Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur ROCHE O. |
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Instabilité subtalienne : étude anatomique et revue de la littérature / BRESLER F. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Instabilité subtalienne : étude anatomique et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : BRESLER F. ; MOLE D. ; NICOLAY X. ; ROCHE O. ; SCHMITT D. ; BLUM A. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 33 - 37 Résumé : Le terme d'instabilité subtalienne est souvent utilisé pour désigner les phénomènes d'instabilité résiduelle après entorse de la cheville sans laxité tibio-talienne. De nombreuses techniques chirurgicales ont été proposées pour traiter cette instabilité qui reste pourtant très difficile à objectiver par les moyens d'imagerie moderne. A partir d'une étude anatomique expérimentale, les auteurs redéfinissent les notions de laxité et d'instabilité subtalienne et tentent d'expliquer les insuffisances des moyens diagnostiques actuels. 4 pièces anatomiques fraîches indemnes de lésions ligamentaires ont été prélevées chez des sujets de moins de 70 ans. Après sections successives des ligaments fibulo-calcanéen, talo-calcanéen latéral, talo-calcanéen inter-osseux, talo- et calcanéo-naviculaire, ont été mesurées : - la laxité subtalienne en varus par mesure directe de l'ouverture externe de l'interligne talo-calcanéen ; - la mobilité subtalienne en rotation par la mesure de l'angle entre talus et calcaneus repéré par 2 broches. Après section des ligaments fibulo-calcanéen et talo-calcanéen latéral et interosseux, le bâillement talo-calcanéen en varus restait modéré, de 5° en moyenne, ce qui correspondait à une ouverture articulaire latérale d'environ 5 mm. Après section des ligaments talo- et calcanéo-naviculaire, ce bâillement était beaucoup plus important, pouvant conduire à une luxation subtalienne. L'amplitude des mouvements en rotation a été difficile à apprécier compte-tenu de l'association de mouvements de translation. Le terme d'instabilité subtalienne est apparu en 1962. De nombreux travaux y ont été consacrés depuis, mais une revue critique de la littérature permet de constater que la mise en évidence de cette instabilité est rarement réalisée, en raison de la complexité des mouvements subtaliens et d'une technique d'imagerie inadaptée. Les auteurs discutent la notion objective de laxité subtalienne, qui correspond à une mobilité anormale difficile à confirmer par les moyens radiographiques et dont l'amplitude est modérée en l'absence de lésion associée des ligaments talo- ou calcanéo-naviculaires, et la notion subjective d'instabilité subtalienne, dont les causes peuvent être mulmultiples en l'absence d'une laxité importante : laxité tibiolatienne méconnue,syndrome du sinus du tarse, lésion ostéochondrale subtalienne. Les indications de réfection ligamentaire subtalienne doivent donc être posées avec la plus grande prudence.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14416
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 33 - 37[article] Instabilité subtalienne : étude anatomique et revue de la littérature [texte imprimé] / BRESLER F. ; MOLE D. ; NICOLAY X. ; ROCHE O. ; SCHMITT D. ; BLUM A. . - 1998 . - p. 33 - 37.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 33 - 37
Résumé : Le terme d'instabilité subtalienne est souvent utilisé pour désigner les phénomènes d'instabilité résiduelle après entorse de la cheville sans laxité tibio-talienne. De nombreuses techniques chirurgicales ont été proposées pour traiter cette instabilité qui reste pourtant très difficile à objectiver par les moyens d'imagerie moderne. A partir d'une étude anatomique expérimentale, les auteurs redéfinissent les notions de laxité et d'instabilité subtalienne et tentent d'expliquer les insuffisances des moyens diagnostiques actuels. 4 pièces anatomiques fraîches indemnes de lésions ligamentaires ont été prélevées chez des sujets de moins de 70 ans. Après sections successives des ligaments fibulo-calcanéen, talo-calcanéen latéral, talo-calcanéen inter-osseux, talo- et calcanéo-naviculaire, ont été mesurées : - la laxité subtalienne en varus par mesure directe de l'ouverture externe de l'interligne talo-calcanéen ; - la mobilité subtalienne en rotation par la mesure de l'angle entre talus et calcaneus repéré par 2 broches. Après section des ligaments fibulo-calcanéen et talo-calcanéen latéral et interosseux, le bâillement talo-calcanéen en varus restait modéré, de 5° en moyenne, ce qui correspondait à une ouverture articulaire latérale d'environ 5 mm. Après section des ligaments talo- et calcanéo-naviculaire, ce bâillement était beaucoup plus important, pouvant conduire à une luxation subtalienne. L'amplitude des mouvements en rotation a été difficile à apprécier compte-tenu de l'association de mouvements de translation. Le terme d'instabilité subtalienne est apparu en 1962. De nombreux travaux y ont été consacrés depuis, mais une revue critique de la littérature permet de constater que la mise en évidence de cette instabilité est rarement réalisée, en raison de la complexité des mouvements subtaliens et d'une technique d'imagerie inadaptée. Les auteurs discutent la notion objective de laxité subtalienne, qui correspond à une mobilité anormale difficile à confirmer par les moyens radiographiques et dont l'amplitude est modérée en l'absence de lésion associée des ligaments talo- ou calcanéo-naviculaires, et la notion subjective d'instabilité subtalienne, dont les causes peuvent être mulmultiples en l'absence d'une laxité importante : laxité tibiolatienne méconnue,syndrome du sinus du tarse, lésion ostéochondrale subtalienne. Les indications de réfection ligamentaire subtalienne doivent donc être posées avec la plus grande prudence.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtPlace de l'arthroscopie diagnostique d'épaule dans les douleurs à l'armé du bras du sportif / F. Sirveaux in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/4 (2002)
[article]
Titre : Place de l'arthroscopie diagnostique d'épaule dans les douleurs à l'armé du bras du sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Sirveaux ; MOLE D. ; Jean Paysant ; ROCHE O. ; MARCHAL C. Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 189-196 Résumé : Les douleurs à l'armé du bras représentent un motif de consultation fréquent en pathologie sportive. Longtemps attribué à l'instabilité antérieure, ce type de douleur est l'expression de pathologies variées dont le diagnostic n'est pas toujours établi de façon certaine par l'examen clinique ou l'imagerie. Le but de ce travail est d'analyser la fréquence des différentes lésions rencontrées dans une population de 40 patients sportifs (41 épaules) présentant des douleurs à l'armé du bras. Tous pratiquaient un sport de manière régulière dont 80 % en compétition. La durée moyenne d'évolution des symptômes a été de 19,6 mois. Trente-cinq patients ont bénéficié d'un bilan d'imagerie pré-opératoire complémentaire (TDM, arthroscanner, IRM, arthro-IRM). Dans tous les cas, il existait une discordance entre les données de l'examen clinique et l'imagerie qui a motivé la réalisation d'une arthroscopie diagnostique. A l'arthroscopie, un conflit postéro-supérieur a été mis en évidence dans 12 cas (30 %), une instabilité antérieure dans 5 cas (12 %), une instabilité postérieure dans 5 cas (12 %), une SLAP lesion dans 6 cas (14 %), une rupture partielle de la coiffe des rotateurs dans 3 cas (7 %), une bursite sous-acromiale dans 6 cas, une subluxation du tendon du muscle long biceps dans un cas, une languette du labrum antérieur dans un cas et dans 2 cas l'arthroscopie a été considérée comme normale. Cette série montre l'intérêt de l'arthroscopie diagnostique comme examen dynamique permettant d'identifier un conflit postéro-supérieur, d'orienter le sens d'une instabilité lorsque l'expression clinique est fruste et d'identifier des lésions du labrum ou des ruptures partielles de la coiffe des rotateurs. Dans des conditions habituelles, l'arthroscopie diagnostique reste indispensable, compte tenu du manque de sensibilité de l'imagerie.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14637
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/4 (2002) . - P. 189-196[article] Place de l'arthroscopie diagnostique d'épaule dans les douleurs à l'armé du bras du sportif [texte imprimé] / F. Sirveaux ; MOLE D. ; Jean Paysant ; ROCHE O. ; MARCHAL C. . - 2002 . - P. 189-196.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/4 (2002) . - P. 189-196
Résumé : Les douleurs à l'armé du bras représentent un motif de consultation fréquent en pathologie sportive. Longtemps attribué à l'instabilité antérieure, ce type de douleur est l'expression de pathologies variées dont le diagnostic n'est pas toujours établi de façon certaine par l'examen clinique ou l'imagerie. Le but de ce travail est d'analyser la fréquence des différentes lésions rencontrées dans une population de 40 patients sportifs (41 épaules) présentant des douleurs à l'armé du bras. Tous pratiquaient un sport de manière régulière dont 80 % en compétition. La durée moyenne d'évolution des symptômes a été de 19,6 mois. Trente-cinq patients ont bénéficié d'un bilan d'imagerie pré-opératoire complémentaire (TDM, arthroscanner, IRM, arthro-IRM). Dans tous les cas, il existait une discordance entre les données de l'examen clinique et l'imagerie qui a motivé la réalisation d'une arthroscopie diagnostique. A l'arthroscopie, un conflit postéro-supérieur a été mis en évidence dans 12 cas (30 %), une instabilité antérieure dans 5 cas (12 %), une instabilité postérieure dans 5 cas (12 %), une SLAP lesion dans 6 cas (14 %), une rupture partielle de la coiffe des rotateurs dans 3 cas (7 %), une bursite sous-acromiale dans 6 cas, une subluxation du tendon du muscle long biceps dans un cas, une languette du labrum antérieur dans un cas et dans 2 cas l'arthroscopie a été considérée comme normale. Cette série montre l'intérêt de l'arthroscopie diagnostique comme examen dynamique permettant d'identifier un conflit postéro-supérieur, d'orienter le sens d'une instabilité lorsque l'expression clinique est fruste et d'identifier des lésions du labrum ou des ruptures partielles de la coiffe des rotateurs. Dans des conditions habituelles, l'arthroscopie diagnostique reste indispensable, compte tenu du manque de sensibilité de l'imagerie.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14637 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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