autorité de Santé (HAS) se basant sur la revue de Cochrane en 2012 [2]. Ce traitement est représenté par l’injection de corticoïdes, l’attelle et la kinésithérapie. Si les deux premiers sont montrés comme efficaces à court terme dans cette revue, le dernier semble plus controversé.
Pourtant, le traitement kinésithérapique pourrait s’avérer avantageux pour les patients. Il reste non invasif, contrairement à la chirurgie, évitant certaines complications après opération (environ 10 % des opérés [4]). Cette pratique s’inscrit au coeur du plan de santé en rendant acteur le patient de ses soins par la mise en place d’une éducation thérapeutique. Ce concept de responsabiliser le patient est de plus en plus recherché par les thérapeutes, les organismes de la santé et les patients sur leur droit à l’information [7].
Un point supplémentaire, sur le plan économique, le passage vers la kinésithérapie pourrait améliorer la gestion des dépenses de santé si elle s’avère efficace en première intention. En effet, elle éviterait le coût de l’acte chirurgical qui prend en compte l’intervention, la journée d’hospitalisation, les soins infirmiers voire les soins kinésithérapiques post-intervention.
Ces atouts ont apporté des perspectives d’études supplémentaires, après la synthèse dans la revue de Cochrane publié en 2012 [2]. L’impact de la kinésithérapie manuelle a été étudié chez les personnes atteintes d’un SCC d’origine idiopathique.
Il en ressort qu’un gain de force de la pince de 17 % a été relevé dans l’étude de Günay et Alp publiée en 2015 [8]. Le protocole était constitué exclusivement de mobilisations articulaires. L’étude de Fernandez-de-las-Penas et al. en 2017 [9] par un traitement plus global composé de massages, de mobilisations du poignet et des cervicales apporte un gain de la force de pince (25 %). Son protocole avec une évaluation jusqu’à 12 mois amène une vision intéressante sur les moyen et long termes.
L’étude de Wolny et al. en 2017 [10], a montré l’impact par l’utilisation de la neurodynamique sliding et tensioning dans l’impact de la douleur de manière significative par rapport à la physiothérapie. Nous pouvons voir que le traitement est riche en techniques qui peuvent être administrées les unes avec les autres.
Cette globalité est représentative de nos séances. En effet, lors d’une séance en kinésithérapie, nous n’utilisons pas une seule, mais une multitude de techniques afin d’essayer de potentialiser le résultat. C’est dans cette optique qu’un protocole a été créé en reprenant les idées de ces 3 études. L’objectif est de montrer si l’association de différentes techniques manuelles kinésithérapiques peut-elle être une solution de choix en première intention chez les patients atteints d’un syndrome du SCC léger, voire modéré ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86109 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa micro-instabilité de hanche : un nouveau concept qui fait son chemin (2ème partie) / Frédéric Laude in Kinésithérapie scientifique, 620 (Mai 2020)
[article]
Titre : La micro-instabilité de hanche : un nouveau concept qui fait son chemin (2ème partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Laude, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 15-18 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hanche Instabilité articulaire Résumé : TRAITEMENT
Comme toujours, dans la plupart des problèmes orthopédiques chroniques, on envisage une solution chirurgicale que si un traitement conservateur rigoureux a trouvé ses limites. Il faut donc améliorer la stabilité de la hanche en modifiant les activités régulières ou sportives, renforcer la musculature périarticulaire tout en travaillant la proprioception. Si le traitement conservateur n’apporte pas une amélioration adéquate et durable, la solution chirurgicale se discute. Le chirurgien a la possibilité d’agir à 2 niveaux : soit au niveau des parties molles, soit au niveau osseux. La chirurgie des parties molles se déroule maintenant de manière quasi exclusive sous arthroscopie. Cette chirurgie se déroule en 3 temps. Dans ces hanches, la mise en traction de l’articulation va confirmer l’instabilité articulaire. Il s’agit de hanches très faciles à distracter. Il n’est pas rare de pouvoir pénétrer dans le compartiment central sans même avoir besoin de mettre de la traction. Le simple fait d’être anesthésié ouvre l’articulation, ce qui est tout à fait anormal dans une hanche. Il faut d’abord faire un bilan complet des dégâts articulaires, puis réparer ou reconstruire le labrum. On a vu que le labrum jouait environ pour 20 % dans la stabilité articulaire et c’est aussi la zone richement innervée. Il est indispensable de vérifier l’état du cartilage. À part des perforations de Pridie ou des microfractures ,nous n’avons pas vraiment de solution très efficace sur le cotyle. Les petites lésions isolées sur la tête du fémur répondent en revanche très bien à la technique de la Mosaic plasty . On retrouve très fréquemment une bande antéro-externe de cartilage chondromalacique qui est à l’origine du claquement dont se plaignent de nombreux patients. On ne peut hélas pas faire grand-chose sur ce cartilage, mais en refixant le labrum et en diminuant l’instabilité on améliore presque toujours le problème. Si le labrum est réparable, on peut le refixer après une légère acétabuloplastie au niveau de la paroi cotyloïdienne.Certains auteurs proposent de le reconstruire en utilisant soit une bandelette de fascia lata, un ischio-jambier ou une allogreffe; La tête fémorale est inspectée et il est fréquent de retrouver une petite came ou un manque d’offset associé. On va donc recréer à la fraise un sillon antérieur. On vérifie qu’il n’existe pas de conflit en flexion, rotations interne et externe. Le ligament rond est facilement examiné. Il suffit de mettre de la rotation externe. On peut l’exciser si besoin, même si certains auteurs proposent de le reconstruire. Le dernier temps est la plastie capsulaire qui cherche à retendre la capsule comme dans l’intervention de Bankart dans les épaules. Plusieurs techniques ont été décrites mais il est indiscutable que cela fonctionne assez bien dans les instabilités où la composante osseuse n’est pas trop importante. Les patients sont placés en décharge partielle un mois, mais surtout on va leur demander de ne pas trop étendre la hanche. Personnellement, je leur impose une grosse talonnette 35 jours du côté opéré pour favoriser la cicatrisation. Sur ces hanches, ne pas réparer la capsule est devenu un non-sens. Il a été décrit des luxations postopératoires récidivantes ! Si la composante osseuse prédomine, il va falloir envisager des ostéotomies correctrices. Au niveau du fémur, 2 interventions peuvent se pratiquer : la correction d’une coxa valga et les ostéotomies de dérotation en cas d’hyperantéversion sévère du col fémoral. Ce sont des interventions rares, car elles n’ont pas très bonne réputation, les suites sont longues même si depuis une dizaine d’années, nous avons mis au point une technique mini invasive qui diminue par 2 les suites opératoires avec une rançon cicatricielle minime. Le geste osseux est le plus souvent pratiqué au niveau du cotyle. 2 interventions peuvent être envisagées : la classique butée de hanche qui n’a plus du tout le vent en poupe, car ses résultats sont très aléatoires, et on ne peut pas l’associer à un geste intra-articulaire.La deuxième décrite par Rheinhold Ganz et Jeff Mast dans les années 1980 est devenu le gold standard dans toutes les publications internationales. C’est une intervention très puissante, car on peut ouvrir sans souci l’articulation, réparer un labrum par exemple puis corriger l’anatomie complète au niveau du cotyle. On peut agir sur toutes les malpositions du cotyle ; antéversion, défaut de l'ouverture latéral, rétroversion. Depuis une dizaine d’années, on sait la faire de manière mini-invasive avec des résultats tout à fait spectaculaires et une cicatrice presque invisible de moins de 7 centimètres dans le pli de l’aine
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in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 15-18[article] La micro-instabilité de hanche : un nouveau concept qui fait son chemin (2ème partie) [texte imprimé] / Frédéric Laude, Auteur . - 2020 . - p. 15-18.
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in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 15-18
Mots-clés : Hanche Instabilité articulaire Résumé : TRAITEMENT
Comme toujours, dans la plupart des problèmes orthopédiques chroniques, on envisage une solution chirurgicale que si un traitement conservateur rigoureux a trouvé ses limites. Il faut donc améliorer la stabilité de la hanche en modifiant les activités régulières ou sportives, renforcer la musculature périarticulaire tout en travaillant la proprioception. Si le traitement conservateur n’apporte pas une amélioration adéquate et durable, la solution chirurgicale se discute. Le chirurgien a la possibilité d’agir à 2 niveaux : soit au niveau des parties molles, soit au niveau osseux. La chirurgie des parties molles se déroule maintenant de manière quasi exclusive sous arthroscopie. Cette chirurgie se déroule en 3 temps. Dans ces hanches, la mise en traction de l’articulation va confirmer l’instabilité articulaire. Il s’agit de hanches très faciles à distracter. Il n’est pas rare de pouvoir pénétrer dans le compartiment central sans même avoir besoin de mettre de la traction. Le simple fait d’être anesthésié ouvre l’articulation, ce qui est tout à fait anormal dans une hanche. Il faut d’abord faire un bilan complet des dégâts articulaires, puis réparer ou reconstruire le labrum. On a vu que le labrum jouait environ pour 20 % dans la stabilité articulaire et c’est aussi la zone richement innervée. Il est indispensable de vérifier l’état du cartilage. À part des perforations de Pridie ou des microfractures ,nous n’avons pas vraiment de solution très efficace sur le cotyle. Les petites lésions isolées sur la tête du fémur répondent en revanche très bien à la technique de la Mosaic plasty . On retrouve très fréquemment une bande antéro-externe de cartilage chondromalacique qui est à l’origine du claquement dont se plaignent de nombreux patients. On ne peut hélas pas faire grand-chose sur ce cartilage, mais en refixant le labrum et en diminuant l’instabilité on améliore presque toujours le problème. Si le labrum est réparable, on peut le refixer après une légère acétabuloplastie au niveau de la paroi cotyloïdienne.Certains auteurs proposent de le reconstruire en utilisant soit une bandelette de fascia lata, un ischio-jambier ou une allogreffe; La tête fémorale est inspectée et il est fréquent de retrouver une petite came ou un manque d’offset associé. On va donc recréer à la fraise un sillon antérieur. On vérifie qu’il n’existe pas de conflit en flexion, rotations interne et externe. Le ligament rond est facilement examiné. Il suffit de mettre de la rotation externe. On peut l’exciser si besoin, même si certains auteurs proposent de le reconstruire. Le dernier temps est la plastie capsulaire qui cherche à retendre la capsule comme dans l’intervention de Bankart dans les épaules. Plusieurs techniques ont été décrites mais il est indiscutable que cela fonctionne assez bien dans les instabilités où la composante osseuse n’est pas trop importante. Les patients sont placés en décharge partielle un mois, mais surtout on va leur demander de ne pas trop étendre la hanche. Personnellement, je leur impose une grosse talonnette 35 jours du côté opéré pour favoriser la cicatrisation. Sur ces hanches, ne pas réparer la capsule est devenu un non-sens. Il a été décrit des luxations postopératoires récidivantes ! Si la composante osseuse prédomine, il va falloir envisager des ostéotomies correctrices. Au niveau du fémur, 2 interventions peuvent se pratiquer : la correction d’une coxa valga et les ostéotomies de dérotation en cas d’hyperantéversion sévère du col fémoral. Ce sont des interventions rares, car elles n’ont pas très bonne réputation, les suites sont longues même si depuis une dizaine d’années, nous avons mis au point une technique mini invasive qui diminue par 2 les suites opératoires avec une rançon cicatricielle minime. Le geste osseux est le plus souvent pratiqué au niveau du cotyle. 2 interventions peuvent être envisagées : la classique butée de hanche qui n’a plus du tout le vent en poupe, car ses résultats sont très aléatoires, et on ne peut pas l’associer à un geste intra-articulaire.La deuxième décrite par Rheinhold Ganz et Jeff Mast dans les années 1980 est devenu le gold standard dans toutes les publications internationales. C’est une intervention très puissante, car on peut ouvrir sans souci l’articulation, réparer un labrum par exemple puis corriger l’anatomie complète au niveau du cotyle. On peut agir sur toutes les malpositions du cotyle ; antéversion, défaut de l'ouverture latéral, rétroversion. Depuis une dizaine d’années, on sait la faire de manière mini-invasive avec des résultats tout à fait spectaculaires et une cicatrice presque invisible de moins de 7 centimètres dans le pli de l’aine
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Exclu du prêtLes polyneuromyopathies de réanimation post-COVID : à quoi sommes-nous confrontés ? / Aude Quesnot in Kinésithérapie scientifique, 620 (Mai 2020)
[article]
Titre : Les polyneuromyopathies de réanimation post-COVID : à quoi sommes-nous confrontés ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Aude Quesnot, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 1 Langues : Français (fre) Mots-clés : POLYNEUROPATHIE Résumé : Les patients sortent progressivement de réanimation et les équipe de Soins de Suite et de Rééducation et les services de Médecine Physique et de Réadaptation sont prêts à les accueillir. Ces patients, après leur séjour en réanimation, présentent une fonte musculaire de non utilisation, voire des limitations orthopédiques. En dehors de ces éléments, les complications classiques des séjours prolongés en réanimation sont les polyneuromyopathies acquises en réanimation (PNMAR). La myopathie et la polyneuropathie de réanimation sont délétères et retardent la récupération du patient et la reprise de son autonomie et de ses activités.Le tableau clinique présenté par ces patients lourds correspond à une tétraplégie ou tétraparésie flasque aréflexique avec ou sans troubles sensitifs (tab. I). L’atteinte neuromusculaire concerne également les muscles respiratoires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86114
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 1[article] Les polyneuromyopathies de réanimation post-COVID : à quoi sommes-nous confrontés ? [texte imprimé] / Aude Quesnot, Auteur . - 2020 . - p. 1.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 1
Mots-clés : POLYNEUROPATHIE Résumé : Les patients sortent progressivement de réanimation et les équipe de Soins de Suite et de Rééducation et les services de Médecine Physique et de Réadaptation sont prêts à les accueillir. Ces patients, après leur séjour en réanimation, présentent une fonte musculaire de non utilisation, voire des limitations orthopédiques. En dehors de ces éléments, les complications classiques des séjours prolongés en réanimation sont les polyneuromyopathies acquises en réanimation (PNMAR). La myopathie et la polyneuropathie de réanimation sont délétères et retardent la récupération du patient et la reprise de son autonomie et de ses activités.Le tableau clinique présenté par ces patients lourds correspond à une tétraplégie ou tétraparésie flasque aréflexique avec ou sans troubles sensitifs (tab. I). L’atteinte neuromusculaire concerne également les muscles respiratoires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86114 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtProposition d'un protocole en 4 étapes de rééducation des tendinopathies d'Achille / Agathe BRUN in Kinésithérapie scientifique, 620 (Mai 2020)
[article]
Titre : Proposition d'un protocole en 4 étapes de rééducation des tendinopathies d'Achille Type de document : texte imprimé Auteurs : Agathe BRUN, Auteur ; Justine Delplanque, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tendinopathie Tendon calcanéen Résumé : Une douleur tendineuse peut apparaître chez l'adulte de tout âge, aussi bien chez les sportifs que les personnes sédentaires. Les douleurs tendineuses sont localisées et ne se diffusent pas, même sous l’effet d’une forte contrainte [1].
Le comportement de la douleur sur 24 heures informe sur les contraintes et les excès de contraintes. Ainsi, une douleur peut être inexistante lors de la pratique d’un exercice intensif et, en revanche, se manifester le jour suivant.
Le tendon d’Achille est capable de supporter des contraintes très importantes ce qui fait de lui le tendon le plus résistant du corps humain. Cependant, tout comme les tendons rotuliens, ischio-jambiers et fessiers, il fait parti des tendons les plus fréquemment affectés chez les personnes actives [2].
Une raideur matinale est un signe typique d’une tendinopathie d’Achille [1]. Il est important de différencier au niveau de ce tendon :
– les tendinopathies dans la région corporéale : dues à un excès de contraintes tensiles (excès de stockage et restitution d’énergie provoqués lors de sollicitations pliométriques) ;
– les tendinopathies d’insertion dues à un excès de contraintes compressives. Dans ce cas, il est conseillé de ne pas étirer le tendon et de porter des talons de quelques centimètres pour éviter la flexion dorsale [3].
Le tendon, même en phase aiguë, ne doit pas être mis au repos car l’application d’une charge est essentielle pour augmenter la tolérance du tissu.
Il n’existe pas de traitement magique qui guérit tous les tendons mais voici un exemple de programme, en 4 étapes, de prise en charge de ces tendinopathies. Ce protocole s’appuie sur les travaux de Jill Cook et ses collaborateurs. Il a pour but la diminution de la douleur et la restauration fonctionnelle du tendon en s’appuyant sur une remise en contrainte progressivePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86116
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020)[article] Proposition d'un protocole en 4 étapes de rééducation des tendinopathies d'Achille [texte imprimé] / Agathe BRUN, Auteur ; Justine Delplanque, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020)
Mots-clés : Tendinopathie Tendon calcanéen Résumé : Une douleur tendineuse peut apparaître chez l'adulte de tout âge, aussi bien chez les sportifs que les personnes sédentaires. Les douleurs tendineuses sont localisées et ne se diffusent pas, même sous l’effet d’une forte contrainte [1].
Le comportement de la douleur sur 24 heures informe sur les contraintes et les excès de contraintes. Ainsi, une douleur peut être inexistante lors de la pratique d’un exercice intensif et, en revanche, se manifester le jour suivant.
Le tendon d’Achille est capable de supporter des contraintes très importantes ce qui fait de lui le tendon le plus résistant du corps humain. Cependant, tout comme les tendons rotuliens, ischio-jambiers et fessiers, il fait parti des tendons les plus fréquemment affectés chez les personnes actives [2].
Une raideur matinale est un signe typique d’une tendinopathie d’Achille [1]. Il est important de différencier au niveau de ce tendon :
– les tendinopathies dans la région corporéale : dues à un excès de contraintes tensiles (excès de stockage et restitution d’énergie provoqués lors de sollicitations pliométriques) ;
– les tendinopathies d’insertion dues à un excès de contraintes compressives. Dans ce cas, il est conseillé de ne pas étirer le tendon et de porter des talons de quelques centimètres pour éviter la flexion dorsale [3].
Le tendon, même en phase aiguë, ne doit pas être mis au repos car l’application d’une charge est essentielle pour augmenter la tolérance du tissu.
Il n’existe pas de traitement magique qui guérit tous les tendons mais voici un exemple de programme, en 4 étapes, de prise en charge de ces tendinopathies. Ce protocole s’appuie sur les travaux de Jill Cook et ses collaborateurs. Il a pour but la diminution de la douleur et la restauration fonctionnelle du tendon en s’appuyant sur une remise en contrainte progressivePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86116 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtThérapie manuelle Efficacité de la puncture kinésithérapique Dry Needling (DN) / Pathologie (2e partie) / Pascal Pommerol in Kinésithérapie scientifique, 620 (Mai 2020)
[article]
Titre : Thérapie manuelle Efficacité de la puncture kinésithérapique Dry Needling (DN) / Pathologie (2e partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Pommerol, Auteur ; Julien Catherine, Auteur ; Pierrick Jung, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 49-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épaule Cervicalgie Acupuncture Résumé : Épaule, cervicalgie et puncture
En 2013, cette revue systématique et méta-analyse [12] a recherché les études comparant le Dry Needling (DN) à un placebo, à l’absence de traitement ou à d’autres traitements à court et/ou moyen terme dans le traitement de la partie supérieure de l’appareil musculo-squelettique.
Sur les 246 articles sélectionnés, 12 études contrôlées randomisées ont été retenues. 3 études comparant le DN au placebo ou à l’absence de traitement mettent en évidence un effet antalgique immédiat ou à court terme (un mois) du DN.
La comparaison avec les autres traitements dans les autres études donne des résultats franchement plus hétérogènes, mais il y a des preuves issues de 2 études sur l’avantage des infiltrations de lidocaïne dans le traitement des points gâchettes, comparativement au DN à 4 semaines après le traitement.
Des kinésithérapeutes universitaires belges [13] considèrent que des effets cliniques variés ont pu être mis au crédit du DN mais que les preuves rigoureuses à propos de ses mécanismes physiologiques potentiels et ses effets thérapeutiques sont encore faibles.
En 2015, Liu et al. (16) publient une méta-analyse à partir d’une revue de littérature sur des études cliniques à propos de patients ayant des douleurs d’épaule et/ou en cervical.
Vingt études contrôlées randomisées cumulant 839 patients ont été rassemblées pour méta-analyse. Les résultats sont :
– comparativement à un groupe placebo et/ou contrôle, cette pratique semble plus efficace sur le court et moyen termes (premier mois) et peut être recommandée ;
– le Wet Needling sur le moyen terme (lidocaïne en sous-cutanée) est plus efficace.
Les autres thérapies (comme la kinésithérapie avec technique d’étirements notamment) sont d’une efficacité supérieure au Dry Needling pour le traitement des points gâchettes sur le moyen terme.
En 2015, il existe un nouvel essai clinique sur l’épaule par Arias et al. [15] non pris en compte dans les précédentes revues. Vingt patients (5 hommes ; 15 femmes ; âge, 58 ± 12 ans) avec des douleurs postopératoires à l'épaule après chirurgie ont été divisés au hasard en 2 groupes : le groupe de physiothérapie (n = 10) et un groupe de thérapie physique Plus Groupe TRP-DN (n = 10) qui ont reçu la même intervention, plus une seule session de puncture sur les points sensibles actifs.
Le score de Constant-Murley a été utilisé pour déterminer la douleur, les activités de la vie quotidienne, l'amplitude des mouvements et la force ont été comparées entre avant le traitement et une semaine après par un évaluateur en aveugle. Les auteurs concluent que l'inclusion d'une seule session de puncture dans la première semaine associée à de la kinésithérapie peut aider à une hausse plus rapide de la fonction chez les personnes souffrant de douleurs à l'épaule en postopératoire.
Ces mêmes auteurs [16] publient en 2017 une étude clinique comparative (n = 50) pour des patients ayant une douleur sous-acromiale avec un groupe d’exercice et un groupe exercice et puncture. L'inclusion de 2 séances TrP-DN avec un programme d'exercice s'est avérée efficace pour améliorer l'incapacité dans le syndrome de douleur sous-acromiale à une semaine et 3, 6 et 12 mois après la fin du traitement mais aucune amélioration plus importante de la douleur à l'épaule n'a été observée dans le groupe avec DNPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86117
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 49-52[article] Thérapie manuelle Efficacité de la puncture kinésithérapique Dry Needling (DN) / Pathologie (2e partie) [texte imprimé] / Pascal Pommerol, Auteur ; Julien Catherine, Auteur ; Pierrick Jung, Auteur . - 2020 . - p. 49-52.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 49-52
Mots-clés : Épaule Cervicalgie Acupuncture Résumé : Épaule, cervicalgie et puncture
En 2013, cette revue systématique et méta-analyse [12] a recherché les études comparant le Dry Needling (DN) à un placebo, à l’absence de traitement ou à d’autres traitements à court et/ou moyen terme dans le traitement de la partie supérieure de l’appareil musculo-squelettique.
Sur les 246 articles sélectionnés, 12 études contrôlées randomisées ont été retenues. 3 études comparant le DN au placebo ou à l’absence de traitement mettent en évidence un effet antalgique immédiat ou à court terme (un mois) du DN.
La comparaison avec les autres traitements dans les autres études donne des résultats franchement plus hétérogènes, mais il y a des preuves issues de 2 études sur l’avantage des infiltrations de lidocaïne dans le traitement des points gâchettes, comparativement au DN à 4 semaines après le traitement.
Des kinésithérapeutes universitaires belges [13] considèrent que des effets cliniques variés ont pu être mis au crédit du DN mais que les preuves rigoureuses à propos de ses mécanismes physiologiques potentiels et ses effets thérapeutiques sont encore faibles.
En 2015, Liu et al. (16) publient une méta-analyse à partir d’une revue de littérature sur des études cliniques à propos de patients ayant des douleurs d’épaule et/ou en cervical.
Vingt études contrôlées randomisées cumulant 839 patients ont été rassemblées pour méta-analyse. Les résultats sont :
– comparativement à un groupe placebo et/ou contrôle, cette pratique semble plus efficace sur le court et moyen termes (premier mois) et peut être recommandée ;
– le Wet Needling sur le moyen terme (lidocaïne en sous-cutanée) est plus efficace.
Les autres thérapies (comme la kinésithérapie avec technique d’étirements notamment) sont d’une efficacité supérieure au Dry Needling pour le traitement des points gâchettes sur le moyen terme.
En 2015, il existe un nouvel essai clinique sur l’épaule par Arias et al. [15] non pris en compte dans les précédentes revues. Vingt patients (5 hommes ; 15 femmes ; âge, 58 ± 12 ans) avec des douleurs postopératoires à l'épaule après chirurgie ont été divisés au hasard en 2 groupes : le groupe de physiothérapie (n = 10) et un groupe de thérapie physique Plus Groupe TRP-DN (n = 10) qui ont reçu la même intervention, plus une seule session de puncture sur les points sensibles actifs.
Le score de Constant-Murley a été utilisé pour déterminer la douleur, les activités de la vie quotidienne, l'amplitude des mouvements et la force ont été comparées entre avant le traitement et une semaine après par un évaluateur en aveugle. Les auteurs concluent que l'inclusion d'une seule session de puncture dans la première semaine associée à de la kinésithérapie peut aider à une hausse plus rapide de la fonction chez les personnes souffrant de douleurs à l'épaule en postopératoire.
Ces mêmes auteurs [16] publient en 2017 une étude clinique comparative (n = 50) pour des patients ayant une douleur sous-acromiale avec un groupe d’exercice et un groupe exercice et puncture. L'inclusion de 2 séances TrP-DN avec un programme d'exercice s'est avérée efficace pour améliorer l'incapacité dans le syndrome de douleur sous-acromiale à une semaine et 3, 6 et 12 mois après la fin du traitement mais aucune amélioration plus importante de la douleur à l'épaule n'a été observée dans le groupe avec DNPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86117 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtTroubles de l'humeur Quels liens entre risque de dépression et alimentation ? / Martine Garnier in Kinésithérapie scientifique, 620 (Mai 2020)
[article]
Titre : Troubles de l'humeur Quels liens entre risque de dépression et alimentation ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Martine Garnier, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 53 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble du comportement alimentaire troubles alimentaires Résumé : Les troubles de l’humeur, dont la dépression, sont fréquemment associés à des troubles du comportement alimentaire. Ce peut être des excès avec compulsion, boulimie, appétit augmenté, ou à l’inverse la baisse des apports par inappétence, voire anorexie. Une alimentation équilibrée vient compléter le traitement médical.
L’alimentation peut aider à lutter contre la dépression en apportant au cerveau les nutriments nécessaires à son fonctionnement optimal. La dépression toucherait plus de 350 millions de personnes, soit près de 5 % de la population mondiale. Elle serait la première cause d’incapacité dans le monde, affectant plus de femmes que d’hommes.
Pour booster son humeur, il est recommandé d’avoir une alimentation équilibrée et variée, suffisamment riche en protéines, particulièrement en certains acides aminés, en magnésium, en acides gras Oméga 3, en vitamines (B9 ou acide folique, C, D).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86118
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 53[article] Troubles de l'humeur Quels liens entre risque de dépression et alimentation ? [texte imprimé] / Martine Garnier, Auteur . - 2020 . - p. 53.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 53
Mots-clés : Trouble du comportement alimentaire troubles alimentaires Résumé : Les troubles de l’humeur, dont la dépression, sont fréquemment associés à des troubles du comportement alimentaire. Ce peut être des excès avec compulsion, boulimie, appétit augmenté, ou à l’inverse la baisse des apports par inappétence, voire anorexie. Une alimentation équilibrée vient compléter le traitement médical.
L’alimentation peut aider à lutter contre la dépression en apportant au cerveau les nutriments nécessaires à son fonctionnement optimal. La dépression toucherait plus de 350 millions de personnes, soit près de 5 % de la population mondiale. Elle serait la première cause d’incapacité dans le monde, affectant plus de femmes que d’hommes.
Pour booster son humeur, il est recommandé d’avoir une alimentation équilibrée et variée, suffisamment riche en protéines, particulièrement en certains acides aminés, en magnésium, en acides gras Oméga 3, en vitamines (B9 ou acide folique, C, D).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86118 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtUN CAS À PART : la cervicalgie d'une chanteuse lyrique / Antoine Clouseau in Kinésithérapie scientifique, 620 (Mai 2020)
[article]
Titre : UN CAS À PART : la cervicalgie d'une chanteuse lyrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine Clouseau, Auteur ; Cyprien Guillot, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 19-27 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cervicalgie Chant Résumé : Dans notre pratique quotidienne, nous nous trouvons devant une multitude de patients différents, diverses pathologies, avec pour chaque groupe des sous-groupes de patients tout aussi différents. Jusque-là rien de bien nouveau, ni de spécifique à notre profession de praticien de la santé. Cependant, il nous est récemment arrivé de voir passer sur notre table de soin un cas tout à fait particulier de cervicalgie.
La cervicalgie est fréquente en soin ambulatoire dans un cabinet de kinésithérapie [1], puisque « environ 2/3 de la population est concernée au cours sa vie par un épisode douloureux entraînant une raideur locale. » [2]. La prise en charge est codifiée avec un grand nombre d’articles dans les revues de presse nationales comme internationales [3-9] mais aussi avec des recommandations de bonnes pratiques de la Haute Autorité de Santé publiées en 2003 [2], lesquelles ont été rééditées plusieurs fois. Même si ces recommandations sont très utiles dans la majorité des cas, il s'avère parfois que leur seule application ne peut suffire face à des manifestations cliniques peu communes ou atypiques qui amène le praticien à pousser sa réflexion en mêlant habilement savoirs, savoirs-faire et pragmatisme. C’est l’objet du cas clinique exposé ci-après.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86120
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 19-27[article] UN CAS À PART : la cervicalgie d'une chanteuse lyrique [texte imprimé] / Antoine Clouseau, Auteur ; Cyprien Guillot, Auteur . - 2020 . - p. 19-27.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 19-27
Mots-clés : Cervicalgie Chant Résumé : Dans notre pratique quotidienne, nous nous trouvons devant une multitude de patients différents, diverses pathologies, avec pour chaque groupe des sous-groupes de patients tout aussi différents. Jusque-là rien de bien nouveau, ni de spécifique à notre profession de praticien de la santé. Cependant, il nous est récemment arrivé de voir passer sur notre table de soin un cas tout à fait particulier de cervicalgie.
La cervicalgie est fréquente en soin ambulatoire dans un cabinet de kinésithérapie [1], puisque « environ 2/3 de la population est concernée au cours sa vie par un épisode douloureux entraînant une raideur locale. » [2]. La prise en charge est codifiée avec un grand nombre d’articles dans les revues de presse nationales comme internationales [3-9] mais aussi avec des recommandations de bonnes pratiques de la Haute Autorité de Santé publiées en 2003 [2], lesquelles ont été rééditées plusieurs fois. Même si ces recommandations sont très utiles dans la majorité des cas, il s'avère parfois que leur seule application ne peut suffire face à des manifestations cliniques peu communes ou atypiques qui amène le praticien à pousser sa réflexion en mêlant habilement savoirs, savoirs-faire et pragmatisme. C’est l’objet du cas clinique exposé ci-après.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86120 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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