Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Janvier 2018
Paru le : 01/01/2018
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Dépouillements
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[article]
Titre : |
Neurophysiologie du mouvement. Oscillations neuronales et apprentissage moteur |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Guy Chéron |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
26-007-B-60 [Tome 1] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Mouvement Apprentissage Cortex moteur Cervelet Noyaux de la base Neurones miroirs Oscillations neuronales |
Résumé : |
La neurophysiologie du mouvement et de l'apprentissage moteur recouvre un très vaste domaine scientifique. Les bases fondamentales de l'élaboration centrale du mouvement s'inscrivent dans des structures cérébrales très spécifiques sur les plans anatomique et fonctionnel, mais aussi richement interconnectées, formant des ensembles neuronaux hiérarchisés et dynamiques. L'objectif majeur de cet article consiste à introduire les bases générales de l'apprentissage moteur obtenues grâce aux expériences réalisées à partir de modèles animaux élémentaires afin de les intégrer progressivement à des comportements moteurs plus complexes. Les bases des oscillations neuronales et de l'apprentissage moteur impliquant la potentialisation et la dépression à long terme, et les mécanismes siégeant dans la membrane des neurones ainsi que ceux activant le matériel génétique neuronal, sont envisagés dans leur contexte expérimental initial, avant d'être décrits au sein de comportements moteurs plus complexes chez l'homme. Une vision actualisée des différents systèmes corticaux et sous-corticaux à la base de la neurophysiologie du mouvement et de sa plasticité est proposée. La structure dynamique proposée intègre les aires corticales impliquées dans l'organisation du geste volontaire et de la guidance sensorielle, ainsi que le rôle des noyaux de la base et du cervelet. Enfin, la description des neurones miroirs et du modèle interne devrait permettre de mieux saisir la dynamique générale de l'apprentissage du geste moteur porté par l'activité oscillatoire du cerveau. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=59376 |
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.14-N°1 (Janvier 2018) . - 26-007-B-60 [Tome 1]
[article] Neurophysiologie du mouvement. Oscillations neuronales et apprentissage moteur [texte imprimé] / Guy Chéron . - 2018 . - 26-007-B-60 [Tome 1]. Langues : Français ( fre) in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.14-N°1 (Janvier 2018) . - 26-007-B-60 [Tome 1]
Mots-clés : |
Mouvement Apprentissage Cortex moteur Cervelet Noyaux de la base Neurones miroirs Oscillations neuronales |
Résumé : |
La neurophysiologie du mouvement et de l'apprentissage moteur recouvre un très vaste domaine scientifique. Les bases fondamentales de l'élaboration centrale du mouvement s'inscrivent dans des structures cérébrales très spécifiques sur les plans anatomique et fonctionnel, mais aussi richement interconnectées, formant des ensembles neuronaux hiérarchisés et dynamiques. L'objectif majeur de cet article consiste à introduire les bases générales de l'apprentissage moteur obtenues grâce aux expériences réalisées à partir de modèles animaux élémentaires afin de les intégrer progressivement à des comportements moteurs plus complexes. Les bases des oscillations neuronales et de l'apprentissage moteur impliquant la potentialisation et la dépression à long terme, et les mécanismes siégeant dans la membrane des neurones ainsi que ceux activant le matériel génétique neuronal, sont envisagés dans leur contexte expérimental initial, avant d'être décrits au sein de comportements moteurs plus complexes chez l'homme. Une vision actualisée des différents systèmes corticaux et sous-corticaux à la base de la neurophysiologie du mouvement et de sa plasticité est proposée. La structure dynamique proposée intègre les aires corticales impliquées dans l'organisation du geste volontaire et de la guidance sensorielle, ainsi que le rôle des noyaux de la base et du cervelet. Enfin, la description des neurones miroirs et du modèle interne devrait permettre de mieux saisir la dynamique générale de l'apprentissage du geste moteur porté par l'activité oscillatoire du cerveau. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=59376 |
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Exemplaires
[article]
Titre : |
Physiologie du vieillissement |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
C. de Jaeger |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
26-007-D-10 [Tome1] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Vieillissement Physiologie Épidémiologie Facteurs génétiques Facteurs environnementaux |
Résumé : |
Le vieillissement est un phénomène physiologique, dont la compréhension des mécanismes est devenue un phénomène d'actualité avec l'accroissement de la durée de vie de la population. La notion de vieillissement dit « normal » a été remplacée par celle d'un vieillissement sans pathologie ou vieillissement optimal. En effet, même s'il est inéluctable, le vieillissement est influençable. La recherche médicale actuelle repose sur la compréhension des éléments permettant de vieillir avec un minimum de handicaps. Les théories du vieillissement sont multiples et le mécanisme multifactoriel. À côté des mécanismes intrinsèques du vieillissement (facteurs génétiques, télomérases, stress oxydant, etc.), le rôle des facteurs extrinsèques, en particulier l'hygiène de vie et les facteurs environnementaux, apparaissent de plus en plus cruciaux. Tous les systèmes physiologiques vieillissent à un rythme et avec des conséquences variables, et des particularités propres, selon l'organe incriminé. Ce vieillissement physiologique peut être retardé par des mesures hygiénodiététiques souvent simples mais parfois contraignantes. La prise en charge précoce des pathologies aiguës ou chroniques, plus fréquentes chez le sujet âgé, permet également d'augmenter la durée de vie sans déficiences et de prolonger ainsi la vie en bonne santé. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=59377 |
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.14-N°1 (Janvier 2018) . - 26-007-D-10 [Tome1]
[article] Physiologie du vieillissement [texte imprimé] / C. de Jaeger . - 2018 . - 26-007-D-10 [Tome1]. Langues : Français ( fre) in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.14-N°1 (Janvier 2018) . - 26-007-D-10 [Tome1]
Mots-clés : |
Vieillissement Physiologie Épidémiologie Facteurs génétiques Facteurs environnementaux |
Résumé : |
Le vieillissement est un phénomène physiologique, dont la compréhension des mécanismes est devenue un phénomène d'actualité avec l'accroissement de la durée de vie de la population. La notion de vieillissement dit « normal » a été remplacée par celle d'un vieillissement sans pathologie ou vieillissement optimal. En effet, même s'il est inéluctable, le vieillissement est influençable. La recherche médicale actuelle repose sur la compréhension des éléments permettant de vieillir avec un minimum de handicaps. Les théories du vieillissement sont multiples et le mécanisme multifactoriel. À côté des mécanismes intrinsèques du vieillissement (facteurs génétiques, télomérases, stress oxydant, etc.), le rôle des facteurs extrinsèques, en particulier l'hygiène de vie et les facteurs environnementaux, apparaissent de plus en plus cruciaux. Tous les systèmes physiologiques vieillissent à un rythme et avec des conséquences variables, et des particularités propres, selon l'organe incriminé. Ce vieillissement physiologique peut être retardé par des mesures hygiénodiététiques souvent simples mais parfois contraignantes. La prise en charge précoce des pathologies aiguës ou chroniques, plus fréquentes chez le sujet âgé, permet également d'augmenter la durée de vie sans déficiences et de prolonger ainsi la vie en bonne santé. |
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Exemplaires
[article]
Titre : |
Rééducation des prothèses d'épaule |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
S. Gain ; P. Collin |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
26-210-A-40 [Tome3] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Prothèses d'épaule anatomiques Prothèses totales d'épaule inversées Fractures extrémité supérieure humérus Rééducation Automobilisation Rythme scapulohuméral Coiffe des rotateurs Deltoïde |
Résumé : |
En 2014, la Haute Autorité de santé (HAS) recensait 12 500 interventions pour arthroplasties d'épaule en France. Les progrès de la chirurgie et de la rééducation permettent aux patients de retrouver une épaule fonctionnelle. Les prothèses d'épaule peuvent être classées en deux grandes catégories : les prothèses anatomiques et les prothèses totales inversées (PTI). Ces dernières ont vu leurs indications augmenter ces dernières années et constituent maintenant près de la moitié des prothèses d'épaule. Sur le plan de la rééducation, il ne s'agit pas de prendre en charge uniquement la néoarticulation glénohumérale mais de l'étendre à l'ensemble du complexe articulaire de l'épaule, sans oublier le rachis cervicothoracique. Plusieurs études ont montré l'importance de la mobilité scapulothoracique pour les prothèses, encore plus pour les PTI que pour les prothèses anatomiques. Un autre principe est de récupérer l'essentiel des mobilités passives avant de commencer la rééducation active. La récupération de cette dernière privilégie le travail en position haute, tel que l'a décrit à l'origine Saha. Les muscles ciblés sont principalement le dentelé antérieur, le trapèze inférieur, les muscles de la coiffe lorsqu'ils sont présents, le deltoïde. Ce dernier est essentiel dans les PTI car il constitue le seul moteur de la glénohumérale avec un rôle majeur également pour la stabilité. Sur le plan neuromoteur, il faut souligner le rôle essentiel de la vision et de la main. Il s'agit en quelque sorte d'utiliser la main pour rééduquer l'épaule. Une collaboration optimale entre le chirurgien et le kinésithérapeute est un élément essentiel pour la prise en charge du patient, son suivi tout au long de la rééducation. Dès la phase préopératoire, l'éducation du patient avec des conseils pour la vie courante et l'autorééducation guidée grâce à un apprentissage d'exercices réalisés entre les séances participent à son implication dans le traitement. Aujourd'hui, la rééducation des prothèses d'épaule doit être ambitieuse et viser l'obtention de la meilleure fonction possible pour les patients. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=59378 |
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.14-N°1 (Janvier 2018) . - 26-210-A-40 [Tome3]
[article] Rééducation des prothèses d'épaule [texte imprimé] / S. Gain ; P. Collin . - 2018 . - 26-210-A-40 [Tome3]. Langues : Français ( fre) in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.14-N°1 (Janvier 2018) . - 26-210-A-40 [Tome3]
Mots-clés : |
Prothèses d'épaule anatomiques Prothèses totales d'épaule inversées Fractures extrémité supérieure humérus Rééducation Automobilisation Rythme scapulohuméral Coiffe des rotateurs Deltoïde |
Résumé : |
En 2014, la Haute Autorité de santé (HAS) recensait 12 500 interventions pour arthroplasties d'épaule en France. Les progrès de la chirurgie et de la rééducation permettent aux patients de retrouver une épaule fonctionnelle. Les prothèses d'épaule peuvent être classées en deux grandes catégories : les prothèses anatomiques et les prothèses totales inversées (PTI). Ces dernières ont vu leurs indications augmenter ces dernières années et constituent maintenant près de la moitié des prothèses d'épaule. Sur le plan de la rééducation, il ne s'agit pas de prendre en charge uniquement la néoarticulation glénohumérale mais de l'étendre à l'ensemble du complexe articulaire de l'épaule, sans oublier le rachis cervicothoracique. Plusieurs études ont montré l'importance de la mobilité scapulothoracique pour les prothèses, encore plus pour les PTI que pour les prothèses anatomiques. Un autre principe est de récupérer l'essentiel des mobilités passives avant de commencer la rééducation active. La récupération de cette dernière privilégie le travail en position haute, tel que l'a décrit à l'origine Saha. Les muscles ciblés sont principalement le dentelé antérieur, le trapèze inférieur, les muscles de la coiffe lorsqu'ils sont présents, le deltoïde. Ce dernier est essentiel dans les PTI car il constitue le seul moteur de la glénohumérale avec un rôle majeur également pour la stabilité. Sur le plan neuromoteur, il faut souligner le rôle essentiel de la vision et de la main. Il s'agit en quelque sorte d'utiliser la main pour rééduquer l'épaule. Une collaboration optimale entre le chirurgien et le kinésithérapeute est un élément essentiel pour la prise en charge du patient, son suivi tout au long de la rééducation. Dès la phase préopératoire, l'éducation du patient avec des conseils pour la vie courante et l'autorééducation guidée grâce à un apprentissage d'exercices réalisés entre les séances participent à son implication dans le traitement. Aujourd'hui, la rééducation des prothèses d'épaule doit être ambitieuse et viser l'obtention de la meilleure fonction possible pour les patients. |
Permalink : |
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Exemplaires