Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur François Moutet |
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Deux ou trois choses que je sais d'elle: Vingt ans de fréquentation des entorses de la métacarpo-phalangienne du pouce / François Moutet in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/4 (décembre 1998)
[article]
Titre : Deux ou trois choses que je sais d'elle: Vingt ans de fréquentation des entorses de la métacarpo-phalangienne du pouce Type de document : texte imprimé Auteurs : François Moutet ; GUINARD D. ; MOURGUES P. de ; Denis Corcella Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 203 - 206 Résumé : Les auteurs insistent sur quelques points clés et parfois méconnus du diagnostic et du traitement des entorses de la MP pouce. L'examen clinique doit être bilatéral et comparatif et réalisé en extension complète de la MP puis en flexion à environ 40°. Il doit être attentif à la présence d'un petit hématome nummulaire à la face dorsale de l'IP et sensible à une ;en, ;ilion de mollesse dans l'arrêt lors de la recherche des mouvements anormaux. Les atteintes radiales, nécessitent la même attention diagnostique et la même attitude thérapeutique que les entorses cubitales plus fréquentes (86 %). Les radiographies doivent être absolument systématiques s à la recherche de tout arrachement osseux, source de pseudarthrose entraînant laxité et ou douleur. Le geste opératoire s'impose en cas d'entorse grave et ou d'entorse avec un arrachement osseux déplacé (présent dans plus de 50 % des cas). Opérée ou non, l'immobilisation stricte est ormelle pour 4 semaines, puis une rééducation de deux à trois semaines pour récupération des amplitudes de l'opposition et surtout de la flexion de l'IP du pouce est parfois nécessaire. A la lamière de leur expérience de plus de 20 ans les auteurs pensent que le traitement dit être chirurgical dès que la rupture ligamentaire totale, radiale ou cubitale est suspectée et proposent un algorithine de traitement Le suivi de cette attitude permet d'obtenir plus de 96 % de bons et de très bons résultats dans cette pathologie toutes origines confondues.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14326
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/4 (décembre 1998) . - p. 203 - 206[article] Deux ou trois choses que je sais d'elle: Vingt ans de fréquentation des entorses de la métacarpo-phalangienne du pouce [texte imprimé] / François Moutet ; GUINARD D. ; MOURGUES P. de ; Denis Corcella . - 1998 . - p. 203 - 206.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/4 (décembre 1998) . - p. 203 - 206
Résumé : Les auteurs insistent sur quelques points clés et parfois méconnus du diagnostic et du traitement des entorses de la MP pouce. L'examen clinique doit être bilatéral et comparatif et réalisé en extension complète de la MP puis en flexion à environ 40°. Il doit être attentif à la présence d'un petit hématome nummulaire à la face dorsale de l'IP et sensible à une ;en, ;ilion de mollesse dans l'arrêt lors de la recherche des mouvements anormaux. Les atteintes radiales, nécessitent la même attention diagnostique et la même attitude thérapeutique que les entorses cubitales plus fréquentes (86 %). Les radiographies doivent être absolument systématiques s à la recherche de tout arrachement osseux, source de pseudarthrose entraînant laxité et ou douleur. Le geste opératoire s'impose en cas d'entorse grave et ou d'entorse avec un arrachement osseux déplacé (présent dans plus de 50 % des cas). Opérée ou non, l'immobilisation stricte est ormelle pour 4 semaines, puis une rééducation de deux à trois semaines pour récupération des amplitudes de l'opposition et surtout de la flexion de l'IP du pouce est parfois nécessaire. A la lamière de leur expérience de plus de 20 ans les auteurs pensent que le traitement dit être chirurgical dès que la rupture ligamentaire totale, radiale ou cubitale est suspectée et proposent un algorithine de traitement Le suivi de cette attitude permet d'obtenir plus de 96 % de bons et de très bons résultats dans cette pathologie toutes origines confondues.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14326 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtEntorses et luxations des interphalangiennes proximales des doigts / François Moutet in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Entorses et luxations des interphalangiennes proximales des doigts Type de document : texte imprimé Auteurs : François Moutet ; GUINARD D. ; Dominique Thomas ; Denis Corcella Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 38 - 43 Résumé : Lésions fréquentes et banales au cours de la pratique sportive, les entorses et luxations des interphalangiennes des doigts ne doivent pas être négligées. Ces petites lésions aux douleurs traînantes, aux raideurs fréquentes, laissant le plus souvent une articulation dont l'augmentation de volume est mal comprise et mal acceptée par le patient. Vues secondairement, elles sont porteuses de déficits longs et difficiles à récupérer. La hantise de la raideur explique l'obsession de la mobilisation précoce. Ces lésions relèvent en effet toujours d'un traitement fonctionnel spécifique qui doit être confié à un kinésithérapeute spécialisé. Les entorses latérales, graves ou bénignes relèvent de la mobilisation active immédiate. Les arrachements de la plaque palmaire relèvent eux aussi de la mobilisation active immédiate en syndactylie ou non. Les luxations sont en règle postérieures. Les luxations antérieures sont rares mais nécessitent un traitement spécifique. Les luxations latérales peuvent être le siège d'incarcérations ligamentaires obligeant alors à un geste chirurgical.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14340
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 38 - 43[article] Entorses et luxations des interphalangiennes proximales des doigts [texte imprimé] / François Moutet ; GUINARD D. ; Dominique Thomas ; Denis Corcella . - 1998 . - p. 38 - 43.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 38 - 43
Résumé : Lésions fréquentes et banales au cours de la pratique sportive, les entorses et luxations des interphalangiennes des doigts ne doivent pas être négligées. Ces petites lésions aux douleurs traînantes, aux raideurs fréquentes, laissant le plus souvent une articulation dont l'augmentation de volume est mal comprise et mal acceptée par le patient. Vues secondairement, elles sont porteuses de déficits longs et difficiles à récupérer. La hantise de la raideur explique l'obsession de la mobilisation précoce. Ces lésions relèvent en effet toujours d'un traitement fonctionnel spécifique qui doit être confié à un kinésithérapeute spécialisé. Les entorses latérales, graves ou bénignes relèvent de la mobilisation active immédiate. Les arrachements de la plaque palmaire relèvent eux aussi de la mobilisation active immédiate en syndactylie ou non. Les luxations sont en règle postérieures. Les luxations antérieures sont rares mais nécessitent un traitement spécifique. Les luxations latérales peuvent être le siège d'incarcérations ligamentaires obligeant alors à un geste chirurgical.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14340 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRééducation après fracture du 1er métacarpien (Bennett, Rolando) / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 660 (janvier 2024)
[article]
Titre : Rééducation après fracture du 1er métacarpien (Bennett, Rolando) : quel protocole aujourd'hui ? Auteurs : Denis Gerlac ; François Moutet ; Alexandra Forli ; Denis Corcella Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 11-18 Langues : Français (fre) Mots-clés : Premier métacarpien Résumé : La principale complication après une fracture du premier métacarpien est la perte de fonctionnalité du pouce, elle est source de handicap majeur. Pour éviter cet écueil, traitement chirurgical et mobilisation précoce sont les meilleurs moyens. Ils permettent de lutter efficacement contre les adhérences tendino-périostées et les rétractions capsulo-ligamentaires, véritables fléaux pour le rééducateur.
La littérature nous enseigne que ce sont les progrès de la chirurgie et de la rééducation qui ont permis d'améliorer la qualité des soins et leurs résultats.
Aujourd'hui, la mobilisation précoce fait consensus pour traiter une fracture de premier métacarpien. Cet article, basé sur la littérature, propose de montrer comment elle se pratique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117124
in Kinésithérapie scientifique > 660 (janvier 2024) . - p. 11-18[article] Rééducation après fracture du 1er métacarpien (Bennett, Rolando) : quel protocole aujourd'hui ? [] / Denis Gerlac ; François Moutet ; Alexandra Forli ; Denis Corcella . - 2024 . - p. 11-18.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 660 (janvier 2024) . - p. 11-18
Mots-clés : Premier métacarpien Résumé : La principale complication après une fracture du premier métacarpien est la perte de fonctionnalité du pouce, elle est source de handicap majeur. Pour éviter cet écueil, traitement chirurgical et mobilisation précoce sont les meilleurs moyens. Ils permettent de lutter efficacement contre les adhérences tendino-périostées et les rétractions capsulo-ligamentaires, véritables fléaux pour le rééducateur.
La littérature nous enseigne que ce sont les progrès de la chirurgie et de la rééducation qui ont permis d'améliorer la qualité des soins et leurs résultats.
Aujourd'hui, la mobilisation précoce fait consensus pour traiter une fracture de premier métacarpien. Cet article, basé sur la littérature, propose de montrer comment elle se pratique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117124 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRééducation après fracture de métacarpien des doigts longs. Quel protocole aujourd'hui? / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 633 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Rééducation après fracture de métacarpien des doigts longs. Quel protocole aujourd'hui? Auteurs : Denis Gerlac ; François Moutet ; Alexandra Forli ; Denis Corcella Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 35-44 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95087
in Kinésithérapie scientifique > 633 (Juillet 2021) . - p. 35-44[article] Rééducation après fracture de métacarpien des doigts longs. Quel protocole aujourd'hui? [] / Denis Gerlac ; François Moutet ; Alexandra Forli ; Denis Corcella . - 2021 . - p. 35-44.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 633 (Juillet 2021) . - p. 35-44
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95087 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRééducation après maladie de Dupuytren opérée : gérer la « flare reaction » / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 592 (novembre 2017)
[article]
Titre : Rééducation après maladie de Dupuytren opérée : gérer la « flare reaction » Type de document : texte imprimé Auteurs : Denis Gerlac ; François Moutet ; Alexandra Forli ; Denis Corcella Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 5-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Orthèse Inflammation Kinésithérapie Chirurgie orthopédique Main Rééducation fonctionnelle attelle,Dupuytren,flare reaction,kinésithérapie,rééducation,réhabilitation,splint Résumé : La « flare reaction », littéralement traduit par « réaction inflammatoire », correspond à la présence d'une inflammation ostensible perdurant au-delà du délai normal de 3 semaines post-chirurgicales après cure de Dupuytren. Cette « flare reaction », caractérisée par un œdème et un érythème, ressemble au Syndrome Douloureux Régional Complexe de type 1 (SDRC 1) , cependant, ces deux syndromes sont bien distincts. La « flare reaction » se différencie par la douleur qui n'est pas présente dans son cas. En revanche, comme le SDRC 1, elle est une source potentielle de raideur invalidante, il faut donc s'en méfier en rééducation.
Même si pour la plupart des patients opérés de la maladie de Dupuytren, le résultat final est excellent, il n'en demeure pas moins que la rééducation est parfois complexe. Notamment en présence d'une « flare reaction », ceci du fait essentiellement de l'œdème qui la caractérise, elle risque d'entraver considérablement le bon déroulement de la rééducation. La « flare reaction » est un piège à négocier pour le thérapeute car, à terme, elle risque de faire perdre au patient le bénéfice de l'intervention chirurgicale (gain en extension), voire générer un déficit de mobilité en flexion.
À partir d'une revue de la littérature ainsi que de notre expérience, nous proposons ici de voir les solutions rééducatives qui semblent les mieux appropriées pour la gestion de cette « flare reaction ».
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=55030
in Kinésithérapie scientifique > 592 (novembre 2017) . - p. 5-11[article] Rééducation après maladie de Dupuytren opérée : gérer la « flare reaction » [texte imprimé] / Denis Gerlac ; François Moutet ; Alexandra Forli ; Denis Corcella . - 2017 . - p. 5-11.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 592 (novembre 2017) . - p. 5-11
Mots-clés : Orthèse Inflammation Kinésithérapie Chirurgie orthopédique Main Rééducation fonctionnelle attelle,Dupuytren,flare reaction,kinésithérapie,rééducation,réhabilitation,splint Résumé : La « flare reaction », littéralement traduit par « réaction inflammatoire », correspond à la présence d'une inflammation ostensible perdurant au-delà du délai normal de 3 semaines post-chirurgicales après cure de Dupuytren. Cette « flare reaction », caractérisée par un œdème et un érythème, ressemble au Syndrome Douloureux Régional Complexe de type 1 (SDRC 1) , cependant, ces deux syndromes sont bien distincts. La « flare reaction » se différencie par la douleur qui n'est pas présente dans son cas. En revanche, comme le SDRC 1, elle est une source potentielle de raideur invalidante, il faut donc s'en méfier en rééducation.
Même si pour la plupart des patients opérés de la maladie de Dupuytren, le résultat final est excellent, il n'en demeure pas moins que la rééducation est parfois complexe. Notamment en présence d'une « flare reaction », ceci du fait essentiellement de l'œdème qui la caractérise, elle risque d'entraver considérablement le bon déroulement de la rééducation. La « flare reaction » est un piège à négocier pour le thérapeute car, à terme, elle risque de faire perdre au patient le bénéfice de l'intervention chirurgicale (gain en extension), voire générer un déficit de mobilité en flexion.
À partir d'une revue de la littérature ainsi que de notre expérience, nous proposons ici de voir les solutions rééducatives qui semblent les mieux appropriées pour la gestion de cette « flare reaction ».
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=55030 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRééducation après maladie de Dupuytren opérée : Protocole grenoblois / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 551 (Février 2014)
PermalinkRééducation de la main et du poignet - Anatomie fonctionnelle et techniques / Michel Boutan
PermalinkLa réparation des ruptures des poulies des fléchisseurs chez le grimpeur / François Moutet in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/4 (décembre 1998)
PermalinkRupture de poulie digitale : quel traitement aujourd'hui ? / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 625 (Novembre 2020)
PermalinkRupture de poulie digitale : quel traitement aujourd'hui ? / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 660 (janvier 2024)
PermalinkLes transferts tendineux / François Moutet in Kinésithérapie scientifique, 555 (juin 2014)
PermalinkLes traumatismes des doigts en escalade chez le grimpeur « anciennement lésé » / Sébastien GNECCHI in Kinésithérapie scientifique, 515 (novembre 2010)
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