Centre de Documentation Campus Montignies
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Images particulières évoquant des lésions du ligament péronéo-tibial inférieur à sa partie postérieure au cours de syndromes post-traumatiques du carrefour postérieur de la cheville |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
CUSIMANO A. ; SEGAL P ; GANDON D. |
Année de publication : |
1993 |
Article en page(s) : |
p. 220 - 229 |
Résumé : |
Le terme "syndrome de la queue de l'astragale", utilisé de plus en plus pour désigner les pathologies des autres éléments anatomiques de la région tend à être remplacé par celui de "syndrome du carrefour postérieur de la cheville". Il convient de distinguer les syndromes du carrefour "post-traumatiques" de ceux par "pathologie microtraumatique". Les auteurs rapportent des images radiographiques et scannographiques particulières observées chez deux sujets présentant un syndrome du carrefour postérieur de la cheville survenant dans les suites proches d'une entorse de cheville. Ces images montrent une fracture de la marge postérieure du pilon tibial dans le premier cas, et une écaille osseuse évoquant un décollement du ligament péronéo-tibial inférieur et postérieur dans le second cas
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14406 |
in Journal de traumatologie du sport > vol. 10/4 (1993) . - p. 220 - 229
[article] Images particulières évoquant des lésions du ligament péronéo-tibial inférieur à sa partie postérieure au cours de syndromes post-traumatiques du carrefour postérieur de la cheville [texte imprimé] / CUSIMANO A. ; SEGAL P ; GANDON D. . - 1993 . - p. 220 - 229. in Journal de traumatologie du sport > vol. 10/4 (1993) . - p. 220 - 229
Résumé : |
Le terme "syndrome de la queue de l'astragale", utilisé de plus en plus pour désigner les pathologies des autres éléments anatomiques de la région tend à être remplacé par celui de "syndrome du carrefour postérieur de la cheville". Il convient de distinguer les syndromes du carrefour "post-traumatiques" de ceux par "pathologie microtraumatique". Les auteurs rapportent des images radiographiques et scannographiques particulières observées chez deux sujets présentant un syndrome du carrefour postérieur de la cheville survenant dans les suites proches d'une entorse de cheville. Ces images montrent une fracture de la marge postérieure du pilon tibial dans le premier cas, et une écaille osseuse évoquant un décollement du ligament péronéo-tibial inférieur et postérieur dans le second cas
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14406 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Luxation récidivante des tendons péroniers |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
BENAZET J. P. ; G. SAILLANT ; SEGAL P ; ROY-CAMILLE R. |
Année de publication : |
1994 |
Article en page(s) : |
p. 26 - 28 |
Résumé : |
La révision des dossiers de 30 cas de patients présentant une luxation récidivante des péroniers latéraux souligne l'importance d'un diagnostic précoce afin d'éviter la survenue de récidives. Leur traitement est chirurgical, la technique opératoire devant être adaptée au type anatomopathologique des lésions: plastie au périoste selon Lannelongue en cas de rupture simple, réinsertion de la gaine des péroniers en cas de décollement fibro-périoste. L'intervention est suivie d'une immobilisation dans une botte plâtrée pendant une durée de 6 semaines. Une rééducation soigneuse est ensuite entreprise
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14598 |
in Journal de traumatologie du sport > vol. 11/1 (1994) . - p. 26 - 28
[article] Luxation récidivante des tendons péroniers [texte imprimé] / BENAZET J. P. ; G. SAILLANT ; SEGAL P ; ROY-CAMILLE R. . - 1994 . - p. 26 - 28. in Journal de traumatologie du sport > vol. 11/1 (1994) . - p. 26 - 28
Résumé : |
La révision des dossiers de 30 cas de patients présentant une luxation récidivante des péroniers latéraux souligne l'importance d'un diagnostic précoce afin d'éviter la survenue de récidives. Leur traitement est chirurgical, la technique opératoire devant être adaptée au type anatomopathologique des lésions: plastie au périoste selon Lannelongue en cas de rupture simple, réinsertion de la gaine des péroniers en cas de décollement fibro-périoste. L'intervention est suivie d'une immobilisation dans une botte plâtrée pendant une durée de 6 semaines. Une rééducation soigneuse est ensuite entreprise
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14598 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Les luxations récidivantes du jambier postérieur |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
GIRARDOT M. ; GAILLARD F. ; SEGAL P ; DEHOUX E. |
Année de publication : |
1999 |
Article en page(s) : |
p. 9 - 11 |
Résumé : |
Nous avons repris les observations de deux jeunes sportifs qui ont présenté une luxation traumatique du jambier postérieur. Le diagnostic initialement porté a été celui d'entorse tibio-tarsienne dans les deux cas, et les patients ont bénéficié d'une courte immobilisation plâtrée. Ce traitement est resté inefficace, et nos deux patients n'ont pu reprendre leur activité sportive en raison de douleurs malléolaires internes très invalidantes. La luxation du jambier postérieur a été diagnostiquée avec des retards de 7 et 11 mois. Les radiographies standard réalisées en préopératoire ont mis en évidence dans les deux cas le décollement périosté typique au niveau de la malléole interne. Dans les deux cas, l'intervention a retrouvé une luxation sous-périostée du jambier postérieur avec ulcération du tendon. Le geste chirurgical a consisté à réaliser la suture de la gaine dans un cas, et son agrafage dans l'autre cas associé à un creusement de la gouttière. L'entorse du ligament latéral interne étant rare, devant une symptomatologie malléolaire interne post-traumatique, l'éventualité d'une luxation du jambier postérieur doit être évoquée. Le tableau clinique est quelque peu différent à la phase aiguë et à distance de l'accident, et le testing douloureux du jambier postérieur a une grande valeur. En l'absence de lésion évocatrice sur les radiographies standard, l'IRM doit être réalisée. Le traitement le plus souvent chirurgical permet au sportif la reprise de son activité antérieure.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14564 |
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/1 (mars 1999) . - p. 9 - 11
[article] Les luxations récidivantes du jambier postérieur [texte imprimé] / GIRARDOT M. ; GAILLARD F. ; SEGAL P ; DEHOUX E. . - 1999 . - p. 9 - 11. in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/1 (mars 1999) . - p. 9 - 11
Résumé : |
Nous avons repris les observations de deux jeunes sportifs qui ont présenté une luxation traumatique du jambier postérieur. Le diagnostic initialement porté a été celui d'entorse tibio-tarsienne dans les deux cas, et les patients ont bénéficié d'une courte immobilisation plâtrée. Ce traitement est resté inefficace, et nos deux patients n'ont pu reprendre leur activité sportive en raison de douleurs malléolaires internes très invalidantes. La luxation du jambier postérieur a été diagnostiquée avec des retards de 7 et 11 mois. Les radiographies standard réalisées en préopératoire ont mis en évidence dans les deux cas le décollement périosté typique au niveau de la malléole interne. Dans les deux cas, l'intervention a retrouvé une luxation sous-périostée du jambier postérieur avec ulcération du tendon. Le geste chirurgical a consisté à réaliser la suture de la gaine dans un cas, et son agrafage dans l'autre cas associé à un creusement de la gouttière. L'entorse du ligament latéral interne étant rare, devant une symptomatologie malléolaire interne post-traumatique, l'éventualité d'une luxation du jambier postérieur doit être évoquée. Le tableau clinique est quelque peu différent à la phase aiguë et à distance de l'accident, et le testing douloureux du jambier postérieur a une grande valeur. En l'absence de lésion évocatrice sur les radiographies standard, l'IRM doit être réalisée. Le traitement le plus souvent chirurgical permet au sportif la reprise de son activité antérieure.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14564 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
L'ostéochondrite disséquante de la trochlée chez le sujet sportif |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
POTIER J.-Y. ; GIRARD G ; SEGAL P ; GANDON D. |
Année de publication : |
1993 |
Article en page(s) : |
p. 162 - 165 |
Résumé : |
A propos de 8 cas d'ostéochondrite de la trochlée les auteurs font une revue de la littérature. Ils décrivent la symptomatologie clinique dominée par les pseudoblocages et la sensation d'instabilité du genou. Le bilan radiologique est basé surtout sur l'interprétation du cliché de profil du genou à 20°. L'ostéochondrite de la trochlée doit être distinguée d'une fracture ostéochondrale liée à un épisode de luxation de la rotule, ainsi que de l'instabilité frontale de la rotule qui lui est souvent associée. Le traitement est principalement chirurgical avec excision des zones nécrosées et comblement si possible
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14440 |
in Journal de traumatologie du sport > vol. 10/3 (1993) . - p. 162 - 165
[article] L'ostéochondrite disséquante de la trochlée chez le sujet sportif [texte imprimé] / POTIER J.-Y. ; GIRARD G ; SEGAL P ; GANDON D. . - 1993 . - p. 162 - 165. in Journal de traumatologie du sport > vol. 10/3 (1993) . - p. 162 - 165
Résumé : |
A propos de 8 cas d'ostéochondrite de la trochlée les auteurs font une revue de la littérature. Ils décrivent la symptomatologie clinique dominée par les pseudoblocages et la sensation d'instabilité du genou. Le bilan radiologique est basé surtout sur l'interprétation du cliché de profil du genou à 20°. L'ostéochondrite de la trochlée doit être distinguée d'une fracture ostéochondrale liée à un épisode de luxation de la rotule, ainsi que de l'instabilité frontale de la rotule qui lui est souvent associée. Le traitement est principalement chirurgical avec excision des zones nécrosées et comblement si possible
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14440 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |

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