[article] 
inJournal de traumatologie du sport > vol. 12/2 (1995) . - p. 122 - 124

Titre :	MALADIE DE PAUZAT: A PROPOS DE L'OBSERVATION D'UNE FRACTURE DE FATIGUE BILATERALE DES BRANCHES ISCHIO-PUBIENNES
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	BEAUCHE A. ; LACOMBE J.
Année de publication :	1995
Article en page(s) :	p. 122 - 124
Résumé :	Les auteurs rapportent l'observation d'une maladie de Pauzat bilatérale des branches ischio-pubiennes chez une jeune fille débutant son service national comme Volontaire Militaire Féminin (VMF). Cette observation veut souligner, pour le médecin des armées, l'importance de l'anamnèse et surtout de la clinique dans le dépistage de cette pathologie de l'adaptation de l'os à l'effort. La vigilance doit être la règle dans les 2 premiers mois de service, avec multiplication des clichés radiographiques lors de la suspicion de cette pathologie. La scintigraphie osseuse, exploration isotopique invasive d'intérêt majeur, n'est pas toujours possible dans les hôpitaux militaires de proximité dépourvus de service de médecine nucléaire. Ce diagnostic relève de la médecine d'unité.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=14606

[article] MALADIE DE PAUZAT: A PROPOS DE L'OBSERVATION D'UNE FRACTURE DE FATIGUE BILATERALE DES BRANCHES ISCHIO-PUBIENNES [texte imprimé] / BEAUCHE A. ; LACOMBE J. . - 1995 . - p. 122 - 124.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 12/2 (1995) . - p. 122 - 124

Résumé :

Les auteurs rapportent l'observation d'une maladie de Pauzat bilatérale des branches ischio-pubiennes chez une jeune fille débutant son service national comme Volontaire Militaire Féminin (VMF). Cette observation veut souligner, pour le médecin des armées, l'importance de l'anamnèse et surtout de la clinique dans le dépistage de cette pathologie de l'adaptation de l'os à l'effort. La vigilance doit être la règle dans les 2 premiers mois de service, avec multiplication des clichés radiographiques lors de la suspicion de cette pathologie. La scintigraphie osseuse, exploration isotopique invasive d'intérêt majeur, n'est pas toujours possible dans les hôpitaux militaires de proximité dépourvus de service de médecine nucléaire. Ce diagnostic relève de la médecine d'unité.

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