Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
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Animaux réservoirs de pathogènes pour l'homme Mention de date : Mai 2015
Paru le : 01/05/2015
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[article]
Titre : |
Rôle des animaux vertébrés dans l’épidémiologie des zoonoses |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
François Moutou |
Année de publication : |
2015 |
Article en page(s) : |
p. 25-33 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Zoonoses êtres humains réservoir vertébrés épidémiologie biodiversité |
Résumé : |
Les zoonoses, distinguées ici des maladies humaines d’origine animale, représentent un ensemble d’entités pathologiques dont les agents responsables circulent régulièrement entre l’espèce humaine et de nombreuses espèces de vertébrés. L’analyse de divers exemples, quelles que soient les voies de transmission et les causes favorisantes de la contamination, met en avant une régulière rareté du passage direct du réservoir animal vers l’espèce humaine, à opposer à la diversité et surtout à la gravité possible des évolutions sanitaires ultérieures possibles, parfois liées à des comportements humains peu adaptés. D’un point de vue pratique, il semblerait plus pertinent de se pencher d’abord sur un meilleur contrôle de la diffusion des agents pathogènes au sein des populations humaines que d’agir a priori sur le réservoir animal, qu’il soit domestique ou sauvage, source potentielle de ces agents pathogènes mais selon des modalités difficiles à anticiper. La relation entre biodiversité et santé est abordée à l’occasion de la discussion. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76841 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 472 (Mai 2015) . - p. 25-33
[article] Rôle des animaux vertébrés dans l’épidémiologie des zoonoses [texte imprimé] / François Moutou . - 2015 . - p. 25-33. Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 472 (Mai 2015) . - p. 25-33
Mots-clés : |
Zoonoses êtres humains réservoir vertébrés épidémiologie biodiversité |
Résumé : |
Les zoonoses, distinguées ici des maladies humaines d’origine animale, représentent un ensemble d’entités pathologiques dont les agents responsables circulent régulièrement entre l’espèce humaine et de nombreuses espèces de vertébrés. L’analyse de divers exemples, quelles que soient les voies de transmission et les causes favorisantes de la contamination, met en avant une régulière rareté du passage direct du réservoir animal vers l’espèce humaine, à opposer à la diversité et surtout à la gravité possible des évolutions sanitaires ultérieures possibles, parfois liées à des comportements humains peu adaptés. D’un point de vue pratique, il semblerait plus pertinent de se pencher d’abord sur un meilleur contrôle de la diffusion des agents pathogènes au sein des populations humaines que d’agir a priori sur le réservoir animal, qu’il soit domestique ou sauvage, source potentielle de ces agents pathogènes mais selon des modalités difficiles à anticiper. La relation entre biodiversité et santé est abordée à l’occasion de la discussion. |
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./index.php?lvl=notice_display&id=76841 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
La rage animale : risques autochtones et d’importation, mesures à prendre |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Nadia Haddad ; Hervé Bourhy |
Année de publication : |
2015 |
Article en page(s) : |
p. 35-49 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Rage chien : RABV EBLV variant desmodin vaccination lutte sanitaire introduction illégale zoonose négligée |
Résumé : |
La rage est une zoonose majeure et toujours mortelle à de très rares exceptions près. Le nombre de décès par an estimé par l’Organisation mondiale de la Santé est d’environ 60 000. Au sein du genre Lyssavirus, l’espèce rage (RABV) est en cause dans la quasi-totalité des cas, avec dans plus de 98% des cas le chien comme source de contamination pour l’homme et les autres espèces de mammifères. Ces décès surviennent pour la plupart dans les pays en développement. Dans de nombreux pays développés dont la France, la rage du chien a été éliminée depuis près d’un siècle, grâce à la combinaison de méthodes vaccinales et sanitaires. Ceci explique pourquoi aucun cas de rage humaine autochtone n’a été observé en France métropolitaine depuis 1924. Cependant, un cas de rage humaine est survenu en Guyane en 2008 du fait de la circulation du variant desmodin de RABV parmi les populations de chauves-souris vampires. Certains carnivores sauvages peuvent aussi jouer le rôle de réservoirs de variants de RABV qui leur sont adaptés. C’est ainsi que la France a été infectée par un variant vulpin de 1968 à 1998 avant d’en être débarrassée grâce à la mise en place de la vaccination orale des renards. Aujourd’hui, les seuls cas de rage animale à virus RABV auxquels la France est confrontée en France métropolitaine sont associés à des carnivores domestiques en incubation de rage lors de leur entrée en France dans des conditions non réglementaires. Parmi les autres espèces de Lyssavirus identifiées à ce jour, six sont actuellement reconnues zoonotiques. Elles ont pour la plupart des chiroptères de l’Ancien Monde comme réservoirs. En France, le virus de chauves-souris européennes EBLV-1 circule notamment parmi les sérotines et deux cas félins ont été décrits à ce jour. Une grande vigilance s’impose donc vis-à-vis du risque rabique sous toutes ses formes, et cette situation nécessite d’amplifier la lutte contre cette zoonose négligée dans les pays où la rage reste enzootique. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76842 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 472 (Mai 2015) . - p. 35-49
[article] La rage animale : risques autochtones et d’importation, mesures à prendre [texte imprimé] / Nadia Haddad ; Hervé Bourhy . - 2015 . - p. 35-49. Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 472 (Mai 2015) . - p. 35-49
Mots-clés : |
Rage chien : RABV EBLV variant desmodin vaccination lutte sanitaire introduction illégale zoonose négligée |
Résumé : |
La rage est une zoonose majeure et toujours mortelle à de très rares exceptions près. Le nombre de décès par an estimé par l’Organisation mondiale de la Santé est d’environ 60 000. Au sein du genre Lyssavirus, l’espèce rage (RABV) est en cause dans la quasi-totalité des cas, avec dans plus de 98% des cas le chien comme source de contamination pour l’homme et les autres espèces de mammifères. Ces décès surviennent pour la plupart dans les pays en développement. Dans de nombreux pays développés dont la France, la rage du chien a été éliminée depuis près d’un siècle, grâce à la combinaison de méthodes vaccinales et sanitaires. Ceci explique pourquoi aucun cas de rage humaine autochtone n’a été observé en France métropolitaine depuis 1924. Cependant, un cas de rage humaine est survenu en Guyane en 2008 du fait de la circulation du variant desmodin de RABV parmi les populations de chauves-souris vampires. Certains carnivores sauvages peuvent aussi jouer le rôle de réservoirs de variants de RABV qui leur sont adaptés. C’est ainsi que la France a été infectée par un variant vulpin de 1968 à 1998 avant d’en être débarrassée grâce à la mise en place de la vaccination orale des renards. Aujourd’hui, les seuls cas de rage animale à virus RABV auxquels la France est confrontée en France métropolitaine sont associés à des carnivores domestiques en incubation de rage lors de leur entrée en France dans des conditions non réglementaires. Parmi les autres espèces de Lyssavirus identifiées à ce jour, six sont actuellement reconnues zoonotiques. Elles ont pour la plupart des chiroptères de l’Ancien Monde comme réservoirs. En France, le virus de chauves-souris européennes EBLV-1 circule notamment parmi les sérotines et deux cas félins ont été décrits à ce jour. Une grande vigilance s’impose donc vis-à-vis du risque rabique sous toutes ses formes, et cette situation nécessite d’amplifier la lutte contre cette zoonose négligée dans les pays où la rage reste enzootique. |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
L’origine zoonotique de l’hépatite E dans les pays industrialisés |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Nicole Pavio |
Année de publication : |
2015 |
Article en page(s) : |
p. 51-58 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Hépatite E zoonose alimentaire porc réservoir porcin transmissions inter-espèces |
Résumé : |
Dans les pays industrialisés, les hépatites entéro-transmissibles sont encore trop souvent considérées comme des maladies importées des régions endémiques. Les avancées réalisées dans l’épidémiologie de l’hépatite virale E ont révélé qu’elle était le plus souvent autochtone et qu’elle avait une origine zoonotique. En effet, l’identification récente de réservoirs animaux hébergeant des souches de VHE transmissibles à l’homme souligne son originalité par rapport aux autres virus des hépatites quasiment exclusivement humains. Ainsi le contact avec des animaux ou la consommation d’aliments infectés est un facteur de risque d’exposition au VHE. Par ailleurs, différentes formes cliniques de l’hépatite virale E ont été mieux caractérisées, en particulier des formes chroniques ou neurologiques jusqu’alors totalement ignorées. L’hépatite virale E est donc une zoonose alimentaire pouvant entraîner des pathologies lourdes et constitue un problème majeur de santé publique. Les efforts de maîtrise de cette maladie doivent être poursuivis aussi bien aux niveaux des réservoirs animaux et de la chaîne de transmission qu’en santé humaine. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76843 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 472 (Mai 2015) . - p. 51-58
[article] L’origine zoonotique de l’hépatite E dans les pays industrialisés [texte imprimé] / Nicole Pavio . - 2015 . - p. 51-58. Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 472 (Mai 2015) . - p. 51-58
Mots-clés : |
Hépatite E zoonose alimentaire porc réservoir porcin transmissions inter-espèces |
Résumé : |
Dans les pays industrialisés, les hépatites entéro-transmissibles sont encore trop souvent considérées comme des maladies importées des régions endémiques. Les avancées réalisées dans l’épidémiologie de l’hépatite virale E ont révélé qu’elle était le plus souvent autochtone et qu’elle avait une origine zoonotique. En effet, l’identification récente de réservoirs animaux hébergeant des souches de VHE transmissibles à l’homme souligne son originalité par rapport aux autres virus des hépatites quasiment exclusivement humains. Ainsi le contact avec des animaux ou la consommation d’aliments infectés est un facteur de risque d’exposition au VHE. Par ailleurs, différentes formes cliniques de l’hépatite virale E ont été mieux caractérisées, en particulier des formes chroniques ou neurologiques jusqu’alors totalement ignorées. L’hépatite virale E est donc une zoonose alimentaire pouvant entraîner des pathologies lourdes et constitue un problème majeur de santé publique. Les efforts de maîtrise de cette maladie doivent être poursuivis aussi bien aux niveaux des réservoirs animaux et de la chaîne de transmission qu’en santé humaine. |
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./index.php?lvl=notice_display&id=76843 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
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[article]
Titre : |
L’infection à Mycobacterium bovis en France en 2014 : recrudescence et inquiétudes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Barbara Dufour ; Jean-Jacques Bénet |
Année de publication : |
2015 |
Article en page(s) : |
p. 67-75 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Tuberculose bovine Mycobacterium bovis France facteurs de réémergence |
Résumé : |
Pratiquement quarante ans après le lancement à l’échelle nationale (1963) du plan d’éradication de la tuberculose bovine (infection à Mycobacterium bovis) dans les élevages, la France a obtenu (décembre 2000) le statut européen de pays « officiellement indemne de tuberculose bovine ». L’infection n’a toutefois pas totalement disparu des élevages français et une certaine tendance à la recrudescence de l’infection dans les élevages inquiète les autorités sanitaires. Parallèlement, l’infection a été identifiée dans la faune sauvage en 2001 en Normandie sur des cervidés, puis dans d’autres régions sur des sangliers et des blaireaux.
Les causes possibles d’une telle recrudescence sont analysées dans cet article. En supplément des facteurs de risque traditionnels (résurgence de l’infection dans des foyers, introduction d’animaux infectés et risques liés au voisinage avec des exploitations infectées), de nouveaux facteurs de risque sont apparus ; ils sont liés :
– à la limite des outils de dépistage qui en situation de très faible prévalence présentent des valeurs prédictives positives très basses ;
– à la taille des troupeaux et aux modalités d’élevage augmentant les risques d’infection notamment des élevages producteurs de viande ;
– à l’infection dans la faune sauvage qui au départ est une conséquence de l’infection bovine mais qui peut également, par des contacts indirects (fréquentation des mêmes points ou de pâturages communs), contaminer des élevages sains.
Malgré cette recrudescence, les risques de transmission à l’homme de cette infection zoonotique demeurent en France en 2015 très faibles. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76845 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 472 (Mai 2015) . - p. 67-75
[article] L’infection à Mycobacterium bovis en France en 2014 : recrudescence et inquiétudes [texte imprimé] / Barbara Dufour ; Jean-Jacques Bénet . - 2015 . - p. 67-75. Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 472 (Mai 2015) . - p. 67-75
Mots-clés : |
Tuberculose bovine Mycobacterium bovis France facteurs de réémergence |
Résumé : |
Pratiquement quarante ans après le lancement à l’échelle nationale (1963) du plan d’éradication de la tuberculose bovine (infection à Mycobacterium bovis) dans les élevages, la France a obtenu (décembre 2000) le statut européen de pays « officiellement indemne de tuberculose bovine ». L’infection n’a toutefois pas totalement disparu des élevages français et une certaine tendance à la recrudescence de l’infection dans les élevages inquiète les autorités sanitaires. Parallèlement, l’infection a été identifiée dans la faune sauvage en 2001 en Normandie sur des cervidés, puis dans d’autres régions sur des sangliers et des blaireaux.
Les causes possibles d’une telle recrudescence sont analysées dans cet article. En supplément des facteurs de risque traditionnels (résurgence de l’infection dans des foyers, introduction d’animaux infectés et risques liés au voisinage avec des exploitations infectées), de nouveaux facteurs de risque sont apparus ; ils sont liés :
– à la limite des outils de dépistage qui en situation de très faible prévalence présentent des valeurs prédictives positives très basses ;
– à la taille des troupeaux et aux modalités d’élevage augmentant les risques d’infection notamment des élevages producteurs de viande ;
– à l’infection dans la faune sauvage qui au départ est une conséquence de l’infection bovine mais qui peut également, par des contacts indirects (fréquentation des mêmes points ou de pâturages communs), contaminer des élevages sains.
Malgré cette recrudescence, les risques de transmission à l’homme de cette infection zoonotique demeurent en France en 2015 très faibles. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76845 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Les animaux vertébrés et les maladies dues à des bactéries vectorisées par les tiques |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Henri-Jean Boulouis ; Anne-Claire Lagrée ; Thibaud Dugat |
Année de publication : |
2015 |
Article en page(s) : |
p. 77-87 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Tique Anaplasma phagocytophilum Borrelia burgdorferi Bartonella vinsonii berkhoffii Rickettsia conorii R. slovaca |
Résumé : |
Les animaux vertébrés (mammifères, oiseaux, reptiles) occupent une place centrale dans la biologie des bactéries transmises par les tiques, en tant que réservoirs de bactéries mais aussi en participant au cycle reproductif des tiques vectrices. Par ailleurs, les animaux domestiques peuvent présenter des tableaux cliniques proches de ceux décrits chez l’homme et le diagnostic de laboratoire fait globalement appel aux mêmes techniques. Cet article présente les principales maladies dues à des bactéries vectorisées par les tiques : la maladie de Lyme due à Borrelia burgdorferi, dont les réservoirs sont très variés (micromammifères sauvages, oiseaux lézards) et qui affecte cliniquement plusieurs espèces domestiques ; l’anaplasmose granulocytaire due à Anaplasma phagocytophilum, dont les conséquences économiques pour les élevages bovins sont importantes ; les bartonelloses à Bartonella vinsonii berkhoffii et différentes rickettsioses à Rickettsia conorii (fièvre boutonneuse méditerranéenne) et R. slovaca (TIBOLA). Les aspects épidémiologiques, cliniques et diagnostiques sont abordés pour chacune de ces maladies. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76846 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 472 (Mai 2015) . - p. 77-87
[article] Les animaux vertébrés et les maladies dues à des bactéries vectorisées par les tiques [texte imprimé] / Henri-Jean Boulouis ; Anne-Claire Lagrée ; Thibaud Dugat . - 2015 . - p. 77-87. Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 472 (Mai 2015) . - p. 77-87
Mots-clés : |
Tique Anaplasma phagocytophilum Borrelia burgdorferi Bartonella vinsonii berkhoffii Rickettsia conorii R. slovaca |
Résumé : |
Les animaux vertébrés (mammifères, oiseaux, reptiles) occupent une place centrale dans la biologie des bactéries transmises par les tiques, en tant que réservoirs de bactéries mais aussi en participant au cycle reproductif des tiques vectrices. Par ailleurs, les animaux domestiques peuvent présenter des tableaux cliniques proches de ceux décrits chez l’homme et le diagnostic de laboratoire fait globalement appel aux mêmes techniques. Cet article présente les principales maladies dues à des bactéries vectorisées par les tiques : la maladie de Lyme due à Borrelia burgdorferi, dont les réservoirs sont très variés (micromammifères sauvages, oiseaux lézards) et qui affecte cliniquement plusieurs espèces domestiques ; l’anaplasmose granulocytaire due à Anaplasma phagocytophilum, dont les conséquences économiques pour les élevages bovins sont importantes ; les bartonelloses à Bartonella vinsonii berkhoffii et différentes rickettsioses à Rickettsia conorii (fièvre boutonneuse méditerranéenne) et R. slovaca (TIBOLA). Les aspects épidémiologiques, cliniques et diagnostiques sont abordés pour chacune de ces maladies. |
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