[article] 
inJournal de traumatologie du sport > vol. 12/3 (1995) . - p. 162 - 166

Titre :	PLASTIE DE L'ECHANCRURE INTER-CONDYLIENNE
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	J.-F. Kouvalchouk ; SADDIER P. ; HASSAN E.
Année de publication :	1995
Article en page(s) :	p. 162 - 166
Résumé :	Le rôle de l'étroitesse de l'échancrure inter-condylienne du fémur semble avoir été démontré comme facteur prédisposant à une rupture du ligament croisé antérieur (LCA). Dès lors, son élargissement, par une plastie osseuse, lors de la réalisation d'un transplant intra-articulaire s'impose, que l'étroitesse soit constitutionnelle ou acquise par ostéophytose dans les laxités chroniques. Les mesures en ont été précisées soit par radiologie conventionnelle (Souryal), scanner (Anderson), ou IRM (Herzog) et des études rétrospectives ou prospectives (Laprade) ont prouvé la réalité de cette responsabilité. Cependant, si la plastie de l'échancrure est indiscutable dans sa justification, lorsque l'étroitesse est prouvée, elle ne doit intervenir que pour rétablir une anatomie normale et non pas pour rattraper ni pallier un mauvais positionnement du transplant qui serait à l'origine de conflits potentiellement nocifs.
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[article] PLASTIE DE L'ECHANCRURE INTER-CONDYLIENNE [texte imprimé] / J.-F. Kouvalchouk ; SADDIER P. ; HASSAN E. . - 1995 . - p. 162 - 166.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 12/3 (1995) . - p. 162 - 166

Résumé :

Le rôle de l'étroitesse de l'échancrure inter-condylienne du fémur semble avoir été démontré comme facteur prédisposant à une rupture du ligament croisé antérieur (LCA). Dès lors, son élargissement, par une plastie osseuse, lors de la réalisation d'un transplant intra-articulaire s'impose, que l'étroitesse soit constitutionnelle ou acquise par ostéophytose dans les laxités chroniques. Les mesures en ont été précisées soit par radiologie conventionnelle (Souryal), scanner (Anderson), ou IRM (Herzog) et des études rétrospectives ou prospectives (Laprade) ont prouvé la réalité de cette responsabilité. Cependant, si la plastie de l'échancrure est indiscutable dans sa justification, lorsque l'étroitesse est prouvée, elle ne doit intervenir que pour rétablir une anatomie normale et non pas pour rattraper ni pallier un mauvais positionnement du transplant qui serait à l'origine de conflits potentiellement nocifs.

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