[article] 
inLe Concours Médical > 19-20 (décembre 2010) . - p. 801-821

Titre :	La maladie de Parkinson : Dossier
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	2010
Article en page(s) :	p. 801-821
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	NEUROPATHOLOGIE  PARKINSON MALADIE  EPIDEMIOLOGIE  RESEAU DE SOINS  BRETAGNE  NEUROLOGIE  DIAGNOSTIC  QUALITE VIE  EDUCATION MALADE  TRAITEMENT
Résumé :	Les avancées de la recherche ne doivent pas masquer la réalité : la maladie de Parkinson (MP) est une affection le plus souvent difficile à vivre, à accompagner et à traiter. Cette difficulté illustre la fin du modèle, longtemps prévalent, qui faisait de la MP une maladie motrice, résultant d'un déficit en dopamine au sein des noyaux gris centraux, réversible sous l'action des traitements dopaminergiques. Le tableau qui émerge à présent est beaucoup plus complexe : c'est celui d'une maladie hétérogène (MP devrait s'écrire au pluriel), à l'expression clinique très variable, motrice et non motrice, dont les manifestations dépendent pour une part de mécanismes non dopaminergiques. Les traitements sont efficaces, mais de manière souvent limitée après quelques années, et leur effet est symptomatique, aucun médicament disponible n'ayant fait formellement la preuve d'un effet neuroprotecteur. Fac à ce constat, les professionnels de santé se doivent de relever le défi de la prise en charge de la MP : celle-ci ne se conçoit que de manière collaborative, chacun, médecin généraliste, neurologue, auxiliaires médicaux, associations, aidants et patient lui-même, pouvant apporter une contribution déterminante au mieux-être de la personne atteinte de MP.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=16405

[article] La maladie de Parkinson : Dossier [texte imprimé] . - 2010 . - p. 801-821.
Langues : Français (fre)
in Le Concours Médical > 19-20 (décembre 2010) . - p. 801-821

Mots-clés :	NEUROPATHOLOGIE  PARKINSON MALADIE  EPIDEMIOLOGIE  RESEAU DE SOINS  BRETAGNE  NEUROLOGIE  DIAGNOSTIC  QUALITE VIE  EDUCATION MALADE  TRAITEMENT
Résumé :	Les avancées de la recherche ne doivent pas masquer la réalité : la maladie de Parkinson (MP) est une affection le plus souvent difficile à vivre, à accompagner et à traiter. Cette difficulté illustre la fin du modèle, longtemps prévalent, qui faisait de la MP une maladie motrice, résultant d'un déficit en dopamine au sein des noyaux gris centraux, réversible sous l'action des traitements dopaminergiques. Le tableau qui émerge à présent est beaucoup plus complexe : c'est celui d'une maladie hétérogène (MP devrait s'écrire au pluriel), à l'expression clinique très variable, motrice et non motrice, dont les manifestations dépendent pour une part de mécanismes non dopaminergiques. Les traitements sont efficaces, mais de manière souvent limitée après quelques années, et leur effet est symptomatique, aucun médicament disponible n'ayant fait formellement la preuve d'un effet neuroprotecteur. Fac à ce constat, les professionnels de santé se doivent de relever le défi de la prise en charge de la MP : celle-ci ne se conçoit que de manière collaborative, chacun, médecin généraliste, neurologue, auxiliaires médicaux, associations, aidants et patient lui-même, pouvant apporter une contribution déterminante au mieux-être de la personne atteinte de MP.
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