Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Mars 2020
Paru le : 01/03/2020 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierANATOMIE L'articulation gléno-humérale / Pierre Métais in Kinésithérapie scientifique, 618 (Mars 2020)
[article]
Titre : ANATOMIE L'articulation gléno-humérale Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Métais ; François Sirveaux ; Daniel Molé Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 29-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Articulation glénohumérale Arthroscopie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84297
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p. 29-33[article] ANATOMIE L'articulation gléno-humérale [texte imprimé] / Pierre Métais ; François Sirveaux ; Daniel Molé . - 2020 . - p. 29-33.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p. 29-33
Mots-clés : Articulation glénohumérale Arthroscopie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84297 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDiagnostic du syndrome scapulo-costal / Pascal Pommerol in Kinésithérapie scientifique, 618 (Mars 2020)
[article]
Titre : Diagnostic du syndrome scapulo-costal Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Pommerol Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 39-41 Langues : Français (fre) Mots-clés : thérapie manuelle Résumé : Selon Michèle et al. [1], le syndrome scapulo costal serait responsable de nombreuses cervico-brachialgies. Ce syndrome est caractérisé cliniquement par une symptomatologie variable comprenant cervicalgie, céphalée hémicrânienne fréquente, brachialgie cubitale irradiant souvent jusqu’aux 4ème et 5ème doigts, dorsalgie haute et précordialgie (fig. 1) [2].
Ce syndrome serait attribuable à un défaut progressif de la posture produisant une tension indue sur les aponévroses pré et post vertébrales et sur les structures adjacentes. Cette tension, particulièrement sur le muscle angulaire de l’omoplate, initialement réversible, fait suite à une bascule des épaules vers l’avant.
Progressivement, s’installe un spasme musculaire plus permanent, responsable d’un étirement téno-périosté de l’insertion de ce muscle au pourtour de l’angle supéro-médial de l’omoplate [1, 2]. Ce type de ténopathie d’insertion est fréquemment source de brachialgie ulnaire [3].
Le muscle petit dentelé postéro-supérieur (pdps), lui aussi, peut être responsable de brachialgie. En effet, la contracture du pdps produit des douleurs dans le territoire du nerf ulnaire et dans les branches C8-D1 mais on ne décrit pas de compression de ce muscle. Le muscle élévateur de la scapula est proche du plexus puisqu’il est juste en arrière des scalènes (fig. 1). Il va de l’angle supéro-médial de l’omoplate au 4 premières cervicales sur les apophyses transversesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84298
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p. 39-41[article] Diagnostic du syndrome scapulo-costal [texte imprimé] / Pascal Pommerol . - 2020 . - p. 39-41.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p. 39-41
Mots-clés : thérapie manuelle Résumé : Selon Michèle et al. [1], le syndrome scapulo costal serait responsable de nombreuses cervico-brachialgies. Ce syndrome est caractérisé cliniquement par une symptomatologie variable comprenant cervicalgie, céphalée hémicrânienne fréquente, brachialgie cubitale irradiant souvent jusqu’aux 4ème et 5ème doigts, dorsalgie haute et précordialgie (fig. 1) [2].
Ce syndrome serait attribuable à un défaut progressif de la posture produisant une tension indue sur les aponévroses pré et post vertébrales et sur les structures adjacentes. Cette tension, particulièrement sur le muscle angulaire de l’omoplate, initialement réversible, fait suite à une bascule des épaules vers l’avant.
Progressivement, s’installe un spasme musculaire plus permanent, responsable d’un étirement téno-périosté de l’insertion de ce muscle au pourtour de l’angle supéro-médial de l’omoplate [1, 2]. Ce type de ténopathie d’insertion est fréquemment source de brachialgie ulnaire [3].
Le muscle petit dentelé postéro-supérieur (pdps), lui aussi, peut être responsable de brachialgie. En effet, la contracture du pdps produit des douleurs dans le territoire du nerf ulnaire et dans les branches C8-D1 mais on ne décrit pas de compression de ce muscle. Le muscle élévateur de la scapula est proche du plexus puisqu’il est juste en arrière des scalènes (fig. 1). Il va de l’angle supéro-médial de l’omoplate au 4 premières cervicales sur les apophyses transversesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84298 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtÉtudier la santé du musicien L'utilisation de questionnaires / Céleste Rousseau in Kinésithérapie scientifique, 618 (Mars 2020)
[article]
Titre : Étudier la santé du musicien L'utilisation de questionnaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Céleste Rousseau, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.47-50 Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleurs musicien troubles musculo-squelettiques Résumé : Les troubles musculo-squelettiques liés à l’exécution musicale (TMEM) touchent énormément de musiciens durant leur carrière, affectant parfois même leur pratique instrumentale. Ces troubles sont définis comme tout/toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué. » [1].
De nombreux facteurs de risques ont été décrits dans la littérature sur différentes populations de musiciens, étudiants ou professionnels, musiciens d’orchestre ou jazzmen, amateurs, etc. Des revues systématiques ont pu identifier parmi eux les facteurs de risques qui prédisposent le plus aux TMEM comme [2, 3] :
– l’anxiété de performance ;
– le stress ;
– l’instrument joué (et plus particulièrement le violon) ;
– le sexe (les femmes semblant être plus touchées que les hommes) ;
– jouer longtemps sans prendre de pause ;
– le manque d’expérience du jeu ;
– avoir des antécédents de TMEM.
Cependant, le nombre de ces facteurs de risque est très minime par rapport à ceux qui ont été exposés dans plusieurs études épidémiologiques. Malheureusement, la variété de méthodes (outils utilisés, définition des TMEM, population) choisie de ces études rend très difficile l’élaboration d’une véritable liste de facteurs de risque de développement des TMEM chez le musicien.Parmi les facteurs de risque qui n’ont pas encore été suffisamment et rigoureusement questionnés, on retrouve ceux décrits par Chan et Ackermann [5] dans leur revue narrativPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84299
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p.47-50[article] Étudier la santé du musicien L'utilisation de questionnaires [texte imprimé] / Céleste Rousseau, Auteur . - 2020 . - p.47-50.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p.47-50
Mots-clés : Douleurs musicien troubles musculo-squelettiques Résumé : Les troubles musculo-squelettiques liés à l’exécution musicale (TMEM) touchent énormément de musiciens durant leur carrière, affectant parfois même leur pratique instrumentale. Ces troubles sont définis comme tout/toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué. » [1].
De nombreux facteurs de risques ont été décrits dans la littérature sur différentes populations de musiciens, étudiants ou professionnels, musiciens d’orchestre ou jazzmen, amateurs, etc. Des revues systématiques ont pu identifier parmi eux les facteurs de risques qui prédisposent le plus aux TMEM comme [2, 3] :
– l’anxiété de performance ;
– le stress ;
– l’instrument joué (et plus particulièrement le violon) ;
– le sexe (les femmes semblant être plus touchées que les hommes) ;
– jouer longtemps sans prendre de pause ;
– le manque d’expérience du jeu ;
– avoir des antécédents de TMEM.
Cependant, le nombre de ces facteurs de risque est très minime par rapport à ceux qui ont été exposés dans plusieurs études épidémiologiques. Malheureusement, la variété de méthodes (outils utilisés, définition des TMEM, population) choisie de ces études rend très difficile l’élaboration d’une véritable liste de facteurs de risque de développement des TMEM chez le musicien.Parmi les facteurs de risque qui n’ont pas encore été suffisamment et rigoureusement questionnés, on retrouve ceux décrits par Chan et Ackermann [5] dans leur revue narrativPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84299 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtL'INTERVENTION EN PRÉVENTION DES TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES La légitimité du kinésithérapeute préventeur en Santé au travail / Laurence Lestra in Kinésithérapie scientifique, 618 (Mars 2020)
[article]
Titre : L'INTERVENTION EN PRÉVENTION DES TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES La légitimité du kinésithérapeute préventeur en Santé au travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Lestra ; Denis Brules ; Céline Sanchez Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Kinésithérapeutes appareil musculo-squelettique Maladies ostéomusculaires Santé au travail Résumé : Les kinésithérapeutes sont sollicités pour intervenir en entreprise depuis de nombreuses années, d’abord en prévention des rachialgies, puis des troubles musculo-squelettiques. Il y a une trentaine d’années, armés de leurs connaissances du corps humain et de la qualité du geste, d’un zeste de bon sens et d’enthousiasme mais aussi peut-être de naïveté, voire d’inconscience, nos confrères et consœurs précurseurs en la matière créaient la place des kinésithérapeutes en Santé au travail. Les modèles utilisés ont bien entendu évolué au fil du temps ! En cause, les modifications du contexte socio-économique, les pressions et les exigences des tutelles et des autres intervenants, mais également les connaissances en Sciences humaines en général, et en Éducation pour la santé en particulier.Nous nous proposons ici de faire le point. Quels sont les modèles d’intervention ? Quelles exigences pour les futurs intervenants kinésithérapeutes en entreprise ? Y est-il à sa place ? Quelles sont les conséquences pour le traitement des troubles musculo-squelettiques au cabinet du kinésithérapeute ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84300
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020)[article] L'INTERVENTION EN PRÉVENTION DES TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES La légitimité du kinésithérapeute préventeur en Santé au travail [texte imprimé] / Laurence Lestra ; Denis Brules ; Céline Sanchez . - 2020.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020)
Mots-clés : Kinésithérapeutes appareil musculo-squelettique Maladies ostéomusculaires Santé au travail Résumé : Les kinésithérapeutes sont sollicités pour intervenir en entreprise depuis de nombreuses années, d’abord en prévention des rachialgies, puis des troubles musculo-squelettiques. Il y a une trentaine d’années, armés de leurs connaissances du corps humain et de la qualité du geste, d’un zeste de bon sens et d’enthousiasme mais aussi peut-être de naïveté, voire d’inconscience, nos confrères et consœurs précurseurs en la matière créaient la place des kinésithérapeutes en Santé au travail. Les modèles utilisés ont bien entendu évolué au fil du temps ! En cause, les modifications du contexte socio-économique, les pressions et les exigences des tutelles et des autres intervenants, mais également les connaissances en Sciences humaines en général, et en Éducation pour la santé en particulier.Nous nous proposons ici de faire le point. Quels sont les modèles d’intervention ? Quelles exigences pour les futurs intervenants kinésithérapeutes en entreprise ? Y est-il à sa place ? Quelles sont les conséquences pour le traitement des troubles musculo-squelettiques au cabinet du kinésithérapeute ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84300 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLa fréquence cardiaque : mesure et utilisation en pratique / Bertrand Selleron in Kinésithérapie scientifique, 618 (Mars 2020)
[article]
Titre : La fréquence cardiaque : mesure et utilisation en pratique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Selleron Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 43-46 Langues : Français (fre) Mots-clés : frequence cardiaque kinésithérapie respiratoire Résumé : La fréquence cardiaque (FC) est probablement le paramètre vital à la fois le plus commun et le plus mesuré par les professionnels de santé. En kinésithérapie, elle permet d’identifier l’état de base du jour et d’adapter les efforts. Elle est en effet très variable en fonction de l’intensité d’un effort, spécifique d’une personne, mais aussi variable d’un jour à l’autre en fonction des conditions atmosphériques, de l’état de fatigue, de l’état émotionnel... À cette variabilité, s’ajoute la variété des modes d’acquisition et de surveillance de la fréquence cardiaque : de la prise du pouls radial à l’électrocardiogramme en passant par les applications des smartphones. Alors, comment s’y retrouver ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84301
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p. 43-46[article] La fréquence cardiaque : mesure et utilisation en pratique [texte imprimé] / Bertrand Selleron . - 2020 . - p. 43-46.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p. 43-46
Mots-clés : frequence cardiaque kinésithérapie respiratoire Résumé : La fréquence cardiaque (FC) est probablement le paramètre vital à la fois le plus commun et le plus mesuré par les professionnels de santé. En kinésithérapie, elle permet d’identifier l’état de base du jour et d’adapter les efforts. Elle est en effet très variable en fonction de l’intensité d’un effort, spécifique d’une personne, mais aussi variable d’un jour à l’autre en fonction des conditions atmosphériques, de l’état de fatigue, de l’état émotionnel... À cette variabilité, s’ajoute la variété des modes d’acquisition et de surveillance de la fréquence cardiaque : de la prise du pouls radial à l’électrocardiogramme en passant par les applications des smartphones. Alors, comment s’y retrouver ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84301 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLe diagnostic masso-kinésithérapique comme élément de simplexité dans la prise en charge des patients douloureux / Hélène Cullin in Kinésithérapie scientifique, 618 (Mars 2020)
[article]
Titre : Le diagnostic masso-kinésithérapique comme élément de simplexité dans la prise en charge des patients douloureux Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Cullin Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.5-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleurs neuroplasticité bilan Résumé : Selon la définition officielle de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), « la douleur est une expérience désagréable, à la fois sensorielle et émotionnelle, associée à une lésion tissulaire présente ou potentielle, ou simplement décrite dans ces termes. » [1]. La douleur reposant donc avant tout sur le ressenti du patient, cela la rend difficile à quantifier et à qualifier. De plus, elle n’est pas systématiquement liée à une lésion, une caractéristique qui complexifie encore son étude.
Le modèle biomédical qui envisage la douleur comme une sortie périphérique avec une relation de cause à effet est trop simpliste, même s’il reste valable dans le cas de douleur aiguë. Le modèle biopsychosocial (BPS) est celui qui est recommandé aujourd’hui pour envisager l’ensemble des composantes de la douleur dans une vision plus complexe, celle apportée par les neurosciences. En 1998, Louis Gifford [2] développe le modèle de l’Organisme Mature, en adéquation avec la neuromatrice de la douleur et le modèle BPS. La douleur est considérée comme une sortie résultant d’un processus complexe qui permet de répondre biologiquement à une menace potentielle des tissus et/ou de l’environnement.
Le concept de simplexité défini par Alain Berthoz [3], ingénieur et neurophysiologiste peut venir éclairer la prise en charge de la douleur avec une vision intermédiaire qui faciliterait l’action. D’après lui, « la biologie, la physiologie et les neurosciences ont établi l’existence de processus élégants, rapides, efficaces pour l’interaction du vivant avec le monde. Ces processus ne sont pas simples mais élaborent des solutions, des comportements rapides, fiables qui tiennent compte de l’expérience passée et qui anticipent sur les conséquences futures de l’action. ».Osinski, dans sa proposition contemporaine de la douleur, dit que « la douleur pourrait alors devenir une solution simplexe de l’organisme pour mobiliser la conscience afin de résoudre une situation complexe de potentiel danger pour lui. ». La conscience serait considérée comme un moment-espace d’intégration de l’ensemble des événements perçus par l’organisme. La conscience serait conçue comme un outil utile de l’organisme car elle a le pouvoir d’omettre certaines informations pour atteindre un objectif. Elle serait donc sollicitée pour sa capacité à mettre l’organisme qui l’abrite en mouvement.Pour le kinésithérapeute, le travail de simplexité avec la personne douloureuse se fait dans un premier temps au travers du diagnostic masso-kinésithérapique (DMK), et c’est une rencontre assez récente finalement puisque le DMK n’existe que depuis 1996. Gedda [5] en donne la définition suivante : « Le diagnostic kinésithérapique exprime l'autonomie gestuelle d'une personne, qui résulte de la confrontation entre ses possibilités gestuelles et ses besoins gestuels aux niveaux structurel, fonctionnel et situationnel. À partir du constat ainsi établi par le diagnostic, l'action thérapeutique investit autant le mouvement physique que ses conditions cognitives. Le cadre juridique du diagnostic kinésithérapique impose, d'une part, qu'il soit écrit et, d'autre part, qu'il investisse la globalité du patient, notamment ses caractéristiques psychologiques, sociales, économiques et culturelles. ».Le DMK est destiné à formuler une proposition simple face à une situation complexe dans le cadre de l’analyse d’une problématique inscrite dans un modèle biopsychosocial qui prend en compte l’ensemble des composantes du patient. En matière de douleur, les choses se précisent davantage chaque jour : la douleur est mieux identifiée, mieux connue, mieux écoutée, mieux catégorisée. Le diagnostic, l’évaluation de la personne douloureuse a fait d’énormes progrès et c’est l’objet de cet articlePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84302
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p.5-17[article] Le diagnostic masso-kinésithérapique comme élément de simplexité dans la prise en charge des patients douloureux [texte imprimé] / Hélène Cullin . - 2020 . - p.5-17.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p.5-17
Mots-clés : Douleurs neuroplasticité bilan Résumé : Selon la définition officielle de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), « la douleur est une expérience désagréable, à la fois sensorielle et émotionnelle, associée à une lésion tissulaire présente ou potentielle, ou simplement décrite dans ces termes. » [1]. La douleur reposant donc avant tout sur le ressenti du patient, cela la rend difficile à quantifier et à qualifier. De plus, elle n’est pas systématiquement liée à une lésion, une caractéristique qui complexifie encore son étude.
Le modèle biomédical qui envisage la douleur comme une sortie périphérique avec une relation de cause à effet est trop simpliste, même s’il reste valable dans le cas de douleur aiguë. Le modèle biopsychosocial (BPS) est celui qui est recommandé aujourd’hui pour envisager l’ensemble des composantes de la douleur dans une vision plus complexe, celle apportée par les neurosciences. En 1998, Louis Gifford [2] développe le modèle de l’Organisme Mature, en adéquation avec la neuromatrice de la douleur et le modèle BPS. La douleur est considérée comme une sortie résultant d’un processus complexe qui permet de répondre biologiquement à une menace potentielle des tissus et/ou de l’environnement.
Le concept de simplexité défini par Alain Berthoz [3], ingénieur et neurophysiologiste peut venir éclairer la prise en charge de la douleur avec une vision intermédiaire qui faciliterait l’action. D’après lui, « la biologie, la physiologie et les neurosciences ont établi l’existence de processus élégants, rapides, efficaces pour l’interaction du vivant avec le monde. Ces processus ne sont pas simples mais élaborent des solutions, des comportements rapides, fiables qui tiennent compte de l’expérience passée et qui anticipent sur les conséquences futures de l’action. ».Osinski, dans sa proposition contemporaine de la douleur, dit que « la douleur pourrait alors devenir une solution simplexe de l’organisme pour mobiliser la conscience afin de résoudre une situation complexe de potentiel danger pour lui. ». La conscience serait considérée comme un moment-espace d’intégration de l’ensemble des événements perçus par l’organisme. La conscience serait conçue comme un outil utile de l’organisme car elle a le pouvoir d’omettre certaines informations pour atteindre un objectif. Elle serait donc sollicitée pour sa capacité à mettre l’organisme qui l’abrite en mouvement.Pour le kinésithérapeute, le travail de simplexité avec la personne douloureuse se fait dans un premier temps au travers du diagnostic masso-kinésithérapique (DMK), et c’est une rencontre assez récente finalement puisque le DMK n’existe que depuis 1996. Gedda [5] en donne la définition suivante : « Le diagnostic kinésithérapique exprime l'autonomie gestuelle d'une personne, qui résulte de la confrontation entre ses possibilités gestuelles et ses besoins gestuels aux niveaux structurel, fonctionnel et situationnel. À partir du constat ainsi établi par le diagnostic, l'action thérapeutique investit autant le mouvement physique que ses conditions cognitives. Le cadre juridique du diagnostic kinésithérapique impose, d'une part, qu'il soit écrit et, d'autre part, qu'il investisse la globalité du patient, notamment ses caractéristiques psychologiques, sociales, économiques et culturelles. ».Le DMK est destiné à formuler une proposition simple face à une situation complexe dans le cadre de l’analyse d’une problématique inscrite dans un modèle biopsychosocial qui prend en compte l’ensemble des composantes du patient. En matière de douleur, les choses se précisent davantage chaque jour : la douleur est mieux identifiée, mieux connue, mieux écoutée, mieux catégorisée. Le diagnostic, l’évaluation de la personne douloureuse a fait d’énormes progrès et c’est l’objet de cet articlePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84302 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes injections Livret d'information à l'attention des patients de chirurgie et médecine esthétique / Isabelle Breton in Kinésithérapie scientifique, 618 (Mars 2020)
[article]
Titre : Les injections Livret d'information à l'attention des patients de chirurgie et médecine esthétique Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Breton ; et al., Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.51-54 Langues : Français (fre) Mots-clés : soins esthétiques Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84303
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p.51-54[article] Les injections Livret d'information à l'attention des patients de chirurgie et médecine esthétique [texte imprimé] / Isabelle Breton ; et al., Auteur . - 2020 . - p.51-54.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p.51-54
Mots-clés : soins esthétiques Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84303 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPlace de l'aromathérapie en kinésithérapie du sport / Franck Lagniaux in Kinésithérapie scientifique, 618 (Mars 2020)
[article]
Titre : Place de l'aromathérapie en kinésithérapie du sport Type de document : texte imprimé Auteurs : Franck Lagniaux, Auteur ; Patrick Dorie, Auteur ; Michel Faucon, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 35-37 Langues : Français (fre) Mots-clés : Aromathérapie sportif Kinésithérapie (spécialité) Résumé : Parmi les différents types d’interventions en kinésithérapie du sport, l’aromathérapie prend de plus en plus une place spécifique. Ces actions, même si elles sont sous-tendues par de plus en plus de publications prouvant leur efficacité, gardent encore l’image d’une thérapie proche du placebo.On retrouve souvent les expressions « si on y croit », « effet placebo », « sans danger », « pas besoin de vraiment s’y connaître », etc. Pourtant, c’est bien au contraire une solide formation tant théorique que pratique qu’il convient d’adopter afin de pouvoir optimiser l’efficacité de ces substances aromatiques naturelles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84304
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p. 35-37[article] Place de l'aromathérapie en kinésithérapie du sport [texte imprimé] / Franck Lagniaux, Auteur ; Patrick Dorie, Auteur ; Michel Faucon, Auteur . - 2020 . - p. 35-37.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p. 35-37
Mots-clés : Aromathérapie sportif Kinésithérapie (spécialité) Résumé : Parmi les différents types d’interventions en kinésithérapie du sport, l’aromathérapie prend de plus en plus une place spécifique. Ces actions, même si elles sont sous-tendues par de plus en plus de publications prouvant leur efficacité, gardent encore l’image d’une thérapie proche du placebo.On retrouve souvent les expressions « si on y croit », « effet placebo », « sans danger », « pas besoin de vraiment s’y connaître », etc. Pourtant, c’est bien au contraire une solide formation tant théorique que pratique qu’il convient d’adopter afin de pouvoir optimiser l’efficacité de ces substances aromatiques naturelles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84304 Exemplaires (1)
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