Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
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Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Annales de réadaptation et de médecine physique . vol. 40/7Mention de date : 1997 Paru le : 01/11/1997 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierA propos de l'héminégligence : bilan et perspectives / PAILLARD J in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 40/7 (1997)
[article]
Titre : A propos de l'héminégligence : bilan et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : PAILLARD J ; M. BADAN Année de publication : 1997 Article en page(s) : p.503 - 518 Résumé : Ce syndrome se définit comme l'incapacité pour le patient de " rendre compte de, de réagir à, et de s'orienter vers des stimulations nouvelles ou signifiantes présentées dans l'hémi-espace contralatéral à une lésion cérébrale ". La variété des manifestations cliniques du syndrome de négligence impose l'idée d'une pluralité de cofacteurs associés à cet état pathologique. Dans le cas de la négligence visuospatiale, les perturbations touchent, de manière plus ou moins globale, divers composants des activités visuomotrices les plus habituelles. En fait, les corrélats physiopathologiques objectivables de ces troubles restent encore mal connus. La plupart des épreuves d'évaluation clinique font référence à une interprétation fonctionnelle d'un déficit spécifiquement identifié. Deux voies thérapeutiques ont été principalement exploitées au cours de ces dernières années: l'entraînement à l'exploration attentionnelle (scanning training) a donné lieu à des résultats encourageants. Ils ne résolvent pas pour autant l'un des problèmes majeurs rencontrés lors de la rééducation des patients héminégligents: les améliorations notables obtenues en situation expérimentale d'entraînement se généralisent mal dans la vie quotidienne du patient. Par ailleurs, une recalibration spectaculaire du système égocentrique de coordonnées visuospatiales a pu être observée par la mise en oeuvre de sollicitations réflexes variées (optocinétique, vestibulo-oculaire, muscles de la nuque) ouvrant ainsi de nouvelles perspectives d'interventions réparatrices prometteuses. Les développements futurs dans le champ des pratiques rééducatives dépendront largement d'un effort soutenu visant à tirer profit des progrès actuels de nos connaissances des mécanismes nerveux qui sous-tendent les manifestations cliniques de l'héminégligence. La question d'une contribution prédominante des processus attentionnels, intentionnels ou représentationnels dans l'expression du déficit demeure une option théorique encore controversée. Les perspectives nouvellement offertes dans les domaines de la neuro-imagerie cérébrale, des modèles neurocomportementaux et de la neuropharmacologie, sont brièvement présentés.
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in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.503 - 518[article] A propos de l'héminégligence : bilan et perspectives [texte imprimé] / PAILLARD J ; M. BADAN . - 1997 . - p.503 - 518.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.503 - 518
Résumé : Ce syndrome se définit comme l'incapacité pour le patient de " rendre compte de, de réagir à, et de s'orienter vers des stimulations nouvelles ou signifiantes présentées dans l'hémi-espace contralatéral à une lésion cérébrale ". La variété des manifestations cliniques du syndrome de négligence impose l'idée d'une pluralité de cofacteurs associés à cet état pathologique. Dans le cas de la négligence visuospatiale, les perturbations touchent, de manière plus ou moins globale, divers composants des activités visuomotrices les plus habituelles. En fait, les corrélats physiopathologiques objectivables de ces troubles restent encore mal connus. La plupart des épreuves d'évaluation clinique font référence à une interprétation fonctionnelle d'un déficit spécifiquement identifié. Deux voies thérapeutiques ont été principalement exploitées au cours de ces dernières années: l'entraînement à l'exploration attentionnelle (scanning training) a donné lieu à des résultats encourageants. Ils ne résolvent pas pour autant l'un des problèmes majeurs rencontrés lors de la rééducation des patients héminégligents: les améliorations notables obtenues en situation expérimentale d'entraînement se généralisent mal dans la vie quotidienne du patient. Par ailleurs, une recalibration spectaculaire du système égocentrique de coordonnées visuospatiales a pu être observée par la mise en oeuvre de sollicitations réflexes variées (optocinétique, vestibulo-oculaire, muscles de la nuque) ouvrant ainsi de nouvelles perspectives d'interventions réparatrices prometteuses. Les développements futurs dans le champ des pratiques rééducatives dépendront largement d'un effort soutenu visant à tirer profit des progrès actuels de nos connaissances des mécanismes nerveux qui sous-tendent les manifestations cliniques de l'héminégligence. La question d'une contribution prédominante des processus attentionnels, intentionnels ou représentationnels dans l'expression du déficit demeure une option théorique encore controversée. Les perspectives nouvellement offertes dans les domaines de la neuro-imagerie cérébrale, des modèles neurocomportementaux et de la neuropharmacologie, sont brièvement présentés.
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Exclu du prêtIntérêt de la biopsie musculaire à la pince dans le diagnostic étiologique des pathologies neuromusculaires / FEASSON L. in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 40/7 (1997)
[article]
Titre : Intérêt de la biopsie musculaire à la pince dans le diagnostic étiologique des pathologies neuromusculaires Type de document : texte imprimé Auteurs : FEASSON L. ; J. C. ANTOINE ; DAMON G. ; DENIS A. ; Vincent Gautheron ; MICHEL C. ; MOSNIER J. F. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p.527 - 533 Résumé : La biopsie musculaire à la pince de Weil-Blakesley est une méthode de prélèvement aisée, et bien tolérée du patient. Elle permet d'obtenir des renseignements morphologiques et biochimiques, et de s'orienter rapidement vers un diagnostic étiologique dans le vaste cadre de la pathologie neuromusculaire. Les auteurs exposent les résultats de cette technique appliquée chez 103 patients suspects d'atteintes neuromusculaires. Quatre observations pertinentes sont particulièrement développées. Cette étude tente de détailler les principaux intérêts, mais aussi les limites de cette méthode de prélèvement musculaire.
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in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.527 - 533[article] Intérêt de la biopsie musculaire à la pince dans le diagnostic étiologique des pathologies neuromusculaires [texte imprimé] / FEASSON L. ; J. C. ANTOINE ; DAMON G. ; DENIS A. ; Vincent Gautheron ; MICHEL C. ; MOSNIER J. F. . - 1997 . - p.527 - 533.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.527 - 533
Résumé : La biopsie musculaire à la pince de Weil-Blakesley est une méthode de prélèvement aisée, et bien tolérée du patient. Elle permet d'obtenir des renseignements morphologiques et biochimiques, et de s'orienter rapidement vers un diagnostic étiologique dans le vaste cadre de la pathologie neuromusculaire. Les auteurs exposent les résultats de cette technique appliquée chez 103 patients suspects d'atteintes neuromusculaires. Quatre observations pertinentes sont particulièrement développées. Cette étude tente de détailler les principaux intérêts, mais aussi les limites de cette méthode de prélèvement musculaire.
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Exclu du prêtLa dépression et les troubles de l'affectivité ont-ils un retentissement sur la rééducation de l'hémiplégique et faut-il les traiter ? in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 40/7 (1997)
[article]
Titre : La dépression et les troubles de l'affectivité ont-ils un retentissement sur la rééducation de l'hémiplégique et faut-il les traiter ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 1997 Article en page(s) : p.481 - 501 Résumé : Le diagnostic repose sur quatre types d'éléments: cliniques, comportementaux, psychométriques, biologiques. Les symptômes cliniques sont à interpréter en fonction du nouveau DSM IV ou de la classification internationale des troubles mentaux (CIM 10). Certains troubles peuvent être rattachés à la lésion cérébrale, à l'origine d'une surestimation de la dépression, d'autres tels que l'anosognosie ou le déni peuvent, eux, entraîner des sous-estimations. De nombreuses échelles sont à la disponibilité du clinicien pour le diagnostic de dépression. Peu d'entre elles ont été validées dans le cadre des patients victimes d'un AVC. La plupart d'entre elles se heurtent à leur passation chez les aphasiques. Une courte enquête réalisée auprès de 15 centres de rééducation français montre que sept d'entre eux posent le diagnostic de dépression essentiellement sur la clinique. La prévalence de la survenue de la dépression chez l'hémiplégique est très variable allant de 22% à 65%. Divers paramètres peuvent expliquer ces données relativement peu précises: les cohortes des malades sont très variables, les définitions de la " dépression " sont variables selon les critères retenus, les troubles affectifs et émotionnels peuvent conduire à une surestimation de la fréquence des dépressions, les tests d'évaluation sont multiples, l'évaluation de la fréquence de la dépression est subjective et fonction de la nature de l'évaluateur. Les facteurs favorisants ou associés à la dépression de l'hémiplégique sont multiples, variables dans le temps et évalués très différemment qu'il s'agissent des facteurs épidémiologiques, du handicap fonctionnel ou cognitif ou des données anatomopathologiques. Au-delà de la souffrance morale, la dépression induit un ralentissement des acquisitions, un handicap cognitif, un dysfonctionnement familial un dysfonctionnement social, un risque suicidaire. Deux hypothèses sont défendues pour l'étiopathogénie de la dépression du patient hémiplégique. La première, très défendue et étayée par les auteurs anglo-saxons, est une hypothèse organique par modification des neurotransmetteurs (sérotonine, dopamine, catécholamines) secondaire à la lésion. La deuxième hypothèse, moins argumentée, serait une participation psychologique avec la survenue de la dépression secondaire au handicap. Plusieurs auteurs évoquent en fait l'association des deux hypothèses: la dépression est initialement primaire; dans un second temps, la dépression est secondaire, il s'agit du temps de la prise de conscience de la non-récupération. Il serait intéressant de continuer les recherches dans l'analyse des comportements du " faire face " ou du " travail de deuil " des patients hémiplégiques. Ces comportements sont importants à connaître pour tout soignant qui s'occupe de tels patients. Le traitement de la dépression pourrait aussi être efficace sur la récupération. Les recommandations suivantes peuvent être données: débuter par les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine; dans le choix des imipramines, utiliser les produits les moins sédatifs et dénués d'effets anticholinergiques, les posologies progressivement augmentées avec des paliers de 3 à 5 jours, chez les patients âgés, les antidépresseurs dont la demi-vie est la plus courte seront préférés. Aucune étude n'a été publiée sur l'intérêt d'un traitement préventif d'une dépression potentielle.
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in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.481 - 501[article] La dépression et les troubles de l'affectivité ont-ils un retentissement sur la rééducation de l'hémiplégique et faut-il les traiter ? [texte imprimé] . - 1997 . - p.481 - 501.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.481 - 501
Résumé : Le diagnostic repose sur quatre types d'éléments: cliniques, comportementaux, psychométriques, biologiques. Les symptômes cliniques sont à interpréter en fonction du nouveau DSM IV ou de la classification internationale des troubles mentaux (CIM 10). Certains troubles peuvent être rattachés à la lésion cérébrale, à l'origine d'une surestimation de la dépression, d'autres tels que l'anosognosie ou le déni peuvent, eux, entraîner des sous-estimations. De nombreuses échelles sont à la disponibilité du clinicien pour le diagnostic de dépression. Peu d'entre elles ont été validées dans le cadre des patients victimes d'un AVC. La plupart d'entre elles se heurtent à leur passation chez les aphasiques. Une courte enquête réalisée auprès de 15 centres de rééducation français montre que sept d'entre eux posent le diagnostic de dépression essentiellement sur la clinique. La prévalence de la survenue de la dépression chez l'hémiplégique est très variable allant de 22% à 65%. Divers paramètres peuvent expliquer ces données relativement peu précises: les cohortes des malades sont très variables, les définitions de la " dépression " sont variables selon les critères retenus, les troubles affectifs et émotionnels peuvent conduire à une surestimation de la fréquence des dépressions, les tests d'évaluation sont multiples, l'évaluation de la fréquence de la dépression est subjective et fonction de la nature de l'évaluateur. Les facteurs favorisants ou associés à la dépression de l'hémiplégique sont multiples, variables dans le temps et évalués très différemment qu'il s'agissent des facteurs épidémiologiques, du handicap fonctionnel ou cognitif ou des données anatomopathologiques. Au-delà de la souffrance morale, la dépression induit un ralentissement des acquisitions, un handicap cognitif, un dysfonctionnement familial un dysfonctionnement social, un risque suicidaire. Deux hypothèses sont défendues pour l'étiopathogénie de la dépression du patient hémiplégique. La première, très défendue et étayée par les auteurs anglo-saxons, est une hypothèse organique par modification des neurotransmetteurs (sérotonine, dopamine, catécholamines) secondaire à la lésion. La deuxième hypothèse, moins argumentée, serait une participation psychologique avec la survenue de la dépression secondaire au handicap. Plusieurs auteurs évoquent en fait l'association des deux hypothèses: la dépression est initialement primaire; dans un second temps, la dépression est secondaire, il s'agit du temps de la prise de conscience de la non-récupération. Il serait intéressant de continuer les recherches dans l'analyse des comportements du " faire face " ou du " travail de deuil " des patients hémiplégiques. Ces comportements sont importants à connaître pour tout soignant qui s'occupe de tels patients. Le traitement de la dépression pourrait aussi être efficace sur la récupération. Les recommandations suivantes peuvent être données: débuter par les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine; dans le choix des imipramines, utiliser les produits les moins sédatifs et dénués d'effets anticholinergiques, les posologies progressivement augmentées avec des paliers de 3 à 5 jours, chez les patients âgés, les antidépresseurs dont la demi-vie est la plus courte seront préférés. Aucune étude n'a été publiée sur l'intérêt d'un traitement préventif d'une dépression potentielle.
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Exclu du prêtLes limites de la nosographie psychiatrique dans les troubles psychiques des traumatisés crâniens sévères / FAYOL P. in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 40/7 (1997)
[article]
Titre : Les limites de la nosographie psychiatrique dans les troubles psychiques des traumatisés crâniens sévères Type de document : texte imprimé Auteurs : FAYOL P. ; DUMOND J. J. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p.543 - 546 Résumé : Objectif: confrontation des troubles psychiques des traumatisés crâniens sévères à la nosographie psychiatrique actuelle. Méthode: étude des outils standardisés de classification des troubles mentaux dont l'usage tend à se généraliser en psychiatrie (DSM IV, CIM 10) dans leur application à la description et au diagnostic des troubles mentaux et du comportement présentés par les traumatisés crâniens. Résultat: difficulté d'appréhension des troubles psychiques des traumatisés crâniens dans le cadre des outils psychiatriques standardisés. Discussion: critiques de ces classifications qui aboutissent à une perte de la spécificité des troubles des traumatisés crâniens. Conclusion: les difficultés de l'application des outils standardisés de la classification psychiatrique des troubles mentaux aux traumatisés crâniens militent en faveur d'une approche globale des dimensions somatique, neuropsychologique et psychopathologique.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53194
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.543 - 546[article] Les limites de la nosographie psychiatrique dans les troubles psychiques des traumatisés crâniens sévères [texte imprimé] / FAYOL P. ; DUMOND J. J. . - 1997 . - p.543 - 546.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.543 - 546
Résumé : Objectif: confrontation des troubles psychiques des traumatisés crâniens sévères à la nosographie psychiatrique actuelle. Méthode: étude des outils standardisés de classification des troubles mentaux dont l'usage tend à se généraliser en psychiatrie (DSM IV, CIM 10) dans leur application à la description et au diagnostic des troubles mentaux et du comportement présentés par les traumatisés crâniens. Résultat: difficulté d'appréhension des troubles psychiques des traumatisés crâniens dans le cadre des outils psychiatriques standardisés. Discussion: critiques de ces classifications qui aboutissent à une perte de la spécificité des troubles des traumatisés crâniens. Conclusion: les difficultés de l'application des outils standardisés de la classification psychiatrique des troubles mentaux aux traumatisés crâniens militent en faveur d'une approche globale des dimensions somatique, neuropsychologique et psychopathologique.
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Exclu du prêtMémoires antérograde et rétrograde après un traumatisme crânien : recherche de corrélations chez neuf patients / Catherine Thomas-Antérion in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 40/7 (1997)
[article]
Titre : Mémoires antérograde et rétrograde après un traumatisme crânien : recherche de corrélations chez neuf patients Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Thomas-Antérion ; BOISSON D ; GUINVARC'H S. ; LAURENT B. ; G. RODE Année de publication : 1997 Article en page(s) : p.519 - 526 Résumé : Nous avons étudié la mémoire rétrograde de neuf patients traumatisés crâniens (MMS moyen de 25,7) dans un délai de 5 à 48 mois après le traumatisme. Nous avons exploré la mémoire autobiographique, avec la technique des mots-indices de Robinson et le questionnaire de Kopelman (AMI), et la mémoire événementielle avec une batterie d'événements publics anciens et récents (EVE). Trois résultats principaux sont à retenir. Les performances rétrogrades ne sont corrélées ni aux capacités frontales (hormis la batterie EVE et le span inverse) ni aux performances antérogrades (hormis la batterie EVE à la mémoire de récit). L'épreuve de Robinson n'est pas corrélée à l'épreuve de Kopelman. L'évocation des faits personnels et l'évocation des faits publics ne sont pas corrélées. L'expertise de la mémoire des traumatisés crâniens nous semble d'après ces résultats devoir comporter l'expertise de la mémoire rétrograde en distinguant faits publics et faits biographiques.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53205
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.519 - 526[article] Mémoires antérograde et rétrograde après un traumatisme crânien : recherche de corrélations chez neuf patients [texte imprimé] / Catherine Thomas-Antérion ; BOISSON D ; GUINVARC'H S. ; LAURENT B. ; G. RODE . - 1997 . - p.519 - 526.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.519 - 526
Résumé : Nous avons étudié la mémoire rétrograde de neuf patients traumatisés crâniens (MMS moyen de 25,7) dans un délai de 5 à 48 mois après le traumatisme. Nous avons exploré la mémoire autobiographique, avec la technique des mots-indices de Robinson et le questionnaire de Kopelman (AMI), et la mémoire événementielle avec une batterie d'événements publics anciens et récents (EVE). Trois résultats principaux sont à retenir. Les performances rétrogrades ne sont corrélées ni aux capacités frontales (hormis la batterie EVE et le span inverse) ni aux performances antérogrades (hormis la batterie EVE à la mémoire de récit). L'épreuve de Robinson n'est pas corrélée à l'épreuve de Kopelman. L'évocation des faits personnels et l'évocation des faits publics ne sont pas corrélées. L'expertise de la mémoire des traumatisés crâniens nous semble d'après ces résultats devoir comporter l'expertise de la mémoire rétrograde en distinguant faits publics et faits biographiques.
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Exclu du prêtStabilisation chirurgicale souple des omoplates dans la myopathie facio-scapulo-humérale / DELAUBIER A. in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 40/7 (1997)
[article]
Titre : Stabilisation chirurgicale souple des omoplates dans la myopathie facio-scapulo-humérale Type de document : texte imprimé Auteurs : DELAUBIER A. ; DUPORT G. ; GUILLOU C. ; IRANI A. ; OLIVE P. ; RIDEAU Y. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p.535 - 541 Résumé : Le but de cette étude rétrospective a été d'apprécier les résultats à moyen et long termes d'une intervention chirurgicale de fixation scapulaire originale, chez 25 patients atteints de myopathie facio-scapulo-humérale, opérés entre 1982 et 1990. La particularité de la technique, mise au point à Poitiers, réside dans le principe d'une fixation souple (sans arthrodèse), permettant le traitement bilatéral simultané, le respect de la fonction respiratoire et un résultat fonctionnel rapide. Le gain d'amplitude d'abduction et d'antépulsion actives a été de 37° en moyenne. L'indice de satisfaction, tant sur le plan fonctionnel qu'esthétique a été appréciable: 68% de satisfaits ou très satisfaits. L'analyse détaillée des résultats a permis, en outre, de confirmer l'indication optimale: le sujet jeune avec une atteinte scapulaire dominante et préservation du deltoïde.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53235
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.535 - 541[article] Stabilisation chirurgicale souple des omoplates dans la myopathie facio-scapulo-humérale [texte imprimé] / DELAUBIER A. ; DUPORT G. ; GUILLOU C. ; IRANI A. ; OLIVE P. ; RIDEAU Y. . - 1997 . - p.535 - 541.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/7 (1997) . - p.535 - 541
Résumé : Le but de cette étude rétrospective a été d'apprécier les résultats à moyen et long termes d'une intervention chirurgicale de fixation scapulaire originale, chez 25 patients atteints de myopathie facio-scapulo-humérale, opérés entre 1982 et 1990. La particularité de la technique, mise au point à Poitiers, réside dans le principe d'une fixation souple (sans arthrodèse), permettant le traitement bilatéral simultané, le respect de la fonction respiratoire et un résultat fonctionnel rapide. Le gain d'amplitude d'abduction et d'antépulsion actives a été de 37° en moyenne. L'indice de satisfaction, tant sur le plan fonctionnel qu'esthétique a été appréciable: 68% de satisfaits ou très satisfaits. L'analyse détaillée des résultats a permis, en outre, de confirmer l'indication optimale: le sujet jeune avec une atteinte scapulaire dominante et préservation du deltoïde.
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