Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Ajouter le résultat dans votre panierCOUT ENERGETIQUE DU DEPLACEMENT EN FAUTEUIL ROULANT : ETUDE EN SITUATION REELLE CHEZ LE PARAPLEGIQUE RECENT / BAZZI-GROSSIN C. in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 38/7 (1995)
Titre : COUT ENERGETIQUE DU DEPLACEMENT EN FAUTEUIL ROULANT : ETUDE EN SITUATION REELLE CHEZ LE PARAPLEGIQUE RECENT Type de document : texte imprimé Auteurs : BAZZI-GROSSIN C. ; B. AUDIC ; CHARPENTIER P ; FOUILLOT J. P. Année de publication : 1995 Article en page(s) : p.421 - 428 Résumé : Huit patients paraplégiques traumatiques récents ont été évalués au laboratoire et sur le terrain afin de chiffrer les contraintes énergétiques des déplacements en fauteuil roulant. La dépense relative d'énergie et le coût énergétique ont été étudiés sur tapis roulant à 1% puis 3% de pente, et sur le terrain : sur moquette, sur un slalom, lors de montées et descentes de trottoirs. La consommation maximale d'oxygène moyenne, mesurée sur ergocycle à bras par méthode directe a été basse, 19,5 + 3,5 ml.min.kg, la limitation étant en rapport avec l'exercice des membres supérieurs, le handicap et le faible entraînement. Le coût énergétique et la dépense relative d'énergie ont été calculés à partir de la mesure directe de la consommation d'oxygène au laboratoire, par la technique de sacs de Douglas sur le terrain. Le coût énergétique moyen de la propulsion sur tapis roulant, à vitesse de confort et 1% de pente, a été de 213 + 57 j m, conforme aux données de la littérature, proche des valeurs habituelles de coût énergétique à la marque. A 3% de pente, sur moquette comme sur slalom, la réduction spontanée de leur vitesse de propulsion a permis aux différents sujets de maintenir une dépense relative d'énergie sous-maximale ; le coût énergétique a malgré cela augmenté de 50% à 80% comparativement à l'exercice sur tapis roulant à 1% de pente. Le coût énergétique moyen des franchissements de trottoirs a été 3,7 fois plus élevé, avec une dépense relative d'énergie elle aussi accrue. Les déplacements quotidiens peuvent donc représenter des contraintes énergétiques considérables. L'amélioration de la condition physique et de l'habileté technique au maniement du fauteuil roulant permet d'augmenter la réserve énergétique du paraplégique et de réduire les contraintes énergétiques quotidiennes, pour une autonomie plus grande.
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in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.421 - 428[article] COUT ENERGETIQUE DU DEPLACEMENT EN FAUTEUIL ROULANT : ETUDE EN SITUATION REELLE CHEZ LE PARAPLEGIQUE RECENT [texte imprimé] / BAZZI-GROSSIN C. ; B. AUDIC ; CHARPENTIER P ; FOUILLOT J. P. . - 1995 . - p.421 - 428.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.421 - 428
Résumé : Huit patients paraplégiques traumatiques récents ont été évalués au laboratoire et sur le terrain afin de chiffrer les contraintes énergétiques des déplacements en fauteuil roulant. La dépense relative d'énergie et le coût énergétique ont été étudiés sur tapis roulant à 1% puis 3% de pente, et sur le terrain : sur moquette, sur un slalom, lors de montées et descentes de trottoirs. La consommation maximale d'oxygène moyenne, mesurée sur ergocycle à bras par méthode directe a été basse, 19,5 + 3,5 ml.min.kg, la limitation étant en rapport avec l'exercice des membres supérieurs, le handicap et le faible entraînement. Le coût énergétique et la dépense relative d'énergie ont été calculés à partir de la mesure directe de la consommation d'oxygène au laboratoire, par la technique de sacs de Douglas sur le terrain. Le coût énergétique moyen de la propulsion sur tapis roulant, à vitesse de confort et 1% de pente, a été de 213 + 57 j m, conforme aux données de la littérature, proche des valeurs habituelles de coût énergétique à la marque. A 3% de pente, sur moquette comme sur slalom, la réduction spontanée de leur vitesse de propulsion a permis aux différents sujets de maintenir une dépense relative d'énergie sous-maximale ; le coût énergétique a malgré cela augmenté de 50% à 80% comparativement à l'exercice sur tapis roulant à 1% de pente. Le coût énergétique moyen des franchissements de trottoirs a été 3,7 fois plus élevé, avec une dépense relative d'énergie elle aussi accrue. Les déplacements quotidiens peuvent donc représenter des contraintes énergétiques considérables. L'amélioration de la condition physique et de l'habileté technique au maniement du fauteuil roulant permet d'augmenter la réserve énergétique du paraplégique et de réduire les contraintes énergétiques quotidiennes, pour une autonomie plus grande.
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Titre : EXPLORATION DES UNITES MOTRICES : NOUVEAUX OUTILS ET NOUVEAUX CONCEPTS Type de document : texte imprimé Auteurs : GUIHENEUC P. Année de publication : 1995 Article en page(s) : p.401 - 407 Résumé : L'unité motrice (UM) peut être considérée comme un câble de transmission de l'information (l'axone du motoneurone alpha) entre deux réseaux : un réseau périphérique, constitué par les fibres musculaires parallèles qui constituent le "territoire" de l'UM ; et un réseau central en "rosace" représenté par les interneurones connectés au corps cellulaire et aux dendrites du motoneurone. Des microélectrodes intramusculaires (aiguilles "pour fibre unique") permettent d'examiner de manière plus précise la divergence des messages sur les terminaisons axonales du motoneurone et les jonctions neuromusculaires, tandis que des capteurs de plus large volume de recueil (macroélectrodes) englobent l'activité de presque tout le territoire de l'UM. A l'autre extrémité du motoneurone, l'organisation dans l'espace et le temps de la commande centrale des UM (loi des tailles, entraînement à l'unisson, aiguillage interneuronal) peuvent être étudiés grâce à de nouvelles méthodes de décomposition automatique des tracés EMG, qui autorisent la mesure fiable des seuils de recrutement et des fréquences de décharge des UM. Les possibilités offertes par ces nouveaux capteurs et ces techniques récentes ne sont pas encore suffisamment exploitées en électromyographie clinique.
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in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.401 - 407[article] EXPLORATION DES UNITES MOTRICES : NOUVEAUX OUTILS ET NOUVEAUX CONCEPTS [texte imprimé] / GUIHENEUC P. . - 1995 . - p.401 - 407.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.401 - 407
Résumé : L'unité motrice (UM) peut être considérée comme un câble de transmission de l'information (l'axone du motoneurone alpha) entre deux réseaux : un réseau périphérique, constitué par les fibres musculaires parallèles qui constituent le "territoire" de l'UM ; et un réseau central en "rosace" représenté par les interneurones connectés au corps cellulaire et aux dendrites du motoneurone. Des microélectrodes intramusculaires (aiguilles "pour fibre unique") permettent d'examiner de manière plus précise la divergence des messages sur les terminaisons axonales du motoneurone et les jonctions neuromusculaires, tandis que des capteurs de plus large volume de recueil (macroélectrodes) englobent l'activité de presque tout le territoire de l'UM. A l'autre extrémité du motoneurone, l'organisation dans l'espace et le temps de la commande centrale des UM (loi des tailles, entraînement à l'unisson, aiguillage interneuronal) peuvent être étudiés grâce à de nouvelles méthodes de décomposition automatique des tracés EMG, qui autorisent la mesure fiable des seuils de recrutement et des fréquences de décharge des UM. Les possibilités offertes par ces nouveaux capteurs et ces techniques récentes ne sont pas encore suffisamment exploitées en électromyographie clinique.
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Titre : INTERET DE LA MESURE D'INDEPENDANCE FONCTIONNELLE (MIF) DANS UN SERVICE DEREEDUCATION ET DE READAPTATION GERIATRIQUES Type de document : texte imprimé Auteurs : BUIA J. M. ; BELKACEMI A. ; CARLIER P. Année de publication : 1995 Article en page(s) : p.435 - 441 Résumé : Nous rapportons une étude prospective réalisée sur 2 mois en moyen séjour gériatrique. A l'entrée et à la sortie, a été systématiquement remplie une grille d'indépendance fonctionnelle : la MIF ; il s'agit d'une échelle validée en rééducation fonctionnelle et servant à évaluer l'incapacité du patient, quelles que soient ses maladies ou déficiences. Ainsi, 60 dossiers ont été réunis comprenant 23 hommes et 37 femmes d'âge moyen 78,8 + 6,7 ans, avec une durée moyenne d'hospitalisation de 34 + 25 jours. Outre la population totale, deux sous-groupes "orthopédique" et "neurologique" sont individualisés. L'analyse du gain de la MIF entre l'entrée et la sortie montre une progression dans chaque groupe. A un score de MIF, à l'entrée plus bas, correspondent un gain de score plus élevé mais également un temps de travail (de soins et de kinésithérapie) plus long. Les valeurs les plus basses sont retrouvées pour le groupe neurologique, au handicap potentiel le plus élevé ; cette pathologie autorise, en outre, moins de retours à domicile. Une structure de soins est plus souvent nécessaire.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53175
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.435 - 441[article] INTERET DE LA MESURE D'INDEPENDANCE FONCTIONNELLE (MIF) DANS UN SERVICE DEREEDUCATION ET DE READAPTATION GERIATRIQUES [texte imprimé] / BUIA J. M. ; BELKACEMI A. ; CARLIER P. . - 1995 . - p.435 - 441.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.435 - 441
Résumé : Nous rapportons une étude prospective réalisée sur 2 mois en moyen séjour gériatrique. A l'entrée et à la sortie, a été systématiquement remplie une grille d'indépendance fonctionnelle : la MIF ; il s'agit d'une échelle validée en rééducation fonctionnelle et servant à évaluer l'incapacité du patient, quelles que soient ses maladies ou déficiences. Ainsi, 60 dossiers ont été réunis comprenant 23 hommes et 37 femmes d'âge moyen 78,8 + 6,7 ans, avec une durée moyenne d'hospitalisation de 34 + 25 jours. Outre la population totale, deux sous-groupes "orthopédique" et "neurologique" sont individualisés. L'analyse du gain de la MIF entre l'entrée et la sortie montre une progression dans chaque groupe. A un score de MIF, à l'entrée plus bas, correspondent un gain de score plus élevé mais également un temps de travail (de soins et de kinésithérapie) plus long. Les valeurs les plus basses sont retrouvées pour le groupe neurologique, au handicap potentiel le plus élevé ; cette pathologie autorise, en outre, moins de retours à domicile. Une structure de soins est plus souvent nécessaire.
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Titre : L'HEMIPLEGIQUE AGE DE PLUS DE 60 ANS : PRINCIPES ET LIMITES DE L'HOSPITALISATION EN MILIEU SPECIALISE DE REEDUCATION Type de document : texte imprimé Auteurs : FOUCAULT P ; F. BARETH ; DELAUBIER A. ; GUILLOU C. ; INGRAND P. ; RENARDEL-IRANI A. ; RIDEAU Y. Année de publication : 1995 Article en page(s) : p.429 - 434 Résumé : La durée moyenne de l'hospitalisation pour traitement de rééducation spécialisée a été étudiée chez 100 patients hémiplégiques âgés de plus de 60 ans. Dans ce but, nous avons utilisé 15 critères d'analyse représentatifs des séquelles des lésions cérébrales, avec une attention particulière sur l'évolution de l'indice de Barthel et un indice locomoteur. Nous avons pu ainsi contrôler des facteurs péjoratifs de récupération fonctionnelle : altération de l'état général avec fatigabilité excessive, dysfonctionnement des fonctions supérieures, hémiplégie sévère, âge élevé, troubles sphinctériens. Des règles pratiques peuvent être ainsi déduites sur l'orientation souhaitable des patients après la phase aiguë vers une rééducation intensive ou vers une solution d'attente.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53180
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.429 - 434[article] L'HEMIPLEGIQUE AGE DE PLUS DE 60 ANS : PRINCIPES ET LIMITES DE L'HOSPITALISATION EN MILIEU SPECIALISE DE REEDUCATION [texte imprimé] / FOUCAULT P ; F. BARETH ; DELAUBIER A. ; GUILLOU C. ; INGRAND P. ; RENARDEL-IRANI A. ; RIDEAU Y. . - 1995 . - p.429 - 434.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.429 - 434
Résumé : La durée moyenne de l'hospitalisation pour traitement de rééducation spécialisée a été étudiée chez 100 patients hémiplégiques âgés de plus de 60 ans. Dans ce but, nous avons utilisé 15 critères d'analyse représentatifs des séquelles des lésions cérébrales, avec une attention particulière sur l'évolution de l'indice de Barthel et un indice locomoteur. Nous avons pu ainsi contrôler des facteurs péjoratifs de récupération fonctionnelle : altération de l'état général avec fatigabilité excessive, dysfonctionnement des fonctions supérieures, hémiplégie sévère, âge élevé, troubles sphinctériens. Des règles pratiques peuvent être ainsi déduites sur l'orientation souhaitable des patients après la phase aiguë vers une rééducation intensive ou vers une solution d'attente.
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Titre : POSSIBILITES D'EXPLORATIONS DE LA MOTRICITE VOLONTAIRE CHEZ L'HOMME PAR TOMOGRAPHIE D'EMISSION DE POSITONS Type de document : texte imprimé Auteurs : DECETY J. Année de publication : 1995 Article en page(s) : p.395 - 400 Résumé : La tomographie par émission de positons permet l'exploration non invasive et in vivo des modifications de différents processus physiologiques ou biochimiques tels que le débit sanguin, le volume sanguin, le métabolisme du glucose, etc, au cours d'activités sensorimotrices ou cognitives. Cette technique offre des potentialités d'études fonctionnelles de la motricité volontaire chez l'homme particulièrement intéressantes. Elle permet d'appréhender le mouvement volontaire en tenant compte de ses différentes étapes, telles que l'intention, la préparation et l'exécution. Enfin, les phénomènes de récupération motrice peuvent être visualisés et évalués à des fins de diagnostic et de pronostic.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53215
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.395 - 400[article] POSSIBILITES D'EXPLORATIONS DE LA MOTRICITE VOLONTAIRE CHEZ L'HOMME PAR TOMOGRAPHIE D'EMISSION DE POSITONS [texte imprimé] / DECETY J. . - 1995 . - p.395 - 400.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.395 - 400
Résumé : La tomographie par émission de positons permet l'exploration non invasive et in vivo des modifications de différents processus physiologiques ou biochimiques tels que le débit sanguin, le volume sanguin, le métabolisme du glucose, etc, au cours d'activités sensorimotrices ou cognitives. Cette technique offre des potentialités d'études fonctionnelles de la motricité volontaire chez l'homme particulièrement intéressantes. Elle permet d'appréhender le mouvement volontaire en tenant compte de ses différentes étapes, telles que l'intention, la préparation et l'exécution. Enfin, les phénomènes de récupération motrice peuvent être visualisés et évalués à des fins de diagnostic et de pronostic.
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Titre : RETENTISSEMENT SUR LE COMPORTEMENT MICTIONNEL DE LA FEMME DES MEDICATIONS PSYCHOTROPES Type de document : texte imprimé Auteurs : LOPEZ S. ; COSTA P ; JOUBERT A. ; P. MARES ; J. PELISSIER ; PERAY P. Année de publication : 1995 Article en page(s) : p.447 - 451 Résumé : Au cours d'une consultation de statique pelvienne, certaines femmes adressées pour incontinence urinaire sont sous traitements anxiolytiques seuls ou associés à des antidépresseurs et ou neuroleptiques et ou hypnotiques. Par l'étude d'une cohorte homogène de 51 femmes, dont 21 étaient traitées par ces substances, nous avons observé le retentissement de ces médications sur leur équilibre mictionnel. Sur 51 patientes de moyenne d'âge 53 ans (41 à 75 ans) : 30 sont sans traitement (groupe A), 21 sont sous traitement (groupe B), dont neuf par médications anxiolytiques seules (groupe B1) et 12 par médications anxiolytiques associées à un antidépresseur et ou un hypnotique et ou un neuroleptique (groupe B2). Nous avons exclu de cette étude les femmes ayant d'autres traitements médicamenteux, des antécédents neurologiques ou de chirurgie pelvienne. Les résultats retrouvent de façon significative un testing musculaire des releveurs de l'anus plus faible chez les femmes sous traitement (groupe B) ; la pression de clôture urétrale est abaissée chez ces patientes (groupe B) mais de façon non significative par rapport au groupe A. Une plus grande fréquence de résidus postmictionnels et de grande capacité vésicale s'observe chez les patientes du groupe B2 par rapport au groupe A (p = 0,05). La constipation apparaît plus fréquemment rencontrée chez les patientes traitées (groupe B) et de façon très significative par rapport au groupe A (p = 0,002). Les effets myorelaxants des benzodiazépines, les effets anticholinergiques de certains antidépresseurs tricycliques et de certains neuroleptiques sont bien connus. Ces médications ont des niveaux d'action variables suivant leur posologie et la susceptibilité du sujet. Leurs effets secondaires peuvent se potentialiser en fonction de leurs associations. Ces produits souvent bien tolérés peuvent décompenser un équilibre mictionnel précaire par réduction de la vigilance, émoussage des besoins mictionnels, modification de la capacité vésicale, résidus postmictionnels et probablement hypocontractilité vésicale. La constipation fréquemment retrouvée chez nos patientes traitées s'observe également au cours des états dépressifs et il est donc difficile de faire la part exacte de responsabilité due aux traitements.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53229
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.447 - 451[article] RETENTISSEMENT SUR LE COMPORTEMENT MICTIONNEL DE LA FEMME DES MEDICATIONS PSYCHOTROPES [texte imprimé] / LOPEZ S. ; COSTA P ; JOUBERT A. ; P. MARES ; J. PELISSIER ; PERAY P. . - 1995 . - p.447 - 451.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.447 - 451
Résumé : Au cours d'une consultation de statique pelvienne, certaines femmes adressées pour incontinence urinaire sont sous traitements anxiolytiques seuls ou associés à des antidépresseurs et ou neuroleptiques et ou hypnotiques. Par l'étude d'une cohorte homogène de 51 femmes, dont 21 étaient traitées par ces substances, nous avons observé le retentissement de ces médications sur leur équilibre mictionnel. Sur 51 patientes de moyenne d'âge 53 ans (41 à 75 ans) : 30 sont sans traitement (groupe A), 21 sont sous traitement (groupe B), dont neuf par médications anxiolytiques seules (groupe B1) et 12 par médications anxiolytiques associées à un antidépresseur et ou un hypnotique et ou un neuroleptique (groupe B2). Nous avons exclu de cette étude les femmes ayant d'autres traitements médicamenteux, des antécédents neurologiques ou de chirurgie pelvienne. Les résultats retrouvent de façon significative un testing musculaire des releveurs de l'anus plus faible chez les femmes sous traitement (groupe B) ; la pression de clôture urétrale est abaissée chez ces patientes (groupe B) mais de façon non significative par rapport au groupe A. Une plus grande fréquence de résidus postmictionnels et de grande capacité vésicale s'observe chez les patientes du groupe B2 par rapport au groupe A (p = 0,05). La constipation apparaît plus fréquemment rencontrée chez les patientes traitées (groupe B) et de façon très significative par rapport au groupe A (p = 0,002). Les effets myorelaxants des benzodiazépines, les effets anticholinergiques de certains antidépresseurs tricycliques et de certains neuroleptiques sont bien connus. Ces médications ont des niveaux d'action variables suivant leur posologie et la susceptibilité du sujet. Leurs effets secondaires peuvent se potentialiser en fonction de leurs associations. Ces produits souvent bien tolérés peuvent décompenser un équilibre mictionnel précaire par réduction de la vigilance, émoussage des besoins mictionnels, modification de la capacité vésicale, résidus postmictionnels et probablement hypocontractilité vésicale. La constipation fréquemment retrouvée chez nos patientes traitées s'observe également au cours des états dépressifs et il est donc difficile de faire la part exacte de responsabilité due aux traitements.
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Titre : ROLE DE L'ANALYSE DU PAS DANS LA REEDUCATION DE LA PROTHESE DE GENOU Type de document : texte imprimé Auteurs : BILOTTA T. W. ; BATTISTINI A. ; BENEDETTI M.-G. ; CATANI F. ; DAVOLI O. ; FUSARO I. ; MARIANI E. Année de publication : 1995 Article en page(s) : p.453 - 456 Résumé : Les auteurs rapportent les résultats d'une étude de la marche de 23 sujets porteurs d'une prothèse de genou de type international avec une mise en charge précoce. En plus, ils décrivent le traitement rééducatif utilisé et les modifications apportées en tenant compte des résultats de l'évaluation instrumentale.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53230
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.453 - 456[article] ROLE DE L'ANALYSE DU PAS DANS LA REEDUCATION DE LA PROTHESE DE GENOU [texte imprimé] / BILOTTA T. W. ; BATTISTINI A. ; BENEDETTI M.-G. ; CATANI F. ; DAVOLI O. ; FUSARO I. ; MARIANI E. . - 1995 . - p.453 - 456.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.453 - 456
Résumé : Les auteurs rapportent les résultats d'une étude de la marche de 23 sujets porteurs d'une prothèse de genou de type international avec une mise en charge précoce. En plus, ils décrivent le traitement rééducatif utilisé et les modifications apportées en tenant compte des résultats de l'évaluation instrumentale.
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Titre : SCOLIOSE DOULOUREUSE DU PETIT ENFANT : A PROPOS D'UN CAS DE KYSTE ANEVRYSMAL OSSEUX LOMBAIRE (CORPS DE L4 ET ARC POSTERIEUR) Type de document : texte imprimé Auteurs : FENDER P. ; CLAVERT J.-M. ; LIGIER J. N. ; Jean Sengler ; SOUTTER J. W. Année de publication : 1995 Article en page(s) : p.443 - 446 Résumé : Nous relatons l'observation d'un enfant de 3 ans qui présentait une scoliose lombaire douloureuse au moment de sa découverte. C'est l'examen tomodensitométrique qui a précisé la localisation et l'étendue d'un kyste anévrysmal osseux de L3 à S1 développé à partir du corps et l'arc postérieur de L4. Le fait favorable est l'atteinte peu importante du corps vertébral. L'intervention a réalisé l'ablation totale de la tumeur avec laminectomie de L4 et mise en place d'un Cotrel Dubousset (CD) pédiatrique en distraction de L3 à S1 sans abord antérieur. Le kyste anévrysmal est une tumeur bénigne rare. Elle est grave dans sa topographie rachidienne : le risque étant neurologique, le traitement chirurgical doit mettre le patient à l'abri de la récidive et de la déformation secondaire. La scoliose douloureuse de l'enfant évoque une cause tumorale dont le traitement chirurgical est déterminant. Les tumeurs bénignes représentent 80% de ces étiologies dont 10,5% reviennent au kyste anévrysmal. La fréquence de localisation axiale du kyste anévrysmal est plus grande qu'en périphérie, c'est pourquoi cette étiologie est importante à connaître.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53231
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.443 - 446[article] SCOLIOSE DOULOUREUSE DU PETIT ENFANT : A PROPOS D'UN CAS DE KYSTE ANEVRYSMAL OSSEUX LOMBAIRE (CORPS DE L4 ET ARC POSTERIEUR) [texte imprimé] / FENDER P. ; CLAVERT J.-M. ; LIGIER J. N. ; Jean Sengler ; SOUTTER J. W. . - 1995 . - p.443 - 446.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.443 - 446
Résumé : Nous relatons l'observation d'un enfant de 3 ans qui présentait une scoliose lombaire douloureuse au moment de sa découverte. C'est l'examen tomodensitométrique qui a précisé la localisation et l'étendue d'un kyste anévrysmal osseux de L3 à S1 développé à partir du corps et l'arc postérieur de L4. Le fait favorable est l'atteinte peu importante du corps vertébral. L'intervention a réalisé l'ablation totale de la tumeur avec laminectomie de L4 et mise en place d'un Cotrel Dubousset (CD) pédiatrique en distraction de L3 à S1 sans abord antérieur. Le kyste anévrysmal est une tumeur bénigne rare. Elle est grave dans sa topographie rachidienne : le risque étant neurologique, le traitement chirurgical doit mettre le patient à l'abri de la récidive et de la déformation secondaire. La scoliose douloureuse de l'enfant évoque une cause tumorale dont le traitement chirurgical est déterminant. Les tumeurs bénignes représentent 80% de ces étiologies dont 10,5% reviennent au kyste anévrysmal. La fréquence de localisation axiale du kyste anévrysmal est plus grande qu'en périphérie, c'est pourquoi cette étiologie est importante à connaître.
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Titre : TECHNIQUES D'EXPLORATION DE LA VASOMOTRICITE Type de document : texte imprimé Auteurs : PLANCHON B. ; PISTORIUS M. A. Année de publication : 1995 Article en page(s) : p.415 - 420 Résumé : L'exploration fonctionnelle de la vasomotricité tient compte des deux modalités de régulation : neurologique et vasculotrope. Les techniques d'exploration de la microcirculation (capillaroscopie, vélocimétrie laser-doppler, pléthysmographie) permettent par des tests dynamiques d'apprécier l'exacerbation du tonus vasomoteur basal (acrocyanose, algodystrophie, etc), la réactivité thermique (tests au froid dans les acrosyndromes vasculaires), l'amplitude du signal pléthysmographique à chaud (artériopathie digitale), les dysrégulations neurovasculaires (neuropathies, algodystrophies), le réflexe veino-artériel (artérite, neuropathies, insuffisance veineuse, etc).
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53237
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.415 - 420[article] TECHNIQUES D'EXPLORATION DE LA VASOMOTRICITE [texte imprimé] / PLANCHON B. ; PISTORIUS M. A. . - 1995 . - p.415 - 420.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.415 - 420
Résumé : L'exploration fonctionnelle de la vasomotricité tient compte des deux modalités de régulation : neurologique et vasculotrope. Les techniques d'exploration de la microcirculation (capillaroscopie, vélocimétrie laser-doppler, pléthysmographie) permettent par des tests dynamiques d'apprécier l'exacerbation du tonus vasomoteur basal (acrocyanose, algodystrophie, etc), la réactivité thermique (tests au froid dans les acrosyndromes vasculaires), l'amplitude du signal pléthysmographique à chaud (artériopathie digitale), les dysrégulations neurovasculaires (neuropathies, algodystrophies), le réflexe veino-artériel (artérite, neuropathies, insuffisance veineuse, etc).
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Titre : TRAITEMENT DES PARAOSTEOARTHROPATHIES NEUROGENES PAR LE PAMIDRONATE Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Enjalbert ; BENAÏM C. ; KANJ A. ; MARCELLI D. ; J. PELISSIER Année de publication : 1995 Article en page(s) : p.409 - 414 Résumé : Le Pamidronate(r) (APD) est un diphosphonate récemment commercialisé qui inhibe efficacement la résorption osseuse. Il a été proposé pour traiter l'hypercalcémie des cancers osseux métastatiques et la maladie osseuse de Paget, au cours de laquelle il réduit significativement le turn over osseux. Vingt-trois patients cérébrolésés (cérébrolésion traumatique : 19 cas par anévrisme intracrânien rompu : quatre cas) encore comateux ou récemment sortis du coma, sont inclus dans le protocole. Ils présentent des paraostéoarthropathies (POA) (37 au total), localisées à la hanche (19), au coude (neuf), au genou (sept) et à l'épaule (deux). Le protocole consiste en l'administration par perfusion intraveineuse de 180 mg d'APD, en trois injections quotidiennes de 60 mg. Le délai entre l'administration et le premier signe clinique de POA est de 48,5 jours (7 à 90 jours). L'administration de l'APD est suivie par une hypocalcémie significative, témoin de l'inhibition de la résorption osseuse. En dépit de cela, l'APD n'empêche pas l'évolution des POA ; la raideur articulaire s'accroît et, avec un recul de 5,5 mois après l'administration, 14 des 37 POA s'accompagnent d'une ankylose articulaire. En outre, le taux de la phosphatase alcaline sérique reste élevé, ce qui correspond à la persistance d'une activité d'ostéoformation. Cette constatation conduit les auteurs à penser qu'il y a dans le processus d'ossification ectopique des POA, un découplage de la formation et de la résorption osseuse, contrairement à l'os normal ou à l'os pagétique.
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in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.409 - 414[article] TRAITEMENT DES PARAOSTEOARTHROPATHIES NEUROGENES PAR LE PAMIDRONATE [texte imprimé] / M. Enjalbert ; BENAÏM C. ; KANJ A. ; MARCELLI D. ; J. PELISSIER . - 1995 . - p.409 - 414.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 38/7 (1995) . - p.409 - 414
Résumé : Le Pamidronate(r) (APD) est un diphosphonate récemment commercialisé qui inhibe efficacement la résorption osseuse. Il a été proposé pour traiter l'hypercalcémie des cancers osseux métastatiques et la maladie osseuse de Paget, au cours de laquelle il réduit significativement le turn over osseux. Vingt-trois patients cérébrolésés (cérébrolésion traumatique : 19 cas par anévrisme intracrânien rompu : quatre cas) encore comateux ou récemment sortis du coma, sont inclus dans le protocole. Ils présentent des paraostéoarthropathies (POA) (37 au total), localisées à la hanche (19), au coude (neuf), au genou (sept) et à l'épaule (deux). Le protocole consiste en l'administration par perfusion intraveineuse de 180 mg d'APD, en trois injections quotidiennes de 60 mg. Le délai entre l'administration et le premier signe clinique de POA est de 48,5 jours (7 à 90 jours). L'administration de l'APD est suivie par une hypocalcémie significative, témoin de l'inhibition de la résorption osseuse. En dépit de cela, l'APD n'empêche pas l'évolution des POA ; la raideur articulaire s'accroît et, avec un recul de 5,5 mois après l'administration, 14 des 37 POA s'accompagnent d'une ankylose articulaire. En outre, le taux de la phosphatase alcaline sérique reste élevé, ce qui correspond à la persistance d'une activité d'ostéoformation. Cette constatation conduit les auteurs à penser qu'il y a dans le processus d'ossification ectopique des POA, un découplage de la formation et de la résorption osseuse, contrairement à l'os normal ou à l'os pagétique.
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