Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Vol.14, n°2Paru le : 01/04/2019 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierÉlectro-neuro-myographie et potentiels évoqués dans les pathologies de l'appareil locomoteur / P. Lozeron in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Électro-neuro-myographie et potentiels évoqués dans les pathologies de l'appareil locomoteur Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Lozeron Année de publication : 2019 Article en page(s) : 14-001-R-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome canalaire Atteinte radiculaire Canal lombaire rétréci Myélopathie cervico-arthrosique Électromyogramme Électro-neuro-myogramme Potentiels évoqués Résumé : Les explorations électrophysiologiques sont un élément essentiel du bilan des pathologies de l'appareil locomoteur. Elles apportent des éléments diagnostiques, pronostiques, voire étiologiques. En particulier, l'électro-neuro-myographie (ENMG) permet de différencier une atteinte myogène d'une atteinte neurogène, de préciser la localisation des atteintes neurogènes (neurones, racines, plexus ou troncs) et de déterminer le degré de perte axonale active, de régénération axonale ou la perte en fibres. En peropératoire, l'ENMG permet de rechercher des signes précoces pour une souffrance des nerfs moteurs. Les potentiels évoqués sont particulièrement utiles pour la discrimination entre les atteintes centrales et périphériques et appréhendent mieux que l'ENMG l'exploration des racines. Sous différentes formes, les potentiels évoqués sont les explorations de choix du monitoring peropératoire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81913
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-001-R-10 [Tome 1][article] Électro-neuro-myographie et potentiels évoqués dans les pathologies de l'appareil locomoteur [texte imprimé] / P. Lozeron . - 2019 . - 14-001-R-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-001-R-10 [Tome 1]
Mots-clés : Syndrome canalaire Atteinte radiculaire Canal lombaire rétréci Myélopathie cervico-arthrosique Électromyogramme Électro-neuro-myogramme Potentiels évoqués Résumé : Les explorations électrophysiologiques sont un élément essentiel du bilan des pathologies de l'appareil locomoteur. Elles apportent des éléments diagnostiques, pronostiques, voire étiologiques. En particulier, l'électro-neuro-myographie (ENMG) permet de différencier une atteinte myogène d'une atteinte neurogène, de préciser la localisation des atteintes neurogènes (neurones, racines, plexus ou troncs) et de déterminer le degré de perte axonale active, de régénération axonale ou la perte en fibres. En peropératoire, l'ENMG permet de rechercher des signes précoces pour une souffrance des nerfs moteurs. Les potentiels évoqués sont particulièrement utiles pour la discrimination entre les atteintes centrales et périphériques et appréhendent mieux que l'ENMG l'exploration des racines. Sous différentes formes, les potentiels évoqués sont les explorations de choix du monitoring peropératoire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81913 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Luxations carpométacarpiennes / M. Soubeyrand in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Luxations carpométacarpiennes Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Soubeyrand ; T. Apard ; M. Crézé Année de publication : 2019 Article en page(s) : 14-046-D-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Luxation carpométacarpienne Luxation trapézométacarpienne Pouce Résumé : On distingue deux grands types de luxations carpométacarpiennes (CMC) : celles qui touchent les rayons des doigts longs (l'ensemble des doigts longs forme la spatule) et celles qui concernent la colonne du pouce. Ces lésions sont généralement la conséquence d'un traumatisme à haute énergie et il faut se méfier des lésions associées. La luxation peut être complète ou incomplète (subluxation). Ces lésions sont caractérisées par leur difficulté diagnostique et le risque de les méconnaître. En effet, la présentation clinique est dominée par un œdème très important tandis que les radiographies standards sont difficiles à analyser du fait de la complexité géométrique des interlignes CMC. C'est pourquoi il faut demander un examen tomodensitométrique (TDM) au moindre doute. Le traitement des formes aiguës est presque toujours chirurgical. Il associe une réduction et une fixation des rayons instables. La réduction se fait idéalement à ciel ouvert afin de s'assurer de la bonne qualité de réduction et de ne pas laisser persister une subluxation. La fixation se fait principalement par brochage transarticulaire (arthrorise) et/ou intermétacarpien selon un montage adapté à la configuration des lésions. Une arthrodèse peut être réalisée d'emblée en cas de destruction des surfaces articulaires. Le résultat fonctionnel des lésions prises en charge à temps et correctement est généralement très bon. Les luxations ou subluxations découvertes tardivement ne sont pas rares et nécessitent une prise en charge chirurgicale avec réduction et stabilisation. Au niveau de l'articulation trapézométacarpienne (ATM), qui est une articulation extrêmement mobile, il peut s'installer une instabilité chronique nécessitant une stabilisation par ligamentoplastie à condition que les surfaces articulaires restent correctes. Le risque évolutif des lésions trapézométacarpiennes est le développement d'une rhizarthrose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81915
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-046-D-10 [Tome 3][article] Luxations carpométacarpiennes [texte imprimé] / M. Soubeyrand ; T. Apard ; M. Crézé . - 2019 . - 14-046-D-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-046-D-10 [Tome 3]
Mots-clés : Luxation carpométacarpienne Luxation trapézométacarpienne Pouce Résumé : On distingue deux grands types de luxations carpométacarpiennes (CMC) : celles qui touchent les rayons des doigts longs (l'ensemble des doigts longs forme la spatule) et celles qui concernent la colonne du pouce. Ces lésions sont généralement la conséquence d'un traumatisme à haute énergie et il faut se méfier des lésions associées. La luxation peut être complète ou incomplète (subluxation). Ces lésions sont caractérisées par leur difficulté diagnostique et le risque de les méconnaître. En effet, la présentation clinique est dominée par un œdème très important tandis que les radiographies standards sont difficiles à analyser du fait de la complexité géométrique des interlignes CMC. C'est pourquoi il faut demander un examen tomodensitométrique (TDM) au moindre doute. Le traitement des formes aiguës est presque toujours chirurgical. Il associe une réduction et une fixation des rayons instables. La réduction se fait idéalement à ciel ouvert afin de s'assurer de la bonne qualité de réduction et de ne pas laisser persister une subluxation. La fixation se fait principalement par brochage transarticulaire (arthrorise) et/ou intermétacarpien selon un montage adapté à la configuration des lésions. Une arthrodèse peut être réalisée d'emblée en cas de destruction des surfaces articulaires. Le résultat fonctionnel des lésions prises en charge à temps et correctement est généralement très bon. Les luxations ou subluxations découvertes tardivement ne sont pas rares et nécessitent une prise en charge chirurgicale avec réduction et stabilisation. Au niveau de l'articulation trapézométacarpienne (ATM), qui est une articulation extrêmement mobile, il peut s'installer une instabilité chronique nécessitant une stabilisation par ligamentoplastie à condition que les surfaces articulaires restent correctes. Le risque évolutif des lésions trapézométacarpiennes est le développement d'une rhizarthrose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81915 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Membre inférieur paralytique chez l'enfant / M. Ursei in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Membre inférieur paralytique chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Ursei Année de publication : 2019 Article en page(s) : 14-301-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Paralysie cérébrale Poliomyélite Myéloméningocèle Déformations orthopédiques des membres inférieurs Résumé : L'atteinte paralytique du membre inférieur entraîne des modifications du tonus, de la force et parfois de la coordination musculaire. Elle est responsable avec la croissance de déformations ostéoarticulaires progressives, pouvant compromettre la station debout et la capacité de déambulation. En fonction de l'étiologie, les manifestations cliniques sont variables. L'examen neuro-orthopédique doit préciser les anomalies segmentaires et leurs conséquences sur le plan fonctionnel, afin de proposer la stratégie de traitement la plus adaptée à chaque situation. Les causes d'atteinte paralytique du membre inférieur sont nombreuses ; cet article traite uniquement de la poliomyélite, de la myéloméningocèle et de la paralysie cérébrale, et s'intéresse particulièrement à l'enfant, car l'expression clinique chez le jeune adulte est similaire à celle présente en fin de croissance. La pathologie neuromusculaire, tellement variable et complexe dans sa manifestation clinique et dans la prise en charge, nécessite un article à part. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81917
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-301-A-10 [Tome 5][article] Membre inférieur paralytique chez l'enfant [texte imprimé] / M. Ursei . - 2019 . - 14-301-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-301-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Paralysie cérébrale Poliomyélite Myéloméningocèle Déformations orthopédiques des membres inférieurs Résumé : L'atteinte paralytique du membre inférieur entraîne des modifications du tonus, de la force et parfois de la coordination musculaire. Elle est responsable avec la croissance de déformations ostéoarticulaires progressives, pouvant compromettre la station debout et la capacité de déambulation. En fonction de l'étiologie, les manifestations cliniques sont variables. L'examen neuro-orthopédique doit préciser les anomalies segmentaires et leurs conséquences sur le plan fonctionnel, afin de proposer la stratégie de traitement la plus adaptée à chaque situation. Les causes d'atteinte paralytique du membre inférieur sont nombreuses ; cet article traite uniquement de la poliomyélite, de la myéloméningocèle et de la paralysie cérébrale, et s'intéresse particulièrement à l'enfant, car l'expression clinique chez le jeune adulte est similaire à celle présente en fin de croissance. La pathologie neuromusculaire, tellement variable et complexe dans sa manifestation clinique et dans la prise en charge, nécessite un article à part. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81917 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pied plat valgus statique de l'adulte (y compris synostoses congénitales) / E. Toullec in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Pied plat valgus statique de l'adulte (y compris synostoses congénitales) Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Toullec Année de publication : 2019 Article en page(s) : 14-412-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Pied plat valgus Tendon tibial postérieur Spring ligament Baropodométrie Ostéotomie d'allongement du calcanéus Résumé : La diversité des pieds plats valgus nécessite une connaissance radioclinique précise des déformations qui comportent un caractère tridimensionnel associant à des degrés variables un affaissement de l'arche médiale du pied, un valgus de l'arrière-pied, une abduction et supination de l'avant-pied. La conséquence est la faillite des moyens d'amortissement du pied lors de la marche qui conduit à un défaut de propulsion souvent associé à une atteinte du tendon tibial postérieur, cause ou conséquence de la déformation. Le bilan clinique complété par des radiographies en charge cherche à connaître le siège des lésions et leur réductibilité. Si l'imagerie par résonance magnétique et l'échographie sont intéressantes pour analyser le tendon tibial postérieur et le ligament calcanéonaviculaire plantaire (ou spring ligament) dans les formes réductibles, le scanner est recommandé dans les formes fixées à la recherche d'une arthrose ou d'une synostose. Parmi les moyens thérapeutiques, les orthèses plantaires restent le traitement symptomatique de première intention même si son efficacité sur la correction des déformations est discutée. La rétraction tendineuse postérieure (triceps sural) et latérale (fibulaires) de même que le déficit d'inversion peuvent indiquer une rééducation adaptée. L'immobilisation en inversion est parfois nécessaire en cas de crise douloureuse. La chirurgie est bien codifiée dans les tendinopathies du tibial postérieur avec une déformation modérée du pied de même que dans les formes fixées avec arthrose où l'arthrodèse de l'arrière-pied est recommandée. La correction des stades avec une déformation sévère réductible peut se faire à l'aide de plusieurs procédures plus fonctionnelles en cours de validation. Enfin, le pronostic est à la tibiotarsienne dont l'atteinte arthrosique représente une réelle difficulté thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81919
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-412-A-10 [Tome 5][article] Pied plat valgus statique de l'adulte (y compris synostoses congénitales) [texte imprimé] / E. Toullec . - 2019 . - 14-412-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-412-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Pied plat valgus Tendon tibial postérieur Spring ligament Baropodométrie Ostéotomie d'allongement du calcanéus Résumé : La diversité des pieds plats valgus nécessite une connaissance radioclinique précise des déformations qui comportent un caractère tridimensionnel associant à des degrés variables un affaissement de l'arche médiale du pied, un valgus de l'arrière-pied, une abduction et supination de l'avant-pied. La conséquence est la faillite des moyens d'amortissement du pied lors de la marche qui conduit à un défaut de propulsion souvent associé à une atteinte du tendon tibial postérieur, cause ou conséquence de la déformation. Le bilan clinique complété par des radiographies en charge cherche à connaître le siège des lésions et leur réductibilité. Si l'imagerie par résonance magnétique et l'échographie sont intéressantes pour analyser le tendon tibial postérieur et le ligament calcanéonaviculaire plantaire (ou spring ligament) dans les formes réductibles, le scanner est recommandé dans les formes fixées à la recherche d'une arthrose ou d'une synostose. Parmi les moyens thérapeutiques, les orthèses plantaires restent le traitement symptomatique de première intention même si son efficacité sur la correction des déformations est discutée. La rétraction tendineuse postérieure (triceps sural) et latérale (fibulaires) de même que le déficit d'inversion peuvent indiquer une rééducation adaptée. L'immobilisation en inversion est parfois nécessaire en cas de crise douloureuse. La chirurgie est bien codifiée dans les tendinopathies du tibial postérieur avec une déformation modérée du pied de même que dans les formes fixées avec arthrose où l'arthrodèse de l'arrière-pied est recommandée. La correction des stades avec une déformation sévère réductible peut se faire à l'aide de plusieurs procédures plus fonctionnelles en cours de validation. Enfin, le pronostic est à la tibiotarsienne dont l'atteinte arthrosique représente une réelle difficulté thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81919 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Autres sarcomes osseux : fibrosarcomes, sarcomes pléomorphes indifférenciés de haut grade et léiomyosarcomes / M. Ropars in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Autres sarcomes osseux : fibrosarcomes, sarcomes pléomorphes indifférenciés de haut grade et léiomyosarcomes Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Ropars ; T. Heurtin ; G.-A. Odri Année de publication : 2019 Article en page(s) : 14-731 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fibrosarcome Histiocytofibromes malin Léiomyosarcome Sarcome osseux Histiocytome fibreux malin Résumé : À côté de l'ostéosarcome, du sarcome d'Ewing et du chondrosarcome sont décrites des lésions malignes intraosseuses beaucoup plus rares, dont font partie les fibrosarcomes intraosseux (FSO), les sarcomes osseux indifférenciés pléomorphes de haut grade (SIPHG), anciennement appelés histiocytomes fibreux malins et les léiomyosarcomes intraosseux. Ces trois sous-types tumoraux particuliers représentent à eux trois moins de 10 % des tumeurs malignes osseuses. Fibrosarcomes et SIPHG ont en commun l'absence de production osseuse ou cartilagineuse. Ces lésions ont un pronostic favorable dans environs 50 % des cas si la prise en charge est adéquate, réalisée en centre de référence, et adaptée au terrain (âge) et au grade de la tumeur. La prise en charge chirurgicale de ces trois lésions est proche de celle de l'ostéosarcome. Les léiomyosarcomes intraosseux, beaucoup moins fréquents que les léiomyosarcomes viscéraux, ont une approche thérapeutique chirurgicale et médicale sensiblement semblable à celle des SIPHG, avec une possibilité de chimiothérapie adjuvante et/ou néoadjuvante, associée à la chirurgie. Les FSO restent en revanche peu chimiosensibles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81920
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-731 [Tome 5][article] Autres sarcomes osseux : fibrosarcomes, sarcomes pléomorphes indifférenciés de haut grade et léiomyosarcomes [texte imprimé] / M. Ropars ; T. Heurtin ; G.-A. Odri . - 2019 . - 14-731 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-731 [Tome 5]
Mots-clés : Fibrosarcome Histiocytofibromes malin Léiomyosarcome Sarcome osseux Histiocytome fibreux malin Résumé : À côté de l'ostéosarcome, du sarcome d'Ewing et du chondrosarcome sont décrites des lésions malignes intraosseuses beaucoup plus rares, dont font partie les fibrosarcomes intraosseux (FSO), les sarcomes osseux indifférenciés pléomorphes de haut grade (SIPHG), anciennement appelés histiocytomes fibreux malins et les léiomyosarcomes intraosseux. Ces trois sous-types tumoraux particuliers représentent à eux trois moins de 10 % des tumeurs malignes osseuses. Fibrosarcomes et SIPHG ont en commun l'absence de production osseuse ou cartilagineuse. Ces lésions ont un pronostic favorable dans environs 50 % des cas si la prise en charge est adéquate, réalisée en centre de référence, et adaptée au terrain (âge) et au grade de la tumeur. La prise en charge chirurgicale de ces trois lésions est proche de celle de l'ostéosarcome. Les léiomyosarcomes intraosseux, beaucoup moins fréquents que les léiomyosarcomes viscéraux, ont une approche thérapeutique chirurgicale et médicale sensiblement semblable à celle des SIPHG, avec une possibilité de chimiothérapie adjuvante et/ou néoadjuvante, associée à la chirurgie. Les FSO restent en revanche peu chimiosensibles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81920 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tumeurs et dystrophies de la synoviale / V. Legré-Boyer in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Tumeurs et dystrophies de la synoviale Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Legré-Boyer ; T. Boyer Année de publication : 2019 Article en page(s) : 14-810-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs synoviales Dystrophies synoviales Synovite villonodulaire Chondromatose Hémangiome synovial Lipome arborescent Résumé : Les tumeurs et pseudotumeurs synoviales sont rares, essentiellement monoarticulaires, parfois localisées dans les gaines tendineuses ou les bourses séreuses. Leur diagnostic est difficile et retardé en raison de signes cliniques tardifs, non spécifiques et discrets, avec des radiographies longtemps normales. Il faut savoir y penser devant une monoarthropathie mécanique progressive chez un sujet jeune, surtout au genou, et demander selon les cas une imagerie par résonance magnétique (IRM) ou un arthroscanner, à compléter par une biopsie. Elles peuvent exister sous une forme localisée ou une forme diffuse, de présentation et de pronostic très différents. Les pseudotumeurs encore appelées dystrophies synoviales sont les moins rares. La plus fréquente est la chondromatose synoviale, où il existe une métaplasie de la synoviale, produisant des corps étrangers cartilagineux souvent responsables de blocages articulaires, dont le diagnostic radiologique est facile au stade ossifié d'ostéochondromatose mais requiert un arthroscanner en cas de chondromatose pure. La synovite villonodulaire est à évoquer en cas d'épanchement sérohématique chronique, et à confirmer par l'IRM qui donne un aspect souvent caractéristique. L'arthroscopie permet habituellement un diagnostic d'emblée des pseudotumeurs, confirmé par une biopsie synoviale dirigée, et effectue l'exérèse des formes localisées bénignes, source de guérison. Le potentiel destructeur local de ces pseudotumeurs articulaires appelle un diagnostic et une synovectomie précoces, si possible arthroscopique, sous peine d'arthrose secondaire et de détérioration fonctionnelle progressive amenant à un remplacement prothétique chez un sujet jeune. La synovectomie chirurgicale à ciel ouvert est souvent nécessaire dans les formes diffuses, pouvant être complétée par une synoviorthèse ou une radiothérapie. L'utilisation des biothérapies (antithyrosine-kinase, anti-tumor necrosis factor [TNF]) par voie articulaire ou générale représente un espoir récent pour les synovites villonodulaires (SVN) diffuses inextirpables. Le taux important de récidives impose un bilan d'extension initial précis et une surveillance par IRM. Les tumeurs synoviales bénignes sont l'hémangiome synovial, à suspecter en cas d'hémarthroses répétées, et le lipome arborescent dont l'aspect IRM est caractéristique. Les tumeurs synoviales malignes sont exceptionnelles, dominées par le sarcome synovial, à évoquer en présence de calcifications para-articulaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81926
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-810-A-10 [Tome 6][article] Tumeurs et dystrophies de la synoviale [texte imprimé] / V. Legré-Boyer ; T. Boyer . - 2019 . - 14-810-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-810-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Tumeurs synoviales Dystrophies synoviales Synovite villonodulaire Chondromatose Hémangiome synovial Lipome arborescent Résumé : Les tumeurs et pseudotumeurs synoviales sont rares, essentiellement monoarticulaires, parfois localisées dans les gaines tendineuses ou les bourses séreuses. Leur diagnostic est difficile et retardé en raison de signes cliniques tardifs, non spécifiques et discrets, avec des radiographies longtemps normales. Il faut savoir y penser devant une monoarthropathie mécanique progressive chez un sujet jeune, surtout au genou, et demander selon les cas une imagerie par résonance magnétique (IRM) ou un arthroscanner, à compléter par une biopsie. Elles peuvent exister sous une forme localisée ou une forme diffuse, de présentation et de pronostic très différents. Les pseudotumeurs encore appelées dystrophies synoviales sont les moins rares. La plus fréquente est la chondromatose synoviale, où il existe une métaplasie de la synoviale, produisant des corps étrangers cartilagineux souvent responsables de blocages articulaires, dont le diagnostic radiologique est facile au stade ossifié d'ostéochondromatose mais requiert un arthroscanner en cas de chondromatose pure. La synovite villonodulaire est à évoquer en cas d'épanchement sérohématique chronique, et à confirmer par l'IRM qui donne un aspect souvent caractéristique. L'arthroscopie permet habituellement un diagnostic d'emblée des pseudotumeurs, confirmé par une biopsie synoviale dirigée, et effectue l'exérèse des formes localisées bénignes, source de guérison. Le potentiel destructeur local de ces pseudotumeurs articulaires appelle un diagnostic et une synovectomie précoces, si possible arthroscopique, sous peine d'arthrose secondaire et de détérioration fonctionnelle progressive amenant à un remplacement prothétique chez un sujet jeune. La synovectomie chirurgicale à ciel ouvert est souvent nécessaire dans les formes diffuses, pouvant être complétée par une synoviorthèse ou une radiothérapie. L'utilisation des biothérapies (antithyrosine-kinase, anti-tumor necrosis factor [TNF]) par voie articulaire ou générale représente un espoir récent pour les synovites villonodulaires (SVN) diffuses inextirpables. Le taux important de récidives impose un bilan d'extension initial précis et une surveillance par IRM. Les tumeurs synoviales bénignes sont l'hémangiome synovial, à suspecter en cas d'hémarthroses répétées, et le lipome arborescent dont l'aspect IRM est caractéristique. Les tumeurs synoviales malignes sont exceptionnelles, dominées par le sarcome synovial, à évoquer en présence de calcifications para-articulaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81926 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire