[article] 
inJournal de traumatologie du sport > vol. 12/1 (1995) . - p. 33 - 38

Titre :	Syndrome chronique des loges : proposition d'une méthode diagnostique originale non invasive
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	CHARLOPAIN P. ; AUCLAIR J. ; LAFAYE DE MICHEAUX R. ; VION M. ; VOLCKMANN P ; ATLANI L.
Année de publication :	1995
Article en page(s) :	p. 33 - 38
Résumé :	Douze sujets consultants pour syndrome douloureux de jambe à l'effort ont été comparés à 39 sujets témoins tout venant. Huit consultants avaient un syndrome chronique des loges antéro-externes bilatérales affirmé par la mesure des pressions. Quatre consultants souffraient d'une autre pathologie (3 périostites, 1 fracture de fatigue). Tous les sujets ont bénéficié d'un test de dorsiflexions du pied avec un seuil de positivité de moins de 150 dorsiflexions en 4 minutes. Les résultats de notre étude, confirment que les patients atteints effectivement d'un syndrome compartimental (8 sujets), avaient une baisse de leur force musculaire lors de ce test. Sur les 2 sujets témoins présentant aussi une positivité au seuil du test, un seul a accepté la mesure invasive. Cette dernière a montré une augmentation pathologique des pressions au repos. Le test dynamique à puissance constante, proposé ici est extrapolable à d'autres localisations musculaires comme en atteste la littérature. Il nous apparaît comme devant être, désormais, intégré à l'examen clinique des patients suspects d'un syndrome des loges
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[article] Syndrome chronique des loges : proposition d'une méthode diagnostique originale non invasive [texte imprimé] / CHARLOPAIN P. ; AUCLAIR J. ; LAFAYE DE MICHEAUX R. ; VION M. ; VOLCKMANN P ; ATLANI L. . - 1995 . - p. 33 - 38.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 12/1 (1995) . - p. 33 - 38

Résumé :

Douze sujets consultants pour syndrome douloureux de jambe à l'effort ont été comparés à 39 sujets témoins tout venant. Huit consultants avaient un syndrome chronique des loges antéro-externes bilatérales affirmé par la mesure des pressions. Quatre consultants souffraient d'une autre pathologie (3 périostites, 1 fracture de fatigue). Tous les sujets ont bénéficié d'un test de dorsiflexions du pied avec un seuil de positivité de moins de 150 dorsiflexions en 4 minutes. Les résultats de notre étude, confirment que les patients atteints effectivement d'un syndrome compartimental (8 sujets), avaient une baisse de leur force musculaire lors de ce test. Sur les 2 sujets témoins présentant aussi une positivité au seuil du test, un seul a accepté la mesure invasive. Cette dernière a montré une augmentation pathologique des pressions au repos. Le test dynamique à puissance constante, proposé ici est extrapolable à d'autres localisations musculaires comme en atteste la littérature. Il nous apparaît comme devant être, désormais, intégré à l'examen clinique des patients suspects d'un syndrome des loges

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