Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : mars 2019 Paru le : 01/03/2019 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
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[article]
Titre : Phénomènes migratoires et enfance [DOSSIER] Type de document : texte imprimé Année de publication : 2019 Article en page(s) : P. 23-126 Langues : Français (fre) Mots-clés : migration enfance Résumé : Enfants « réfugiés », avec ou sans leur famille : ils sont environ 10 000 en France. Si tous ne sont pas pris en charge par la pjj, un enjeu est là, bien présent. Et c’est ce qu’affirme la circulaire du 25 janvier 2016 dont les aspects juridiques et sanitaires sont importants. Comme le sont aussi, au niveau de la protection de l’enfance, les situations en rapport avec la traite des êtres humains. Ce numéro ambitionne donc, avant tout, de donner des outils et de partager des expériences sur les interventions judiciaires et éducatives qui sont menées. Sans oublier les problématiques spécifiques que l’on observe à Mayotte, en Guyane et sur l’ensemble du territoire ultra-marin. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78366
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - P. 23-126[article] Phénomènes migratoires et enfance [DOSSIER] [texte imprimé] . - 2019 . - P. 23-126.
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - P. 23-126
Mots-clés : migration enfance Résumé : Enfants « réfugiés », avec ou sans leur famille : ils sont environ 10 000 en France. Si tous ne sont pas pris en charge par la pjj, un enjeu est là, bien présent. Et c’est ce qu’affirme la circulaire du 25 janvier 2016 dont les aspects juridiques et sanitaires sont importants. Comme le sont aussi, au niveau de la protection de l’enfance, les situations en rapport avec la traite des êtres humains. Ce numéro ambitionne donc, avant tout, de donner des outils et de partager des expériences sur les interventions judiciaires et éducatives qui sont menées. Sans oublier les problématiques spécifiques que l’on observe à Mayotte, en Guyane et sur l’ensemble du territoire ultra-marin. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78366 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleMineurs et migrations / Perrine Cheval in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : Mineurs et migrations Type de document : texte imprimé Auteurs : Perrine Cheval, Personne interviewée ; Olivier Peyroux, Intervieweur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 24-32 Note générale : Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance Langues : Français (fre) Mots-clés : enfance migrations MENA Résumé : Les Cahiers dynamiques (LCD) : On dit d’eux qu’ils n’ont pas les mêmes parcours, pas les mêmes trajectoires migratoires. Ils constituent un ensemble hétérogène de personnes venant de situations très diverses. Pourtant de manière homogène, on les nomme « mna » pour mineurs non accompagnés. Quelle est selon vous l’entrée la plus pertinente pour aborder ce sujet ?
Olivier Peyroux (O.P.) : Pour éviter trop de représentations, il faut privilégier une approche historique des choses. Ce qui est compliqué avec les mna, c’est qu’il y a toute une littérature sur les typologies. On essaie à chaque fois de les mettre dans des cases et on n’y arrive pas tellement parce que leurs profils sont très divers. Pour vous donner un exemple de cet écart, on a pu avoir à un moment une « filière » chinoise, c’est-à‑dire des familles de classe moyenne qui envoyaient leurs enfants faire des études en France, et à côté de cela, on avait des mineurs venant d’Afghanistan qui fuyaient une situation d’insécurité. Pour tenter de résoudre cette équation, il faut d’après moi avoir une approche par groupes, on pourrait presque dire par régions, mais ce n’est jamais très simple. Si on parle, par exemple, des mineurs afghans, algériens, marocains ; suivant leurs régions d’origine on a des profils assez différents. Et ces régions donnent des indicateurs sur les risques auxquels sont confrontés ces enfants. Parce que c’est bien ce qui nous intéresse. Bien sûr, il ne s’agit pas de généraliser, et de dire : « dans telle région, ils sont tous comme ça »…Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78367
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 24-32[article] Mineurs et migrations [texte imprimé] / Perrine Cheval, Personne interviewée ; Olivier Peyroux, Intervieweur . - 2019 . - p. 24-32.
Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 24-32
Mots-clés : enfance migrations MENA Résumé : Les Cahiers dynamiques (LCD) : On dit d’eux qu’ils n’ont pas les mêmes parcours, pas les mêmes trajectoires migratoires. Ils constituent un ensemble hétérogène de personnes venant de situations très diverses. Pourtant de manière homogène, on les nomme « mna » pour mineurs non accompagnés. Quelle est selon vous l’entrée la plus pertinente pour aborder ce sujet ?
Olivier Peyroux (O.P.) : Pour éviter trop de représentations, il faut privilégier une approche historique des choses. Ce qui est compliqué avec les mna, c’est qu’il y a toute une littérature sur les typologies. On essaie à chaque fois de les mettre dans des cases et on n’y arrive pas tellement parce que leurs profils sont très divers. Pour vous donner un exemple de cet écart, on a pu avoir à un moment une « filière » chinoise, c’est-à‑dire des familles de classe moyenne qui envoyaient leurs enfants faire des études en France, et à côté de cela, on avait des mineurs venant d’Afghanistan qui fuyaient une situation d’insécurité. Pour tenter de résoudre cette équation, il faut d’après moi avoir une approche par groupes, on pourrait presque dire par régions, mais ce n’est jamais très simple. Si on parle, par exemple, des mineurs afghans, algériens, marocains ; suivant leurs régions d’origine on a des profils assez différents. Et ces régions donnent des indicateurs sur les risques auxquels sont confrontés ces enfants. Parce que c’est bien ce qui nous intéresse. Bien sûr, il ne s’agit pas de généraliser, et de dire : « dans telle région, ils sont tous comme ça »…Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78367 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLa jeunesse est un pays étranger / Nadia Beddiar in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : La jeunesse est un pays étranger Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadia Beddiar Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 33-41 Note générale : Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance Langues : Français (fre) Mots-clés : migration immigrés jeunesse enfants Prise en charge Résumé : 3 300. Voici le nombre de mineurs étrangers non accompagnés (mena) demandeurs d’asile, présents sur le territoire de l’Union européenne en 2016. La plupart d’entre eux sont en Slovénie et en Italie. Six mineurs sur dix ont demandé l’asile à l’Allemagne.
La France, quant à elle, a reçu 475 demandes d’asile sur la même année, soit 3,1 % de l’ensemble des demandeurs d’asile mineurs présents sur l’ue .
La démarche ne semble ainsi pas très attrayante, et pour cause, les mena seraient, en 2017, 14 908, selon la mission mineurs non accompagnés (mmna) de la Protection judiciaire de la jeunesse (pjj).
La rédaction de cet article intervient à un moment particulier, celui de l’entrée en vigueur de la loi Immigration et asile qui a suscité de nombreuses inquiétudes, en termes de régression des droits des étrangers, exprimées par de nombreux professionnels relevant de divers secteurs d’activité. Après la loi, ses décrets d’application ! Parmi ceux-ci, un projet de décret envisage la création en 2019 d’un fichier d’« appui à l’évaluation de la minorité », autrement dit un fichage biométrique des mineurs étrangers, qui confirme les craintes des associations et ong.
Cette loi s’intitule « Pour une immigration maîtrisée et un droit d’asile effectif » et propose une rupture avec ce qui constitue depuis des années l’arlésienne des politiques migratoires, ou plutôt la modeste contribution à la gestion d’un phénomène mondial destiné à se poursuivre, tant les dangers menaçant certains territoires sont important…Note de contenu :
Un cadre juridique oscillant entre protection et rigueur sécuritaire
Une prise en charge précaire à améliorer
La tentative de régulation du juge administratif dans la répartition des compétencesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78368
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 33-41[article] La jeunesse est un pays étranger [texte imprimé] / Nadia Beddiar . - 2019 . - p. 33-41.
Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 33-41
Mots-clés : migration immigrés jeunesse enfants Prise en charge Résumé : 3 300. Voici le nombre de mineurs étrangers non accompagnés (mena) demandeurs d’asile, présents sur le territoire de l’Union européenne en 2016. La plupart d’entre eux sont en Slovénie et en Italie. Six mineurs sur dix ont demandé l’asile à l’Allemagne.
La France, quant à elle, a reçu 475 demandes d’asile sur la même année, soit 3,1 % de l’ensemble des demandeurs d’asile mineurs présents sur l’ue .
La démarche ne semble ainsi pas très attrayante, et pour cause, les mena seraient, en 2017, 14 908, selon la mission mineurs non accompagnés (mmna) de la Protection judiciaire de la jeunesse (pjj).
La rédaction de cet article intervient à un moment particulier, celui de l’entrée en vigueur de la loi Immigration et asile qui a suscité de nombreuses inquiétudes, en termes de régression des droits des étrangers, exprimées par de nombreux professionnels relevant de divers secteurs d’activité. Après la loi, ses décrets d’application ! Parmi ceux-ci, un projet de décret envisage la création en 2019 d’un fichier d’« appui à l’évaluation de la minorité », autrement dit un fichage biométrique des mineurs étrangers, qui confirme les craintes des associations et ong.
Cette loi s’intitule « Pour une immigration maîtrisée et un droit d’asile effectif » et propose une rupture avec ce qui constitue depuis des années l’arlésienne des politiques migratoires, ou plutôt la modeste contribution à la gestion d’un phénomène mondial destiné à se poursuivre, tant les dangers menaçant certains territoires sont important…Note de contenu :
Un cadre juridique oscillant entre protection et rigueur sécuritaire
Une prise en charge précaire à améliorer
La tentative de régulation du juge administratif dans la répartition des compétencesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78368 Réservation
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DisponibleHarmoniser pour mieux protéger / Perrine Cheval in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : Harmoniser pour mieux protéger Type de document : texte imprimé Auteurs : Perrine Cheval ; Bernard Guzniczak ; Sylvie Vella Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 42-49 Note générale : Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance Langues : Français (fre) Mots-clés : MENA prise en charge Résumé : Les Cahiers dynamiques (LCD) : Vous avez été pendant plus de deux ans responsable de la mission mineurs non accompagnés ( mmna ) de la pjj . Pouvez-vous nous présenter ce dispositif ?
Sylvie Vella (S.V.) : Une des principales missions de la mmna est de faire fonctionner la cellule nationale d’appui à l’orientation, du lundi au vendredi, sous forme de permanence, auprès de l’autorité judiciaire et des conseils départementaux. Concrètement, les chargés de mission font des propositions d’orientation à l’autorité judiciaire, tenant compte de l’intérêt supérieur de l’enfant et d’une clé de répartition définie annuellement. Ces orientations permettent de répartir sur le territoire métropolitain les personnes déclarées « mineurs non accompagnés » par l’autorité judiciaire, et cela à l’issue d’une évaluation de la minorité et de l’isolement menée par le conseil départemental. C’est à partir de ce travail que la mmna constitue un poste fin d’observation des pratiques en matière d’évaluation de la minorité et de l’isolement familial. La mission participe également aux politiques publiques concernant les mineurs non accompagnés et la traite des êtres humains. Elle contribue à divers travaux en interne, ainsi qu’en interministériel.
Ces deux dernières années, la mmna a pris part aux rencontres qui ont lieu fréquemment sur les territoires, rassemblant les conseils départementaux et autres acteurs impliqués dans la prise en charge de ces mineurs, non seulement pour porter le dispositif, aider à l’harmonisation des pratiques mais également pour faire remonter à notre ministère les éventuelles difficultés rencontrées sur les territoires et dans la prise en charge de…Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78369
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 42-49[article] Harmoniser pour mieux protéger [texte imprimé] / Perrine Cheval ; Bernard Guzniczak ; Sylvie Vella . - 2019 . - p. 42-49.
Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 42-49
Mots-clés : MENA prise en charge Résumé : Les Cahiers dynamiques (LCD) : Vous avez été pendant plus de deux ans responsable de la mission mineurs non accompagnés ( mmna ) de la pjj . Pouvez-vous nous présenter ce dispositif ?
Sylvie Vella (S.V.) : Une des principales missions de la mmna est de faire fonctionner la cellule nationale d’appui à l’orientation, du lundi au vendredi, sous forme de permanence, auprès de l’autorité judiciaire et des conseils départementaux. Concrètement, les chargés de mission font des propositions d’orientation à l’autorité judiciaire, tenant compte de l’intérêt supérieur de l’enfant et d’une clé de répartition définie annuellement. Ces orientations permettent de répartir sur le territoire métropolitain les personnes déclarées « mineurs non accompagnés » par l’autorité judiciaire, et cela à l’issue d’une évaluation de la minorité et de l’isolement menée par le conseil départemental. C’est à partir de ce travail que la mmna constitue un poste fin d’observation des pratiques en matière d’évaluation de la minorité et de l’isolement familial. La mission participe également aux politiques publiques concernant les mineurs non accompagnés et la traite des êtres humains. Elle contribue à divers travaux en interne, ainsi qu’en interministériel.
Ces deux dernières années, la mmna a pris part aux rencontres qui ont lieu fréquemment sur les territoires, rassemblant les conseils départementaux et autres acteurs impliqués dans la prise en charge de ces mineurs, non seulement pour porter le dispositif, aider à l’harmonisation des pratiques mais également pour faire remonter à notre ministère les éventuelles difficultés rencontrées sur les territoires et dans la prise en charge de…Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78369 Réservation
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DisponibleLa géographie de l’Autre / Christian Leclerc in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : La géographie de l’Autre Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Leclerc Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 50-56 Note générale : Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance Langues : Français (fre) Mots-clés : étranger travailleur social acceptation de l'autre racisme lutte Résumé : Le métier de travailleur social, c’est le métier de la rencontre avec l’autre, c’est un métier à tisser, un métier à tisser du lien social dans des situations personnelles, familiales, de quartiers, de territoires, de groupes… Ce qui sous-tend, implique, génère, légitime son action, ce sont des formes en creux, des fêlures, des brisures, des ruptures de ce canevas, de cette étoffe, de cette trame qu’est le lien social : l’isolement (de la personne âgée), l’errance (du sdf, du migrant, de l’ado), la solitude subie (d’une mère isolée), la désagrégation familiale, l’exclusion (sous ses formes économiques, sociales, culturelles), la désaffiliation, l’exil…
Le métier de travailleur social est pour une bonne part un métier de rapiéceur du lien social, un métier dont on aimerait toutefois qu’il s’essaye à utiliser des fils de toutes les couleurs pour une tapisserie de la vie. Mais en fait on bricole, on recycle la technique du patchwork, un patchwork parfois cousu de fil blanc. Tisser une relation avec l’autre pour mieux l’accompagner, c’est aller avec lui là où il souhaite aller et non là où l’on souhaite qu’il aille, puis témoigner de ce parcours par le moyen du texte (de textus : tramer, entrelacer), que ce soit un rapport, un compte-rendu ou autre. Accompagner, tisser, certes, mais avec toutes les précautions d’usage : les postures des uns et des autres (professionnels/usagers) sont dénivelées, les origines sociales, culturelles, géographiques, familiales n’étant qu’exceptionnellement comparables…Note de contenu :
L’attribut du sujet
Les gens du voyage
Les gens d’ailleurs et d’itinérairePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78370
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 50-56[article] La géographie de l’Autre [texte imprimé] / Christian Leclerc . - 2019 . - p. 50-56.
Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 50-56
Mots-clés : étranger travailleur social acceptation de l'autre racisme lutte Résumé : Le métier de travailleur social, c’est le métier de la rencontre avec l’autre, c’est un métier à tisser, un métier à tisser du lien social dans des situations personnelles, familiales, de quartiers, de territoires, de groupes… Ce qui sous-tend, implique, génère, légitime son action, ce sont des formes en creux, des fêlures, des brisures, des ruptures de ce canevas, de cette étoffe, de cette trame qu’est le lien social : l’isolement (de la personne âgée), l’errance (du sdf, du migrant, de l’ado), la solitude subie (d’une mère isolée), la désagrégation familiale, l’exclusion (sous ses formes économiques, sociales, culturelles), la désaffiliation, l’exil…
Le métier de travailleur social est pour une bonne part un métier de rapiéceur du lien social, un métier dont on aimerait toutefois qu’il s’essaye à utiliser des fils de toutes les couleurs pour une tapisserie de la vie. Mais en fait on bricole, on recycle la technique du patchwork, un patchwork parfois cousu de fil blanc. Tisser une relation avec l’autre pour mieux l’accompagner, c’est aller avec lui là où il souhaite aller et non là où l’on souhaite qu’il aille, puis témoigner de ce parcours par le moyen du texte (de textus : tramer, entrelacer), que ce soit un rapport, un compte-rendu ou autre. Accompagner, tisser, certes, mais avec toutes les précautions d’usage : les postures des uns et des autres (professionnels/usagers) sont dénivelées, les origines sociales, culturelles, géographiques, familiales n’étant qu’exceptionnellement comparables…Note de contenu :
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Les gens du voyage
Les gens d’ailleurs et d’itinérairePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78370 Réservation
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DisponibleFatima. Migrer au risque de trahir / Hélène Chéronnet in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : Fatima. Migrer au risque de trahir Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Chéronnet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 57-65 Note générale : Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance Langues : Français (fre) Mots-clés : immigration discriminations distance sociale inégalité racisme émigration femme socialisation égalité genre Résumé : « Mes grands-parents ne parlaient pas le français et ma mère ne le parlait pas dans son enfance. Ils étaient des “invisibles” de la société dans laquelle ils vivaient. […] Chez Fatima, j’ai retrouvé des attitudes que j’ai connues chez eux. Elle est à l’image de ces femmes, qui souvent n’ont eu accès qu’à des scolarités incomplètes, ont été amenées à émigrer par nécessité vitale, pour venir vivre dans un pays dont elles ne parlaient pas la langue et dont les codes leur étaient étrangers. En France, elles ont donné naissance à des enfants qu’elles ont élevés, parfois séparées d’eux par la langue et par des pratiques et des repères différents. Pour toutes ces raisons, ces femmes ont développé, malgré leurs ignorances et leurs handicaps, des ressources très importantes, allant puiser au fond d’un courage et d’une obstination farouche. »
Ces mots sont ceux de Philippe Faucon, réalisateur du film, Fatima, sorti en 2015.
Fatima ou l’histoire d’une mère, émigrée, qui vit seule avec ses deux filles : Souad, adolescente de 15 ans en révolte, et Nesrine, jeune étudiante en médecine. Alors qu’elle maîtrise mal le français, ses filles, elles, parlent à peine l’arabe. Pour faire vivre sa famille, Fatima travaille comme femme de ménage et accumule les heures pour un salaire minuscule. Un jour, elle chute dans un escalier. En arrêt de travail, elle couche sur le papier, en arabe, ce qu’il ne lui a pas été possible de dire jusque-là à ses enfants.
Un critique, à la sortie du film, écrit que Philippe Faucon « donne une image aux invisibles » ; qu’il utilise « le langage des images tout en résistant aux images dominante…Note de contenu :
La distance sociale
Le poids de l’émigration
Un ordre genréPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78371
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 57-65[article] Fatima. Migrer au risque de trahir [texte imprimé] / Hélène Chéronnet . - 2019 . - p. 57-65.
Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 57-65
Mots-clés : immigration discriminations distance sociale inégalité racisme émigration femme socialisation égalité genre Résumé : « Mes grands-parents ne parlaient pas le français et ma mère ne le parlait pas dans son enfance. Ils étaient des “invisibles” de la société dans laquelle ils vivaient. […] Chez Fatima, j’ai retrouvé des attitudes que j’ai connues chez eux. Elle est à l’image de ces femmes, qui souvent n’ont eu accès qu’à des scolarités incomplètes, ont été amenées à émigrer par nécessité vitale, pour venir vivre dans un pays dont elles ne parlaient pas la langue et dont les codes leur étaient étrangers. En France, elles ont donné naissance à des enfants qu’elles ont élevés, parfois séparées d’eux par la langue et par des pratiques et des repères différents. Pour toutes ces raisons, ces femmes ont développé, malgré leurs ignorances et leurs handicaps, des ressources très importantes, allant puiser au fond d’un courage et d’une obstination farouche. »
Ces mots sont ceux de Philippe Faucon, réalisateur du film, Fatima, sorti en 2015.
Fatima ou l’histoire d’une mère, émigrée, qui vit seule avec ses deux filles : Souad, adolescente de 15 ans en révolte, et Nesrine, jeune étudiante en médecine. Alors qu’elle maîtrise mal le français, ses filles, elles, parlent à peine l’arabe. Pour faire vivre sa famille, Fatima travaille comme femme de ménage et accumule les heures pour un salaire minuscule. Un jour, elle chute dans un escalier. En arrêt de travail, elle couche sur le papier, en arabe, ce qu’il ne lui a pas été possible de dire jusque-là à ses enfants.
Un critique, à la sortie du film, écrit que Philippe Faucon « donne une image aux invisibles » ; qu’il utilise « le langage des images tout en résistant aux images dominante…Note de contenu :
La distance sociale
Le poids de l’émigration
Un ordre genréPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78371 Réservation
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DisponibleRegards croisés autour des mineurs non accompagnés / Perrine Cheval in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : Regards croisés autour des mineurs non accompagnés Type de document : texte imprimé Auteurs : Perrine Cheval Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 66-76 Note générale : Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance Langues : Français (fre) Mots-clés : MENA Résumé : Les Cahiers dynamiques (LCD) : En matière de mineurs non accompagnés, quelle est la réalité de la situation et quels sont les éléments qui caractérisent le territoire sur lequel vous intervenez ?
Florence Froissart (F.F.) : La question des mineurs non accompagnés est une difficulté prégnante depuis environ trois ans en Meurthe-et-Moselle, mais qui devient massive de par l’augmentation exponentielle du nombre de mineurs à protéger aujourd’hui. En 2017 et 2018, ce sujet était à l’ordre du jour de la conférence régionale des mineurs, avec une participation, non seulement de toutes les juridictions et de la direction territoriale de la Protection judiciaire de la jeunesse, mais également élargie aux représentants de l’Aide sociale à l’enfance. L’état des lieux que nous avons mené nous a permis de nous rendre compte que sur le ressort de la cour de Nancy – qui comporte trois départements : la Meurthe-et-Moselle, les Vosges et la Meuse – nous étions, du point de vue judiciaire, face à des situations complètement différentes. En Meurthe-et-Moselle, tout le contentieux mna est géré en assistance éducative sur le tribunal pour enfants (tpe) de Nancy et regroupé auprès d’un seul et même juge des enfants dont une partie importante du cabinet est dédiée à ce contentieux, et ce afin d’assurer une cohérence de la gestion des dossiers au niveau départemental. Il n’y a aucun dossier en tutelle.
En Meuse, la situation est intermédiaire. C’est-à-dire qu’une fois l’évaluation faite et la minorité acquise, le juge des enfants est saisi…Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78372
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 66-76[article] Regards croisés autour des mineurs non accompagnés [texte imprimé] / Perrine Cheval . - 2019 . - p. 66-76.
Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 66-76
Mots-clés : MENA Résumé : Les Cahiers dynamiques (LCD) : En matière de mineurs non accompagnés, quelle est la réalité de la situation et quels sont les éléments qui caractérisent le territoire sur lequel vous intervenez ?
Florence Froissart (F.F.) : La question des mineurs non accompagnés est une difficulté prégnante depuis environ trois ans en Meurthe-et-Moselle, mais qui devient massive de par l’augmentation exponentielle du nombre de mineurs à protéger aujourd’hui. En 2017 et 2018, ce sujet était à l’ordre du jour de la conférence régionale des mineurs, avec une participation, non seulement de toutes les juridictions et de la direction territoriale de la Protection judiciaire de la jeunesse, mais également élargie aux représentants de l’Aide sociale à l’enfance. L’état des lieux que nous avons mené nous a permis de nous rendre compte que sur le ressort de la cour de Nancy – qui comporte trois départements : la Meurthe-et-Moselle, les Vosges et la Meuse – nous étions, du point de vue judiciaire, face à des situations complètement différentes. En Meurthe-et-Moselle, tout le contentieux mna est géré en assistance éducative sur le tribunal pour enfants (tpe) de Nancy et regroupé auprès d’un seul et même juge des enfants dont une partie importante du cabinet est dédiée à ce contentieux, et ce afin d’assurer une cohérence de la gestion des dossiers au niveau départemental. Il n’y a aucun dossier en tutelle.
En Meuse, la situation est intermédiaire. C’est-à-dire qu’une fois l’évaluation faite et la minorité acquise, le juge des enfants est saisi…Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78372 Réservation
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DisponibleC’est en France que je souhaite faire ma vie / Souleymane in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : C’est en France que je souhaite faire ma vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Souleymane ; Philippe Vanrietvelde Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 77-81 Note générale : Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance Langues : Français (fre) Mots-clés : IPPJ MENA récits Choc culturel Résumé : « J’ai 19 ans. Je suis originaire de la République de Guinée, qu’on appelle souvent Guinée-Conakry (du nom de sa capitale), et qui se situe en Afrique de l’Ouest. Bordée par l’océan Atlantique Nord, elle a des frontières communes avec la République de Guinée-Bissau, le Sénégal, le Mali, la Côte-d’Ivoire, la Sierra Leone et le Liberia. La langue officielle est le français, mais plus de vingt ethnies parlent leur propre langue. Mon pays est divisé en quatre régions : la Basse-Guinée, zone côtière, maritime, peuplée à 75 % de Soussous ; la Moyenne-Guinée, zone montagneuse habitée par une majorité de Peuls ; la Haute-Guinée, région des savanes, où vivent essentiellement les Malinkés ; la Guinée forestière, zone de forêts au sud-est. Je suis né en Moyenne-Guinée, où l’on parle le français, le pular, le bassari et le jalonké. Le climat y est humide, un peu froid. Je suis un Peul et je pratique la religion musulmane. Les Peuls ont été longtemps des nomades qui se déplaçaient en fonction des pâturages. La Guinée, c’est mon pays, c’est là où j’ai grandi. C’est ma terre natale. J’espère y retourner pour rendre visite à ma famille mais c’est en France que je souhaite faire ma vie.
Sur mon parcours migratoire je porte un regard à la fois négatif et positif. Négatif car je garde le souvenir des nombreux obstacles que j’ai dû affronter, parfois au péril de ma vie, au cours d’un voyage qui fut très long, loin de ma famille et de mes amis que j’ai dû quitter. Positif parce que j’ai fait beaucoup de rencontres…Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78373
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 77-81[article] C’est en France que je souhaite faire ma vie [texte imprimé] / Souleymane ; Philippe Vanrietvelde . - 2019 . - p. 77-81.
Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 77-81
Mots-clés : IPPJ MENA récits Choc culturel Résumé : « J’ai 19 ans. Je suis originaire de la République de Guinée, qu’on appelle souvent Guinée-Conakry (du nom de sa capitale), et qui se situe en Afrique de l’Ouest. Bordée par l’océan Atlantique Nord, elle a des frontières communes avec la République de Guinée-Bissau, le Sénégal, le Mali, la Côte-d’Ivoire, la Sierra Leone et le Liberia. La langue officielle est le français, mais plus de vingt ethnies parlent leur propre langue. Mon pays est divisé en quatre régions : la Basse-Guinée, zone côtière, maritime, peuplée à 75 % de Soussous ; la Moyenne-Guinée, zone montagneuse habitée par une majorité de Peuls ; la Haute-Guinée, région des savanes, où vivent essentiellement les Malinkés ; la Guinée forestière, zone de forêts au sud-est. Je suis né en Moyenne-Guinée, où l’on parle le français, le pular, le bassari et le jalonké. Le climat y est humide, un peu froid. Je suis un Peul et je pratique la religion musulmane. Les Peuls ont été longtemps des nomades qui se déplaçaient en fonction des pâturages. La Guinée, c’est mon pays, c’est là où j’ai grandi. C’est ma terre natale. J’espère y retourner pour rendre visite à ma famille mais c’est en France que je souhaite faire ma vie.
Sur mon parcours migratoire je porte un regard à la fois négatif et positif. Négatif car je garde le souvenir des nombreux obstacles que j’ai dû affronter, parfois au péril de ma vie, au cours d’un voyage qui fut très long, loin de ma famille et de mes amis que j’ai dû quitter. Positif parce que j’ai fait beaucoup de rencontres…Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78373 Réservation
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DisponibleBesoins universels et spécifiques des mineurs non accompagnés : quelle prise en charge ? in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : Besoins universels et spécifiques des mineurs non accompagnés : quelle prise en charge ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 82-91 Note générale : Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance Langues : Français (fre) Mots-clés : MENA BESOINS FONDAMENTAUX : ENFANTS ACCOMPAGNEMENT Résumé : « La France, de même que d’autres États-membres de l’Union européenne, accueille sur son sol plusieurs milliers de jeunes étrangers isolés, mineurs et jeunes majeurs. Ils seraient environ 8 000 à ce jour. Ce phénomène, dont l’ampleur se confirme depuis une quinzaine d’années, apparaît durable. […] Les conditions et modalités de prise en charge de ces jeunes sont extrêmement préoccupantes. »
Le 31 mai 2013, la circulaire Taubira fixe le cadre et les modalités de prise en charge face à l’arrivée en constante augmentation de mineurs, à l’époque appelés « mineurs isolés étrangers » (mie). Au sein de -l’Association de Sauvegarde de l’Enfant à l’Adulte 01 (adsea01), nous faisons le choix d’ouvrir un dispositif que nous nommons ddamie01 : dispositif départemental des mineurs non accompagnés.
Son ouverture en 2013 crée une véritable émulation en interne comme en externe (recrutement, partenaires, associations militantes). Le public des mna attire, questionne et entraîne beaucoup d’empathie : Comment allons-nous les accompagner ? Quel est leur niveau scolaire ? Pourquoi sont-ils là ? Quel a été leur parcours d’exil ? Quel est leur lien avec leur famille restée au pays ? Nous accueillons alors quarante jeunes âgés de 16 à18 ans.
En phase d’expérimentation, les six travailleurs sociaux recrutés pour cet accompagnement ainsi que le psychologue planchent sur la manière de mettre en place une prise en charge adaptée. Issue de la protection de l’enfance et du milieu de l’insertion, l’association insiste sur les questions de régularisation, d’interculturalité, la gestion du quotidien découlant des expériences des professionnels présents…Note de contenu :
Expérimenter l’accompagnement d’un nouveau public
Augmenter les moyens humains et les dédier à des spécificités d’accompagnement
La construction de pratiques adaptées au public mineur non accompagné
Les besoins à satisfaire en direction des mna…
… L’accompagnement mis en place par le ddamie pour les satisfaire
Le choix de ne pas satisfaire certains besoins dans l’intérêt du mineur
Le ddamie aujourd’hui, ses futurs chantiers
La mise en place d’une plateforme d’accueil et d’évaluation
La mise en place d’un accompagnement adapté à l’autonomie des jeunes et à leurs besoins
Travailler le retour des mna albanais en AlbaniePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78374
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 82-91[article] Besoins universels et spécifiques des mineurs non accompagnés : quelle prise en charge ? [texte imprimé] . - 2019 . - p. 82-91.
Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 82-91
Mots-clés : MENA BESOINS FONDAMENTAUX : ENFANTS ACCOMPAGNEMENT Résumé : « La France, de même que d’autres États-membres de l’Union européenne, accueille sur son sol plusieurs milliers de jeunes étrangers isolés, mineurs et jeunes majeurs. Ils seraient environ 8 000 à ce jour. Ce phénomène, dont l’ampleur se confirme depuis une quinzaine d’années, apparaît durable. […] Les conditions et modalités de prise en charge de ces jeunes sont extrêmement préoccupantes. »
Le 31 mai 2013, la circulaire Taubira fixe le cadre et les modalités de prise en charge face à l’arrivée en constante augmentation de mineurs, à l’époque appelés « mineurs isolés étrangers » (mie). Au sein de -l’Association de Sauvegarde de l’Enfant à l’Adulte 01 (adsea01), nous faisons le choix d’ouvrir un dispositif que nous nommons ddamie01 : dispositif départemental des mineurs non accompagnés.
Son ouverture en 2013 crée une véritable émulation en interne comme en externe (recrutement, partenaires, associations militantes). Le public des mna attire, questionne et entraîne beaucoup d’empathie : Comment allons-nous les accompagner ? Quel est leur niveau scolaire ? Pourquoi sont-ils là ? Quel a été leur parcours d’exil ? Quel est leur lien avec leur famille restée au pays ? Nous accueillons alors quarante jeunes âgés de 16 à18 ans.
En phase d’expérimentation, les six travailleurs sociaux recrutés pour cet accompagnement ainsi que le psychologue planchent sur la manière de mettre en place une prise en charge adaptée. Issue de la protection de l’enfance et du milieu de l’insertion, l’association insiste sur les questions de régularisation, d’interculturalité, la gestion du quotidien découlant des expériences des professionnels présents…Note de contenu :
Expérimenter l’accompagnement d’un nouveau public
Augmenter les moyens humains et les dédier à des spécificités d’accompagnement
La construction de pratiques adaptées au public mineur non accompagné
Les besoins à satisfaire en direction des mna…
… L’accompagnement mis en place par le ddamie pour les satisfaire
Le choix de ne pas satisfaire certains besoins dans l’intérêt du mineur
Le ddamie aujourd’hui, ses futurs chantiers
La mise en place d’une plateforme d’accueil et d’évaluation
La mise en place d’un accompagnement adapté à l’autonomie des jeunes et à leurs besoins
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DisponibleAdolescents de l’exil et dé-placement dans le judiciaire : Au cœur d’une clinique en construction / Elsa de Grenier de Latour in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : Adolescents de l’exil et dé-placement dans le judiciaire : Au cœur d’une clinique en construction Type de document : texte imprimé Auteurs : Elsa de Grenier de Latour ; Siham Ez Zajjari ; Julie Vanhalst Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 92-100 Note générale : Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance Langues : Français (fre) Mots-clés : Adolescents Errance traumatisme Placement Résumé : Ces dernières années, face à la recrudescence de migrants présentant des troubles psychiques, potentiellement en lien direct avec leur expérience migratoire, la thématique de l’exil suscite de façon accrue l’intérêt des professionnels de la santé mentale. Cette clinique en construction s’articule à un contexte historique et socio-politique dont il est pertinent de tenir compte dans notre pratique. Précisons cependant que les modalités spécifiques de la clinique transculturelle n’ont pas été mises en œuvre dans les cas évoqués.
La migration « conquérante » d’une rive à l’autre de la Méditerranée, la « harga » qui consiste à brûler ses papiers d’identité, les frontières et les lois, s’inscrirait dans un effort de subjectivation pour poser un « acte » à part entière, singularisant, inédit et décisif. Sur le même modèle, le passage à l’acte délinquant, tel que nous avons pu l’appréhender dans le contexte de la pjj, témoignerait d’une désorientation multiforme, sous le double joug d’exigences adaptatives vitales et d’enjeux identitaires pressants que nous avons tenté d’esquisser.
Qu’est-ce qui se joue, et se rejoue parfois dans l’accueil et dans la relation à ces adolescents sur la scène institutionnelle ? De la mise en « actes » à la mise en scène corporelle, qu’est-ce qui fait réellement trace du trauma dans le corps adolescent ? Finalement, l’exil vécu par ces jeunes serait-il une forme exacerbée du processus adolescent ou aurait-il au contraire pour fonction de l’esquiver …Note de contenu :
Rencontre avec l’adolescent en errance
Le traumatisme de l’exil à l’épreuve du corps adolescent
Exil et placement : de l’impensable du lien au lien impossible
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78375
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 92-100[article] Adolescents de l’exil et dé-placement dans le judiciaire : Au cœur d’une clinique en construction [texte imprimé] / Elsa de Grenier de Latour ; Siham Ez Zajjari ; Julie Vanhalst . - 2019 . - p. 92-100.
Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 92-100
Mots-clés : Adolescents Errance traumatisme Placement Résumé : Ces dernières années, face à la recrudescence de migrants présentant des troubles psychiques, potentiellement en lien direct avec leur expérience migratoire, la thématique de l’exil suscite de façon accrue l’intérêt des professionnels de la santé mentale. Cette clinique en construction s’articule à un contexte historique et socio-politique dont il est pertinent de tenir compte dans notre pratique. Précisons cependant que les modalités spécifiques de la clinique transculturelle n’ont pas été mises en œuvre dans les cas évoqués.
La migration « conquérante » d’une rive à l’autre de la Méditerranée, la « harga » qui consiste à brûler ses papiers d’identité, les frontières et les lois, s’inscrirait dans un effort de subjectivation pour poser un « acte » à part entière, singularisant, inédit et décisif. Sur le même modèle, le passage à l’acte délinquant, tel que nous avons pu l’appréhender dans le contexte de la pjj, témoignerait d’une désorientation multiforme, sous le double joug d’exigences adaptatives vitales et d’enjeux identitaires pressants que nous avons tenté d’esquisser.
Qu’est-ce qui se joue, et se rejoue parfois dans l’accueil et dans la relation à ces adolescents sur la scène institutionnelle ? De la mise en « actes » à la mise en scène corporelle, qu’est-ce qui fait réellement trace du trauma dans le corps adolescent ? Finalement, l’exil vécu par ces jeunes serait-il une forme exacerbée du processus adolescent ou aurait-il au contraire pour fonction de l’esquiver …Note de contenu :
Rencontre avec l’adolescent en errance
Le traumatisme de l’exil à l’épreuve du corps adolescent
Exil et placement : de l’impensable du lien au lien impossible
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78375 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleTrauma et mineurs non accompagnés: Une approche clinique psychodynamique / Pilios-Dimitris Stavrou in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : Trauma et mineurs non accompagnés: Une approche clinique psychodynamique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pilios-Dimitris Stavrou Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 101-109 Note générale : Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance Langues : Français (fre) Mots-clés : Trauma MENA (Mineurs étrangers non accompagnés) MENA Résumé : Actuellement, à cause des guerres et des émeutes, du non-respect des droits humains fondamentaux, de la crise économique et en plus des catastrophes naturelles, tous les pays européens se trouvent confrontés à une situation politique sans solution politique possible , à savoir l’arrivée sur leur territoire de populations (réfugiés et émigrants) de tous âges, nationalités et sexes, à la recherche de protection ou d’une vie meilleure.
Concernant la Grèce, les données officielles estiment que 817 175 personnes ont traversé les frontières gréco-turques dans la période août 2015-mars 2016, mais non officiellement ce nombre s’est élevé à environ un million de personnes. Plus récemment, en octobre 2017, le nombre des réfugiés et émigrants en Grèce est estimé à 60 000. De ce grand flux humain, 64 % est constitué par des hommes, 36 % par des femmes. La donnée à souligner est le nombre très élevé de personnes de moins de 18 ans : 24,5 % des hommes et 31,9 % des femmes appartiennent à cette catégorie. Le nombre estimé des mineurs migrants non accompagnés en Grèce s’élève à 3 150 (National Centre for Social Solidarity, 2017). Ces données officielles des mineurs migrants non accompagnés ne se réfèrent qu’à ceux qui ont déposé une demande d’asile ou de rattachement familial et à ceux qui sont hébergés dans des structures d’accueil.
En dépit de l’existence de normes et règles internationales et communautaires applicables à l’ensemble des vingt-sept États membres de l’Union européenne, ces jeunes reçoivent un accueil et une prise en charge différents et variables d’un pays à l’autre…Note de contenu :
L’état des lieux
Le trauma, la désymbolisation et la résilience chez les mineurs migrants non accompagnés en Grèce
Le trauma
La désymbolisation
La résilience et les fonctions exécutives
Intégration et reconstitution de soi : le droit à l’éducation et le groupe de paroles
Le droit à l’éducation
Le groupe de parolesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78376
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 101-109[article] Trauma et mineurs non accompagnés: Une approche clinique psychodynamique [texte imprimé] / Pilios-Dimitris Stavrou . - 2019 . - p. 101-109.
Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 101-109
Mots-clés : Trauma MENA (Mineurs étrangers non accompagnés) MENA Résumé : Actuellement, à cause des guerres et des émeutes, du non-respect des droits humains fondamentaux, de la crise économique et en plus des catastrophes naturelles, tous les pays européens se trouvent confrontés à une situation politique sans solution politique possible , à savoir l’arrivée sur leur territoire de populations (réfugiés et émigrants) de tous âges, nationalités et sexes, à la recherche de protection ou d’une vie meilleure.
Concernant la Grèce, les données officielles estiment que 817 175 personnes ont traversé les frontières gréco-turques dans la période août 2015-mars 2016, mais non officiellement ce nombre s’est élevé à environ un million de personnes. Plus récemment, en octobre 2017, le nombre des réfugiés et émigrants en Grèce est estimé à 60 000. De ce grand flux humain, 64 % est constitué par des hommes, 36 % par des femmes. La donnée à souligner est le nombre très élevé de personnes de moins de 18 ans : 24,5 % des hommes et 31,9 % des femmes appartiennent à cette catégorie. Le nombre estimé des mineurs migrants non accompagnés en Grèce s’élève à 3 150 (National Centre for Social Solidarity, 2017). Ces données officielles des mineurs migrants non accompagnés ne se réfèrent qu’à ceux qui ont déposé une demande d’asile ou de rattachement familial et à ceux qui sont hébergés dans des structures d’accueil.
En dépit de l’existence de normes et règles internationales et communautaires applicables à l’ensemble des vingt-sept États membres de l’Union européenne, ces jeunes reçoivent un accueil et une prise en charge différents et variables d’un pays à l’autre…Note de contenu :
L’état des lieux
Le trauma, la désymbolisation et la résilience chez les mineurs migrants non accompagnés en Grèce
Le trauma
La désymbolisation
La résilience et les fonctions exécutives
Intégration et reconstitution de soi : le droit à l’éducation et le groupe de paroles
Le droit à l’éducation
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DisponibleUne chienne d’idée ! / Isabelle Delahaye in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : Une chienne d’idée ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Delahaye Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 127-134 Langues : Français (fre) Mots-clés : MENA thérapie animale médiation animale thérapie, trouble cognitif, zoothérapie Résumé : Poulaillers en epe ; équithérapie ; parfois même alligator, mygale, iguane… en epm [1] ; la médiation animale est de plus en plus utilisée comme levier dans la relation éducative et facteur de restauration affective auprès des mineurs en difficulté. C’est dans le cadre de la réalisation de son mémoire d’éducatrice de la Protection judiciaire de la jeunesse (pjj), qu’Isabelle Delahaye a mené à bien une expérimentation : avoir recours à la médiation canine, en milieu ouvert, pour travailler avec les jeunes la distanciation, le lien à l’autre ou encore la valorisation et la confiance. Et comme le dirait la chanson : « Voilà une chienne d’idée. Faut qu’on la pique avant [2] Note de contenu : S’inspirer des premières données scientifiques…
Pour proposer une expérimentation en milieu ouvert
Des résultats prometteurs
Une expérience extrêmement positivePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78377
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 127-134[article] Une chienne d’idée ! [texte imprimé] / Isabelle Delahaye . - 2019 . - p. 127-134.
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 127-134
Mots-clés : MENA thérapie animale médiation animale thérapie, trouble cognitif, zoothérapie Résumé : Poulaillers en epe ; équithérapie ; parfois même alligator, mygale, iguane… en epm [1] ; la médiation animale est de plus en plus utilisée comme levier dans la relation éducative et facteur de restauration affective auprès des mineurs en difficulté. C’est dans le cadre de la réalisation de son mémoire d’éducatrice de la Protection judiciaire de la jeunesse (pjj), qu’Isabelle Delahaye a mené à bien une expérimentation : avoir recours à la médiation canine, en milieu ouvert, pour travailler avec les jeunes la distanciation, le lien à l’autre ou encore la valorisation et la confiance. Et comme le dirait la chanson : « Voilà une chienne d’idée. Faut qu’on la pique avant [2] Note de contenu : S’inspirer des premières données scientifiques…
Pour proposer une expérimentation en milieu ouvert
Des résultats prometteurs
Une expérience extrêmement positivePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78377 Réservation
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