Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Polyuro-polydipsie chez le chien et le chat Mention de date : Décembre 2018
Paru le : 01/12/2018
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[article]
Titre : |
Ataxie postérieure chez un bouledogue français |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Magdalena Olender ; Antoine Bernardé |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 13-16 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Présentation clinique
un bouledogue français femelle stérilisé de 5 ans est présenté pour des difficultés locomotrices postérieures évoluant depuis 2 mois. L’examen orthopédique des quatre membres n’a révélé aucune anomalie. L’examen à distance montre une ataxie proprioceptive et une parésie ambulatoire de type motoneurone central des membres pelviens. Les membres thoraciques sont sans anomalie. L’examen rapproché met en évidence des déficits du placer proprioceptif des deux membres pelviens. Les réflexes médullaires de ces derniers (réflexes de retrait et patellaires) sont normaux, comme ceux des deux membres thoraciques. Aucune douleur à la palpation et à la manipulation de la colonne n’est identifiée. Ces différentes anomalies sont caractéristiques d’une atteinte du motoneurone central entre les segments médullaires T3-L3. Pour l’identifier, un examen tomodensitométrique avec myélographie (myéloscanner) est réalisé (photos 1 et 2). |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77540 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 13-16
[article] Ataxie postérieure chez un bouledogue français [texte imprimé] / Magdalena Olender ; Antoine Bernardé . - 2018 . - p. 13-16. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 13-16
Résumé : |
Présentation clinique
un bouledogue français femelle stérilisé de 5 ans est présenté pour des difficultés locomotrices postérieures évoluant depuis 2 mois. L’examen orthopédique des quatre membres n’a révélé aucune anomalie. L’examen à distance montre une ataxie proprioceptive et une parésie ambulatoire de type motoneurone central des membres pelviens. Les membres thoraciques sont sans anomalie. L’examen rapproché met en évidence des déficits du placer proprioceptif des deux membres pelviens. Les réflexes médullaires de ces derniers (réflexes de retrait et patellaires) sont normaux, comme ceux des deux membres thoraciques. Aucune douleur à la palpation et à la manipulation de la colonne n’est identifiée. Ces différentes anomalies sont caractéristiques d’une atteinte du motoneurone central entre les segments médullaires T3-L3. Pour l’identifier, un examen tomodensitométrique avec myélographie (myéloscanner) est réalisé (photos 1 et 2). |
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./index.php?lvl=notice_display&id=77540 |
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[article]
Titre : |
Polyuro-polydipsie chez le chien et le chat [dossier] |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 27-44 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
polyuro-polydipsie chien chat |
Résumé : |
Tout praticien canin entend régulièrement, de la part de ses clients : « Ah ça oui, il boit bien ! » ou « Il boit beaucoup. Combien ? Oh, je dirais… une grosse gamelle » ou encore : « Il n’est pas propre et fait tout le temps pipi ».
La polyuro-polydipsie (PUPD) est rencontrée lors de nombreuses affections. Sa gravité est parfois minorée par les clients, obligeant le vétérinaire à mener une enquête sur la véritable quantité de boisson ingérée et sur les autres signes cliniques qui l’accompagnent.
Ce dossier est composé de trois parties : la première vous rappelle les cinq mécanismes qui entraînent une PUPD et constituent des prérequis indispensables pour savoir quelles maladies rechercher. La deuxième détaille l’approche pratique du syndrome pour vous permettre de structurer votre démarche et de parvenir au diagnostic. La dernière, qui relate un cas de diabète insipide central chez un chat, est une illustration concrète de la PUPD. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77544 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 27-44
[article] Polyuro-polydipsie chez le chien et le chat [dossier] [texte imprimé] . - 2018 . - p. 27-44. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 27-44
Mots-clés : |
polyuro-polydipsie chien chat |
Résumé : |
Tout praticien canin entend régulièrement, de la part de ses clients : « Ah ça oui, il boit bien ! » ou « Il boit beaucoup. Combien ? Oh, je dirais… une grosse gamelle » ou encore : « Il n’est pas propre et fait tout le temps pipi ».
La polyuro-polydipsie (PUPD) est rencontrée lors de nombreuses affections. Sa gravité est parfois minorée par les clients, obligeant le vétérinaire à mener une enquête sur la véritable quantité de boisson ingérée et sur les autres signes cliniques qui l’accompagnent.
Ce dossier est composé de trois parties : la première vous rappelle les cinq mécanismes qui entraînent une PUPD et constituent des prérequis indispensables pour savoir quelles maladies rechercher. La deuxième détaille l’approche pratique du syndrome pour vous permettre de structurer votre démarche et de parvenir au diagnostic. La dernière, qui relate un cas de diabète insipide central chez un chat, est une illustration concrète de la PUPD. |
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./index.php?lvl=notice_display&id=77544 |
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[article]
Titre : |
Le syndrome polyuro-polydipsie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Alexandra Leveque ; Clément Rodrique ; Juan Hernandez |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 34-39 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Polyuria-polydipsia syndrome clinical and diagnostic approach complementary examinations |
Résumé : |
Le syndrome polyuro-polydipsie est un motif de consultation fréquent. Ses causes sont nombreuses, une démarche systématique doit être adoptée.
Résumé
→ Le syndrome polyuro-polydipsie (PUPD) est un motif de consultation fréquent. Ses causes étant nombreuses, une démarche systématique doit être adoptée afin d’établir un diagnostic et de mettre en place un traitement de la cause. En raison des confusions anamnestiques fréquentes (pollakiurie, marquage urinaire, etc.), la confirmation du syndrome PUPD via la densité urinaire est le préalable indispensable à l’exploration. Si une hypothèse majeure se dégage, elle doit être confirmée avant d’entreprendre les examens suivants : analyse d’urine, biochimie complète (dont ionogramme et calcémie), numération et formule sanguines et échographie abdominale. Dans un certain nombre de cas, des tests de seconde intention sont indiqués pour établir le diagnostic. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77546 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 34-39
[article] Le syndrome polyuro-polydipsie [texte imprimé] / Alexandra Leveque ; Clément Rodrique ; Juan Hernandez . - 2018 . - p. 34-39. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 34-39
Mots-clés : |
Polyuria-polydipsia syndrome clinical and diagnostic approach complementary examinations |
Résumé : |
Le syndrome polyuro-polydipsie est un motif de consultation fréquent. Ses causes sont nombreuses, une démarche systématique doit être adoptée.
Résumé
→ Le syndrome polyuro-polydipsie (PUPD) est un motif de consultation fréquent. Ses causes étant nombreuses, une démarche systématique doit être adoptée afin d’établir un diagnostic et de mettre en place un traitement de la cause. En raison des confusions anamnestiques fréquentes (pollakiurie, marquage urinaire, etc.), la confirmation du syndrome PUPD via la densité urinaire est le préalable indispensable à l’exploration. Si une hypothèse majeure se dégage, elle doit être confirmée avant d’entreprendre les examens suivants : analyse d’urine, biochimie complète (dont ionogramme et calcémie), numération et formule sanguines et échographie abdominale. Dans un certain nombre de cas, des tests de seconde intention sont indiqués pour établir le diagnostic. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77546 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Un cas de diabète insipide central chez un chat |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Cyril Duperrier ; Hendrik Lenaerts ; Marion Fusellier |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 40-44 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
PUPD syndrome central diabetes insipidus MRI cat |
Résumé : |
Le syndrome polyurie-polydipsie (PUPD) est un motif de consultation fréquent. Un chat européen mâle castré, jeune, en est atteint. Ce cas clinique permet d’aborder la démarche à mettre en œuvre.
Résumé
→ Un chat mâle castré de 1 an et demi est présenté pour un syndrome polyuro-polydipsie (PUPD) depuis son adoption. Aucune anomalie n’est mise en évidence à l’examen clinique. Un diabète insipide central ou néphrogénique, une maladie rénale chronique congénitale, un diabète sucré ou une polydipsie psychogène sont suspectés en priorité. Une hyposthénurie marquée est mise en évidence à l’analyse d’urine. L’examen biochimique sanguin et l’échographie abdominale ne révèlent pas d’anomalie. Le calcul de l’osmolalité plasmatique oriente vers un diabète insipide, hypothèse confortée par la réponse à l’administration de desmopressine. Une imagerie par résonance magnétique montre un kyste comprimant l’hypophyse. Cette affection, rare chez le chat, peut aussi être associée à un processus tumoral de la glande pituitaire, ou être consécutive à un traumatisme. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77547 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 40-44
[article] Un cas de diabète insipide central chez un chat [texte imprimé] / Cyril Duperrier ; Hendrik Lenaerts ; Marion Fusellier . - 2018 . - p. 40-44. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 40-44
Mots-clés : |
PUPD syndrome central diabetes insipidus MRI cat |
Résumé : |
Le syndrome polyurie-polydipsie (PUPD) est un motif de consultation fréquent. Un chat européen mâle castré, jeune, en est atteint. Ce cas clinique permet d’aborder la démarche à mettre en œuvre.
Résumé
→ Un chat mâle castré de 1 an et demi est présenté pour un syndrome polyuro-polydipsie (PUPD) depuis son adoption. Aucune anomalie n’est mise en évidence à l’examen clinique. Un diabète insipide central ou néphrogénique, une maladie rénale chronique congénitale, un diabète sucré ou une polydipsie psychogène sont suspectés en priorité. Une hyposthénurie marquée est mise en évidence à l’analyse d’urine. L’examen biochimique sanguin et l’échographie abdominale ne révèlent pas d’anomalie. Le calcul de l’osmolalité plasmatique oriente vers un diabète insipide, hypothèse confortée par la réponse à l’administration de desmopressine. Une imagerie par résonance magnétique montre un kyste comprimant l’hypophyse. Cette affection, rare chez le chat, peut aussi être associée à un processus tumoral de la glande pituitaire, ou être consécutive à un traumatisme. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77547 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Perte d’audition à la suite de l’utilisation d’un topique auriculaire |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Charline Pressanti |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 48-49 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
l existe deux types de perte d’audition reconnue chez le chien : une perte liée à un défaut de conduction et une perte neurosensorielle. dans le premier cas, il s’agit d’un défaut de conduction du son lié à une obstruction. cette dernière peut se situer au sein de l’oreille externe (canal) ou dans l’oreille moyenne (bulle tympanique). à titre d’exemple, il peut s’agir d’une occlusion canalaire par sténose, hyperplasie tissulaire, due à la présence d’une masse ou de pus, de liquide ou de mucus. les formes neurosensorielles sont liées à un déficit intéressant l’oreille interne. il peut alors s’agir d’un trouble physique ou hydrodynamique de la cochlée et de ses récepteurs ou bien d’un trouble congénital ou acquis des voies nerveuses auditives [1]. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77548 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 48-49
[article] Perte d’audition à la suite de l’utilisation d’un topique auriculaire [texte imprimé] / Charline Pressanti . - 2018 . - p. 48-49. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 48-49
Résumé : |
l existe deux types de perte d’audition reconnue chez le chien : une perte liée à un défaut de conduction et une perte neurosensorielle. dans le premier cas, il s’agit d’un défaut de conduction du son lié à une obstruction. cette dernière peut se situer au sein de l’oreille externe (canal) ou dans l’oreille moyenne (bulle tympanique). à titre d’exemple, il peut s’agir d’une occlusion canalaire par sténose, hyperplasie tissulaire, due à la présence d’une masse ou de pus, de liquide ou de mucus. les formes neurosensorielles sont liées à un déficit intéressant l’oreille interne. il peut alors s’agir d’un trouble physique ou hydrodynamique de la cochlée et de ses récepteurs ou bien d’un trouble congénital ou acquis des voies nerveuses auditives [1]. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77548 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Causes d’hémopéritoine chez le chien |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Alexandre Caron |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 50-51 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
La proportion de lésions spléniques expliquant un hémopéritoine spontané est généralement rapportée comme beaucoup plus élevée dans des études plus anciennes que dans l’article résumé : 68 à 87 % [1, 5, 8, 9]. Toutes ces études avaient été réalisées sur des populations beaucoup plus faibles (39 à 139 chiens). L’étude résumée ici inclut plus de 600 chiens et reflète mieux la réalité, d’autant plus que les chiens n’ayant pas subi de chirurgie lors du traitement de l’hémopéritoine ont également été inclus afin de limiter les biais de sélection. Ainsi, les cas d’hémorragie splénique représentent 81 % des cas diagnostiqués lors de la chirurgie, mais seulement 47 % des cas diagnostiqués lors d’une autopsie [5]. Ces chiffres illustrent la plus grande difficulté technique (ou la réticence) à traiter chirurgicalement un saignement d’origine extrasplénique alors qu’une splénectomie est un acte chirurgical assez simple, qui, dans tous les cas, permet de stopper l’hémorragie. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77549 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 50-51
[article] Causes d’hémopéritoine chez le chien [texte imprimé] / Alexandre Caron . - 2018 . - p. 50-51. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 50-51
Résumé : |
La proportion de lésions spléniques expliquant un hémopéritoine spontané est généralement rapportée comme beaucoup plus élevée dans des études plus anciennes que dans l’article résumé : 68 à 87 % [1, 5, 8, 9]. Toutes ces études avaient été réalisées sur des populations beaucoup plus faibles (39 à 139 chiens). L’étude résumée ici inclut plus de 600 chiens et reflète mieux la réalité, d’autant plus que les chiens n’ayant pas subi de chirurgie lors du traitement de l’hémopéritoine ont également été inclus afin de limiter les biais de sélection. Ainsi, les cas d’hémorragie splénique représentent 81 % des cas diagnostiqués lors de la chirurgie, mais seulement 47 % des cas diagnostiqués lors d’une autopsie [5]. Ces chiffres illustrent la plus grande difficulté technique (ou la réticence) à traiter chirurgicalement un saignement d’origine extrasplénique alors qu’une splénectomie est un acte chirurgical assez simple, qui, dans tous les cas, permet de stopper l’hémorragie. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77549 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Utilisation du torasémide dans le traitement d’une cardiomyopathie restrictive chez un chat |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Alexis Bertrand ; Amandine Drut ; Nora Bouhsina |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 54-59 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Restrictive cardiomyopathy congestive heart failure torasemide diuretics cat |
Résumé : |
Chez le chat, les affections cardiaques sont d’emblée graves et les traitements sont destinés à augmenter l’espérance de vie. Remplacer le furosémide par le torasémide est une alternative qui pourrait aller en ce sens.
Résumé
→ Un chat femelle de 13 ans présente une cardiomyopathie restrictive associée à une atteinte rénale. Le traitement est classique avec un inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, un diurétique de l’anse et un inotrope positif et, en raison de la dilatation atriale marquée, un antiagrégant plaquettaire. Mais le furosémide est remplacé par le torasémide (0,2 mg/kg/j). Enfin, une complémentation en gluconate de potassium est instaurée. Quatorze mois après le diagnostic, la chatte est cliniquement stable. L’efficacité du torasémide n’apparaît pas inférieure à celle du furosémide. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77550 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 54-59
[article] Utilisation du torasémide dans le traitement d’une cardiomyopathie restrictive chez un chat [texte imprimé] / Alexis Bertrand ; Amandine Drut ; Nora Bouhsina . - 2018 . - p. 54-59. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 54-59
Mots-clés : |
Restrictive cardiomyopathy congestive heart failure torasemide diuretics cat |
Résumé : |
Chez le chat, les affections cardiaques sont d’emblée graves et les traitements sont destinés à augmenter l’espérance de vie. Remplacer le furosémide par le torasémide est une alternative qui pourrait aller en ce sens.
Résumé
→ Un chat femelle de 13 ans présente une cardiomyopathie restrictive associée à une atteinte rénale. Le traitement est classique avec un inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, un diurétique de l’anse et un inotrope positif et, en raison de la dilatation atriale marquée, un antiagrégant plaquettaire. Mais le furosémide est remplacé par le torasémide (0,2 mg/kg/j). Enfin, une complémentation en gluconate de potassium est instaurée. Quatorze mois après le diagnostic, la chatte est cliniquement stable. L’efficacité du torasémide n’apparaît pas inférieure à celle du furosémide. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77550 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
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