Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
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Mention de date : Février 2018
Paru le : 01/02/2018
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[article]
| Titre : |
L'imagerie motrice dans la rééducation de la marche des amputés trans-tibiaux d'origine vasculaire |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jeanne Vanmairis |
| Année de publication : |
2018 |
| Article en page(s) : |
p. 2-12 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
imagerie motrice CHUTE AMPUTATION |
| Résumé : |
Objectif
Le but de la présente étude était d?examiner la faisabilité d?utiliser l?imagerie motrice associée à la pratique physique pour améliorer les stratégies motrices lors de la marche des amputés trans-tibiaux d?origine vasculaire.
Méthode
Il s?agit d?une étude de faisabilité, prospective, unicentrique, contrôlée et randomisée. La faisabilité d?utiliser l?imagerie motrice chez des patients amputés a été évalués par le questionnaire MIQ-RS. La marche a été évaluée par une analyse cinématique en laboratoire et le risque de chute par le Timed up and Go test (TUG). Deux groupes ont été constitués : le groupe expérimental (n = 4) a suivi des séances d?imagerie motrice ajoutés à la pratique physique de marche et le groupe témoin (n = 4) n?a effectué que la pratique physique de la marche.
Résultats
Aucune différence significative n?a été observée sur la vitesse de marche (expérimental vs témoin : 0,48 ± 0,43 m/s vs 0,60 ± 0,26 m/s) ni sur les autres critères d?évaluation à savoir la symétrie de la longueur des pas, la symétrie de la quantité d?appui et le TUG.
Conclusion
Cette étude a montré que la pratique de l?imagerie motrice est réalisable chez des patients amputés trans-tibiaux d?origine vasculaire. Néanmoins, aucun effet significatif sur l?amélioration de la marche et la réduction du risque de chute des amputés trans-tibiaux d?origine vasculaire n?a été retrouvé dans cette étude.
Niveau de preuve
III. |
| Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=56179 |
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 18, n°194 (Février 2018) . - p. 2-12
[article] L'imagerie motrice dans la rééducation de la marche des amputés trans-tibiaux d'origine vasculaire [texte imprimé] / Jeanne Vanmairis . - 2018 . - p. 2-12. Langues : Français ( fre) in Kinésithérapie, la revue > Vol. 18, n°194 (Février 2018) . - p. 2-12
| Mots-clés : |
imagerie motrice CHUTE AMPUTATION |
| Résumé : |
Objectif
Le but de la présente étude était d?examiner la faisabilité d?utiliser l?imagerie motrice associée à la pratique physique pour améliorer les stratégies motrices lors de la marche des amputés trans-tibiaux d?origine vasculaire.
Méthode
Il s?agit d?une étude de faisabilité, prospective, unicentrique, contrôlée et randomisée. La faisabilité d?utiliser l?imagerie motrice chez des patients amputés a été évalués par le questionnaire MIQ-RS. La marche a été évaluée par une analyse cinématique en laboratoire et le risque de chute par le Timed up and Go test (TUG). Deux groupes ont été constitués : le groupe expérimental (n = 4) a suivi des séances d?imagerie motrice ajoutés à la pratique physique de marche et le groupe témoin (n = 4) n?a effectué que la pratique physique de la marche.
Résultats
Aucune différence significative n?a été observée sur la vitesse de marche (expérimental vs témoin : 0,48 ± 0,43 m/s vs 0,60 ± 0,26 m/s) ni sur les autres critères d?évaluation à savoir la symétrie de la longueur des pas, la symétrie de la quantité d?appui et le TUG.
Conclusion
Cette étude a montré que la pratique de l?imagerie motrice est réalisable chez des patients amputés trans-tibiaux d?origine vasculaire. Néanmoins, aucun effet significatif sur l?amélioration de la marche et la réduction du risque de chute des amputés trans-tibiaux d?origine vasculaire n?a été retrouvé dans cette étude.
Niveau de preuve
III. |
| Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=56179 |
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Exemplaires (1)
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| Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt |
[article]
| Titre : |
Le stretching n'est pas un bon moyen pour prévenir et traiter les contractures (Analyse Cochrane) |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Dominique Monnin ; Balz Winteler |
| Année de publication : |
2018 |
| Article en page(s) : |
p.13-14 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
stretching Contracture |
| Résumé : |
Les causes des contractures sont mal connues. Elles sont d?ordre neurologique et/ou liées à des changements dans l?unité muscle-tendon et dans les tissus mous périarticulaires. Chez les patients atteints d?affections neurologiques, les contractures sont essentiellement liées à la spasticité. Mais elles accompagnent aussi des affections comme l?arthrite rhumatoïde, des séquelles de chirurgie ou de brûlures. En restreignant la mobilité articulaire, elles gênent les activités de la vie quotidienne et provoquent souvent des douleurs qui peuvent perturber le sommeil ; elles peuvent même générer des ulcères de pression et des déformations articulaires [1]. Il est donc important de savoir si le stretching, souvent utilisé pour les prévenir ou les traiter, est vraiment efficace. |
| Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=56181 |
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 18, n°194 (Février 2018) . - p.13-14
[article] Le stretching n'est pas un bon moyen pour prévenir et traiter les contractures (Analyse Cochrane) [texte imprimé] / Dominique Monnin ; Balz Winteler . - 2018 . - p.13-14. Langues : Français ( fre) in Kinésithérapie, la revue > Vol. 18, n°194 (Février 2018) . - p.13-14
| Mots-clés : |
stretching Contracture |
| Résumé : |
Les causes des contractures sont mal connues. Elles sont d?ordre neurologique et/ou liées à des changements dans l?unité muscle-tendon et dans les tissus mous périarticulaires. Chez les patients atteints d?affections neurologiques, les contractures sont essentiellement liées à la spasticité. Mais elles accompagnent aussi des affections comme l?arthrite rhumatoïde, des séquelles de chirurgie ou de brûlures. En restreignant la mobilité articulaire, elles gênent les activités de la vie quotidienne et provoquent souvent des douleurs qui peuvent perturber le sommeil ; elles peuvent même générer des ulcères de pression et des déformations articulaires [1]. Il est donc important de savoir si le stretching, souvent utilisé pour les prévenir ou les traiter, est vraiment efficace. |
| Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=56181 |
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