Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur DEJOUR D. |
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La greffe du ligament croisé antérieur chez les patients de plus de 40ans / DEJOUR D. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/4 (décembre 1997)
[article]
Titre : La greffe du ligament croisé antérieur chez les patients de plus de 40ans Type de document : texte imprimé Auteurs : DEJOUR D. ; GRECO M. ; Philippe Neyret ; DEJOUR H Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 223 - 226 Résumé : Cinquante-deux patients de plus de 40 ans ont été opérés d'une greffe du ligament croisé antérieur. Il s'agissait de 26 laxités antérieures complètes, 16 laxités antéro-internes et 10 laxités antérieures avec préarthrose. Tous ont eu une greffe du ligament croisé antérieur avec un transplant rotulien, 9 fois associée à une plastie extra-articulaire de Lemaire et 12 fois à une ostéotomie tibiale de valgisation. Le recul moyen de la série est de 3,2 ans, extrêmes 1 à 10 ans. Deux patients ont nécessité une arthrolyse antérieure pour cyclop syndrome; 1 a fait une algodystrophie avec raideur; 2 ont eu une ménisectomie interne secondaire. Le résultat global selon le score IKDC donne 51% de patients catégorie A, 34 % de B, 11 % de C et 4 % de D. Les gestes associés n'ont pas généré un taux de complications supérieur, il n'y a pas eu d'aggravation de l'arthrose. Le résultat et le taux de complications de cette série ne sont pas différents des séries de patients plus jeunes. L'indication d'une greffe du ligament croisé antérieur chez le patient de plus de 40 ans est possible, à condition de sélectionner les patients motivés et de bien analyser sur le bilan radiologique la présence d'une préarthrose qui doit faire associer une ostéotomie tibiale de valgisation à la greffe.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14455
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/4 (décembre 1997) . - p. 223 - 226[article] La greffe du ligament croisé antérieur chez les patients de plus de 40ans [texte imprimé] / DEJOUR D. ; GRECO M. ; Philippe Neyret ; DEJOUR H . - 1997 . - p. 223 - 226.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/4 (décembre 1997) . - p. 223 - 226
Résumé : Cinquante-deux patients de plus de 40 ans ont été opérés d'une greffe du ligament croisé antérieur. Il s'agissait de 26 laxités antérieures complètes, 16 laxités antéro-internes et 10 laxités antérieures avec préarthrose. Tous ont eu une greffe du ligament croisé antérieur avec un transplant rotulien, 9 fois associée à une plastie extra-articulaire de Lemaire et 12 fois à une ostéotomie tibiale de valgisation. Le recul moyen de la série est de 3,2 ans, extrêmes 1 à 10 ans. Deux patients ont nécessité une arthrolyse antérieure pour cyclop syndrome; 1 a fait une algodystrophie avec raideur; 2 ont eu une ménisectomie interne secondaire. Le résultat global selon le score IKDC donne 51% de patients catégorie A, 34 % de B, 11 % de C et 4 % de D. Les gestes associés n'ont pas généré un taux de complications supérieur, il n'y a pas eu d'aggravation de l'arthrose. Le résultat et le taux de complications de cette série ne sont pas différents des séries de patients plus jeunes. L'indication d'une greffe du ligament croisé antérieur chez le patient de plus de 40 ans est possible, à condition de sélectionner les patients motivés et de bien analyser sur le bilan radiologique la présence d'une préarthrose qui doit faire associer une ostéotomie tibiale de valgisation à la greffe.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14455 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSuture du ménisque interne au cours de la reconstruction du ligament croisé antérieur du genou : Résultats à propos de 111 cas revus à plus de deux ans / L. BUISSON in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/2 (septembre 1998)
[article]
Titre : Suture du ménisque interne au cours de la reconstruction du ligament croisé antérieur du genou : Résultats à propos de 111 cas revus à plus de deux ans Type de document : texte imprimé Auteurs : L. BUISSON ; DEJOUR H ; DEJOUR D. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 75 - 83 Résumé : La réinsertion méniscale interne paraît indispensable dans les décollements périphériques afin d'éviter la méniscectomie totale génératrice d'arthrose interne précoce. C'est le geste associé le plus important à celui, indispensable, de reconstruction du LCA. Ces sutures n'ont concerné que des déchirures situées dans le tiers périphérique du ménisque, luxables ou non. Nos résultats ont été jugés ; sur le plan clinique sur la réapparition ou non des signes méniscaux ou sur l'apparition d'une arthrose ; et sur le plan radiologique par l'analyse du triangle clair postérieur sur le cliché en appui monopodal de profil. Nous nous sommes intéressés aux échecs que nous avons séparés en deux types : - L'échec total, correspondant à une méniscectomie subtotale ou totale réalisée à la suite d'une nouvelle lésion méniscale isolée ou au constat radiologique d'une arthrose avec pincement complet de l'interligne chez des patients non réopérés. - L'échec partiel, correspondant à la réalisation d'une méniscectomie partielle ou au constat radiologique d'un pincement partiel du compartiment interne sans qu'une méniscectomie n'ait été réalisée. Nous constatons 12 échecs totaux et 15 échecs partiels qu'il faut moduler en fonction du délai de survenue variant de 6 mois à 10 ans par rapport à l'intervention. Les lésions limitées à la corne postérieure présentent peu de risque de récidive : 9 % contre 32 % pour les lésions étendues jusqu'au LLI et 50 % pour celles très étendues en avant. Cliniquement 95 % des patients se disent améliorés par l'intervention et 58 % des sportifs de compétition ont repris le sport au même niveau malgré le vieillissement de la population. le changement fréquent d'habitudes et parfois l'appréhension à faire une récidive lésionnelle. Actuellement la suture méniscale a pris une part plus importante que la méniscectomie, puisqu'elle représente 60 % du traitement des lésions méniscales internes découvertes lors d'une greffe du LCA.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14693
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/2 (septembre 1998) . - p. 75 - 83[article] Suture du ménisque interne au cours de la reconstruction du ligament croisé antérieur du genou : Résultats à propos de 111 cas revus à plus de deux ans [texte imprimé] / L. BUISSON ; DEJOUR H ; DEJOUR D. . - 1998 . - p. 75 - 83.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/2 (septembre 1998) . - p. 75 - 83
Résumé : La réinsertion méniscale interne paraît indispensable dans les décollements périphériques afin d'éviter la méniscectomie totale génératrice d'arthrose interne précoce. C'est le geste associé le plus important à celui, indispensable, de reconstruction du LCA. Ces sutures n'ont concerné que des déchirures situées dans le tiers périphérique du ménisque, luxables ou non. Nos résultats ont été jugés ; sur le plan clinique sur la réapparition ou non des signes méniscaux ou sur l'apparition d'une arthrose ; et sur le plan radiologique par l'analyse du triangle clair postérieur sur le cliché en appui monopodal de profil. Nous nous sommes intéressés aux échecs que nous avons séparés en deux types : - L'échec total, correspondant à une méniscectomie subtotale ou totale réalisée à la suite d'une nouvelle lésion méniscale isolée ou au constat radiologique d'une arthrose avec pincement complet de l'interligne chez des patients non réopérés. - L'échec partiel, correspondant à la réalisation d'une méniscectomie partielle ou au constat radiologique d'un pincement partiel du compartiment interne sans qu'une méniscectomie n'ait été réalisée. Nous constatons 12 échecs totaux et 15 échecs partiels qu'il faut moduler en fonction du délai de survenue variant de 6 mois à 10 ans par rapport à l'intervention. Les lésions limitées à la corne postérieure présentent peu de risque de récidive : 9 % contre 32 % pour les lésions étendues jusqu'au LLI et 50 % pour celles très étendues en avant. Cliniquement 95 % des patients se disent améliorés par l'intervention et 58 % des sportifs de compétition ont repris le sport au même niveau malgré le vieillissement de la population. le changement fréquent d'habitudes et parfois l'appréhension à faire une récidive lésionnelle. Actuellement la suture méniscale a pris une part plus importante que la méniscectomie, puisqu'elle représente 60 % du traitement des lésions méniscales internes découvertes lors d'une greffe du LCA.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14693 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt