Centre de Documentation Campus Montignies
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[article]
Titre : |
« Les massages dits réflexes, ces massages dits annexes » : dossier |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Michel Gedda, Directeur de publication, rédacteur en chef |
Année de publication : |
2009 |
Article en page(s) : |
p. 31-49 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Médecine manuelle Appareil cardiovasculaire |
Résumé : |
On savait déjà qu’il n’existe pas de massage passif.
Que tout massage éveille des sensations et réactions inéluctables, à l’origine d’une interaction unique, opérateur-dépendante et compétente.
Car la subjectivité n’exclut pas l’efficacité.
Ces manipulations tissulaires déroutent ainsi par le fait qu’elles dépassent la simple technicité pour engager la créativité - l’une des valeurs fondamentales de notre profession. Est-ce si détestable ?
Les massages réflexes sont encore plus paradoxaux : on touche ici et ça agit ailleurs !
De façon ciblée et prédictive.
Systématisée.
Ça surprend toujours, dérange parfois.
Pourtant les réflexes existent. Ils sont connus et usités à des fins diagnostiques depuis longue date. Alors pourquoi ne pas solliciter dans un but thérapeutique les physiologies qu’on reconnaît par ailleurs ?
Les réflexothérapies le proposent : activer les complexités du système nerveux à partir d’une entrée périphérique, extérieure, pour obtenir une normalisation organique. Par une approche exclusivement clinique et non-invasive.
Ajoutant une réponse neuronique contrôlée à l’effet mécanique, le masseur agit donc sur la peau comme sur un clavier à résonnances internes.
On le sait : les niveaux de preuve scientifique manquent surtout par insuffisance méthodologique, liée aux caractéristiques de la technologie même.
Mais cela ne réduit pas les intérêts de cette pratique millénaire. Car comme le savent tous les praticiens de terrain et les scientifiques rigoureux « ce n’est pas parce que l’efficacité d’une technique n’est pas prouvée qu’il est prouvé qu’elle est inefficace ».
D’autant plus, qu’on commence à en comprendre les processus. |
Note de contenu : |
Sommaire du dossier :
Approche des massages dits réflexes – p. 32-35 - François Zimmermann
Bases neurophysiologiques des réflexothérapies – p.36-41 - Dominique Pradal-Prat
Utilisation de la réflexothérapie plantaire en gynéco-obstétrique – p. 42-44 - Danièle Raas, François Zimmermann
Utilisation du BGM en réadaptation cardio-vasculaire – p. 45-49 - Alain Pianeta |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=15236 |
in Kinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 31-49
[article] « Les massages dits réflexes, ces massages dits annexes » : dossier [texte imprimé] / Michel Gedda, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2009 . - p. 31-49. Langues : Français ( fre) in Kinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 31-49
Mots-clés : |
Médecine manuelle Appareil cardiovasculaire |
Résumé : |
On savait déjà qu’il n’existe pas de massage passif.
Que tout massage éveille des sensations et réactions inéluctables, à l’origine d’une interaction unique, opérateur-dépendante et compétente.
Car la subjectivité n’exclut pas l’efficacité.
Ces manipulations tissulaires déroutent ainsi par le fait qu’elles dépassent la simple technicité pour engager la créativité - l’une des valeurs fondamentales de notre profession. Est-ce si détestable ?
Les massages réflexes sont encore plus paradoxaux : on touche ici et ça agit ailleurs !
De façon ciblée et prédictive.
Systématisée.
Ça surprend toujours, dérange parfois.
Pourtant les réflexes existent. Ils sont connus et usités à des fins diagnostiques depuis longue date. Alors pourquoi ne pas solliciter dans un but thérapeutique les physiologies qu’on reconnaît par ailleurs ?
Les réflexothérapies le proposent : activer les complexités du système nerveux à partir d’une entrée périphérique, extérieure, pour obtenir une normalisation organique. Par une approche exclusivement clinique et non-invasive.
Ajoutant une réponse neuronique contrôlée à l’effet mécanique, le masseur agit donc sur la peau comme sur un clavier à résonnances internes.
On le sait : les niveaux de preuve scientifique manquent surtout par insuffisance méthodologique, liée aux caractéristiques de la technologie même.
Mais cela ne réduit pas les intérêts de cette pratique millénaire. Car comme le savent tous les praticiens de terrain et les scientifiques rigoureux « ce n’est pas parce que l’efficacité d’une technique n’est pas prouvée qu’il est prouvé qu’elle est inefficace ».
D’autant plus, qu’on commence à en comprendre les processus. |
Note de contenu : |
Sommaire du dossier :
Approche des massages dits réflexes – p. 32-35 - François Zimmermann
Bases neurophysiologiques des réflexothérapies – p.36-41 - Dominique Pradal-Prat
Utilisation de la réflexothérapie plantaire en gynéco-obstétrique – p. 42-44 - Danièle Raas, François Zimmermann
Utilisation du BGM en réadaptation cardio-vasculaire – p. 45-49 - Alain Pianeta |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=15236 |
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