Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Vol.14, n°3Paru le : 01/07/2019 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierQualité de vie en rhumatologie / A.-C. Rat in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°3 (Juillet 2019)
[article]
Titre : Qualité de vie en rhumatologie Type de document : texte imprimé Auteurs : A.-C. Rat Année de publication : 2019 Article en page(s) : 14-001-C-30 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Qualité de vie Patient reported outcome questionnaires Maladies rhumatologiques Résumé : Les instruments de mesure de qualité de vie ou plus généralement les patient reported outcomes (PRO), ou résultats rapportés par le patient, apportent des informations importantes concernant l'expérience des individus atteints de maladies chroniques que les seules données fournies par l'examen clinique ne peuvent pas saisir. De nombreux instruments de qualité de vie ont été développés. Leur processus de développement est long, complexe, technique, et requiert l'implication de nombreux professionnels ou patients. L'utilisation de tels instruments nécessite de s'assurer de leur validité et de leur reproductibilité, et doit respecter le cadre dans lequel ils ont été étudiés. De nombreuses études dont l'étude Global Burden of Disease ont montré l'importance de l'impact des maladies rhumatologiques sur la qualité de vie. Celles-ci ont pour la plupart une évolution chronique et entraînent des douleurs, de la fatigue, une limitation des activités fonctionnelles et un retentissement sur les activités quotidiennes et sociales. C'est pourquoi, les instruments de mesure qui rendent compte de ces multiples aspects sont nécessaires. Les mesures de qualité de vie sont utiles dans les essais thérapeutiques et dans les études observationnelles. Leur utilisation pour le suivi individuel des patients n'est pas encore suffisamment étudiée mais pourrait apporter de nombreux avantages. Les indicateurs de qualité de vie devraient pouvoir être utilisés au même titre que les données traditionnelles cliniques, biologiques ou d'imagerie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81932
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°3 (Juillet 2019) . - 14-001-C-30 [Tome 1][article] Qualité de vie en rhumatologie [texte imprimé] / A.-C. Rat . - 2019 . - 14-001-C-30 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°3 (Juillet 2019) . - 14-001-C-30 [Tome 1]
Mots-clés : Qualité de vie Patient reported outcome questionnaires Maladies rhumatologiques Résumé : Les instruments de mesure de qualité de vie ou plus généralement les patient reported outcomes (PRO), ou résultats rapportés par le patient, apportent des informations importantes concernant l'expérience des individus atteints de maladies chroniques que les seules données fournies par l'examen clinique ne peuvent pas saisir. De nombreux instruments de qualité de vie ont été développés. Leur processus de développement est long, complexe, technique, et requiert l'implication de nombreux professionnels ou patients. L'utilisation de tels instruments nécessite de s'assurer de leur validité et de leur reproductibilité, et doit respecter le cadre dans lequel ils ont été étudiés. De nombreuses études dont l'étude Global Burden of Disease ont montré l'importance de l'impact des maladies rhumatologiques sur la qualité de vie. Celles-ci ont pour la plupart une évolution chronique et entraînent des douleurs, de la fatigue, une limitation des activités fonctionnelles et un retentissement sur les activités quotidiennes et sociales. C'est pourquoi, les instruments de mesure qui rendent compte de ces multiples aspects sont nécessaires. Les mesures de qualité de vie sont utiles dans les essais thérapeutiques et dans les études observationnelles. Leur utilisation pour le suivi individuel des patients n'est pas encore suffisamment étudiée mais pourrait apporter de nombreux avantages. Les indicateurs de qualité de vie devraient pouvoir être utilisés au même titre que les données traditionnelles cliniques, biologiques ou d'imagerie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81932 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Spondylarthrite ankylosante / P. Claudepierre in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°3 (Juillet 2019)
[article]
Titre : Spondylarthrite ankylosante Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Claudepierre ; D. Wendling Année de publication : 2019 Article en page(s) : 14-203-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Spondyloarthrite Rhumatisme inflammatoire Biomédicament Résumé : La spondylarthrite ankylosante est le chef de file des spondyloarthrites axiales. Le diagnostic doit être évoqué chez un sujet plutôt jeune devant des rachialgies d'horaire inflammatoire, des douleurs fessières, une oligoarthrite asymétrique, une ou des enthésopathies. La maladie peut s'accompagner de manifestations extrarhumatologiques (psoriasis, uvéite antérieure, maladie de Crohn, rectocolite hémorragique), le plus souvent dans le cours évolutif de la maladie, mais parfois révélatrices ou préexistantes. Le diagnostic repose sur un faisceau d'arguments comprenant la plainte initiale évocatrice à laquelle s'ajoute un ou plusieurs éléments de la sphère des spondyloarthrites, personnels ou familiaux, ainsi qu'une éventuelle réponse franche et rapide des symptômes aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Le diagnostic peut être confirmé par les éléments d'imagerie (sacro-iliite radiographique ou imagerie par résonance magnétique, syndesmophytes) ou la présence de l'human leukocyte antigen (HLA) B27. La surveillance du malade et de sa maladie se fait : sur l'évaluation de la douleur avec son caractère inflammatoire et sur le retentissement fonctionnel avec l'existence d'un certain nombre d'indices ; d'autre part, sur les éléments métrologiques (distance main-sol, indice de Schöber, ampliation thoracique) et sur l'évaluation de la réponse thérapeutique. L'information du patient quant à sa maladie et la possibilité de certaines complications, notamment ophtalmologiques, est un élément indispensable pour une surveillance efficace. Le traitement repose sur la rééducation et l'utilisation optimisée et à la demande des AINS. Les formes purement axiales réfractaires aux AINS justifient le recours aux agents anti-tumor necrosis factor alpha ou au sécukinumab (anti-interleukine 17) qui ont l'autorisation de mise sur le marché dans cette indication. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81935
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°3 (Juillet 2019) . - 14-203-A-10 [Tome 4][article] Spondylarthrite ankylosante [texte imprimé] / P. Claudepierre ; D. Wendling . - 2019 . - 14-203-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°3 (Juillet 2019) . - 14-203-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Spondyloarthrite Rhumatisme inflammatoire Biomédicament Résumé : La spondylarthrite ankylosante est le chef de file des spondyloarthrites axiales. Le diagnostic doit être évoqué chez un sujet plutôt jeune devant des rachialgies d'horaire inflammatoire, des douleurs fessières, une oligoarthrite asymétrique, une ou des enthésopathies. La maladie peut s'accompagner de manifestations extrarhumatologiques (psoriasis, uvéite antérieure, maladie de Crohn, rectocolite hémorragique), le plus souvent dans le cours évolutif de la maladie, mais parfois révélatrices ou préexistantes. Le diagnostic repose sur un faisceau d'arguments comprenant la plainte initiale évocatrice à laquelle s'ajoute un ou plusieurs éléments de la sphère des spondyloarthrites, personnels ou familiaux, ainsi qu'une éventuelle réponse franche et rapide des symptômes aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Le diagnostic peut être confirmé par les éléments d'imagerie (sacro-iliite radiographique ou imagerie par résonance magnétique, syndesmophytes) ou la présence de l'human leukocyte antigen (HLA) B27. La surveillance du malade et de sa maladie se fait : sur l'évaluation de la douleur avec son caractère inflammatoire et sur le retentissement fonctionnel avec l'existence d'un certain nombre d'indices ; d'autre part, sur les éléments métrologiques (distance main-sol, indice de Schöber, ampliation thoracique) et sur l'évaluation de la réponse thérapeutique. L'information du patient quant à sa maladie et la possibilité de certaines complications, notamment ophtalmologiques, est un élément indispensable pour une surveillance efficace. Le traitement repose sur la rééducation et l'utilisation optimisée et à la demande des AINS. Les formes purement axiales réfractaires aux AINS justifient le recours aux agents anti-tumor necrosis factor alpha ou au sécukinumab (anti-interleukine 17) qui ont l'autorisation de mise sur le marché dans cette indication. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81935 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Coxarthrose et coxopathies de l'adulte. Diagnostic et traitement / P. Dégieux in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°3 (Juillet 2019)
[article]
Titre : Coxarthrose et coxopathies de l'adulte. Diagnostic et traitement Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Dégieux ; M. Lequesne Année de publication : 2019 Article en page(s) : 14-308-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hanche Arthrose Nécrose Synoviopathies Dysplasie Dysmorphies Conflit antérieur Tendinobursite trochantérienne Résumé : Dans cet article sont décrites, non seulement les coxopathies proprement dites, mais aussi les dysmorphies osseuses, les ostéopathies et les tendinopathies qui s'expriment souvent à première vue comme une coxopathie. Un rappel sémiologique initial résume l'interrogatoire, l'examen physique, les choix d'imagerie et les outils d'évaluation de la gêne fonctionnelle. Les acquisitions récentes sont encore insuffisamment connues. Elles comportent principalement le conflit antérieur fémoroacétabulaire (CAFA) et la tendinobursite trochantérienne avec désinsertion de certains tendons glutéaux. Les erreurs de choix d'imagerie sont soulignées. On voit trop souvent des coxarthroses débutantes méconnues faute de radiographies de face et de faux profils comparatifs. L'imagerie par résonance magnétique (IRM), le scanner ou l'arthroscanner sont des recours de seconde intention, à choisir selon les hypothèses cliniques majoritaires. L'IRM ne doit pas être l'examen de première intention. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81938
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°3 (Juillet 2019) . - 14-308-A-10 [Tome 5][article] Coxarthrose et coxopathies de l'adulte. Diagnostic et traitement [texte imprimé] / P. Dégieux ; M. Lequesne . - 2019 . - 14-308-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°3 (Juillet 2019) . - 14-308-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Hanche Arthrose Nécrose Synoviopathies Dysplasie Dysmorphies Conflit antérieur Tendinobursite trochantérienne Résumé : Dans cet article sont décrites, non seulement les coxopathies proprement dites, mais aussi les dysmorphies osseuses, les ostéopathies et les tendinopathies qui s'expriment souvent à première vue comme une coxopathie. Un rappel sémiologique initial résume l'interrogatoire, l'examen physique, les choix d'imagerie et les outils d'évaluation de la gêne fonctionnelle. Les acquisitions récentes sont encore insuffisamment connues. Elles comportent principalement le conflit antérieur fémoroacétabulaire (CAFA) et la tendinobursite trochantérienne avec désinsertion de certains tendons glutéaux. Les erreurs de choix d'imagerie sont soulignées. On voit trop souvent des coxarthroses débutantes méconnues faute de radiographies de face et de faux profils comparatifs. L'imagerie par résonance magnétique (IRM), le scanner ou l'arthroscanner sont des recours de seconde intention, à choisir selon les hypothèses cliniques majoritaires. L'IRM ne doit pas être l'examen de première intention. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81938 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures et luxations récentes du rachis thoracique et lombaire de l'adulte / S. Prost in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°3 (Juillet 2019)
[article]
Titre : Fractures et luxations récentes du rachis thoracique et lombaire de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Prost ; P. Tropiano ; B. Blondel Année de publication : 2019 Article en page(s) : 15-829-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture du rachis Rachis thoracique Rachis lombaire Résumé : Les fractures du rachis thoracolombaire sont des lésions fréquentes avec des conséquences potentiellement graves, nécessitant une prise en charge rapide et adaptée. La connaissance des éléments anatomiques de stabilité rachidienne, l'analyse des mécanismes lésionnels et un bilan d'imagerie adapté sont les prérequis indispensables à la décision thérapeutique. Les différentes classifications des fractures du rachis thoracolombaire servent à déterminer les critères d'instabilité des lésions et donc leur potentiel évolutif. Ainsi, selon le type de fracture et son évolution prévisible, on peut s'orienter vers un traitement orthopédique ou au contraire vers un traitement chirurgical de la lésion. Il existe donc de multiples modalités thérapeutiques, et le point fondamental reste l'évaluation initiale de la lésion sur le plan clinique et paraclinique avec l'appréciation des atteintes ostéo-disco-ligamentaires antérieures et postérieures afin d'obtenir une analyse lésionnelle précise amenant à la prise en charge la plus adaptée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81939
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°3 (Juillet 2019) . - 15-829-A-10 [Tome 7][article] Fractures et luxations récentes du rachis thoracique et lombaire de l'adulte [texte imprimé] / S. Prost ; P. Tropiano ; B. Blondel . - 2019 . - 15-829-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°3 (Juillet 2019) . - 15-829-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Fracture du rachis Rachis thoracique Rachis lombaire Résumé : Les fractures du rachis thoracolombaire sont des lésions fréquentes avec des conséquences potentiellement graves, nécessitant une prise en charge rapide et adaptée. La connaissance des éléments anatomiques de stabilité rachidienne, l'analyse des mécanismes lésionnels et un bilan d'imagerie adapté sont les prérequis indispensables à la décision thérapeutique. Les différentes classifications des fractures du rachis thoracolombaire servent à déterminer les critères d'instabilité des lésions et donc leur potentiel évolutif. Ainsi, selon le type de fracture et son évolution prévisible, on peut s'orienter vers un traitement orthopédique ou au contraire vers un traitement chirurgical de la lésion. Il existe donc de multiples modalités thérapeutiques, et le point fondamental reste l'évaluation initiale de la lésion sur le plan clinique et paraclinique avec l'appréciation des atteintes ostéo-disco-ligamentaires antérieures et postérieures afin d'obtenir une analyse lésionnelle précise amenant à la prise en charge la plus adaptée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81939 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tumeurs du rachis et du sacrum / C. Bouthors in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°3 (Juillet 2019)
[article]
Titre : Tumeurs du rachis et du sacrum Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Bouthors ; G. Missenard ; T. Lazure ; C. Court Année de publication : 2019 Article en page(s) : 15-892-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs du rachis Tumeurs du sacrum Biopsie tumorale Réunion de concertation pluridisciplinaire Chirurgie carcinologique Résumé : Les tumeurs du rachis et du sacrum se distinguent en deux catégories principales quelle que soit la tranche d'âge. La plus fréquente correspond aux lésions secondaires qui apparaissent au cours de l'évolution des cancers métastatiques, le diagnostic est alors facile. Plus rarement, la lésion secondaire est révélatrice et pose alors le même problème diagnostique qu'une tumeur primitive. Ces lésions doivent bénéficier d'une prise en charge spécialisée proche du domicile du fait de consultations itératives. Les tumeurs primitives, qui surviennent de novo, sont quant à elles très rares et peuvent être bénignes ou malignes. La douleur est le symptôme principal auquel peut s'associer des signes neurologiques. Un bilan d'imagerie complet (radiographie, scanner, imagerie par résonance magnétique, etc.) permet de suspecter le diagnostic. À partir de ce moment, ces patients doivent être dirigés vers un centre de référence. La prise en charge doit se faire en centre spécialisé par une équipe de réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) qui établit la stratégie diagnostique et thérapeutique. La biopsie doit se faire avant tout geste invasif, en priorité par ponction radioguidée et seulement en cas d'échec par voie chirurgicale. L'examen anatomopathologique doit faire l'objet d'un consensus au sein de la RCP. Même en cas de compression médullaire, on a souvent le temps d'établir un diagnostic qui permet de commencer un éventuel traitement sans chirurgie invasive. Seule une compression médullaire aiguë impose une décompression en urgence, on doit alors réfléchir à limiter au maximum la dissémination tumorale. En l'absence de critère d'urgence, l'équipe multidisciplinaire propose une stratégie thérapeutique adaptée au diagnostic. Les modalités des traitements médicaux dépendent du type de tumeur. L'excision « en bloc » des tumeurs primitives est le traitement le plus efficace pour éviter les récidives des formes bénignes agressives et des tumeurs malignes. Il s'agit d'interventions complexes, souvent réalisées à plusieurs équipes chirurgicales en sachant qu'en cas d'échec les possibilités de rattrapage sont quasiment inexistantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81940
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°3 (Juillet 2019) . - 15-892-A-10[article] Tumeurs du rachis et du sacrum [texte imprimé] / C. Bouthors ; G. Missenard ; T. Lazure ; C. Court . - 2019 . - 15-892-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°3 (Juillet 2019) . - 15-892-A-10
Mots-clés : Tumeurs du rachis Tumeurs du sacrum Biopsie tumorale Réunion de concertation pluridisciplinaire Chirurgie carcinologique Résumé : Les tumeurs du rachis et du sacrum se distinguent en deux catégories principales quelle que soit la tranche d'âge. La plus fréquente correspond aux lésions secondaires qui apparaissent au cours de l'évolution des cancers métastatiques, le diagnostic est alors facile. Plus rarement, la lésion secondaire est révélatrice et pose alors le même problème diagnostique qu'une tumeur primitive. Ces lésions doivent bénéficier d'une prise en charge spécialisée proche du domicile du fait de consultations itératives. Les tumeurs primitives, qui surviennent de novo, sont quant à elles très rares et peuvent être bénignes ou malignes. La douleur est le symptôme principal auquel peut s'associer des signes neurologiques. Un bilan d'imagerie complet (radiographie, scanner, imagerie par résonance magnétique, etc.) permet de suspecter le diagnostic. À partir de ce moment, ces patients doivent être dirigés vers un centre de référence. La prise en charge doit se faire en centre spécialisé par une équipe de réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) qui établit la stratégie diagnostique et thérapeutique. La biopsie doit se faire avant tout geste invasif, en priorité par ponction radioguidée et seulement en cas d'échec par voie chirurgicale. L'examen anatomopathologique doit faire l'objet d'un consensus au sein de la RCP. Même en cas de compression médullaire, on a souvent le temps d'établir un diagnostic qui permet de commencer un éventuel traitement sans chirurgie invasive. Seule une compression médullaire aiguë impose une décompression en urgence, on doit alors réfléchir à limiter au maximum la dissémination tumorale. En l'absence de critère d'urgence, l'équipe multidisciplinaire propose une stratégie thérapeutique adaptée au diagnostic. Les modalités des traitements médicaux dépendent du type de tumeur. L'excision « en bloc » des tumeurs primitives est le traitement le plus efficace pour éviter les récidives des formes bénignes agressives et des tumeurs malignes. Il s'agit d'interventions complexes, souvent réalisées à plusieurs équipes chirurgicales en sachant qu'en cas d'échec les possibilités de rattrapage sont quasiment inexistantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81940 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire