Centre de Documentation Campus Montignies
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Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
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Traitement de l'hyperthyroïdie chez le chat Mention de date : juillet-août 2017
Paru le : 01/07/2017
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377 - juillet-août 2017 - Traitement de l'hyperthyroïdie chez le chat [texte imprimé] . - 2017. Langues : Français ( fre) |
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[article]
Titre : |
Un cas de tumeur vénérienne transmissible canine chez un jeune chien |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Élise Fonclara ; Pierre Goullet |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 12-15 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
tumeur chien sarcome de sticker |
Résumé : |
Le sarcome de sticker est une tumeur transmissible sexuellement, de rémission complète dans 90 à 95 % des cas traités par chimiothérapie.
Résumé
→ Le sarcome de Sticker, aussi appelé tumeur vénérienne transmissible canine, est une maladie sexuellement transmissible, rarement décrite en Europe occidentale. Il se manifeste habituellement par la présence de masses extragénitales associées à des écoulements séro-hémorragiques. Des localisations plus inhabituelles sont décrites : nasales, oculaires. La tumeur vénérienne transmissible canine est de très bon pronostic, en raison de son faible taux de métastases et de son excellente réponse thérapeutique à une chimiothérapie à base de vincristine ou à une radiothérapie. Cet article expose un cas typique de sarcome de Sticker chez un jeune chien importé de Roumanie et présentant des écoulements génitaux séro-hémorragiques. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76262 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 12-15
[article] Un cas de tumeur vénérienne transmissible canine chez un jeune chien [texte imprimé] / Élise Fonclara ; Pierre Goullet . - 2017 . - p. 12-15. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 12-15
Mots-clés : |
tumeur chien sarcome de sticker |
Résumé : |
Le sarcome de sticker est une tumeur transmissible sexuellement, de rémission complète dans 90 à 95 % des cas traités par chimiothérapie.
Résumé
→ Le sarcome de Sticker, aussi appelé tumeur vénérienne transmissible canine, est une maladie sexuellement transmissible, rarement décrite en Europe occidentale. Il se manifeste habituellement par la présence de masses extragénitales associées à des écoulements séro-hémorragiques. Des localisations plus inhabituelles sont décrites : nasales, oculaires. La tumeur vénérienne transmissible canine est de très bon pronostic, en raison de son faible taux de métastases et de son excellente réponse thérapeutique à une chimiothérapie à base de vincristine ou à une radiothérapie. Cet article expose un cas typique de sarcome de Sticker chez un jeune chien importé de Roumanie et présentant des écoulements génitaux séro-hémorragiques. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76262 |
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[article]
Titre : |
Traitement de l’hyperthyroïdie chez le chat [dossier] |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 29-42 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L’hyperthyroïdie féline est la dysendocrinie la plus souvent diagnostiquée. Au moment du diagnostic, les propriétaires peuvent pourtant penser que l’état général de leur chat résulte de son âge avancé et non d’une maladie. C’est pourquoi il est essentiel de leur expliquer les signes cliniques de cette affection et ses conséquences délétères sur l’organisme.
La prise en charge de ces chats doit être adaptée à chaque cas, tant cette affection est polymorphe. Une fois le traitement mis en place, un suivi précis est nécessaire, incluant une surveillance des effets secondaires éventuels.
Ce dossier vous livre des clés pratiques sur la façon de diagnostiquer l’hyperthyroïdie féline, les possibilités de traitement et des conseils pour les adapter au cas par cas. Il fait ensuite le point sur les effets secondaires des traitements médicaux, à la lumière d’une étude. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76266 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 29-42
[article] Traitement de l’hyperthyroïdie chez le chat [dossier] [texte imprimé] . - 2017 . - p. 29-42. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 29-42
Résumé : |
L’hyperthyroïdie féline est la dysendocrinie la plus souvent diagnostiquée. Au moment du diagnostic, les propriétaires peuvent pourtant penser que l’état général de leur chat résulte de son âge avancé et non d’une maladie. C’est pourquoi il est essentiel de leur expliquer les signes cliniques de cette affection et ses conséquences délétères sur l’organisme.
La prise en charge de ces chats doit être adaptée à chaque cas, tant cette affection est polymorphe. Une fois le traitement mis en place, un suivi précis est nécessaire, incluant une surveillance des effets secondaires éventuels.
Ce dossier vous livre des clés pratiques sur la façon de diagnostiquer l’hyperthyroïdie féline, les possibilités de traitement et des conseils pour les adapter au cas par cas. Il fait ensuite le point sur les effets secondaires des traitements médicaux, à la lumière d’une étude. |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
L’hyperthyroïdie féline : une gestion au cas par cas |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Lætitia Jaillardon |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 30-35 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L’hyperthyroïdie est une dysendocrinie dont la prise en charge, parfois difficile, ne répond à aucune règle, mais doit être adaptée à chaque cas.
Résumé
→ L’hyperthyroïdie est une dysendocrinie fréquemment diagnostiquée chez le chat âgé. Ses caractéristiques épidémiologiques, cliniques et biologiques permettent assez facilement d’identifier la maladie, même si, au premier abord, le propriétaire peut n’y voir que des signes de vieillesse. L’hyperthyroïdie féline est majoritairement due à une hyperplasie adénomateuse bilatérale dans près de deux tiers des cas. L’expression clinique de l’affection est consécutive à la thyrotoxicose et aux effets β-adrénergiques des hormones thyroïdiennes. Son traitement repose sur la gestion de la thyrotoxicose, soit par des antithyroïdiens de synthèse ou une alimentation désiodée, soit par une destruction élective du tissu thyroïdien atteint (radiothérapie) ou par exérèse chirurgicale. Le choix de la prise en charge n’est pas aisé. Il doit tenir compte de nombreux paramètres, parmi lesquels l’intensité de la thyrotoxicose, l’âge de l’animal au diagnostic et l’état de la fonction rénale, et selon la motivation des propriétaires (dont l’aspect financier) et de la faisabilité pratique des traitements. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76267 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 30-35
[article] L’hyperthyroïdie féline : une gestion au cas par cas [texte imprimé] / Lætitia Jaillardon . - 2017 . - p. 30-35. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 30-35
Résumé : |
L’hyperthyroïdie est une dysendocrinie dont la prise en charge, parfois difficile, ne répond à aucune règle, mais doit être adaptée à chaque cas.
Résumé
→ L’hyperthyroïdie est une dysendocrinie fréquemment diagnostiquée chez le chat âgé. Ses caractéristiques épidémiologiques, cliniques et biologiques permettent assez facilement d’identifier la maladie, même si, au premier abord, le propriétaire peut n’y voir que des signes de vieillesse. L’hyperthyroïdie féline est majoritairement due à une hyperplasie adénomateuse bilatérale dans près de deux tiers des cas. L’expression clinique de l’affection est consécutive à la thyrotoxicose et aux effets β-adrénergiques des hormones thyroïdiennes. Son traitement repose sur la gestion de la thyrotoxicose, soit par des antithyroïdiens de synthèse ou une alimentation désiodée, soit par une destruction élective du tissu thyroïdien atteint (radiothérapie) ou par exérèse chirurgicale. Le choix de la prise en charge n’est pas aisé. Il doit tenir compte de nombreux paramètres, parmi lesquels l’intensité de la thyrotoxicose, l’âge de l’animal au diagnostic et l’état de la fonction rénale, et selon la motivation des propriétaires (dont l’aspect financier) et de la faisabilité pratique des traitements. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76267 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Antithyroïdiens de synthèse : étude des effets indésirables |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Carole Keryvin ; Élisabeth Bégon ; Myriam Burger ; et al. |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 36-42 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Les effets secondaires des antithyroïdiens sont souvent transitoires, modérés et peu fréquents, mais certains peuvent nécessiter l’arrêt du traitement.
Résumé
→ L’hyperthyroïdie féline étant la première endocrinopathie dans cette espèce, le praticien généraliste est couramment confronté à cette affection dont la prise en charge thérapeutique n’est pas aisée. Les antithyroïdiens de synthèse représentent actuellement le traitement choisi en première intention. Cependant, leur utilisation entraîne parfois l’apparition d’effets indésirables. Cet article présente les résultats d’une étude menée à partir des données de pharmacovigilance enregistrées à l’Anses-ANMV et des données de suivis biologique et clinique enregistrées au LDHVet (Oniris, Nantes) afin d’identifier les effets indésirables rapportés lors de traitements avec des antithyroïdiens de synthèse. L’article évoque également le suivi des chats traités et la prise en charge des effets indésirables éventuels. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76268 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 36-42
[article] Antithyroïdiens de synthèse : étude des effets indésirables [texte imprimé] / Carole Keryvin ; Élisabeth Bégon ; Myriam Burger ; et al. . - 2017 . - p. 36-42. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 36-42
Résumé : |
Les effets secondaires des antithyroïdiens sont souvent transitoires, modérés et peu fréquents, mais certains peuvent nécessiter l’arrêt du traitement.
Résumé
→ L’hyperthyroïdie féline étant la première endocrinopathie dans cette espèce, le praticien généraliste est couramment confronté à cette affection dont la prise en charge thérapeutique n’est pas aisée. Les antithyroïdiens de synthèse représentent actuellement le traitement choisi en première intention. Cependant, leur utilisation entraîne parfois l’apparition d’effets indésirables. Cet article présente les résultats d’une étude menée à partir des données de pharmacovigilance enregistrées à l’Anses-ANMV et des données de suivis biologique et clinique enregistrées au LDHVet (Oniris, Nantes) afin d’identifier les effets indésirables rapportés lors de traitements avec des antithyroïdiens de synthèse. L’article évoque également le suivi des chats traités et la prise en charge des effets indésirables éventuels. |
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[article]
Titre : |
Mégaœsophage chez un jeune yorkshire |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Thomas Cornet ; Nicolas Del Fabbro |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 48-53 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Un mégaœsophage est une affection grave. L’absence de traitement symptomatique efficace impose la recherche systématique d’une cause sous-jacente.
Résumé
→ Une chienne yorkshire terrier âgée de 2 ans est présentée pour des régurgitations. Les radiographies cervicales et thoraciques révèlent un mégaœsophage compliqué d’une broncho-pneumonie. L’examen clinique ainsi que les différents examens complémentaires permettent d’établir un diagnostic d’hypothyroïdie et de myasthénie grave focale. Une complémentation en hormones thyroïdiennes et en anticholinestérasiques, l’instauration de mesures hygiéniques et la prise en charge des complications associées au mégaœsophage ont permis de stabiliser l’état clinique de l’animal et de limiter les signes cliniques pendant un temps. Les liens entre le mégaœsophage et l’hypothyroïdie, d’une part, et l’hypothyroïdie et la myasthénie grave (affection à médiation immune altérant les récepteurs à l’acétylcholine), d’autre part, sont suspectés, mais pas clairement établis. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76270 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 48-53
[article] Mégaœsophage chez un jeune yorkshire [texte imprimé] / Thomas Cornet ; Nicolas Del Fabbro . - 2017 . - p. 48-53. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 48-53
Résumé : |
Un mégaœsophage est une affection grave. L’absence de traitement symptomatique efficace impose la recherche systématique d’une cause sous-jacente.
Résumé
→ Une chienne yorkshire terrier âgée de 2 ans est présentée pour des régurgitations. Les radiographies cervicales et thoraciques révèlent un mégaœsophage compliqué d’une broncho-pneumonie. L’examen clinique ainsi que les différents examens complémentaires permettent d’établir un diagnostic d’hypothyroïdie et de myasthénie grave focale. Une complémentation en hormones thyroïdiennes et en anticholinestérasiques, l’instauration de mesures hygiéniques et la prise en charge des complications associées au mégaœsophage ont permis de stabiliser l’état clinique de l’animal et de limiter les signes cliniques pendant un temps. Les liens entre le mégaœsophage et l’hypothyroïdie, d’une part, et l’hypothyroïdie et la myasthénie grave (affection à médiation immune altérant les récepteurs à l’acétylcholine), d’autre part, sont suspectés, mais pas clairement établis. |
Permalink : |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Adénocarcinome des glandes apocrines chez un chat norvégien |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Laetitia Duler ; Isabelle DESMAS |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 54-58 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L’adénocarcinome des glandes apocrines anales, tumeur cutanée bien connue chez le chien, est rare chez le chat. Ce cas clinique explore la prise en charge à apporter dans cette espèce.
Résumé
→ Un chat des forêts norvégiennes âgé de 11 ans est présenté pour une masse anale chez son vétérinaire traitant. Une analyse cytologique met en évidence un adénocarcinome des glandes apocrines anales. Les examens tomodensitométriques en centre hospitalier confirment la localisation de cette masse au sac anal gauche et révèlent une adénomégalie hypogastrique. Les examens sanguins montrent une hypercalcémie possiblement paranéoplasique. Une sacculectomie bilatérale et une ablation du nœud lymphatique hypogastrique sont pratiquées. Ce cas clinique est singulier car il s’agit d’une tumeur rare et seulement quelques cas d’adénocarcinome des sacs anaux félin sont recensés dans les publications. Cette tumeur doit faire partie intégrante du diagnostic différentiel des masses anales chez le chat. Cet article évoque l’ensemble des traitements adjuvants à envisager après la chirurgie. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76271 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 54-58
[article] Adénocarcinome des glandes apocrines chez un chat norvégien [texte imprimé] / Laetitia Duler ; Isabelle DESMAS . - 2017 . - p. 54-58. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 54-58
Résumé : |
L’adénocarcinome des glandes apocrines anales, tumeur cutanée bien connue chez le chien, est rare chez le chat. Ce cas clinique explore la prise en charge à apporter dans cette espèce.
Résumé
→ Un chat des forêts norvégiennes âgé de 11 ans est présenté pour une masse anale chez son vétérinaire traitant. Une analyse cytologique met en évidence un adénocarcinome des glandes apocrines anales. Les examens tomodensitométriques en centre hospitalier confirment la localisation de cette masse au sac anal gauche et révèlent une adénomégalie hypogastrique. Les examens sanguins montrent une hypercalcémie possiblement paranéoplasique. Une sacculectomie bilatérale et une ablation du nœud lymphatique hypogastrique sont pratiquées. Ce cas clinique est singulier car il s’agit d’une tumeur rare et seulement quelques cas d’adénocarcinome des sacs anaux félin sont recensés dans les publications. Cette tumeur doit faire partie intégrante du diagnostic différentiel des masses anales chez le chat. Cet article évoque l’ensemble des traitements adjuvants à envisager après la chirurgie. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76271 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Desmorexie sacro-iliaque chez un chat : abord mini-invasif et fixation scannoguidée |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Lucie Bonneau ; Stéphane Libermann |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 60-64 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Une nouvelle approche avec contrôles répétés sous scanner permet une implantation précise de la vis et un bon résultat fonctionnel chez un chat européen de 5 ans.
Résumé
→ Un chat mâle castré est présenté à la suite d’un accident de la voie publique. Une desmorexie sacro-iliaque (DSI) unilatérale et des fractures du pubis controlatéral sont diagnostiquées à l’aide d’un examen radiographique du bassin et confirmées par un examen tomodensitométrique. Le guidage scanner permet l’ostéosynthèse de la DSI à l’aide d’une vis canulée posée sur une broche implantée au préalable dans l’axe souhaité. Chaque étape de la chirurgie est contrôlée par une acquisition du scanner. Il s’agit d’une approche mini-invasive qui réduit le traumatisme des tissus mous, et qui a permis, dans ce cas, une reprise d’appui et un retour au domicile rapides. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76272 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 60-64
[article] Desmorexie sacro-iliaque chez un chat : abord mini-invasif et fixation scannoguidée [texte imprimé] / Lucie Bonneau ; Stéphane Libermann . - 2017 . - p. 60-64. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 60-64
Résumé : |
Une nouvelle approche avec contrôles répétés sous scanner permet une implantation précise de la vis et un bon résultat fonctionnel chez un chat européen de 5 ans.
Résumé
→ Un chat mâle castré est présenté à la suite d’un accident de la voie publique. Une desmorexie sacro-iliaque (DSI) unilatérale et des fractures du pubis controlatéral sont diagnostiquées à l’aide d’un examen radiographique du bassin et confirmées par un examen tomodensitométrique. Le guidage scanner permet l’ostéosynthèse de la DSI à l’aide d’une vis canulée posée sur une broche implantée au préalable dans l’axe souhaité. Chaque étape de la chirurgie est contrôlée par une acquisition du scanner. Il s’agit d’une approche mini-invasive qui réduit le traumatisme des tissus mous, et qui a permis, dans ce cas, une reprise d’appui et un retour au domicile rapides. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76272 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Othématome traité chirurgicalement chez un chat |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pascale Bailly ; Héloïse Chemery |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 66-69 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L’othématome, bien connu chez le chien, survient aussi chez le chat, mais beaucoup plus rarement. Les traitements sont les mêmes, et leurs limites aussi.
Résumé
→ Un maine coon adulte présente un othématome déformant l’oreille droite sans atteinte du conduit auditif et objectivé par une ponction aseptique qui récolte un liquide séro-hémorragique. Un premier traitement qui consiste en une injection de Depo-Medrol® dans le pavillon associée à l’administration de marbofloxacine et de méloxicam permet une rémission, sans prévenir la récidive. Un traitement chirurgical avec une incision longitudinale est pratiqué avec des points transfixants posés sur des compresses roulées. C’est encore un échec car des plaies surinfectées apparaissent. Une seconde opération avec l’utilisation de morceaux de tubulure permet cette fois la guérison. L’othématome chez le chat est peu décrit et plus rare que chez le chien. Ses causes sont assez méconnues et une origine traumatique semble la plus fréquente. Le traitement est presque toujours chirurgical et est du même type que chez le chien (incisions, plutôt en S, puis transfixion sur supports, plutôt des compresses spéciales), avec de bons résultats à la clé. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76273 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 66-69
[article] Othématome traité chirurgicalement chez un chat [texte imprimé] / Pascale Bailly ; Héloïse Chemery . - 2017 . - p. 66-69. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 377 (juillet-août 2017) . - p. 66-69
Résumé : |
L’othématome, bien connu chez le chien, survient aussi chez le chat, mais beaucoup plus rarement. Les traitements sont les mêmes, et leurs limites aussi.
Résumé
→ Un maine coon adulte présente un othématome déformant l’oreille droite sans atteinte du conduit auditif et objectivé par une ponction aseptique qui récolte un liquide séro-hémorragique. Un premier traitement qui consiste en une injection de Depo-Medrol® dans le pavillon associée à l’administration de marbofloxacine et de méloxicam permet une rémission, sans prévenir la récidive. Un traitement chirurgical avec une incision longitudinale est pratiqué avec des points transfixants posés sur des compresses roulées. C’est encore un échec car des plaies surinfectées apparaissent. Une seconde opération avec l’utilisation de morceaux de tubulure permet cette fois la guérison. L’othématome chez le chat est peu décrit et plus rare que chez le chien. Ses causes sont assez méconnues et une origine traumatique semble la plus fréquente. Le traitement est presque toujours chirurgical et est du même type que chez le chien (incisions, plutôt en S, puis transfixion sur supports, plutôt des compresses spéciales), avec de bons résultats à la clé. |
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