Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Hélène Cullin |
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Le diagnostic masso-kinésithérapique comme élément de simplexité dans la prise en charge des patients douloureux / Hélène Cullin in Kinésithérapie scientifique, 618 (Mars 2020)
[article]
Titre : Le diagnostic masso-kinésithérapique comme élément de simplexité dans la prise en charge des patients douloureux Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Cullin Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.5-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleurs neuroplasticité bilan Résumé : Selon la définition officielle de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), « la douleur est une expérience désagréable, à la fois sensorielle et émotionnelle, associée à une lésion tissulaire présente ou potentielle, ou simplement décrite dans ces termes. » [1]. La douleur reposant donc avant tout sur le ressenti du patient, cela la rend difficile à quantifier et à qualifier. De plus, elle n’est pas systématiquement liée à une lésion, une caractéristique qui complexifie encore son étude.
Le modèle biomédical qui envisage la douleur comme une sortie périphérique avec une relation de cause à effet est trop simpliste, même s’il reste valable dans le cas de douleur aiguë. Le modèle biopsychosocial (BPS) est celui qui est recommandé aujourd’hui pour envisager l’ensemble des composantes de la douleur dans une vision plus complexe, celle apportée par les neurosciences. En 1998, Louis Gifford [2] développe le modèle de l’Organisme Mature, en adéquation avec la neuromatrice de la douleur et le modèle BPS. La douleur est considérée comme une sortie résultant d’un processus complexe qui permet de répondre biologiquement à une menace potentielle des tissus et/ou de l’environnement.
Le concept de simplexité défini par Alain Berthoz [3], ingénieur et neurophysiologiste peut venir éclairer la prise en charge de la douleur avec une vision intermédiaire qui faciliterait l’action. D’après lui, « la biologie, la physiologie et les neurosciences ont établi l’existence de processus élégants, rapides, efficaces pour l’interaction du vivant avec le monde. Ces processus ne sont pas simples mais élaborent des solutions, des comportements rapides, fiables qui tiennent compte de l’expérience passée et qui anticipent sur les conséquences futures de l’action. ».Osinski, dans sa proposition contemporaine de la douleur, dit que « la douleur pourrait alors devenir une solution simplexe de l’organisme pour mobiliser la conscience afin de résoudre une situation complexe de potentiel danger pour lui. ». La conscience serait considérée comme un moment-espace d’intégration de l’ensemble des événements perçus par l’organisme. La conscience serait conçue comme un outil utile de l’organisme car elle a le pouvoir d’omettre certaines informations pour atteindre un objectif. Elle serait donc sollicitée pour sa capacité à mettre l’organisme qui l’abrite en mouvement.Pour le kinésithérapeute, le travail de simplexité avec la personne douloureuse se fait dans un premier temps au travers du diagnostic masso-kinésithérapique (DMK), et c’est une rencontre assez récente finalement puisque le DMK n’existe que depuis 1996. Gedda [5] en donne la définition suivante : « Le diagnostic kinésithérapique exprime l'autonomie gestuelle d'une personne, qui résulte de la confrontation entre ses possibilités gestuelles et ses besoins gestuels aux niveaux structurel, fonctionnel et situationnel. À partir du constat ainsi établi par le diagnostic, l'action thérapeutique investit autant le mouvement physique que ses conditions cognitives. Le cadre juridique du diagnostic kinésithérapique impose, d'une part, qu'il soit écrit et, d'autre part, qu'il investisse la globalité du patient, notamment ses caractéristiques psychologiques, sociales, économiques et culturelles. ».Le DMK est destiné à formuler une proposition simple face à une situation complexe dans le cadre de l’analyse d’une problématique inscrite dans un modèle biopsychosocial qui prend en compte l’ensemble des composantes du patient. En matière de douleur, les choses se précisent davantage chaque jour : la douleur est mieux identifiée, mieux connue, mieux écoutée, mieux catégorisée. Le diagnostic, l’évaluation de la personne douloureuse a fait d’énormes progrès et c’est l’objet de cet articlePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84302
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p.5-17[article] Le diagnostic masso-kinésithérapique comme élément de simplexité dans la prise en charge des patients douloureux [texte imprimé] / Hélène Cullin . - 2020 . - p.5-17.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 618 (Mars 2020) . - p.5-17
Mots-clés : Douleurs neuroplasticité bilan Résumé : Selon la définition officielle de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), « la douleur est une expérience désagréable, à la fois sensorielle et émotionnelle, associée à une lésion tissulaire présente ou potentielle, ou simplement décrite dans ces termes. » [1]. La douleur reposant donc avant tout sur le ressenti du patient, cela la rend difficile à quantifier et à qualifier. De plus, elle n’est pas systématiquement liée à une lésion, une caractéristique qui complexifie encore son étude.
Le modèle biomédical qui envisage la douleur comme une sortie périphérique avec une relation de cause à effet est trop simpliste, même s’il reste valable dans le cas de douleur aiguë. Le modèle biopsychosocial (BPS) est celui qui est recommandé aujourd’hui pour envisager l’ensemble des composantes de la douleur dans une vision plus complexe, celle apportée par les neurosciences. En 1998, Louis Gifford [2] développe le modèle de l’Organisme Mature, en adéquation avec la neuromatrice de la douleur et le modèle BPS. La douleur est considérée comme une sortie résultant d’un processus complexe qui permet de répondre biologiquement à une menace potentielle des tissus et/ou de l’environnement.
Le concept de simplexité défini par Alain Berthoz [3], ingénieur et neurophysiologiste peut venir éclairer la prise en charge de la douleur avec une vision intermédiaire qui faciliterait l’action. D’après lui, « la biologie, la physiologie et les neurosciences ont établi l’existence de processus élégants, rapides, efficaces pour l’interaction du vivant avec le monde. Ces processus ne sont pas simples mais élaborent des solutions, des comportements rapides, fiables qui tiennent compte de l’expérience passée et qui anticipent sur les conséquences futures de l’action. ».Osinski, dans sa proposition contemporaine de la douleur, dit que « la douleur pourrait alors devenir une solution simplexe de l’organisme pour mobiliser la conscience afin de résoudre une situation complexe de potentiel danger pour lui. ». La conscience serait considérée comme un moment-espace d’intégration de l’ensemble des événements perçus par l’organisme. La conscience serait conçue comme un outil utile de l’organisme car elle a le pouvoir d’omettre certaines informations pour atteindre un objectif. Elle serait donc sollicitée pour sa capacité à mettre l’organisme qui l’abrite en mouvement.Pour le kinésithérapeute, le travail de simplexité avec la personne douloureuse se fait dans un premier temps au travers du diagnostic masso-kinésithérapique (DMK), et c’est une rencontre assez récente finalement puisque le DMK n’existe que depuis 1996. Gedda [5] en donne la définition suivante : « Le diagnostic kinésithérapique exprime l'autonomie gestuelle d'une personne, qui résulte de la confrontation entre ses possibilités gestuelles et ses besoins gestuels aux niveaux structurel, fonctionnel et situationnel. À partir du constat ainsi établi par le diagnostic, l'action thérapeutique investit autant le mouvement physique que ses conditions cognitives. Le cadre juridique du diagnostic kinésithérapique impose, d'une part, qu'il soit écrit et, d'autre part, qu'il investisse la globalité du patient, notamment ses caractéristiques psychologiques, sociales, économiques et culturelles. ».Le DMK est destiné à formuler une proposition simple face à une situation complexe dans le cadre de l’analyse d’une problématique inscrite dans un modèle biopsychosocial qui prend en compte l’ensemble des composantes du patient. En matière de douleur, les choses se précisent davantage chaque jour : la douleur est mieux identifiée, mieux connue, mieux écoutée, mieux catégorisée. Le diagnostic, l’évaluation de la personne douloureuse a fait d’énormes progrès et c’est l’objet de cet articlePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84302 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL'image motrice et l'hypnose, des techniques innovantes pour optimiser la récupération après une chirurgie du genou / Hélène Cullin in Kinésithérapie scientifique, 630 (Avril 2020)
[article]
Titre : L'image motrice et l'hypnose, des techniques innovantes pour optimiser la récupération après une chirurgie du genou Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Cullin Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 23-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hypnose Arthralgie mobilité articulaire Genou / chirurgie Résumé : Kinésithérapeute et praticienne en hypno-analgésie, j’ai eu la chance d’accompagner Cyrielle Buteau-Fabre pour la réalisation de son mémoire de recherche dans le cadre de la validation de son D.E. de masseur-kinésithérapeute [1]. Celui-ci a apporté des pistes nouvelles, suggérant que la technique de réification, permet en agissant sur la représentation corporelle de diminuer la douleur et d’améliorer la flexion de genou en postopératoire.
À partir de ce travail de recherche sur une technique d’hypnose basée sur l’imaginaire, j’ai cherché à savoir si des études sur l’imagerie mentale avaient été réalisées dans les suites d’une chirurgie du genou. Cette recherche m’a amenée sur une revue de littérature réalisée par Déborah Lacroix en 2019 qui a étudié les effets de l’imagerie motrice pour améliorer les amplitudes articulaires [2]. Elle a retenu 7 essais contrôlés randomisés qui lui ont permis de montrer que ces techniques étaient intéressantes en kinésithérapie sur des syndromes de conflit d’épaule mais aussi dans les suites d’intervention chirurgicale au niveau du genou.
Dans le cadre de cet article, je ne présenterai que les 3 articles concernant les suites de chirurgies du genou comprenant un programme de kinésithérapie classique associée ou non à des techniques d’imagerie motrice.
La chirurgie du genou est très fréquente, souvent douloureuse ; elle s’accompagne parfois de complications telles que des raideurs articulaires ou des problèmes de stabilité. La kinésithérapie a toute sa place dans les suites postopératoires mais peut-être gagnerait-elle en efficacité en intégrant des techniques cognitives basées sur l’imaginaire ? C’est cette hypothèse que je vais tester au travers de la présentation des travaux de ces 4 auteurs : Buteau-Fabre pour la réification ; Lebon, Mahoud et Moukarzel pour les techniques d’imagerie motrice utilisées dans les suites opératoires de ligamentoplasties du LCAE pour le premier et de prothèses de genou pour les 2 suivants. S’en suivra une discussion sur les modalités d’utilisation de l’imagerie motrice utilisées dans ces études ainsi qu’un apport sur les mécanismes d’action de l’image motrice et de l’hypnose amenant à des perspectives nouvelles en matière de prise en charge kinésithérapique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92633
in Kinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 23-33[article] L'image motrice et l'hypnose, des techniques innovantes pour optimiser la récupération après une chirurgie du genou [texte imprimé] / Hélène Cullin . - 2021 . - p. 23-33.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 23-33
Mots-clés : Hypnose Arthralgie mobilité articulaire Genou / chirurgie Résumé : Kinésithérapeute et praticienne en hypno-analgésie, j’ai eu la chance d’accompagner Cyrielle Buteau-Fabre pour la réalisation de son mémoire de recherche dans le cadre de la validation de son D.E. de masseur-kinésithérapeute [1]. Celui-ci a apporté des pistes nouvelles, suggérant que la technique de réification, permet en agissant sur la représentation corporelle de diminuer la douleur et d’améliorer la flexion de genou en postopératoire.
À partir de ce travail de recherche sur une technique d’hypnose basée sur l’imaginaire, j’ai cherché à savoir si des études sur l’imagerie mentale avaient été réalisées dans les suites d’une chirurgie du genou. Cette recherche m’a amenée sur une revue de littérature réalisée par Déborah Lacroix en 2019 qui a étudié les effets de l’imagerie motrice pour améliorer les amplitudes articulaires [2]. Elle a retenu 7 essais contrôlés randomisés qui lui ont permis de montrer que ces techniques étaient intéressantes en kinésithérapie sur des syndromes de conflit d’épaule mais aussi dans les suites d’intervention chirurgicale au niveau du genou.
Dans le cadre de cet article, je ne présenterai que les 3 articles concernant les suites de chirurgies du genou comprenant un programme de kinésithérapie classique associée ou non à des techniques d’imagerie motrice.
La chirurgie du genou est très fréquente, souvent douloureuse ; elle s’accompagne parfois de complications telles que des raideurs articulaires ou des problèmes de stabilité. La kinésithérapie a toute sa place dans les suites postopératoires mais peut-être gagnerait-elle en efficacité en intégrant des techniques cognitives basées sur l’imaginaire ? C’est cette hypothèse que je vais tester au travers de la présentation des travaux de ces 4 auteurs : Buteau-Fabre pour la réification ; Lebon, Mahoud et Moukarzel pour les techniques d’imagerie motrice utilisées dans les suites opératoires de ligamentoplasties du LCAE pour le premier et de prothèses de genou pour les 2 suivants. S’en suivra une discussion sur les modalités d’utilisation de l’imagerie motrice utilisées dans ces études ainsi qu’un apport sur les mécanismes d’action de l’image motrice et de l’hypnose amenant à des perspectives nouvelles en matière de prise en charge kinésithérapique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92633 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtProposition de protocole de masso-kinésithérapie après ligamentiplastie isolée du LCPI et début d'évaluation / Hélène Cullin in Kinésithérapie scientifique, 469 (2006)
[article]
Titre : Proposition de protocole de masso-kinésithérapie après ligamentiplastie isolée du LCPI et début d'évaluation Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Cullin, Auteur ; Jean-Louis Guillemain ; Gilles FICHEUX, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : p. 5-18 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ligament Evaluation Ligamentoplastie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=16088
in Kinésithérapie scientifique > 469 (2006) . - p. 5-18[article] Proposition de protocole de masso-kinésithérapie après ligamentiplastie isolée du LCPI et début d'évaluation [texte imprimé] / Hélène Cullin, Auteur ; Jean-Louis Guillemain ; Gilles FICHEUX, Auteur . - 2006 . - p. 5-18.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 469 (2006) . - p. 5-18
Mots-clés : Ligament Evaluation Ligamentoplastie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=16088 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRééducation de la ligamentoplastie du ligament croisé postérieur du genou / Hélène Cullin in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Février 2012)
[article]
Titre : Rééducation de la ligamentoplastie du ligament croisé postérieur du genou Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Cullin, Auteur ; Jean-Louis Guillemain, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 26-240-D-20 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatologie Genou Ligament croisé postérieur Ligamentoplastie Rééducation Résumé : Cet article est une actualisation de la prise en charge kinésithérapique des ligamentoplasties du ligament croisé postérieur, plus rares donc moins connues que celles du ligament croisé antérieur. Après un rappel anatomophysiologique et pathomécanique, nous présentons un rappel des différentes techniques chirurgicales et des consignes postopératoires visant à protéger le néoligament, ce qui va conditionner notre intervention rééducative. La rééducation est alors classiquement divisée en quatre phases, avec pour objectif principal, une stabilité retrouvée, qui passe par l'indolence, une athlétisation et une reprogrammation neuromotrice qui en sont les garants, et ceci bien que la population concernée ne vient pas systématiquement du sport, mais plutôt des accidents de la voie publique. Les deux premières phases sont placées sous le principe de précaution, avec respect des consignes spécifiques ou générales qui cadrent l'action thérapeutique. Ne pas reproduire les laxités préopératoires tout en améliorant les possibilités articulaires musculaires et sensorimotrices du patient est le challenge qui s'offre à nous. C'est surtout ce début de traitement qui caractérise la prise en charge de cette pathologie, le travail musculaire et proprioceptif de la suite perdant de sa spécificité. Les résultats sont souvent moins spectaculaires que pour le croisé antérieur, mais rappelons-nous que nous ne nous adressons pas à la même population et que ces ruptures du ligament postérieur sont le plus souvent associées à d'autres lésions qui ont retardé le diagnostic, donc l'intervention chirurgicale. Note de contenu : Introduction
Rappels anatomiques et biomécaniques
Différentes techniques chirurgicales
Ligamentisation
Rééducation
Principes de rééducation
Rééducation proprement dite : trois ou quatre phases
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43574
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Février 2012) . - 26-240-D-20[article] Rééducation de la ligamentoplastie du ligament croisé postérieur du genou [texte imprimé] / Hélène Cullin, Auteur ; Jean-Louis Guillemain, Auteur . - 2012 . - 26-240-D-20.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Février 2012) . - 26-240-D-20
Mots-clés : Traumatologie Genou Ligament croisé postérieur Ligamentoplastie Rééducation Résumé : Cet article est une actualisation de la prise en charge kinésithérapique des ligamentoplasties du ligament croisé postérieur, plus rares donc moins connues que celles du ligament croisé antérieur. Après un rappel anatomophysiologique et pathomécanique, nous présentons un rappel des différentes techniques chirurgicales et des consignes postopératoires visant à protéger le néoligament, ce qui va conditionner notre intervention rééducative. La rééducation est alors classiquement divisée en quatre phases, avec pour objectif principal, une stabilité retrouvée, qui passe par l'indolence, une athlétisation et une reprogrammation neuromotrice qui en sont les garants, et ceci bien que la population concernée ne vient pas systématiquement du sport, mais plutôt des accidents de la voie publique. Les deux premières phases sont placées sous le principe de précaution, avec respect des consignes spécifiques ou générales qui cadrent l'action thérapeutique. Ne pas reproduire les laxités préopératoires tout en améliorant les possibilités articulaires musculaires et sensorimotrices du patient est le challenge qui s'offre à nous. C'est surtout ce début de traitement qui caractérise la prise en charge de cette pathologie, le travail musculaire et proprioceptif de la suite perdant de sa spécificité. Les résultats sont souvent moins spectaculaires que pour le croisé antérieur, mais rappelons-nous que nous ne nous adressons pas à la même population et que ces ruptures du ligament postérieur sont le plus souvent associées à d'autres lésions qui ont retardé le diagnostic, donc l'intervention chirurgicale. Note de contenu : Introduction
Rappels anatomiques et biomécaniques
Différentes techniques chirurgicales
Ligamentisation
Rééducation
Principes de rééducation
Rééducation proprement dite : trois ou quatre phases
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43574 Exemplaires
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