Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Mars 2019 Paru le : 01/03/2019 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierComment choisir les techniques de désencombrement bronchique ? / Bertrand Selleron in Kinésithérapie scientifique, 607 (Mars 2019)
[article]
Titre : Comment choisir les techniques de désencombrement bronchique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Selleron Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 53-55 Langues : Français (fre) Mots-clés : désencombrement bronchique /Méthodes kinésithérapie respiratoire Résumé : Techniques instrumentales ou non instrumentales ?
C’est une catégorisation des techniques très utilisée, assez spontanée dans la pratique. L’utilisation ou non du matériel semble évidente à l’usage ainsi que dans la littérature scientifique où l’on retrouve notamment des revues de synthèses distinctes sur les techniques de désencombrement bronchique instrumentales non-instrumentales. Mais cette distinction ne peut conditionner finalement le choix des techniques que dans la mesure où le kinésithérapeute est apte ou non à les mettre en œuvre et qu’un niveau de preuve a pu être établi dans des indications données.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78906
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 53-55[article] Comment choisir les techniques de désencombrement bronchique ? [texte imprimé] / Bertrand Selleron . - 2019 . - p. 53-55.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 53-55
Mots-clés : désencombrement bronchique /Méthodes kinésithérapie respiratoire Résumé : Techniques instrumentales ou non instrumentales ?
C’est une catégorisation des techniques très utilisée, assez spontanée dans la pratique. L’utilisation ou non du matériel semble évidente à l’usage ainsi que dans la littérature scientifique où l’on retrouve notamment des revues de synthèses distinctes sur les techniques de désencombrement bronchique instrumentales non-instrumentales. Mais cette distinction ne peut conditionner finalement le choix des techniques que dans la mesure où le kinésithérapeute est apte ou non à les mettre en œuvre et qu’un niveau de preuve a pu être établi dans des indications données.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78906 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtDiagnostic différentiel de dysfonction entre une épicondylalgie d’origine musculaire et d’origine neurale (1ère partie) / Pascal Pommerol in Kinésithérapie scientifique, 607 (Mars 2019)
[article]
Titre : Diagnostic différentiel de dysfonction entre une épicondylalgie d’origine musculaire et d’origine neurale (1ère partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Pommerol ; Vincent Jacquemin Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 57-59 Langues : Français (fre) Mots-clés : épicondylalgie thérapie manuelle Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78916
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 57-59[article] Diagnostic différentiel de dysfonction entre une épicondylalgie d’origine musculaire et d’origine neurale (1ère partie) [texte imprimé] / Pascal Pommerol ; Vincent Jacquemin . - 2019 . - p. 57-59.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 57-59
Mots-clés : épicondylalgie thérapie manuelle Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78916 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtL'échographie : valeur diagnostique pour la détection d'une fracture osseuse / Marion Lemarinel in Kinésithérapie scientifique, 607 (Mars 2019)
[article]
Titre : L'échographie : valeur diagnostique pour la détection d'une fracture osseuse Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Lemarinel ; Anthony Demont Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 47-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIAGNOSTIC Échographie Fractures osseuses Résumé : Les fractures osseuses (des os longs, aiguës, de fatigue, etc.) sont des blessures qui surviennent lors d’accidents de la vie courante mais aussi lors d’activités sportives [1-3]. Selon les derniers rapports des centres de contrôle et de prévention des maladies relatifs aux visites en services d'urgence en 2013 aux États-Unis, les fractures représentaient plus de 3,8 millions de visites, soit environ 3 % de tous les motifs de visite [4]. Ces blessures touchent des groupes de tous les âges, de tous les sexes et de tous les catégories socioprofessionnelles. Il semble donc important de pouvoir les détecter rapidement afin d’éviter des conséquences néfastes sur le long terme sur l’appareil musculosquelettique pouvant conduire à un handicap majeur [5].La radiographie standard est considérée actuellement comme le gold standard pour détecter des lésions osseuses. Toutefois, l’évaluation bidimensionnelle des os, la disponibilité de l’examen radiographique (délai de consultation parfois long) et les radiations émises peuvent être des limites à son recours systématique en cas de suspicion de fracture.Alzen et al. [6] ont constaté que sur une population de 80 enfants, seulement 17,2 % d’entre eux soupçonnés d’avoir une fracture osseuse avaient effectivement une fracture. La fréquence élevée de résultats négatifs à la radiographie retrouvés dans des études chez des patients suspectés d’avoir une fracture à partir de leur tableau clinique montre que des outils diagnostics alternatifs seraient donc nécessaires [7].Lorsque les radiographies standard mettent en évidence une absence de fracture ou lorsqu'une évaluation plus détaillée du type de fracture est nécessaire pour la planification optimale du traitement, des techniques d’imageries avancées peuvent être nécessaires comme la tomodensitométrie et l’imagerie par résonance magnétique Toutefois, ces techniques coûtent cher, peuvent être irradiantes pour le patient et ne sont pas accessibles facilement en pratique clinique.Bien que l’échographie ne soit pas actuellement considérée comme une méthode de choix dans le diagnostic des lésions osseuses, ces dernières années plusieurs études ont cherché à évaluer la validité diagnostique de cet outil pour la détection de fractures périphériques. Ces études semblent mettre en évidence de bons, voire d’excellents résultats pour la détection de fracture laissant penser que cet outil apporterait un intérêt majeur en pratique clinique [8-11]. En raison de la différence d’impédance acoustique (capacité de l’onde à traverser les différents milieux et à réfléchir à l’interface de ceux-ci) entre les tissus mous et la corticale osseuse, le faisceau ultrasonore est totalement réfléchi par ce dernier, seule la surface osseuse sera visible à l’image par une ligne hyperéchogène [12, 13]. L’examen échographique doit toujours être mis en corrélation avec l’examen clinique du professionnel de santé afin de poser une ou plusieurs hypothèses diagnostiques la plus valide possible.
Grâce à son analyse multiplanaire et sa haute résolution, l’échographie semble être en capacité de mettre en évidence de subtiles anomalies de la surface osseuse et des tissus adjacents [12-14].
L’utilisation de l’échographie pour la détection de fracture par un professionnel de santé formé peut être intéressante dans plusieurs situations :
– évaluation secondaire ou évaluation immédiate après l’examen clinique d'une lésion osseuse lorsque la radiographie n'est pas disponible ;
– évaluation de fractures de fatigue pouvant être occultées sous radiographie ;
– découverte de fractures insoupçonnées au cours de l'examen échographique standard ;
– la détection des signes de fractures de stress dès l’apparition de douleurs pour orienter le plan de traitement le plus rapidement possible [15].Cependant, l’une des principales limites de l’échographie est qu’elle demeure opérateur dépendant et se doit donc d’être utilisée par un évaluateur formé et expérimenté pour limiter l’interprétation de faux positifs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78924
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 47-52[article] L'échographie : valeur diagnostique pour la détection d'une fracture osseuse [texte imprimé] / Marion Lemarinel ; Anthony Demont . - 2019 . - p. 47-52.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 47-52
Mots-clés : DIAGNOSTIC Échographie Fractures osseuses Résumé : Les fractures osseuses (des os longs, aiguës, de fatigue, etc.) sont des blessures qui surviennent lors d’accidents de la vie courante mais aussi lors d’activités sportives [1-3]. Selon les derniers rapports des centres de contrôle et de prévention des maladies relatifs aux visites en services d'urgence en 2013 aux États-Unis, les fractures représentaient plus de 3,8 millions de visites, soit environ 3 % de tous les motifs de visite [4]. Ces blessures touchent des groupes de tous les âges, de tous les sexes et de tous les catégories socioprofessionnelles. Il semble donc important de pouvoir les détecter rapidement afin d’éviter des conséquences néfastes sur le long terme sur l’appareil musculosquelettique pouvant conduire à un handicap majeur [5].La radiographie standard est considérée actuellement comme le gold standard pour détecter des lésions osseuses. Toutefois, l’évaluation bidimensionnelle des os, la disponibilité de l’examen radiographique (délai de consultation parfois long) et les radiations émises peuvent être des limites à son recours systématique en cas de suspicion de fracture.Alzen et al. [6] ont constaté que sur une population de 80 enfants, seulement 17,2 % d’entre eux soupçonnés d’avoir une fracture osseuse avaient effectivement une fracture. La fréquence élevée de résultats négatifs à la radiographie retrouvés dans des études chez des patients suspectés d’avoir une fracture à partir de leur tableau clinique montre que des outils diagnostics alternatifs seraient donc nécessaires [7].Lorsque les radiographies standard mettent en évidence une absence de fracture ou lorsqu'une évaluation plus détaillée du type de fracture est nécessaire pour la planification optimale du traitement, des techniques d’imageries avancées peuvent être nécessaires comme la tomodensitométrie et l’imagerie par résonance magnétique Toutefois, ces techniques coûtent cher, peuvent être irradiantes pour le patient et ne sont pas accessibles facilement en pratique clinique.Bien que l’échographie ne soit pas actuellement considérée comme une méthode de choix dans le diagnostic des lésions osseuses, ces dernières années plusieurs études ont cherché à évaluer la validité diagnostique de cet outil pour la détection de fractures périphériques. Ces études semblent mettre en évidence de bons, voire d’excellents résultats pour la détection de fracture laissant penser que cet outil apporterait un intérêt majeur en pratique clinique [8-11]. En raison de la différence d’impédance acoustique (capacité de l’onde à traverser les différents milieux et à réfléchir à l’interface de ceux-ci) entre les tissus mous et la corticale osseuse, le faisceau ultrasonore est totalement réfléchi par ce dernier, seule la surface osseuse sera visible à l’image par une ligne hyperéchogène [12, 13]. L’examen échographique doit toujours être mis en corrélation avec l’examen clinique du professionnel de santé afin de poser une ou plusieurs hypothèses diagnostiques la plus valide possible.
Grâce à son analyse multiplanaire et sa haute résolution, l’échographie semble être en capacité de mettre en évidence de subtiles anomalies de la surface osseuse et des tissus adjacents [12-14].
L’utilisation de l’échographie pour la détection de fracture par un professionnel de santé formé peut être intéressante dans plusieurs situations :
– évaluation secondaire ou évaluation immédiate après l’examen clinique d'une lésion osseuse lorsque la radiographie n'est pas disponible ;
– évaluation de fractures de fatigue pouvant être occultées sous radiographie ;
– découverte de fractures insoupçonnées au cours de l'examen échographique standard ;
– la détection des signes de fractures de stress dès l’apparition de douleurs pour orienter le plan de traitement le plus rapidement possible [15].Cependant, l’une des principales limites de l’échographie est qu’elle demeure opérateur dépendant et se doit donc d’être utilisée par un évaluateur formé et expérimenté pour limiter l’interprétation de faux positifs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78924 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLA MÉNOPAUSE : quel accompagnement par le kinésithérapeute ? / Ghislaine PHILIPPE in Kinésithérapie scientifique, 607 (Mars 2019)
[article]
Titre : LA MÉNOPAUSE : quel accompagnement par le kinésithérapeute ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Ghislaine PHILIPPE Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 35-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : INCONTINENCE Ménopause Libido Prolapsus Troubles sexuels d'origine physiologique Résumé : Le vocable « ménopause » n’apparaît qu’au début du XIXème siècle. On le doit à Charles Gardanne, médecin de charité du 3ème arrondissement de Paris qui, après avoir, dans un ouvrage intitulé « Avis aux femmes qui entrent dans l’âge critique » (1816), emploie le terme « ménespausie » pour plus tard dans la deuxième édition de cet ouvrage (1821), employer celui de ménopause.
La vie de la femme est particulièrement bornée par la menstruation avec deux étapes essentielles : la puberté, qui signe l’accès à la féminité et la ménopause qui la clôt, comme si en dehors du rythme des règles la féminité n’existait pas...Du début du XVIème siècle jusqu’aux années 1880, les traités sur les « maladies des femmes » sont nombreux mais s’intéressent particulièrement à la menstruation. Il est vrai que l’espérance de vie féminine n’étant pas celle d’aujourd’hui, peu de femmes subissaient les effets secondaires du changement hormonal de la ménopause (au milieu du XVIIIème siècle, l’espérance de vie ne dépassait pas 28 ans) ...
En 1776, un médecin anglais, John Fothergill publie un article sur l’arrêt des menstruations qui sera traduit en français en 1788 sous le titre « Conseils aux femmes de 45 à 50 ans sur la conduite à tenir lors de la cessation des règles ». Cet ouvrage ouvre la voie à une série de publications destinées aux femmes, visant, par un ensemble de prescriptions hygiéniques, à les aider à traverser cette période.Le premier livre français entièrement consacré à la ménopause est sans doute celui de Jean-Baptiste Jeannet des Longrois : « Conseils aux femmes de 40 ans », publié en 1787.
Au XIXème et début du XXème siècle, les mécanismes de la ménopause sont mal connus, mais elle est réputée entraîner des troubles redoutables. C’est « l’âge critique » comme nous l’avons entendu signifier par nos grands-mères. En 1949, Simone de Beauvoir parle de la « crise de la ménopause » comme d’une « mutilation » accompagnée d’un « drame moral ».
En 1931, les remèdes proposés aux femmes pour soulager les maux de la ménopause vont de la cure thermale aux greffes d’ovaires, en passant par la saignée, les sangsues, la dérivation intestinale et autres exutoires dont usaient les anciens.En 1939 apparaît l’hormonothérapie mais il faudra attendre la fabrication d’hormones de synthèse plus faciles à manier, pour que cette thérapie se diffuse.Si bien que, pour le plus grand nombre, jusque dans les années 50 (et même au-delà), les troubles de la ménopause ne sont ni prévenus ni soulagés. Ils sont vécus comme une fatalité par des femmes non informées, qui en attendent avec crainte les effets annoncés et vécus par leur mère au risque comme pour les douleurs de l’enfantement, de les anticiper et de les exagérer.
De nos jours, des traitements moins invasifs en phytothérapie, homéopathie, médecines alternatives, soulagent certains effets secondaires et améliorent la qualité de vie. La kinésithérapie et la pelvi-périnéologie occupent une place de choix dans la prévention et la prise en charge de certains troubles invalidants comme les pathologies urinaires et ano-rectales, les troubles de la statique pelvienne et les troubles sexuels. L’accompagnement des activités physiques comme l’entretien de la paroi abdominale, réalisé par un thérapeute éclairé sachant manier les techniques non génératrices de pressions, protégera le plancher pelvien limitant les incontinences et les prolapsus.
Si, de nos jours, la ménopause, malgré ses inconvénients, n’est plus considérée comme l’étape ultime de la séduction, elle est toutefois porteuse d’une forte charge symbolique. En perdant la faculté de procréer, la femme se voit tout d’abord privé de l’extraordinaire pouvoir qu’elle détenait dans la reproduction de l’espèce et la perpétuation des générations. Elle cesse d’incarner les vertus sociales attachées à la maternité pour avancer dans le dernier parcours de la vie où les phénomènes de vieillissement accentués par les modifications hormonales (rides, prise de poids, modification de la structure mammaire, ostéoporose, perte de désir...) sont annonciatrices de la vieillesse et du peu de temps restant.
Psychologiquement, la ménopause est une période difficile à vivre d’où l’expression de « période critique, retour d’âge » car période de retour sur soi, d’interrogation, de remise en question face au vieillissement, à la séduction, au couple, à la perte de la maternité possible, à la place dans la société et au temps qui passe...Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78929
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 35-39[article] LA MÉNOPAUSE : quel accompagnement par le kinésithérapeute ? [texte imprimé] / Ghislaine PHILIPPE . - 2019 . - p. 35-39.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 35-39
Mots-clés : INCONTINENCE Ménopause Libido Prolapsus Troubles sexuels d'origine physiologique Résumé : Le vocable « ménopause » n’apparaît qu’au début du XIXème siècle. On le doit à Charles Gardanne, médecin de charité du 3ème arrondissement de Paris qui, après avoir, dans un ouvrage intitulé « Avis aux femmes qui entrent dans l’âge critique » (1816), emploie le terme « ménespausie » pour plus tard dans la deuxième édition de cet ouvrage (1821), employer celui de ménopause.
La vie de la femme est particulièrement bornée par la menstruation avec deux étapes essentielles : la puberté, qui signe l’accès à la féminité et la ménopause qui la clôt, comme si en dehors du rythme des règles la féminité n’existait pas...Du début du XVIème siècle jusqu’aux années 1880, les traités sur les « maladies des femmes » sont nombreux mais s’intéressent particulièrement à la menstruation. Il est vrai que l’espérance de vie féminine n’étant pas celle d’aujourd’hui, peu de femmes subissaient les effets secondaires du changement hormonal de la ménopause (au milieu du XVIIIème siècle, l’espérance de vie ne dépassait pas 28 ans) ...
En 1776, un médecin anglais, John Fothergill publie un article sur l’arrêt des menstruations qui sera traduit en français en 1788 sous le titre « Conseils aux femmes de 45 à 50 ans sur la conduite à tenir lors de la cessation des règles ». Cet ouvrage ouvre la voie à une série de publications destinées aux femmes, visant, par un ensemble de prescriptions hygiéniques, à les aider à traverser cette période.Le premier livre français entièrement consacré à la ménopause est sans doute celui de Jean-Baptiste Jeannet des Longrois : « Conseils aux femmes de 40 ans », publié en 1787.
Au XIXème et début du XXème siècle, les mécanismes de la ménopause sont mal connus, mais elle est réputée entraîner des troubles redoutables. C’est « l’âge critique » comme nous l’avons entendu signifier par nos grands-mères. En 1949, Simone de Beauvoir parle de la « crise de la ménopause » comme d’une « mutilation » accompagnée d’un « drame moral ».
En 1931, les remèdes proposés aux femmes pour soulager les maux de la ménopause vont de la cure thermale aux greffes d’ovaires, en passant par la saignée, les sangsues, la dérivation intestinale et autres exutoires dont usaient les anciens.En 1939 apparaît l’hormonothérapie mais il faudra attendre la fabrication d’hormones de synthèse plus faciles à manier, pour que cette thérapie se diffuse.Si bien que, pour le plus grand nombre, jusque dans les années 50 (et même au-delà), les troubles de la ménopause ne sont ni prévenus ni soulagés. Ils sont vécus comme une fatalité par des femmes non informées, qui en attendent avec crainte les effets annoncés et vécus par leur mère au risque comme pour les douleurs de l’enfantement, de les anticiper et de les exagérer.
De nos jours, des traitements moins invasifs en phytothérapie, homéopathie, médecines alternatives, soulagent certains effets secondaires et améliorent la qualité de vie. La kinésithérapie et la pelvi-périnéologie occupent une place de choix dans la prévention et la prise en charge de certains troubles invalidants comme les pathologies urinaires et ano-rectales, les troubles de la statique pelvienne et les troubles sexuels. L’accompagnement des activités physiques comme l’entretien de la paroi abdominale, réalisé par un thérapeute éclairé sachant manier les techniques non génératrices de pressions, protégera le plancher pelvien limitant les incontinences et les prolapsus.
Si, de nos jours, la ménopause, malgré ses inconvénients, n’est plus considérée comme l’étape ultime de la séduction, elle est toutefois porteuse d’une forte charge symbolique. En perdant la faculté de procréer, la femme se voit tout d’abord privé de l’extraordinaire pouvoir qu’elle détenait dans la reproduction de l’espèce et la perpétuation des générations. Elle cesse d’incarner les vertus sociales attachées à la maternité pour avancer dans le dernier parcours de la vie où les phénomènes de vieillissement accentués par les modifications hormonales (rides, prise de poids, modification de la structure mammaire, ostéoporose, perte de désir...) sont annonciatrices de la vieillesse et du peu de temps restant.
Psychologiquement, la ménopause est une période difficile à vivre d’où l’expression de « période critique, retour d’âge » car période de retour sur soi, d’interrogation, de remise en question face au vieillissement, à la séduction, au couple, à la perte de la maternité possible, à la place dans la société et au temps qui passe...Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78929 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLe point sur la gynécologie de la jeune femme / Myriam Mansour- Hugues in Kinésithérapie scientifique, 607 (Mars 2019)
[article]
Titre : Le point sur la gynécologie de la jeune femme Type de document : texte imprimé Auteurs : Myriam Mansour- Hugues Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 29-34 Langues : Français (fre) Mots-clés : Aménorrhée Dysménorrhée CONTRACEPTION Résumé : La première consultation de gynécologie de la jeune femme est l’occasion d’aborder différents sujets. C’est un moment essentiel de dialogue et d’écoute. Il est important d’établir une relation de confiance afin de déterminer les besoins et les niveaux de compétence de l’adolescente.Les motifs de consultation de la jeune femme sont généralement des troubles des règles (aménorrhée, méno-métrorragies, ou dysménorrhées), ou plus fréquemment une demande de contraception. Cette consultation est aussi l’occasion de faire un point sur les infections sexuellement transmissibles et d’informer sur la prévention du cancer du col de l’utérus par la vaccination anti-HPV, puis les modalités de dépistage de ce cancer. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78932
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 29-34[article] Le point sur la gynécologie de la jeune femme [texte imprimé] / Myriam Mansour- Hugues . - 2019 . - p. 29-34.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 29-34
Mots-clés : Aménorrhée Dysménorrhée CONTRACEPTION Résumé : La première consultation de gynécologie de la jeune femme est l’occasion d’aborder différents sujets. C’est un moment essentiel de dialogue et d’écoute. Il est important d’établir une relation de confiance afin de déterminer les besoins et les niveaux de compétence de l’adolescente.Les motifs de consultation de la jeune femme sont généralement des troubles des règles (aménorrhée, méno-métrorragies, ou dysménorrhées), ou plus fréquemment une demande de contraception. Cette consultation est aussi l’occasion de faire un point sur les infections sexuellement transmissibles et d’informer sur la prévention du cancer du col de l’utérus par la vaccination anti-HPV, puis les modalités de dépistage de ce cancer. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78932 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes toilettes scolaires : un enjeu de Santé publique / Marianne Lenoir in Kinésithérapie scientifique, 607 (Mars 2019)
[article]
Titre : Les toilettes scolaires : un enjeu de Santé publique Type de document : texte imprimé Auteurs : Marianne Lenoir, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 17-21 Langues : Français (fre) Mots-clés : Périnée Hygiène Toilettes publiques Résumé : Un tiers des élèves français n'utilisent pas les toilettes scolaires car ils les trouvent peu accueillantes, ce qui est dommageable pour leur santé, notamment pour la tonicité du périnée.
Les élèves et les professeurs n'ont pas d'information sur les mesures permettant de protéger le périnée lors du passage aux toilettes, lors du sport ou lors du port de charges lourdes en lycée professionnel. L'Éducation nationale a récemment pris en compte le problème dans le cadre du parcours éducatif de santé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78936
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 17-21[article] Les toilettes scolaires : un enjeu de Santé publique [texte imprimé] / Marianne Lenoir, Auteur . - 2019 . - p. 17-21.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 17-21
Mots-clés : Périnée Hygiène Toilettes publiques Résumé : Un tiers des élèves français n'utilisent pas les toilettes scolaires car ils les trouvent peu accueillantes, ce qui est dommageable pour leur santé, notamment pour la tonicité du périnée.
Les élèves et les professeurs n'ont pas d'information sur les mesures permettant de protéger le périnée lors du passage aux toilettes, lors du sport ou lors du port de charges lourdes en lycée professionnel. L'Éducation nationale a récemment pris en compte le problème dans le cadre du parcours éducatif de santé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78936 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtPrise en charge des conséquences fonctionnelles des cancers pelviens / Hélène Colangeli-Hagège in Kinésithérapie scientifique, 607 (Mars 2019)
[article]
Titre : Prise en charge des conséquences fonctionnelles des cancers pelviens Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Colangeli-Hagège ; Max-Claude Cappelletti, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.5-16 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancers génito-urinaires uro-gynécologie Qualité vie Troubles de l'élimination Résumé : Les cancers de la sphère pelvienne représentent environ 133 000 nouveaux cas par an en France soit 1 cancer sur 3 (fig. 1). Ces cancers concernent l’homme et la femme. La prostate, le colon et le rectum, la vessie, le rein, l’endomètre, l’ovaire, le col de l’utérus, la vulve et le vagin, le testicule, le pénis peuvent être touchés par un cancer.
Les soins de support, initiés en 2005 avec la circulaire DHOS du 22 février, puis avec la mesure 42 du Plan Cancer recommandent que le kinésithérapeute soit intégré à l’équipe soignante dès le début de la prise en charge pour les conséquences des traitements des cancers pelviens et colo-rectaux.Les cancers pelviens : un cancer sur 3
L’information des patients et la formation des professionnels de santé peuvent encore progresser pour une meilleure diffusion de ces soins de support. Les patients rapportent un manque d’information concernant ces soins [5], les professionnels de santé déclarent manquer de formation [5] alors que les prescripteurs rapportent les avoir proposésPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78945
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p.5-16[article] Prise en charge des conséquences fonctionnelles des cancers pelviens [texte imprimé] / Hélène Colangeli-Hagège ; Max-Claude Cappelletti, Auteur . - 2019 . - p.5-16.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p.5-16
Mots-clés : Cancers génito-urinaires uro-gynécologie Qualité vie Troubles de l'élimination Résumé : Les cancers de la sphère pelvienne représentent environ 133 000 nouveaux cas par an en France soit 1 cancer sur 3 (fig. 1). Ces cancers concernent l’homme et la femme. La prostate, le colon et le rectum, la vessie, le rein, l’endomètre, l’ovaire, le col de l’utérus, la vulve et le vagin, le testicule, le pénis peuvent être touchés par un cancer.
Les soins de support, initiés en 2005 avec la circulaire DHOS du 22 février, puis avec la mesure 42 du Plan Cancer recommandent que le kinésithérapeute soit intégré à l’équipe soignante dès le début de la prise en charge pour les conséquences des traitements des cancers pelviens et colo-rectaux.Les cancers pelviens : un cancer sur 3
L’information des patients et la formation des professionnels de santé peuvent encore progresser pour une meilleure diffusion de ces soins de support. Les patients rapportent un manque d’information concernant ces soins [5], les professionnels de santé déclarent manquer de formation [5] alors que les prescripteurs rapportent les avoir proposésPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78945 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPrise en charge rééducative périnéo-sphinctérienne en gériatrie / F. Bizouard in Kinésithérapie scientifique, 607 (Mars 2019)
[article]
Titre : Prise en charge rééducative périnéo-sphinctérienne en gériatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Bizouard Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 41-46 Langues : Français (fre) Mots-clés : Troubles mictionnels Vieillissement Sédentarité /Sujet âgé Résumé : Le vieillissement est un processus physiologique inéluctable qui touche toutes les personnes. La personne âgée est définie par l’OMS suivant son âge chronologique : au-delà de 65 ans pour les personnes âgées et au-delà de 80 pour les personnes très âgées. Cependant, la classification fonctionnelle prend en compte les modes de vie, les compétences des personnes vieillissantes :
– vieillissement réussi avec un niveau d’activités conservé, maintien des capacités fonctionnelles et des activités sociales, pas de troubles cognitifs ;– vieillissement habituel avec un état de santé instable, une fragilité qui peuvent amener à une perte d’autonomie, une sédentarité plus importante ; – vieillissement avec facteurs de comorbidités et un risque de dépendance accru.
La population en France (selon l’INSEE) en 2020 devrait voir augmenter le nombre de personnes au-delà de 60 ans. La population senior représenterait alors 26,4 % de population totale en France, soit 6 % pour la tranche d’âge 60-64 ans, 11 % pour les 65-74 ans et 9,4 % pour les plus de 75 ans.
Les besoins de santé des personnes âgées sont plus importants et sont liés aux modifications physiologiques, voire pathologiques des différentes fonctions. Les grandes fonctions sont opérationnelles mais dépendantes du vieillissement propre à chaque individu. Le mode de vie [1], en particulier la sédentarité, les facteurs de comorbidité sont des facteurs de risque de fragilité.
Dans cette tranche spécifique, les troubles de la statique pelvienne affecteraient 40 % des femmes au-delà de 50 ans en lien les modifications physiologiques du vieillissement.Une étude de 2007 sur une population de plus de 60 ans montre une prévalence de l’incontinence de 19,3 % chez les femmes. Plusieurs études de 2012 à 2018 mettent en évidence une prévalence de l’incontinence urinaire plus élevée dans les populations sédentaires ou à faible activité physique.Dans toute rééducation la modification des différentes fonctions influera son organisation et ses objectifs : quelle stratégie de rééducation proposer, quelles spécificités, quel comportement du MK à adopter, quels attendus dans la vie quotidienne des patients rééduqués ? La rééducation devra intégrer les incidences du vieillissement physiologique des différentes fonctions.
Le programme de rééducation s’adapte aux aptitudes et aux compétences des patients âgés. Il tient compte de l’évolution physiologique des processus neurologiques, cognitifs, d’apprentissage, ainsi que des modifications anatomo-physiologiques pour l’organisation, le déroulement des séances avec le kinésithérapeute et pour les conseils d’autorééducation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78946
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 41-46[article] Prise en charge rééducative périnéo-sphinctérienne en gériatrie [texte imprimé] / F. Bizouard . - 2019 . - p. 41-46.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 41-46
Mots-clés : Troubles mictionnels Vieillissement Sédentarité /Sujet âgé Résumé : Le vieillissement est un processus physiologique inéluctable qui touche toutes les personnes. La personne âgée est définie par l’OMS suivant son âge chronologique : au-delà de 65 ans pour les personnes âgées et au-delà de 80 pour les personnes très âgées. Cependant, la classification fonctionnelle prend en compte les modes de vie, les compétences des personnes vieillissantes :
– vieillissement réussi avec un niveau d’activités conservé, maintien des capacités fonctionnelles et des activités sociales, pas de troubles cognitifs ;– vieillissement habituel avec un état de santé instable, une fragilité qui peuvent amener à une perte d’autonomie, une sédentarité plus importante ; – vieillissement avec facteurs de comorbidités et un risque de dépendance accru.
La population en France (selon l’INSEE) en 2020 devrait voir augmenter le nombre de personnes au-delà de 60 ans. La population senior représenterait alors 26,4 % de population totale en France, soit 6 % pour la tranche d’âge 60-64 ans, 11 % pour les 65-74 ans et 9,4 % pour les plus de 75 ans.
Les besoins de santé des personnes âgées sont plus importants et sont liés aux modifications physiologiques, voire pathologiques des différentes fonctions. Les grandes fonctions sont opérationnelles mais dépendantes du vieillissement propre à chaque individu. Le mode de vie [1], en particulier la sédentarité, les facteurs de comorbidité sont des facteurs de risque de fragilité.
Dans cette tranche spécifique, les troubles de la statique pelvienne affecteraient 40 % des femmes au-delà de 50 ans en lien les modifications physiologiques du vieillissement.Une étude de 2007 sur une population de plus de 60 ans montre une prévalence de l’incontinence de 19,3 % chez les femmes. Plusieurs études de 2012 à 2018 mettent en évidence une prévalence de l’incontinence urinaire plus élevée dans les populations sédentaires ou à faible activité physique.Dans toute rééducation la modification des différentes fonctions influera son organisation et ses objectifs : quelle stratégie de rééducation proposer, quelles spécificités, quel comportement du MK à adopter, quels attendus dans la vie quotidienne des patients rééduqués ? La rééducation devra intégrer les incidences du vieillissement physiologique des différentes fonctions.
Le programme de rééducation s’adapte aux aptitudes et aux compétences des patients âgés. Il tient compte de l’évolution physiologique des processus neurologiques, cognitifs, d’apprentissage, ainsi que des modifications anatomo-physiologiques pour l’organisation, le déroulement des séances avec le kinésithérapeute et pour les conseils d’autorééducation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78946 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRééducation des troubles fonctionnels urinaires de l'enfant / Delphine Lelong in Kinésithérapie scientifique, 607 (Mars 2019)
[article]
Titre : Rééducation des troubles fonctionnels urinaires de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Lelong Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 23-28 Langues : Français (fre) Mots-clés : Énurésie Miction Incontinence urinaire Résumé : L'objectif de cet article est de vérifier la place de la kinésithérapie dans la rééducation des troubles fonctionnels urinaires de l'enfant, à l'aide des parutions scientifiques recherchées sur PubMed/MedLine.Les résultats suggèrent que le kinésithérapeute peut être sollicité dès les premières intentions à l'aide de l'urothérapie. Puis, l'enfant peut apprendre à renforcer ou à relâcher ses muscles du plancher pelvien à l'aide d'exercices ou encore de biofeedback.Enfin, les revues suggèrent un intérêt thérapeutique par la neuromodulation ou stimulation cutanée.La kinésithérapie a donc une place dans le traitement de ces troubles pédiatriques et possède différents outils et moyens de les traiter, en association avec le traitement médical. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78949
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 23-28[article] Rééducation des troubles fonctionnels urinaires de l'enfant [texte imprimé] / Delphine Lelong . - 2019 . - p. 23-28.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 23-28
Mots-clés : Énurésie Miction Incontinence urinaire Résumé : L'objectif de cet article est de vérifier la place de la kinésithérapie dans la rééducation des troubles fonctionnels urinaires de l'enfant, à l'aide des parutions scientifiques recherchées sur PubMed/MedLine.Les résultats suggèrent que le kinésithérapeute peut être sollicité dès les premières intentions à l'aide de l'urothérapie. Puis, l'enfant peut apprendre à renforcer ou à relâcher ses muscles du plancher pelvien à l'aide d'exercices ou encore de biofeedback.Enfin, les revues suggèrent un intérêt thérapeutique par la neuromodulation ou stimulation cutanée.La kinésithérapie a donc une place dans le traitement de ces troubles pédiatriques et possède différents outils et moyens de les traiter, en association avec le traitement médical. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78949 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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