Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . vol. 13, n°1Paru le : 01/01/2018 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierFractures sur os pathologique de l'adulte et de l'enfant / A. Felden in EMC : Appareil locomoteur, vol. 13, n°1 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Fractures sur os pathologique de l'adulte et de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Felden ; P. Anract ; V. Tlemsani ; C. Scemama ; D. Biau Année de publication : 2018 Article en page(s) : 14-031-C-10 [Tome 2] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture pathologique Biopsie Métastase Chirurgie de reconstruction Résumé : Les fractures sur os pathologiques présentent des spécificités diagnostiques et thérapeutiques qu'il ne faut surtout pas méconnaître au risque de compromettre au moins le pronostic fonctionnel, si ce n'est le pronostic vital du patient en cas de tumeur maligne. Le caractère pathologique d'une fracture doit ainsi être suspecté devant toute anamnèse inhabituelle, notamment en l'absence de traumatisme, sur le simple examen clinique et la radiographie osseuse. L'affirmation du caractère pathologique et celle du diagnostic causal sont ensuite réalisées au moyen d'examens complémentaires orientés par l'examen initial. Parmi les différentes causes possibles de fracture pathologique, trois groupes de pathologies peuvent être identifiés. La fracture survenant sur os tumoral, majoritairement sur métastase, la fracture sur maladie osseuse acquise et celle survenant sur maladie osseuse congénitale. La biopsie osseuse dans des règles strictes est le plus souvent un préalable à tout traitement de fracture sur os tumoral. Lorsque le diagnostic étiologique de la maladie est établi, il convient de définir une stratégie thérapeutique claire et savoir qui de la fracture ou de la pathologie sous-jacente a la primauté du traitement. Dans le cas de tumeurs osseuses malignes, cette stratégie doit obligatoirement être établie en réunion de concertation pluridisciplinaire. Il convient de traiter à la fois la fracture et la pathologie causale. Le traitement de la fracture repose sur des règles claires et s'adapte au terrain de chaque pathologie. En cas d'ostéosynthèse de fracture sur métastase, la consolidation doit toujours être recherchée et l'irradiation postopératoire est la règle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56616
in EMC : Appareil locomoteur > vol. 13, n°1 (Janvier 2018) . - 14-031-C-10 [Tome 2][article] Fractures sur os pathologique de l'adulte et de l'enfant [texte imprimé] / A. Felden ; P. Anract ; V. Tlemsani ; C. Scemama ; D. Biau . - 2018 . - 14-031-C-10 [Tome 2].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > vol. 13, n°1 (Janvier 2018) . - 14-031-C-10 [Tome 2]
Mots-clés : Fracture pathologique Biopsie Métastase Chirurgie de reconstruction Résumé : Les fractures sur os pathologiques présentent des spécificités diagnostiques et thérapeutiques qu'il ne faut surtout pas méconnaître au risque de compromettre au moins le pronostic fonctionnel, si ce n'est le pronostic vital du patient en cas de tumeur maligne. Le caractère pathologique d'une fracture doit ainsi être suspecté devant toute anamnèse inhabituelle, notamment en l'absence de traumatisme, sur le simple examen clinique et la radiographie osseuse. L'affirmation du caractère pathologique et celle du diagnostic causal sont ensuite réalisées au moyen d'examens complémentaires orientés par l'examen initial. Parmi les différentes causes possibles de fracture pathologique, trois groupes de pathologies peuvent être identifiés. La fracture survenant sur os tumoral, majoritairement sur métastase, la fracture sur maladie osseuse acquise et celle survenant sur maladie osseuse congénitale. La biopsie osseuse dans des règles strictes est le plus souvent un préalable à tout traitement de fracture sur os tumoral. Lorsque le diagnostic étiologique de la maladie est établi, il convient de définir une stratégie thérapeutique claire et savoir qui de la fracture ou de la pathologie sous-jacente a la primauté du traitement. Dans le cas de tumeurs osseuses malignes, cette stratégie doit obligatoirement être établie en réunion de concertation pluridisciplinaire. Il convient de traiter à la fois la fracture et la pathologie causale. Le traitement de la fracture repose sur des règles claires et s'adapte au terrain de chaque pathologie. En cas d'ostéosynthèse de fracture sur métastase, la consolidation doit toujours être recherchée et l'irradiation postopératoire est la règle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56616 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture récente de la diaphyse humérale de l'adulte / A. Cambon-Binder in EMC : Appareil locomoteur, vol. 13, n°1 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Fracture récente de la diaphyse humérale de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Cambon-Binder ; T. Gregory ; E. Masméjean Année de publication : 2018 Article en page(s) : 14-039-A-10 [Tome 2] Langues : Français (fre) Mots-clés : Diaphyse humérale Clou centromédullaire Embrochage fasciculé Plaque Nerf radial Attelle directionnelle Sarmiento Résumé : Fréquente, la fracture de la diaphyse humérale bénéficie d'un arsenal thérapeutique étendu : traitement orthopédique, fixation chirurgicale interne ou externe. Chaque cas doit être analysé en vue de poser la juste indication : terrain, type de fracture, lésions associées cutanées, neurovasculaires, générales (polytraumatisé). Le traitement orthopédique garde de nombreuses indications ; ses résultats sont le plus souvent satisfaisants compte tenu de l'excellente tolérance des cals vicieux et du faible taux de complications. Le traitement chirurgical s'adresse préférentiellement aux fractures déplacées et instables ne pouvant être suffisamment stabilisées par une immobilisation simple, aux fractures ouvertes, aux polytraumatisés, aux fractures pathologiques ou sur prothèse humérale. Les principales techniques sont l'enclouage centromédullaire verrouillé, la plaque vissée verrouillée ou non, le fixateur externe et l'embrochage fasciculé selon Hackethal. Leur taux de complications iatrogènes (paralysie radiale, infection du site opératoire, pseudarthrose) dépasse celui du traitement orthopédique. La paralysie du nerf radial, principale complication immédiate associée aux fractures de l'humérus, doit toujours donner lieu à une réflexion sur le risque de lésion nerveuse « vraie » : les fractures déplacées, à haute énergie, les traumatismes directs justifient probablement une exploration systématique d'un nerf radial paralysé en préopératoire, sans forcément nécessiter la modification du choix du type d'ostéosynthèse. En effet, sous-estimer ces lésions en faisant a priori l'hypothèse d'une simple contusion vouée à récupérer spontanément risque de rendre nécessaire une chirurgie secondaire complexe, et bien souvent un traitement palliatif pur à type de transferts tendineux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56617
in EMC : Appareil locomoteur > vol. 13, n°1 (Janvier 2018) . - 14-039-A-10 [Tome 2][article] Fracture récente de la diaphyse humérale de l'adulte [texte imprimé] / A. Cambon-Binder ; T. Gregory ; E. Masméjean . - 2018 . - 14-039-A-10 [Tome 2].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > vol. 13, n°1 (Janvier 2018) . - 14-039-A-10 [Tome 2]
Mots-clés : Diaphyse humérale Clou centromédullaire Embrochage fasciculé Plaque Nerf radial Attelle directionnelle Sarmiento Résumé : Fréquente, la fracture de la diaphyse humérale bénéficie d'un arsenal thérapeutique étendu : traitement orthopédique, fixation chirurgicale interne ou externe. Chaque cas doit être analysé en vue de poser la juste indication : terrain, type de fracture, lésions associées cutanées, neurovasculaires, générales (polytraumatisé). Le traitement orthopédique garde de nombreuses indications ; ses résultats sont le plus souvent satisfaisants compte tenu de l'excellente tolérance des cals vicieux et du faible taux de complications. Le traitement chirurgical s'adresse préférentiellement aux fractures déplacées et instables ne pouvant être suffisamment stabilisées par une immobilisation simple, aux fractures ouvertes, aux polytraumatisés, aux fractures pathologiques ou sur prothèse humérale. Les principales techniques sont l'enclouage centromédullaire verrouillé, la plaque vissée verrouillée ou non, le fixateur externe et l'embrochage fasciculé selon Hackethal. Leur taux de complications iatrogènes (paralysie radiale, infection du site opératoire, pseudarthrose) dépasse celui du traitement orthopédique. La paralysie du nerf radial, principale complication immédiate associée aux fractures de l'humérus, doit toujours donner lieu à une réflexion sur le risque de lésion nerveuse « vraie » : les fractures déplacées, à haute énergie, les traumatismes directs justifient probablement une exploration systématique d'un nerf radial paralysé en préopératoire, sans forcément nécessiter la modification du choix du type d'ostéosynthèse. En effet, sous-estimer ces lésions en faisant a priori l'hypothèse d'une simple contusion vouée à récupérer spontanément risque de rendre nécessaire une chirurgie secondaire complexe, et bien souvent un traitement palliatif pur à type de transferts tendineux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56617 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Talalgies / J. Damiano in EMC : Appareil locomoteur, vol. 13, n°1 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Talalgies Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Damiano Année de publication : 2018 Article en page(s) : 14-116-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Talalgies Aponévrose plantaire Enthésopathie Enthésophyte Tendon calcanéen Calcanéus Spondyloarthrite Spondylarthrite ankylosante Rhumatisme psoriasique Résumé : Les talalgies sont une cause fréquente d'inconfort. Elles peuvent être dues à une enthésopathie mécanique ou inflammatoire, à une bursite, à une compression nerveuse, à une atteinte osseuse ou des tissus mous. La clinique est primordiale dans l'approche du diagnostic et doit préciser le siège de la douleur, son mode de survenue et l'existence d'éventuels signes associés à distance du pied. On distingue les douleurs inférieures ou postérieures des douleurs diffuses du talon. Les étiologies sont le plus souvent mécaniques mais une spondyloarthrite peut se révéler par une talalgie et doit donc être recherchée au moindre doute, en particulier chez l'adulte jeune. Grâce à l'imagerie avec la radiographie standard, l'échographie et l'imagerie par résonance magnétique, les structures atteintes peuvent être mises en évidence, ce qui permet d'obtenir un diagnostic précis et la mise en œuvre de traitements adaptés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56618
in EMC : Appareil locomoteur > vol. 13, n°1 (Janvier 2018) . - 14-116-A-10 [Tome 4][article] Talalgies [texte imprimé] / J. Damiano . - 2018 . - 14-116-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > vol. 13, n°1 (Janvier 2018) . - 14-116-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Talalgies Aponévrose plantaire Enthésopathie Enthésophyte Tendon calcanéen Calcanéus Spondyloarthrite Spondylarthrite ankylosante Rhumatisme psoriasique Résumé : Les talalgies sont une cause fréquente d'inconfort. Elles peuvent être dues à une enthésopathie mécanique ou inflammatoire, à une bursite, à une compression nerveuse, à une atteinte osseuse ou des tissus mous. La clinique est primordiale dans l'approche du diagnostic et doit préciser le siège de la douleur, son mode de survenue et l'existence d'éventuels signes associés à distance du pied. On distingue les douleurs inférieures ou postérieures des douleurs diffuses du talon. Les étiologies sont le plus souvent mécaniques mais une spondyloarthrite peut se révéler par une talalgie et doit donc être recherchée au moindre doute, en particulier chez l'adulte jeune. Grâce à l'imagerie avec la radiographie standard, l'échographie et l'imagerie par résonance magnétique, les structures atteintes peuvent être mises en évidence, ce qui permet d'obtenir un diagnostic précis et la mise en œuvre de traitements adaptés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56618 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie traumatique du muscle strié squelettique / A. Frey in EMC : Appareil locomoteur, vol. 13, n°1 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Pathologie traumatique du muscle strié squelettique Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Frey ; S. Le Garrec Année de publication : 2018 Article en page(s) : 15-140-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Muscle strié Classification des lésions musculaires Échographie musculaire Séquelles Prévention Résumé : La pathologie du muscle strié touche préférentiellement le sujet pratiquant une activité physique souvent intense mais elle est rarement le fait du hasard. Les lésions musculaires touchent principalement les membres inférieurs avec une forte prévalence des lésions des ischiojambiers puis des gastrocnémiens. Après un interrogatoire minutieux, le praticien peut établir un premier diagnostic clinique précis de la lésion en mettant en œuvre des mesures thérapeutiques immédiates. Il est conseillé d'appliqué le protocole POLICE (protection, optimal loading, ice, compression, elevation) avant de revoir le sujet dans les quelques jours qui suivent le traumatisme pour établir un diagnostic de gravité. Lorsque le sujet est revu en consultation, le praticien peut s'aider de l'échographie afin d'évaluer le type de tissu touché, soit musculaire, soit conjonctif, soit mixte, et de préciser l'évolution de la lésion au bout de quelques jours. Une imagerie par résonance magnétique (IRM) peut être réalisée mais seulement dans des cas précis de lésion profonde peu accessible à l'échographie. Le praticien peut ainsi estimer un délai moyen de reprise des activités sportives et le patient peut commencer des soins de rééducation fonctionnelle adaptés. La reprise totale s'effectuera entre 15 jours et trois ou quatre mois en fonction de la gravité. Des séquelles peuvent apparaître à cause d'une prise en charge inadaptée, ou en raison d'une reprise trop précoce de l'activité liée à des impératifs personnels ou à des enjeux financiers chez les sportifs de haut niveau. Ces complications doivent être diagnostiquées et prises en charge en s'aidant de l'imagerie. Afin de limiter l'apparition de ces lésions musculaires, des mesures de prévention devraient être incluses dans la préparation : renforcement musculaire adéquat ; tests isocinétiques pour apprécier le ratio entre ces groupes musculaires et rechercher un éventuel déficit de force musculaire ; entraînement calibré, bonne hygiène de vie et récupération optimale incluant le sommeil et les massages. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56619
in EMC : Appareil locomoteur > vol. 13, n°1 (Janvier 2018) . - 15-140-A-10 [Tome 6][article] Pathologie traumatique du muscle strié squelettique [texte imprimé] / A. Frey ; S. Le Garrec . - 2018 . - 15-140-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > vol. 13, n°1 (Janvier 2018) . - 15-140-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Muscle strié Classification des lésions musculaires Échographie musculaire Séquelles Prévention Résumé : La pathologie du muscle strié touche préférentiellement le sujet pratiquant une activité physique souvent intense mais elle est rarement le fait du hasard. Les lésions musculaires touchent principalement les membres inférieurs avec une forte prévalence des lésions des ischiojambiers puis des gastrocnémiens. Après un interrogatoire minutieux, le praticien peut établir un premier diagnostic clinique précis de la lésion en mettant en œuvre des mesures thérapeutiques immédiates. Il est conseillé d'appliqué le protocole POLICE (protection, optimal loading, ice, compression, elevation) avant de revoir le sujet dans les quelques jours qui suivent le traumatisme pour établir un diagnostic de gravité. Lorsque le sujet est revu en consultation, le praticien peut s'aider de l'échographie afin d'évaluer le type de tissu touché, soit musculaire, soit conjonctif, soit mixte, et de préciser l'évolution de la lésion au bout de quelques jours. Une imagerie par résonance magnétique (IRM) peut être réalisée mais seulement dans des cas précis de lésion profonde peu accessible à l'échographie. Le praticien peut ainsi estimer un délai moyen de reprise des activités sportives et le patient peut commencer des soins de rééducation fonctionnelle adaptés. La reprise totale s'effectuera entre 15 jours et trois ou quatre mois en fonction de la gravité. Des séquelles peuvent apparaître à cause d'une prise en charge inadaptée, ou en raison d'une reprise trop précoce de l'activité liée à des impératifs personnels ou à des enjeux financiers chez les sportifs de haut niveau. Ces complications doivent être diagnostiquées et prises en charge en s'aidant de l'imagerie. Afin de limiter l'apparition de ces lésions musculaires, des mesures de prévention devraient être incluses dans la préparation : renforcement musculaire adéquat ; tests isocinétiques pour apprécier le ratio entre ces groupes musculaires et rechercher un éventuel déficit de force musculaire ; entraînement calibré, bonne hygiène de vie et récupération optimale incluant le sommeil et les massages. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56619 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire