[article] 
inLe Concours Médical > 8 (octobre 2012) . - p. 607-629

Titre :	Fibrillation atriale : Dossier
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	p. 607-629
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	ARYTHMIE  FIBRILLATION AURICULAIRE  CARDIOLOGIE
Résumé :	La fibrillation atriale (FA) est l'arythmie la plus fréquente, et sa prévalence est en constante augmentation. Plus de 600 000 Français en souffrent, ce qui se traduit par une charge socio-économique considérable. Les dernières décennies ont vu l'amélioration incontestable de la prise en charge du risque thromboembolique par les anticoagulants oraux. Et ces nouvelles molécules apportent un confort révolutionnaire aux patients sans compromettre ni la sécurité ni l'efficacité. En revanche, si l'on excepte la dronédarone, aucun nouvel antiarythmique n'est apparu depuis trente ans. De nombreux patients souffrent donc de symptômes variés malgré les différents médicaments antiarythmiques, et c'est pour cela que les méthodes ablatives se sont développées. Nous allons dans ce numéro tenter de passer en revue tous les aspects de la prise en charge de ce type d'arythmie, laquelle implique le médecin généraliste, le cardiologue et parfois le rythmologue interventionnel.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=16376

[article] Fibrillation atriale : Dossier [texte imprimé] . - 2012 . - p. 607-629.
Langues : Français (fre)
in Le Concours Médical > 8 (octobre 2012) . - p. 607-629

Mots-clés :	ARYTHMIE  FIBRILLATION AURICULAIRE  CARDIOLOGIE
Résumé :	La fibrillation atriale (FA) est l'arythmie la plus fréquente, et sa prévalence est en constante augmentation. Plus de 600 000 Français en souffrent, ce qui se traduit par une charge socio-économique considérable. Les dernières décennies ont vu l'amélioration incontestable de la prise en charge du risque thromboembolique par les anticoagulants oraux. Et ces nouvelles molécules apportent un confort révolutionnaire aux patients sans compromettre ni la sécurité ni l'efficacité. En revanche, si l'on excepte la dronédarone, aucun nouvel antiarythmique n'est apparu depuis trente ans. De nombreux patients souffrent donc de symptômes variés malgré les différents médicaments antiarythmiques, et c'est pour cela que les méthodes ablatives se sont développées. Nous allons dans ce numéro tenter de passer en revue tous les aspects de la prise en charge de ce type d'arythmie, laquelle implique le médecin généraliste, le cardiologue et parfois le rythmologue interventionnel.
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